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Concour de poeme et poesie : sujet --> yabiladi
i
27 septembre 2007 02:34
Citation
IwissOgadir a écrit:
Dis moi islah, je sais que tu es une couche tard winking smiley, sa te dirait une promenade avant d’aller dormir….Angel


Très bonne nuit..........Angel

la plus jolie des promenades que j ai faite smiling smiley

Merci Iwiss

bonne nuit à toi smiling smiley
[center]Une seule et unique :zen: I S L A H :zen: [/center]
t
30 septembre 2007 16:08
Citation
islah a écrit:
Citation
IwissOgadir a écrit:
Ecoute-moi chère et douce islah !Angel

ClapClap

magnifique iwiss

j ai lu attentivement tes mots, et sois en sûr, j m en souviendrai à tout jamais smiling smiley

Merci!

bonjour voila l'auteur de ce poème.

[www.inlibroveritas.net]
bonne journée.
i
30 septembre 2007 16:44
Citation
tounsia37 a écrit:
Citation
islah a écrit:
Citation
IwissOgadir a écrit:
Ecoute-moi chère et douce islah !Angel

ClapClap

magnifique iwiss

j ai lu attentivement tes mots, et sois en sûr, j m en souviendrai à tout jamais smiling smiley

Merci!

bonjour voila l'auteur de ce poème.

[www.inlibroveritas.net]
bonne journée.

OhOhOh
[center]Une seule et unique :zen: I S L A H :zen: [/center]
j
30 septembre 2007 17:22
Citation
islah a écrit:
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tounsia37 a écrit:
Citation
islah a écrit:
Citation
IwissOgadir a écrit:
Ecoute-moi chère et douce islah !Angel

ClapClap

magnifique iwiss

j ai lu attentivement tes mots, et sois en sûr, j m en souviendrai à tout jamais smiling smiley

Merci!

bonjour voila l'auteur de ce poème.

[www.inlibroveritas.net]
bonne journée.

OhOhOh

Oh

y'a des tricheurs ici... grinning smiley


Des oeuvres yabilidiennes svp, pas des choses d'ailleurs...
[center][color=#FF0000]_.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._[/color] [color=#009933](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#FF0000](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#009933](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#FF0000](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color][color=#FF0000][b]Si tu veux savoir quelle place tu occupes auprès de Dieu...[/color][color=#009933]regarde quelle place Dieu prend dans ton coeur[/b][/color][color=#009933](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#FF0000](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#009933](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#FF0000](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#009933]_.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._[/color][/center]
f
2 décembre 2007 13:33
Salam à tous ! smiling smiley

Cela faisait longtemps que j’avais envie de faire revivre ce post par quelques écrits qui j’espère plairont à ceux qui les lisent et prennent le temps de les apprécier. Aussi, aujourd’hui, je fais une promotion commerciale : 2 pr le prix d’un ! Un texte, et un poème ; en viendra un second ds les prochains jours inchalah … Maintenant, place à la lecture … et naturellement à vos commentaires si précieux 

Voici le texte …

« Cette nuit, j’ai fait une surprenante rencontre en marchant dans une rue de la ville des rêves de l’ego. Tout en pensant à ma bien aimée en abordant un coin de rue, j’ai en effet pu y apercevoir une dame d’un âge apparemment avancé, assise à même le trottoir, dos appuyé contre un mur, adoptant la posture du sage. Elle avait l’air vraiment démunie tant son apparence inspirait la mansuétude la plus profonde. Mal mais chaudement vêtue pour un soir glacial, elle paraissait pensive, préoccupée de l’intérieur.

J’ai d’abord cru que la faim ou le froid ou encore même son état de pauvreté apparente étaient à l’origine de ses tourments, fait compréhensible vu les circonstances. Mais la vieille dame semblait méditer avec une si ardente passion que j’ai vite compris que ses pensées ne pouvaient se réduire à des aspirations matérielles, loin de là. J’en ai en tout cas eu le cœur net au vu du regard souriant et mystérieux à la fois qu’elle m’adressa lorsque je voulus lui tendre une pièce de monnaie à même la main, qu’elle refusa en déclinant légèrement la tête.

Etonné par une attitude aussi humble qu’intrigante, je ne pus me retenir de lui demander ce qu’elle pouvait ben faire ici, au cœur de cet endroit bien désert, à défaut de trouver quelque abri où se réfugier. La dame observa un long silence, comme pour préparer une réponse depuis longtemps confirmée par ce qu’elle donnait l’impression d’avoir découvert en moi, puis me lança :

- « Jeune homme, puis-je te poser une question ? »

Et moi de répondre avec un engouement des plus certains :

- « Oui, sûrement, avec plaisir ! »

La vieille dame poursuivit :

- « Que pourrait-on penser d’après toi d’un riche sans argent, d’un bien portant à l’allure chétive, ou bien même d’un jeune comme toi vieilli par une force d’âge bien présente, et qui, par je ne sais quel moyen, arrive toutefois à se revendiquer comme le plus heureux des êtres ?»

Sans la moindre hésitation de ma part, je lui expliquai qu’une telle position, aussi noble et significative spirituellement parlant, ne pouvait qu’honorer tout adorateur louant en permanence les indénombrables bienfaits de Son Créateur sur lui, témoignant ainsi d’une gratitude et d’une reconnaissance résistant à toute épreuve devant le Pourvoyeur. C’est alors rassurée mais résignée que cette première reprit parole :

- « Tu as sûrement raison … Ah ! Raison ! Un bien simple mot dont l’absence est malheureusement responsable de bien des états du genre humain, des plus affligeants de par leur beauté aux plus éminemment fanatiques. Elle se fait réprimer, gronder, parfois même chasser comme dans mon cas, sans jamais se plaindre de ce qu’elle subit, surtout si elle cautionne et accepte son propre exil pour laisser place à un sentiment nouveau, à un ressenti jamais éprouvé auparavant par la personne de laquelle il s’empare. Le cœur est alors proclamé roi en lieu et place de cette première ; il gouverne sans partage, mais juge avec équité, car rien de ce que l’amour peut engendrer ne lui est plus appréciable que la sincérité qu’il témoigne à celle pour qui il bat. Le voilà volontairement vassal d’une ivresse qui s’accapare l’âme et la conscience dans la même foulée, rendant désormais impossible l’idée même d’une vie sans penser à l’être cher. Tu aimes d’un amour éperdument fou, mon fils, c’est une évidence, et notre rencontre ici me confirme que j’ai pris la bonne décision en acceptant de m’exiler de toi pour ne plus jamais faire ombre à l’intense bonheur que tu éprouves en pensant à cette créature sans pareil. Je laisse volontiers place à l’amour roi, car, comme moi, il est une bénédiction ; je suis sûre que tu ne le vivras qu’une fois, une seule et unique fois, désormais pour l’éternité. Va maintenant en paix ; pour ma part, je le suis dorénavant plus que jamais en te sachant aimé et aimant à la fois d’une dulcinée que je vais de ce pas aller rejoindre afin d’attester en sa présence de ton amour pour elle, et elle seule … »
f
2 décembre 2007 13:34
… et voici le poème ; bonne lecture ! smiling smiley

« Les lueurs vermeilles d’un Soleil majestueusement peintes sur le céleste horizon
Rappellent à quelque esprit inerte la beauté de tout désir inéluctablement pur,
A l’image de celui que, depuis peu, j’ai appris, avec contemplation
A entretenir pour un être chèrement apprécié, d’une honorable âme, pour sûr.

Ô cœur exilé ! Eclaire donc mon regard qui, d’un œil à l’essence impuissante
A versé tant de larmes sur ton exode, éclipsant mon goût de la Vie ;
Reviens-moi vite car la Joie m’envahit de nouveau, belle, étincelante,
Pour pleinement apprécier les doux écrits d’une dulcinée à la tendre compagnie.

« Rivière Paradisiaque », ainsi nommée par la si poétique langue du Coran,
Source bénie de Vie et d’Existence desservant d’eau les vallées de l’Eden fleuri,
De laquelle s’abreuvent les assoiffés en quête de quiétude et d’agrément
Qui, comme moi, ont pris goût à son innocente pureté n’existant qu’en utopie.

Compassion, amabilité, humilité et gentillesse sont autant de flèches lancées
Qui, unes à unes, ciblant mon cœur, l’ont soumis à une bien agréable évidence,
Celle que seul peut comprendre et éprouver le tendre adorateur éveillé,
Celle qui asservit sans blesser, avec réconfort, les tourments et les pénitences.

Que celui qui ne sait réagir à la conquérante Passion prenne note et prête ouïe
A ce qui va suivre ci-après, conseils avertis d’un novice des sentiments vécus ;
L’Amour est Don de soi, généreux en tout instant, sans condition, ni hypocrisie ;
L’Amour est Grâce, délectable abreuvoir des soifs humaines passant pour méconnues.

Etre cher de mes songes terrestres, Lumière chassant l’obscurité des cœurs endoloris,
Daigne accepter ce modeste hommage rendu à tous ces moments partagés,
Des instants inestimables qui valorisent la Conscience, et mieux, la privilégient,
Dans ce qu’elle est de plus profond, c’est-à-dire, une amoureuse libérée.

Oui ! En elle les plus louables et recherchés des attributs, si scintillants, si admirés,
Tels les pétales aux milles couleurs d’une rose en éclosion un soir de printemps,
Pour laquelle tout est découverte, de son élémentaire senteur à sa pleine beauté ;
Puisse Son Créateur la préserver jolie et radieuse, encore et pour longtemps … »

J'attends vos commentaires smiling smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/12/07 13:35 par fahd1253.
f
20 décembre 2007 14:02
Salam tt l'monde les gens et mebrouk 3idkom winking smiley

Voici pr vous le dernier poème que je viens d'écrire tt expressément à l'attention d'un être cher à mon coeur, unique en son genre ... J'espère qu'il vous plaira, et j'attends vos commentaires, comme j'ai tjrs pu compter dessus jusqu'à maintenant ! Bonne lecture ! smiling smiley



" Au cours d’un début de soirée propice au règne de la magie des sentiments,
J’errais avec quiétude au milieu d’une roseraie aux charmes infinis ;
L’automne était là, invité sans délai, avec sa nostalgie et ses vents
Qui balayaient d’une extrême et adroite délicatesse les amas de feuilles brunies.

Fidèle au serment de l’âme conquise, don du Très-Haut aux passionnés,
Je songeais à une colombe à l’apparat d’une sublime et vive blancheur,
Un être unique, cher à mon cœur, pour qui le mot Amour fut inventé,
Un astre, une étoile autour de laquelle mon monde gravite en toute heure.

La Vie, ce trésor, me demandai-je, a si bellement été insufflée pour une raison établie,
Un objectif aux fins mystiquement occultées que seuls ressentent les rares avisés,
Lorsque, dans leurs cœurs, se fondent l’incarnat du sang et le blanc qui prémunit,
Lorsque passion et candeur les emplissent à jamais d’un rose élixir de sensualité.

L’esprit de l’adorateur est enraciné à l’Amour comme l’est tout arbre à sa Terre ;
Ce dernier naît et croît en protection, nourri par un souci élémentairement sain ;
Celui de le voir un jour mûrir et produire sa sève, larmes de ressentis primaires
Que son cœur esclave verse, donnant des fruits d’amour, meilleurs de jour en lendemain.

Le langage des fleurs est lui aussi unanime devant la majesté de l’hommage rendu ;
C’est en admirateur inné de l’infortuit, en m’approchant, que je pus m’en rendre compte ;
J’ai alors prêté oreille attentive aux murmures d’un groupe de fleurs ingénues
Qui parlaient avec envie de leur reine à toutes, jalousement, sans la moindre honte.

Je les entendais à son égard bavarder certains de ses nobles caractères remarqués,
Réunies tout au moins par la parole à évoquer celle qui les subjugue tant ;
Elles s’interrogeaient avec intrigue sur ce qui pouvait bien d’eux la distinguer,
L’élevant sur ordre du Créateur à un rang jamais atteint par quiconque auparavant

« Voyez, leur dis-je, mesdemoiselles combien profane en amour pour elle je suis ;
Voyez comment l’agréable épreuve d’un tel état m’occupe pour des fois énièmes ;
Comment celui qui a goûté à l’Amour peut plaindre l’aliéné séduit ?
Comment blâmer celui qui, à chaque moment, dit à sa Rose "Je t’aime" ? »

J’eus alors l’occasion de les inviter, de les inciter à éprouver l’amour saisissant,
Qui, harmonieusement, se conjugue avec leur fragrance et leur beauté, esquisse de Paradis,
Car l’Amour embellit les dotations et les sens, les rendant pour toujours rayonnants,
Car cette rose qui aime est ma raison de vivre, mon plaisir, ma chance, ma vie "... eye rolling smiley





Je t'aiiiiiiiime 7biba diali ... In loveIn love
a
26 décembre 2007 07:24
ÃÑì ÍÇÌóÊí ÊõÔúÑì æáÇ ÊõÔúÊóÑì áíÇ

æÊõÌúÑöãõ áíáì Ëãø ÊóÒúÚõãõ Ãäøäí
ÓóáóæúÊõ¡ æáÇ íóÎúÝì Úáì ÇáäÇÓö ãÇÈíÇ

Ýáóãú ÃóÑó ãöËúáóíúäÇ Îóáöíáóíú ÕóÈÇÈóÉò
ÃóÔóÏøó Úáì ÑóÛúãö ÇáÃÚÇÏí ÊóÕÇÝöíÇ

ÎóáíáÇäö áÇ äóÑúÌæ ÇááøÞÇÁó¡ æáÇ äóÑì
Îóáíáóíúäö ÅáÇø íóÑúÌõæÇäö ÇáÊøóáÇÞíÇ

æÅäøí áÃÓúÊóÍúíöíßö Ãäú ÊóÚúÑöÖó Çáãõäì
ÈóæóÕúáößö Ãæ Ãäú ÊóÚúÑöÖí Ýí Çáãõäì áíÇ

íÞæáõ ÃõäÇÓñ Úáøó ãóÌúäæäó ÚÇãöÑò
íõÑíÏõ ÓõáõæøÇð¡ ÞáÊõ Ãóäøì áöãÇ ÈöíÇ

ÅÐÇ ãÇ ÇÓúÊóØÇáó ÇáÏøåÑõ íÇ Ãõãø ãÇáößò
ÝóÔóÃúäõ ÇáãóäÇíÇ ÇáÞÇÖöíÇÊö æÔóÇäöíÇ

ÅÐÇ ÇßúÊóÍóáóÊú Úíäí ÈöÚóíúäößö áã ÊóÒóáú
ÈöÎóíúÑò¡ æÌóáøóÊú ÛóãúÑóÉð Úóä ÝõÄÇÏöíÇ

ÝÃäÊö ÇáÊí Åäú ÔöÆúÊö ÃóÔúÞóíúÊö ÚíÔóÊí
æÃäÊö ÇáÊí Åä ÔöÆúÊö ÃóäúÚóãúÊö ÈÇáíÇ

æÃäÊö ÇáÊí ãÇ ãöäú ÕóÏíÞò æáÇ ÚöÏÇð
íÑì äöÖúæó ãÇ ÃóÈúÞóíúÊö ÅáÇø ÑóËì áíÇ

ÃóãóÖúÑæÈóÉñ áíáì Úáì Ãäú ÃóÒõÑóåÇ
æãõÊøóÎóÐñ ÐóäúÈÇð áåÇ Ãäú ÊóÑÇäöíÇ

ÅÐÇ ÓöÑúÊõ Ýí ÇáÃÑÖö ÇáÝóÖÇÁ ÑóÃóíúÊõäí
ÃõÕÇäöÚõ ÑóÍúáí Ãäú íóãíáó ÍöíÇáöíÇ

íóãíäÇð ÅÐÇ ßÇäÊú íóãíäÇð¡ æÅäú Êóßõäú
ÔöãÇáÇð íõäÇÒöÚõäí Çáåæì Úä ÔöãÇáöíÇ

æÅäøí áÃÓúÊóÛúÔí æãÇ Èíó äóÚúÓóÉñ
áÚóáøó ÎóíÇáÇð ãöäßö íóáúÞì ÎóíÇáöíÇ

åíó ÇáÓøöÍÑõ ÅáÇø Ãäø ááÓøöÍúÑö ÑõÞúíóÉð
æÅäøíó áÇ ÃóáúÝí áåÇ ÇáÏøåÑó ÑÇÞöíÇ

ÅÐÇ äóÍúäõ ÃóÏúáóÌúäÇ æÃäÊö ÃãÇãóäÇ
ßóÝì áöãóØÇíÇäÇ ÈÐößúÑÇßö åÇÏöíÇ

ÐóßóÊú äÇÑõ ÔóæúÞí Ýí ÝõÄÇÏí ÝÃóÕúÈóÍóÊú
áåÇ æóåóÌñ ãõÓúÊóÖúÑóãñ Ýí ÝõÄÇÏöíÇ

ÃáÇ ÃíøåÇ ÇáÑøßúÈõ ÇáíóãÇäõæäó ÚóÑøöÌæÇ
ÚáíäÇ ÝÞÏ ÃãÓì åæÇäÇ íóãóÇäöíÇ

ÃõÓÇÆöáõßõãú åáú ÓÇáó (äóÚãÇäõ) ÈóÚúÏóäÇ
æÍõÈøó ÅáóíúäÇ ÈóØúäõ äõÚúãÇäó æÇÏöíÇ

ÃáÇ íÇ ÍóãÇãóíú ÈóØúäö äóÚúãÇäó¡ åöÌÊõãÇ
Úáíø Çáåæì áãøÇ ÊóÛóäøóíúÊõãÇ áíÇ

æÃÈúßóíúÊõãÇäí æÓúØó ÕóÍúÈí¡ æáã Ãóßäú
ÃõÈÇáí ÏãæÚó ÇáÚíäö áæ ßäÊõ ÎÇáöíÇ

æíÇ ÃíøåÇ ÇáÞõãúÑíøóÊÇäö ÊóÌÇæóÈÇ
ÈöáóÍúäóíúßõãÇ Ëãø ÇÓúÌóÚÇ ÚóáøöáÇäöíÇ

ÝÅä ÃäÊãÇ ÇÓúÊóØúÑóÈúÊõãÇ¡ Ãæ ÃóÑóÏúÊãÇ
áóÍóÇÞÇð ÈÃØáÇáö (ÇáÛÖì) ÝÇÊúÈóÚÇäöíÇ

ÃáÇ áíÊó ÔöÚúÑí ãÇ áöáóíáì æãÇ áíÇ
æãÇ ááÕøöÈÇ ãä ÈÚÏ ÔóíúÈò ÚóáÇäöíÇ

ÃáÇ ÃíåÇ ÇáæÇÔí Èáíáì¡ ÃáÇ ÊóÑì
Åáì ãóä ÊóÔíåÇ Ãæ Èöãóä ÌöÆúÊó æÇÔöíÇ

áÆäú ÙóÚäó ÇáÃÍúÈÇÈõ íÇ Ããøó ãÇáößò
ÝãÇ ÙóÚóäó ÇáÍõÈøõ ÇáÐí Ýí ÝõÄÇÏöíÇ
ãõÚóÐøöÈóÊí¡ áæáÇßö ãÇ ßäÊõ åÇÆãÇð
ÃÈíÊõ ÓóÎíäó ÇáÚíäö ÍóÑøóÇäó ÈÇßöíÇ

ãõÚóÐøÈÊí¡ ÞÏ ØÇáó æóÌúÏí æóÔóÝøóäí
åæÇßö¡ ÝíÇ ááäøÇÓö Þóáøó ÚóÒÇÆöíÇ

æÞÇÆáóÉò æÇÑóÍúãóÊÇ áöÔóÈÇÈöåö
ÝÞáÊõ: ÃóÌóáú æÇÑóÍúãóÊÇ áöÔóÈÇÈöíÇ

æóÏöÏúÊõ Úáì ØíÈö ÇáÍíÇÉö áæ Çäøåõ
íõÒÇÏõ ááíáì ÚõãúÑõåÇ ãöä ÍóíÇÊöíÇ

ÃáÇ íÇ ÍóãÇãÇÊö ÇáÚöÑÇÞö ÃóÚöäøóäí
Úáì ÔóÌóäí¡ æÇÈúßöíäó ãöËúáó ÈõßÇÆöíÇ

íÞæáæäó áíáì ÈÇáÚöÑÇÞö ãóÑíÖóÉñ
ÝíÇ áíÊäí ßäÊõ ÇáØøóÈíÈó ÇáãõÏÇæöíÇ

ÊóãõÑøõ ÇááíÇáí æÇáÔøåæÑõ¡ æáÇ ÃÑì
ÛóÑÇãí áåÇ íóÒÏÇÏõ ÅáÇø ÊóãÇÏ ö
__________________
i
26 décembre 2007 21:03
Citation
fahd1253 a écrit:
Salam tt l'monde les gens et mebrouk 3idkom winking smiley

Voici pr vous le dernier poème que je viens d'écrire tt expressément à l'attention d'un être cher à mon coeur, unique en son genre ... J'espère qu'il vous plaira, et j'attends vos commentaires, comme j'ai tjrs pu compter dessus jusqu'à maintenant ! Bonne lecture ! smiling smiley



" Au cours d’un début de soirée propice au règne de la magie des sentiments,
J’errais avec quiétude au milieu d’une roseraie aux charmes infinis ;
L’automne était là, invité sans délai, avec sa nostalgie et ses vents
Qui balayaient d’une extrême et adroite délicatesse les amas de feuilles brunies.

Fidèle au serment de l’âme conquise, don du Très-Haut aux passionnés,
Je songeais à une colombe à l’apparat d’une sublime et vive blancheur,
Un être unique, cher à mon cœur, pour qui le mot Amour fut inventé,
Un astre, une étoile autour de laquelle mon monde gravite en toute heure.

La Vie, ce trésor, me demandai-je, a si bellement été insufflée pour une raison établie,
Un objectif aux fins mystiquement occultées que seuls ressentent les rares avisés,
Lorsque, dans leurs cœurs, se fondent l’incarnat du sang et le blanc qui prémunit,
Lorsque passion et candeur les emplissent à jamais d’un rose élixir de sensualité.

L’esprit de l’adorateur est enraciné à l’Amour comme l’est tout arbre à sa Terre ;
Ce dernier naît et croît en protection, nourri par un souci élémentairement sain ;
Celui de le voir un jour mûrir et produire sa sève, larmes de ressentis primaires
Que son cœur esclave verse, donnant des fruits d’amour, meilleurs de jour en lendemain.

Le langage des fleurs est lui aussi unanime devant la majesté de l’hommage rendu ;
C’est en admirateur inné de l’infortuit, en m’approchant, que je pus m’en rendre compte ;
J’ai alors prêté oreille attentive aux murmures d’un groupe de fleurs ingénues
Qui parlaient avec envie de leur reine à toutes, jalousement, sans la moindre honte.

Je les entendais à son égard bavarder certains de ses nobles caractères remarqués,
Réunies tout au moins par la parole à évoquer celle qui les subjugue tant ;
Elles s’interrogeaient avec intrigue sur ce qui pouvait bien d’eux la distinguer,
L’élevant sur ordre du Créateur à un rang jamais atteint par quiconque auparavant

« Voyez, leur dis-je, mesdemoiselles combien profane en amour pour elle je suis ;
Voyez comment l’agréable épreuve d’un tel état m’occupe pour des fois énièmes ;
Comment celui qui a goûté à l’Amour peut plaindre l’aliéné séduit ?
Comment blâmer celui qui, à chaque moment, dit à sa Rose "Je t’aime" ? »

J’eus alors l’occasion de les inviter, de les inciter à éprouver l’amour saisissant,
Qui, harmonieusement, se conjugue avec leur fragrance et leur beauté, esquisse de Paradis,
Car l’Amour embellit les dotations et les sens, les rendant pour toujours rayonnants,
Car cette rose qui aime est ma raison de vivre, mon plaisir, ma chance, ma vie "... eye rolling smiley





Je t'aiiiiiiiime 7biba diali ... In loveIn love

Clap comme à l'accoutumé, tes écrits sont forts bien faits Tbark Allah 3lik akhoya Clap
[center]Une seule et unique :zen: I S L A H :zen: [/center]
f
24 janvier 2008 18:07
Salam à tt l'monde les geeeeeens ! smiling smiley

A la femme de ma vie, ma chérie que j'aime de tt mon coeur, à l'être cher, à ma lune qui brille sans jamais se coucher, à mon soleil qui, de sa douce et tendre chaleur, fait si lentement fondre mon coeur pour se mélanger à mon âme amoureuse et passionnée par la femme de ma vie ; à mon étoile, ma chance, ma vie ... In loveIn love



" Ce fut un Vendredi, jour saint chez la meilleure des communautés ;
Les Anges régnaient sur cette soirée empreinte d'une atmosphère autre,
La nuit où mon unique étoile s'éleva au loin pour de nouveau briller,
La nuit de la révélation fidèlement réitérée par deux coeurs apôtres.

Des vents danseurs se levèrent, dissipant d'un tourbillon les nuages amassés ;
Ainsi put reprendre l'envol des sentiments qui à elle me liaient,
Ivresse du sobre, humilité de l'orgueilleux au coeur maintenant gouverné
Par un amour ardent, un serment éternel, pour toujours, à jamais.

Couronnes éphémères d'une passion sans égal par son désir brûlant parachevéé,
Les rosaces fleuries du bonheur ornent maintenant mon âme et la réconfortent ;
Chaque réveil en pensant à elle me rappelle un soleil qui jamais ne s'est couché
Tant la beauté de ce qu'elle évoque en moi est extraordinaire, revée, puissante, forte.

Les larmes translucides et salées qui baignaient mon visage de tristesse
Se sont transformées en encre colorée pour louer l'être cher par quelques écrits,
En sang pour inonder mon coeur et avec vie le faire battre sans cesse
Pour cette merveille de la Création, ma princesse à la royauté accomplie.

Un regard de cristal aux teintes d'ébène massive, précieuse et si fragile ;
De radieux contours dessinant ces pommettes sur lesquelles mes lèvres fondent ;
Cette bouche parfaitement façonnée qui aime les mots jugés par la pensée utiles ;
Tout, vraiment tout en elle fait ma richesse, ma joie, ma liesse, mon monde.

Que plus jamais ne s'éteigne ce sourire de sa douce et paisible figure ;
Que plus jamais aucune affliction ne vienne en éloigner la lumière ;
Car c'est toi que j'aime, toi et toi seule, par Dieu, sur mon honneur, je le jure,
Aujourd'hui, demain, tout le temps, chaque fois, toujours encore plus qu'hier ... "




Je t'aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime 7biba diali ... In loveeye rolling smiley



Modifié 2 fois. Dernière modification le 24/01/08 18:07 par fahd1253.
o
25 janvier 2008 23:57
Citation
fahd1253 a écrit:
Salam à tt l'monde les geeeeeens ! smiling smiley

A la femme de ma vie, ma chérie que j'aime de tt mon coeur, à l'être cher, à ma lune qui brille sans jamais se coucher, à mon soleil qui, de sa douce et tendre chaleur, fait si lentement fondre mon coeur pour se mélanger à mon âme amoureuse et passionnée par la femme de ma vie ; à mon étoile, ma chance, ma vie ... In loveIn love



" Ce fut un Vendredi, jour saint chez la meilleure des communautés ;
Les Anges régnaient sur cette soirée empreinte d'une atmosphère autre,
La nuit où mon unique étoile s'éleva au loin pour de nouveau briller,
La nuit de la révélation fidèlement réitérée par deux coeurs apôtres.

Des vents danseurs se levèrent, dissipant d'un tourbillon les nuages amassés ;
Ainsi put reprendre l'envol des sentiments qui à elle me liaient,
Ivresse du sobre, humilité de l'orgueilleux au coeur maintenant gouverné
Par un amour ardent, un serment éternel, pour toujours, à jamais.

Couronnes éphémères d'une passion sans égal par son désir brûlant parachevéé,
Les rosaces fleuries du bonheur ornent maintenant mon âme et la réconfortent ;
Chaque réveil en pensant à elle me rappelle un soleil qui jamais ne s'est couché
Tant la beauté de ce qu'elle évoque en moi est extraordinaire, revée, puissante, forte.

Les larmes translucides et salées qui baignaient mon visage de tristesse
Se sont transformées en encre colorée pour louer l'être cher par quelques écrits,
En sang pour inonder mon coeur et avec vie le faire battre sans cesse
Pour cette merveille de la Création, ma princesse à la royauté accomplie.

Un regard de cristal aux teintes d'ébène massive, précieuse et si fragile ;
De radieux contours dessinant ces pommettes sur lesquelles mes lèvres fondent ;
Cette bouche parfaitement façonnée qui aime les mots jugés par la pensée utiles ;
Tout, vraiment tout en elle fait ma richesse, ma joie, ma liesse, mon monde.

Que plus jamais ne s'éteigne ce sourire de sa douce et paisible figure ;
Que plus jamais aucune affliction ne vienne en éloigner la lumière ;
Car c'est toi que j'aime, toi et toi seule, par Dieu, sur mon honneur, je le jure,
Aujourd'hui, demain, tout le temps, chaque fois, toujours encore plus qu'hier ... "




Je t'aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime 7biba diali ... In loveeye rolling smiley


perplexe Rien compris , et je plains cette pauvre 7biba..evil
f
12 mai 2008 17:23
Salam à tous ! smiling smiley

A vous, mon dernier poème que, j'espère, vous apprécierez ... J'attends vos commentaires et vos avis ! smiling smiley



" Ce soir, une désinvolte magie s’est emparée de mes sentiments démunis
Après rude bataille livrée à ce misérable cœur lâche qui a osé résister ;
Les voici désormais soumis aux impartiales Lois de l’amour tendre, inédit,
Assiégeant mon âme au moyen d’une passion comme toujours acharnée.

Ce soir, une aube nocturne embaume de musc le Ciel aux milles feux sublimés,
Phares d’espérance, repères aux Anges du Tout-Puissant pour leur mission ardue ;
Bénir d’une étoile respective chaque amoureux n’est en effet pas chose aisée
Lorsqu’à leurs yeux aucune n’égale la sienne, la seule, l’unique, l’élue.

Ce soir, comme tous les soirs, les étoiles brillent de leur éclat le plus beau
En attendant que se lève d’un instant la Lune de mes délices à la lumière infinie ;
Alors d’un mouvement elles s’éclipseront pour la laisser régner, au loin, là-haut,
Par révérence pour la Céleste inspiration qui de charme et de beauté l’a anoblie.

Ce soir, des échappées souveraines commandent les désirs de mon esprit rêveur
Dans lequel somnole l’insatiable ivresse d’une tant souhaitée compagnie,
La garante présence auprès de lui de sa merveille au corps rédempteur
Qui, chaque matin, de ses doux attraits le réveille en ces mots : « Bonjour mon chéri ».

Ce soir, vol de nuit dans les confins des antres obscurs d’un passé révolu
A la rencontre d’un ego autrefois indifférent aux cris de l’Amour réprimé,
Honteux de son méfait, abject, craintif, destitué, devant la Raison dépourvu ;
Pourquoi tant de temps, ô affection sacrée, as-tu mis pour m’arriver ?

Ce soir, je pleure, de tristesse, de peine, de douleur, de joie, de bonheur, peut-être,
Et mes larmes de cristal dotent mes infantiles illusions d’une fascinante étreinte,
Celle que l’entrain du cœur ne peut expliquer puisque ne pouvant pas paraître,
Celle que l’Âme dans sa candide bonté a choisi pour foi, ultime escale atteinte

Ce soir est encore un soir dépensé en ton absence, sans ton réconfort,
Sans ton parfum, ton sourire que le Soleil Couchant t’envie à en rougir,
Sans tes mots pour me bercer tendrement, me cajoler ou me maudire à tort ;
Faute de n’être digne de mériter tant d’attention, je préfèrerais partir.

Ce soir, donc, je subirai l’exil avec honneur pour toi, et, sans retour, je m’en irai,
Avec dans mon départ les regrets d’un espoir dépravé, intime, orphelin ;
Mon prodigieux songe, je tenterai de le faire renaître, pour de nouveau rêver ;
Patience, me dirai-je dans la conscience de l’effort, patience ; meilleur sera demain … " smiling smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/05/08 17:23 par fahd1253.
f
18 juin 2008 14:31
Salam à tous !


Mon dernier poème pr vous, yabiladiens et yabiladiennes, qui, je l'espère, vous plaira inchalah ... bessa7a smiling smiley



" Un Ange passe, dans l’agréable fraîcheur d’une nuit sélène toute de lumière habillée,
Ascendant bienveillant de l’illustre miséricorde du Tout-Puissant au genre humain ;
Sur ses ailes blanches, un message, une noble nouvelle à mon attention destiné :
« Créature de l’Eternel, chante, voici l’agrément d’excellence, te voilà aimé, enfin ! »

Un Ange passe, condescendance magnanime du Ciel à l’image des beaux sentiments,
Acteurs de l’affection déraisonnée que je témoigne à mon unique princesse,
A l’être cher dont chaque souvenir ravive en mon coeur la flamme de l’émoi frémissant,
Celle pour qui mon amour croît par-delà les monts et les extrêmes, sans fin, sans cesse.

Un Ange passe, se conglomèrent derrière lui les nuages en une fabuleuse ellipse colorée,
Conférant aux colombes du crépuscule les teintes purifiées de la brillance du Couchant,
Une révérence renouvelée à l’amour de ma vie, intime, culte de mes pensées,
Ma reine de charme à l’exquise prestance que tout amoureux m’envie tant.

Un Ange passe, miroitante augure de l’entremise divine aux êtres qui s’aiment pour toujours ;
De son passage naît un léger vent dispersant dans l’air la fragrance des fleurs d’oranger ;
A leur tour les étoiles du soir s’embellissent de leur somptuosité la plus glamour ;
L’Ange leur a annoncé dans l’horizon la levée prochaine de ma Lune, ma destinée.

Un Ange passe, redoutable ivresse des cœurs surmenés par la passion des ressentis,
Epaves d’une rare bonté que l’âme exalte en continu pour l’être que j’adore,
Pour qu’aucune pensée, aucun vestige n’entrave la conscience ni ne l’ennuie
Par un intérêt autre que l’état de celle qui l’occupe, ma dulcinée, mon trésor.

Un Ange passe, insuffle la quiétude aux vagues de mon océan de désir troublées par l’écume
Qui se forme lorsqu’elles meurent en cognant les impressionnants récifs de mon cœur comblé ;
De la sorte, chaque « je t’aime » qu’elle prononce retentit en moi, vrai, sans amertume,
Sans pitié pour la violence du choc devant le précieux plaisir du moment et son intensité.

Un Ange passe, et tout s’arrête pour admirer son allègre marche au dévolu si gracieux,
Des regards ahuris, sidérés face à la beauté du Monde que son élan entraîne,
Une magnificence dont l’unique source demeure mon être aimé, don de Dieu
Que l’Ange dans son céleste périple fait ressentir aux autres d’une foi pérenne.

Un Ange passe, réalité impossible, irréelle perception des sens, intrépide dans l’instant,
Assurance d’un amour infini, fidèle et sincère à ma princesse à l’image contumace ;
Le poète a trop rêvé, certains diront, et ses songes entrecroisent l’existence de maintenant ;
Il répondra, serein : « Pourtant, ne vous en déplaise, regardez, là-bas, un Ange passe … » " smiling smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/06/08 14:31 par fahd1253.
p
6 juillet 2008 02:33
Un amour à distance...


J'ai fait un doux rêve où tu venais me retrouver,
Ta bouche si tendre venait déposer sur mes lèvres un doux baiser,
Tes mains si parfaites caressaient mon visage,
Tu fermais les yeux pour encrer en ton souvenir mon image...
J'ai pris tendrement ta main et je l'ai placée sur mon coeur
Et je sentais les battements puissants qui faisaient vibrer tout mon corps.
Nos âmes en fusion recouvraient nos corps de sueur
Et nous nous abandonnions pour une nuit à notre fureur...
Ta peau était si douce que mes mains ne pouvaient s'empêcher de la toucher,
Ton regard était si profond que mes yeux éblouis par tant de beauté
Se perdaient dans les profondeurs dans ton être si parfait .
Je t'avais enfin retrouvé toi mon petit ange tant recherché...
Mais je savais que tu partirais à nouveau là-bas...
Là-bas, à des kilomètres de moi...
Et il ne me reste que l'écran de mes pensées
Pour revoir l'image de mon petit ange tant aimé...

s
7 juillet 2008 05:42
Le petit garcon aux calecons bouffans

Un petit garcon,
petit tout petit
pas plus haut
qu'un bouchon,
avec des petits
calecons bouffans,
joue dans la foret,
avec un furet.
il est bien joyeux,
ce petit garcon,
en calecons bouffans,
il rit, il chante,
les animaux de la foret,
sont tres heureux,
de le voir si joyeux,
les oiseaux se joignent a lui
et c'est une belle cacophonie.
les biches le regardent,
tendrement
c'est leur petit enfant,
il a grandit dans la foret,
ou bebe il a ete abandonne,
tous les animaux l'ont adopte,
les biches l'ont allete,
les lions l'ont protege.
avec les lionceaux il a joue',
les chimpanzes lui ont appris,
a grimper et a sauter,
d'un arbre a l'autre,
des lianes se balancer,
sans rien se casser.
le renard lui a appris
les milles ficelles,
de son metier,
des fromages attraper.
avec les poissons de la riviere,
il a appris a nager,
avec eux il s'est baigne.
oui ils etaient tous fiers,
de leur enfant,
tous ces papas,
et ces mamans,
beaucoup d'amour,
jour apres jour,
ils lui ont donne
les animaux de la foret.
oui il est heureux,
le petit garcon
pas plus haut
qu'un bouchon
aux calecons
bouffans.

saadit1
L
8 juillet 2008 15:02
salam,
bladi ya bladi nti li fik lkheir a JAMIS
JOUTAIME ti peu pa savoir, tu restera gravi
dan mon coeur i dans ma tite pour toujours
Moi et toi c'est le grand amour In love
ti mis racines, la terre dou mé ancetres
c'est sur toi kun jour je sui naitre lol( pour faire la rime ptdr)
tu es loin de moi mai jou pense a toi
tkt pa moi et toi sa sera toujour la joie
Made in tcha9liba => pa de contre façon sivoupli Welcome
s
8 juillet 2008 15:31
Le jour où je t'ai vu
Je n'ai pas su résisté
Tu étais à croquer
Si j'avais seulement su

Toi si aguichante
Si belle à voir
De loin, de près ou en pente
Le matin et le soir

Vraiment quand je t'ai vu
Je me suis laissé tenté
Le regard j'ai glissé
Et le reste est allé

Toi si plaisante
Parfois tendre, parfois amusante
Un régal pour mes yeux
Tu fais tant d'envieux

Vraiment quand je t'ai vu
Je n'ai pu me retenir
Je t'ai tout simplement attrapé
Et en moins de 2 je t'ai bouffé
Ma cacahuète sucré
p
9 juillet 2008 20:12
Je sècherai tes larmes
Pour que tu ne baisses pas les armes

Je garderai ton sourire
Pour ne plus jamais le laisser mourir

Je t'ouvrirai les yeux
Pour ne plus regarder qu'eux

Je caresserai ta joue
Pour ne plus te voir à genoux

Je ferai sortir ta voix
Pour ne plus entendre que toi

Je te prendrai la main
Pour que tu m’emmènes jusqu'a demain

Je goûterai à tes lèvres
Pour enfin réaliser mon rêve

Emmène moi au-delà des cris
C’est avec toi que je veux finir ma vie
s
21 juillet 2008 15:02
Les pros de la poésie, venz faire un tour ici

Méga super extra concours formidable du Ramadan 2008

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