J'écris un poème sur Victor Hugo qui soit disant se serait converti à l'islam trois ans avant sa mort... Mais j'arrive plus à me rappeler du nom en français qu'on donne au "meuble" depuis lequel les imames prèchent les vendredis...
Voilà, dit-on que mon génie se répand Insatiable comme une soif en Algérie Que connaissant tous les bédouins aguerris, Aux rides sans fin avant d'apercevoir Oran.
Ma verve poétique découle d'une source Lumineuse, intarissable, belle oasis De sagesse féconde qui épouse le tarse Et paume divine, entre Râ et Osiris.
Les mots au vent du Sahel crient joies À la vue de la verdure, de l'homme dur, Pour lui parler tout bas de cette foi Qu'il ira prêcher du haut du minbar !
Je ne suis qu'un simple homme, bon génie, À mes nouvelles, je fais cinq prières, La sixième pour les égarées, alors pris, Dans la tempête, tourments, sans repères.
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