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outofmymind a écrit:
Bonjour, Hello, Salam 3alaykom
Première chose, je m’excuse de mon français, je commence à l’oublié
Je prends mon courage a deux mains pour vous raconter mon histoire, ce n’est toujours pas évidant pour un homme marocain, ayant grandi dans une culture musulmane de se confier
J’essaye de vous décrire dans quelque lignes mon histoire, pas du tout simple, car on prenant du recule, elle sera digne d’une telenovelas mexicaine, des feux de l’amour ou même un bestseller de chez Dan Brown, heureusement pour moi je n’ai pas la plume facile pour en faire fortune, car je n’aurai pas le courage de faire du voyeurisme, d’affronter les gens et étaler ma vie telle un reality show
Pour me décrire, je suis un homme…. Oui vous avez bien lu un homme, qui se confie comme un garçon, aujourd’hui la trentaine passé, qui a enduré beaucoup de souffrances et qui essaye tant bien que mal de vider son cœur,
Je prendrais le prénom d’amine, pour ne pas dire le mien mais aussi car amine se rapproche de mon prénom, communément répondu dans la génération début 80
Le petit amine a grandi dans une famille banale, plus ou moins aisée, oui je l’admet, je suis né a rabat et j’y ai vécu jusqu'à mes 17ans, mes parents été de Meknès, le papa haut fonctionnaire et la maman femme au foyer comme était la tradition de l’époque
Contrairement, je n’ai pas eu le privilège de passé par le lycée français, mon père était un socialiste convaincu (l7araka & co), j’ai fait une scolarité normal, au début par une école primaire privée tenu par des français, suivie d’un collège et d’un lycée publique.
Loin d’idéaliser mon cas, j’étais un gamin très moyen dans ma scolarité, doué pour les langues et les maths mais j’avais une perception de corvée envers les études,
Etant le benjamin de la famille, j’ai eu une grande complicité avec mes parents surtout mon père, j’étais pas l’enfant pourri gratté, au contraire mes parents me responsabilisé car j’étais le dernier de ma famille encore à leurs charges.
Et la vient le cataclysme qui changeas ma vie, juste avant l’entrée en terminale (bac), un 30 aout 97, c’est mon 9 11 américain avant l’heure, Je perdis mon père LAH IRHAMOU IWASSA3 3LIH
Pour moi c’était le désastre, j’ai perdu cette figure paternelle, qui représente pour moi aujourd’hui ma raison de vivre, pour ne pas vous mentir j’ai vécu des moments difficiles tant moralement que financièrement, mais maintenant cette période est pour moi comme une grande expérience dans la vie, qui ma donner du courage, de la maturité, une nouvelle perception de la vie, et surtout un objectif pour mon existence, réussir pour mon père.
Je me suis juré devant la dépouille de mon père, de réussir pour le moins, ma scolarité. Je me suis remis à fond dans mes études, au cours de ma terminale, je voie mes amis envoyer des candidatures en France au Canada, mais moi j’ai jamais eu le courage d’en discuter avec ma mère, j’en avais tellement envie mais je me disais que financièrement, c’est impossible,
Sans dire un mot à ma mère, mais avec la complicité de mon grand frère ingénieur et vivant en France, j’ai pu envoyer quelque dossier pour suivre les traces de mon père et de mes deux grands frères, intégrer des classes préparatoires,
Et la, grâce à dieu la chance me sourit, et je fais un doublé pour les plus footeux d’entre vous, j’ai eu mon bac et une admission dans une prépa en France,
Cette bonne nouvelle s’accompagnée d’une grande peur, celle de ne pas pouvoir partir, mais lhamdoulah grâce au soutien de mes deux frères et de ma mère j’ai pu avoir mon visa d’étudiant, j’entame alors deux ans de galère (internat, colle, nuit blanche et concours) tout ça dans un cadre paradisiaque dans le sud-est de la France, avec un brin de nostalgie car au fond je me dis toujours que j’ai pas profité de cet endroit,
Apres deux ans, vient le résultat, j’avais un sentiment de fin de galère mais celle-ci m’inspirer une certaine curiosité intellectuelle
Finalement j’intègre une école d’ingénieur a paris, (groupe A pour les ingé d’entre vous mais pas L’X)
Et je découvre un nouveau monde, la crème de la crème de la société française, pour eu j’étais un arabe diffèrent, limite un français d’orient car je pouvais parler de culture de vin et la chose qui attirer le plus de par le complexe des français envers les américains, c’est mon anglais acquis durant mon adolescence a l’American center de rabat et surtout a ma grande culture du RAP US,
J’ai eu le droit a une bourse d’excellence pour financer mes études, mais pour pouvoir profiter de ma nouvelle vie parisienne, j’ai dû faire quelque boulot, donner des cours de math, et pendant 2ans superviseur de la Biblio de l’école, cela m’éviter de demander à ma mère de l’argent,
Apres mes 3ans en école avec spécialisation en finance, je m’envole grâce a un partenariat de l’école pour un faire un master dans une célèbre université californienne tout frais payé par la fondation de celle-ci, j’avais la bonne Etoile, je vivais complément le rêve américain, le soleil, l’océan, et la musique de Dr Dree et Eminem pour le gangsta qui sommeille en moi,
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a écrit:
lhamdoulah j’ai rien de grave, aujourd’hui arrêté un mois pour dépression nerveuse, j’ai rien dit à ma femme de ce que j’ai écouté, je ne sais pas quoi faire, je demande votre aide