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En Compagnie de l’Élu : L’Hégire (2/2)
s
18 juillet 2006 21:37
En Compagnie de l’Élu
L’Hégire (2/2)

source : [www.islamophile.org]
vendredi 30 juin 2006

Le matin du quatrième jour, le guide `Abd Allâh Ibn Urayqit leur apporta leurs montures. Les deux compagnons partirent en compagnie de `Âmir Ibn Fuhayrah et du guide dilite [1]. Ce dernier les conduisit au Sud de la Mecque c’est-à-dire par le chemin littoral. [2]

Sur le trajet, le convoi béni passa par deux tentes appartenant à Umm Mi`bad Al-Khuzâ`iyyah, une femme solide dotée d’un caractère fort, qui s’asseyait à l’entrée de sa tente et offrait nourriture et boisson aux passants. Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — lui demanda si elle avait quelque chose à leur offrir. Elle répondit : « Par Allâh, si j’avais la moindre chose, je ne vous refuserais pas l’hospitalité. Mais la chèvre n’a jamais connu le bouc et la sécheresse a été intense cette année. » Voyant une chèvre à côté de la tente, le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — lui demanda : « Qu’est-ce que cette chèvre, Umm Mi`bad ? » Elle expliqua : « Une chèvre trop fatiguée pour suivre le troupeau. » Il lui demanda : « Donne-t-elle du lait ? » Elle répondit : « Elle est bien trop fatiguée pour ça. » Il lui demanda : « Me permettrais-tu de la traire ? » Elle répondit : « Oh que oui, par mes père et mère, si tu lui trouves quelque chose à traire, trais-la. » Alors, le Prophète — paix et bénédictions sur lui — passa sa main sur son pis, mentionna le Nom d’Allâh et fit des invocations. Sur ce, le lait gicla du pis de la chèvre qui venait de s’emplir. Le Prophète demanda un grand bol susceptible d’étancher la soif d’un groupe de gens. Il y traya la chèvre jusqu’à ce que la mousse arrive au bord du bol. Il tendit le lait à Umm Mi`bad qui but à satiété, puis le tendit à ses compagnons qui burent à satiété également. Puis il but à son tour et traya de nouveau la chèvre remplissant le bol qu’il laissa à leur hôtesse, après quoi le convoi se remit en route. Peu après, son époux Abû Mi`bad rentra, conduisant devant lui un troupeau de chèvres frêles qui peinaient à aligner les pas. Il s’étonna de trouver du lait : « D’où vient ce lait, alors que la chèvre n’a pas connu le bouc et qu’il n’y a aucune laitière à la maison ? » Elle répondit : « Par Allâh, je n’y suis pas pour grand chose, si ce n’est qu’un saint homme est passé par chez nous, etc. » Il dit : « Par Allâh, je crois bien que c’est l’homme que les Qurayshites recherchent. » [3]

Le convoi béni poursuivit son chemin. À chaque fois qu’ils croisaient quelqu’un, il demandait à Abû Bakr : « Qui est cet homme qui marche devant toi ? » Il répondait : « Il m’indique le chemin. » Si bien qu’on pensait qu’il lui indiquait la route, alors qu’en réalité il le guidait vers le bien. [4]

Lorsque les Qurayshites se rendirent compte du départ du Prophète — paix et bénédictions sur lui —, ils promirent une récompense de cent chameaux à quiconque le tuerait ou le capturerait. À ce sujet, Surâqah Ibn Ju`shum raconta : « Les émissaires des mécréants Qurayshites arrivèrent et annoncèrent une récompense équivalente au prix du sang à quiconque tuerait ou capturerait le Prophète — paix et bénédictions sur lui — et Abû Bakr. Pendant que j’étais assis dans une assemblée de mon clan, les Banû Mudlij, un homme des nôtres entra disant : “Surâqah, je viens d’apercevoir un convoi près du littoral. Je pense qu’il s’agit de Mohammad et de ses compagnons.” » Surâqah poursuivit : « Je sus que c’était eux. Mais je répondis : “Mais non, tu as dû voir untel et untel que nous avons envoyés en éclaireurs.” Je restai assis quelque temps dans l’assemblée, puis me levai et allai à l’intérieur où j’ordonnai à ma servante de sortir mon cheval, en passant par derrière une colline, et de m’y attendre. Puis je saisis ma lance et sortis par l’arrière de la maison, maintenant ma lance baissée jusqu’à ce que j’eus atteint ma monture. J’enfourchai mon cheval et levai ma lance afin qu’elle me donne de l’allant. Au moment où j’étais sur le point de rejoindre le convoi, mon cheval trébucha et je fus désarçonné. Je me levai, saisis mon carquois et tirai au sort pour savoir si je m’en prenais à eux ou non. La réponse fut contraire à mes aspirations. Je remontai à cheval — contrairement à ce qu’indiquait le tirage — et les poursuivis jusqu’à ce que j’entende la récitation du Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — qui ne se retournait point tandis qu’Abû Bakr se retournait fréquemment. Mais les pattes avant de mon cheval s’enlisèrent jusqu’au genoux et je tombai à terre de nouveau. Puis, sur mes ordres, mon cheval se releva. Aussitôt que ses pattes se furent dégagées, et que le cheval se redressa, une fumée éblouissante sortit de l’emplacement de ses pattes. Je tirai au sort de nouveau et le tirage fut de nouveau défavorable. J’appelai le convoi lui signifiant que je voulais la paix, alors ils s’arrêtèrent. Je remontai à cheval et les rejoignis. Vu la manière dont je fus empêché de les rejoindre jusqu’alors, je compris que le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — allait triompher. Je lui dis : “Ton clan offre le prix du sang en récompense (pour ta capture mort ou vif).” Puis, je les informai des complots ourdis contre eux. Je leur proposai des vivres mais ils ne prirent rien. Ils ne me demandèrent rien, si ce n’est que le Prophète me dit : “Tais notre affaire.” Je lui demandai de m’écrire un sauf-conduit. Alors il ordonna à `Âmir Ibn Fuhayrah de le rédiger sur un morceau de cuir tanné, puis le Messager d’Allâh le signa. » [5]

À médine, ayant appris que le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — avait quitté la Mecque, les musulmans sortaient l’attendre à Al-Harrah [6] tous les matins jusqu’à midi puis rentraient chez eux à cause de la chaleur. Un jour après qu’ils furent retournés chez eux après une longue attente, un Juif, qui était monté sur un bâtiment élevé pour vaquer à quelque affaire, aperçut au loin le Messager d’Allâh et ses compagnons marchant sans relâche. Il cria de toutes ses forces : « Ô Arabes, voici votre chef que vous attendiez ! » Excités par la nouvelle, les musulmans saisirent leurs armes et allèrent à la rencontre du Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — à l’extrémité d’Al-Harrah. Le Prophète vira sur la droite, suivi par les musulmans, et fit halte chez les Banû `Amr Ibn `Awf. C’était un lundi du mois de Rabî Ier. Abû Bakr se leva à la rencontre des gens tandis que le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — resta assis en silence. Les Ansarites qui n’avaient jamais rencontré le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — commencèrent à saluer Abû Bakr laissant le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — au soleil. Mais Abû Bakr alla vers lui et lui fit de l’ombre avec sa cape. Sur ce, les gens surent qui était le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui —. Celui-ci demeura chez les Banû `Amr Ibn `Awf dix nuits et fonda « la mosquée fondée sur la piété », plus connue sous le nom de Mosquée de Qubâ’, où le Messager — paix et bénédictions sur lui — accomplit la prière. [4]

Par ailleurs, `Alî Ibn Abî Tâlib retourna les dépôts à qui de droit après le départ du Prophète — paix et bénédictions sur lui —, comme celui-ci le lui avait ordonné. Puis il émigra à son tour vers Médine, marchant la nuit et se mettant à l’abri le jour, quatorze nuits durant. Il arriva enfin les pieds tuméfiés et ensanglantés. Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — l’accueillit, le serra dans ses bras et l’embrassa. Voyant ses pieds, ses yeux débordèrent de larmes. Sur ce, il passa ses mains sur les pieds de `Alî Ibn Abî Tâlib et versa de l’eau dessus, si bien qu’ils guérirent grâce à la bénédiction reçue au contact des mains du Prophète — paix et bénédictions sur lui —.

Lorsque le Prophète — paix et bénédictions sur lui — décida de quitter Qubâ’ [7], il monta sur sa chamelle, Al-Qaswâ’, et partit à destination de Médine qui sortit au grand complet pour l’accueillir. Tous étaient impatients de le voir et de le contempler. Ils avaient en effet cru en lui et attaché foi (en son message) sans jamais l’avoir vu ni entendu. Ils avaient attendu pendant si longtemps le moment où il émigrerait pour les rejoindre et vivre parmi eux... Et le voici arrivant après qu’Allâh le lui eut permis. Chaque médinois caressait l’espoir d’avoir l’honneur de lui offrir l’hospitalité et d’être à son service...

Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — arriva sur sa chamelle qui se dandinait paisiblement. Il avait lâché sa bride et la laissait avancer sans la diriger. Les gens profitaient de ce fait pour saisir le bride de la chamelle disant : « Ô Messager d’Allâh, viens donc au soutien nombreux, au matériel, et à l’invulnérabilité. » Il répondait : « Lâchez-la, elle est commandée. » Alors les gens obtemperaient lâchant la bride promptement. Ainsi le convoi béni passa-t-il tour à tour par la tribu des Banû Sâlim Ibn `Awf, par les Banû Bayâdah et par les Banû Sâ`idah. À chaque fois, les tentatives de garder le Prophète se répétaient. Puis il passa par les Banû `Adiyy Ibn An-Najjâr qui caressaient l’espoir d’obtenir cet insigne honneur, car ils étaient ses oncles maternels et étaient donc les mieux placés pour le recevoir. Ils dirent : « Viens chez tes oncles maternels, ô Messager d’Allâh... » Il répondit — paix et bénédictions sur lui — : « Laissez-la, car elle est commandée. » Arrivant aux maisons des Banû Mâlik Ibn An-Najjâr, la chamelle s’agenouilla spontanément, avant de se relever, de faire un tête-à-queue et de baraquer. Un homme sortit de la foule, s’empara des bagages du Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — et les emmena dans sa maison. [8] Cet homme n’était autre que Khâlid Ibn Zayd Ibn Kulayb, plus communément appelé Abû Ayyûb Al-Ansârî ; il eut beaucoup de chance du fait que la chamelle avait baraqué près de chez lui. Les Banû Mâlik Ibn An-Najjâr entourèrent le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — exultant de bonheur parce qu’il allait résider chez eux, chacun l’invitant à venir chez lui. El le Prophète de répondre : « L’homme ne peut que suivre ses bagages... » Ainsi Abû Ayyûb Al-Ansârî gagna-t-il le droit de recevoir le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — chez lui, le temps que la mosquée et les appartements des Mères des Croyants soient construits.

La chamelle avait baraqué dans un terrain qui servait à faire sécher les dattes. Il appartenait à Suhayl et Sahl, deux orphelins sous la garde de As`ad Ibn Zurârah. Lorsque sa chamelle baraqua à cet endroit, le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — dit : « Ici sera notre résidence avec la volonté d’Allâh. » Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — demanda aux deux garçons de venir et leur fit une offre pour leur terrain afin d’y construire sa mosquée. Ils répondirent : « Nous préférons plutôt t’en faire don, ô Messager d’Allâh. » Mais le Messager d’Allâh refusa ce don, puis il eut raison de leur insistance et leur acheta le terrain, où il construisit sa mosquée. Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — mit la main à l’ouvrage, transportant lui-même les blocs de pierre tout en scandant :

Ces faix ne sont pas comme les faix de Khaybar § Ceux-ci, Seigneur, sont meilleurs et plus purs.

Et aussi :

La rétribution est celle du Jour dernier § Fais donc miséricorde aux Ansâr et aux Émigrés. [4]

On construisit trois appartements pour les Mères des Croyants, un pour Dame `Â’ishah, un pour Dame Sawdah Bint Zam`ah et un pour Dame Umm Habîbah Bint Abî Sufyân — qu’Allâh les agrée —, les femmes que le Prophète — paix et bénédictions sur lui — épousa après le décès de Dame Khadîjah — qu’Allâh l’agrée —. À l’époque, Khawlah Bint Hakîm, l’épouse de `Uthmân Ibn Madh`ûn, alla voir le Prophète et lui dit : « Ô Messager d’Allâh, ne devrais-tu pas reprendre une épouse ? » Il demanda : « Qui par exemple ? » Elle répondit : « Si tu le souhaites, ce peut être une vierge, et si tu le souhaites, ce peut être une femme ayant déjà été mariée. » Il demanda : « Qui serait la vierge ? » Elle répondit : « La fille de la créature d’Allâh qui t’est la plus chère, `Â’ishah la fille d’Abû Bakr. » Il demanda : « Et la femme ayant déjà été mariée ? » Elle répondit : « Sawdah Bint Zam`ah, elle a cru en toi et a suivi tes enseignements. » Il lui dit : « Va demander leur main de ma part. » [9]

En ce qui concerne Dame `Â’ishah — qu’Allâh l’agrée —, notre maître Jibrîl la montra en songe au Prophète — paix et bénédictions sur lui — sur fond de soie verte et lui dit : « Mohammad, elle sera ton épouse ici-bas et dans l’au-delà. » [10] Alors le Prophète — paix et bénédictions sur lui — demanda sa main à son père...

Pour ce qui est de Dame Sawdah Bint Zam`ah — qu’Allâh l’agrée —, Dame Khawlah Bint Hakîm lui rendit visite et lui dit : « Sais-tu quelle manne et quelle bénédiction Allâh t’a octroyée ? » Elle lui demanda : « De quoi s’agit-il ? » Elle répondit : « Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — m’a envoyé demander ta main. » Elle répondit : « Je suis d’accord. Rentre en parler à mon père. » Son père dit : « Un homme à la hauteur et noble. Qu’en pense ton amie ? » Elle répondit : « Cela lui plaît. » Sur ce, il lui accorda sa main. [11]

Quant à Dame Umm Habîbah Bint Abî Sufyân — qu’Allâh l’agrée —, son mari était décédé pendant qu’ils étaient en Abyssinie. Alors le Messager — paix et bénédictions sur lui — écrivit au Négus lui demandant sa main. Le Négus convoqua les émigrés (musulmans) et leur annonça : « Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — m’a écrit demandant la main d’Umm Habîbah Bint Abî Sufyân. J’ai répondu favorablement à la requête du Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — et, en sus, j’ai versé (à la mariée) une dot de quatre cents dinars. » [12]

Une fois que le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — se fut installé chez Abû Ayyûb Al-Ansârî et que `Abd Allâh Ibn Salâm — l’un des rabbins et des savants juifs — en fut informé, ce dernier se rendit chez le Prophète et lui dit : « Je t’interrogerai sur trois choses que seul un prophète peut connaître... » Il poursuivit : « Quel est le premier signe annonciateur du Jour dernier ? Quelle est la première nourriture consommée par les habitants du Paradis ? Qu’est-ce qui fait qu’un enfant ressemble davantage à son père, ou à ses oncles maternels ? » Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — répondit : « Jibrîl m’en informa il y a quelque temps. » `Abd Allâh interjecta : « Parmi les anges, celui-ci est l’ennemi des Juifs. » Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — poursuivit : « Le premier signe annonciateur du Jour dernier est un incendie qui refoulera les gens d’Est en Ouest. La première nourriture consommée par les habitants du Paradis sera une excroissance de foie de baleine [13]. Quant aux traits de l’enfant, lorsque l’homme recouvre la femme et que son eau prévaut, l’enfant lui ressemblera ; si son eau à elle prévaut, il lui ressemblera. » Il répondit : « J’atteste que tu es le Messager d’Allâh. » Puis il ajouta : « Ô Messager d’Allâh, les Juifs sont des gens rusés. S’ils apprennent que j’ai embrassé l’islam avant que tu ne les interroges à mon sujet, ils me calomnieront auprès de toi. » Puis vinrent les Juifs, tandis que `Abd Allâh se cacha à l’intérieur de la maison. Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — leur demanda : « Quel est le rang de `Abd Allâh Ibn Salâm parmi vous ? » Ils répondirent : « Il est le plus savant parmi nous, et le fils de l’homme le plus savant parmi nous. Il est notre fine fleur, et le fils de notre fine fleur. » Le Messager d’Allâh — paix et bénédictions sur lui — leur demanda : « Que penseriez-vous s’il embrassait l’islam ? » Ils répondirent : « Qu’Allâh l’en préserve... » Sur ce, `Abd Allâh sortit et déclara : « J’atteste qu’il n’y a de divinité sinon Allâh et j’atteste que Mohammad est le Messager d’Allâh. » Ils dirent alors : « Il est le plus vil et le fils du plus vil... », et l’insultèrent. [14]
P.-S.
Traduit de l’arabe du livre de Sheikh Yâsîn Rushdî, Fî Rihâb Al-Mustafâ (En Compagnie de l’Élu), disponible en format PDF sur le site Mouassa.org.
Notes

[1] De la tribu des Banû Ad-Dîl. NdT.

[2] Rapporté par Al-Bukhârî dans son Sahîh dans le livre des baux.

[3] Conférer Zâd Al-Ma`âd d’Ibn Al-Qayyim.

[4] Rapporté par Al-Bukhârî dans son Sahîh dans le livre des mérites.

[5] Rapporté par Ahmad dans son Musnad dans le Musnad des Syriens et par Al-Bukhârî dans son Sahîh dans le livre des mérites.

[6] Al-Harrah est une localité à l’ouest de Médine.

[7] Qubâ’ est une localité dans les environs de Médine.

[8] Conférer la Sîrah d’Ibn Hishâm.

[9] Rapporté par Ahmad dans son Musnad dans le Musnad des Ansâr.

[10] Rapporté par Muslim et At-Tirmidhî avec un énoncé similaire, d’après `Â’ishah — qu’Allâh l’agrée —.

[11] Rapporté par Ahmad dans son Musnad dans la suite du Musnad des Ansâr.

[12] Conférer Al-Istî`âb d’Ibn `Abd Al-Barr.

[13] Le vocable hût désigne couramment les baleines, mais signifie classiquement, et dans certains dialectes du Maghreb, le poisson en général. NdT.

[14] Rapporté par Al-Bukhârî dans son Sahîh dans le livre des récits des Prophètes.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/07/06 21:38 par srnit.
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