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Comment ouvrir un salon de thé / chicha dans les regles
B
21 mai 2011 03:34
Bonjour a tous et a toutes!!!!!!!!!

Voila je souhaiterai ouvrir un salon de thé chicha dans une ville en france et jaurais aimer connaitre des personnes qui ont deja realisez se projet la vu que je suis pas du tous dans se domaine la actuellement.

Il y a beaucoup de contraintes et de difficultés ici et vu que c'est mon 1er projet j'aurais aimer avoir de l'aide pour ne pas qu'on me ferme mon commerce au bout de 6 mois.
j'aurais aimer des conseils surtout pour tous ce qui est des statuts juridique ( association, club privée, bars sans debit de boisson alcoolisée.....) et aussi pour les contraintes technique ( fournisseurs de deco et de materiels, fumoir, fournisseurs de consommables....)

Merci a tous de votre aide


PS: jai remarquez dans d'autres discussion que certaines personnes disent que c'est pas bien, que c'est hram et se permettait de juger ceux qui souhaite faire se type de commerce et j'aimerai ne pas recevoir de lecons de ces personnes la!!!!!!! merci
l
21 mai 2011 12:36
Je pense que Si c'est un "bar privé" tu y fais ce que tu veux presque.

Tu peux te fournir à métro c'est dans les moins cher, les moins contraignant.

Lorsque tu seras installé tu recevras une convocation...tu seras interrogé pour voir si tu n'est pas raciste ou autre...

Si tu fais des erreurs c'est pas grave tu as toujours un avertissement avant une amende ou autre. Il y a aussi une nouvelle version sans tabac, moins nocif ....


Voilà ce que j'ai trouvé :

On les croyait condamnés en France, et pourtant les bars à chicha n’ont pas dit leurs derniers mots. Depuis l’application de la loi anti-tabac, le 1er janvier dernier, l’Union des Professionnels du Narguilé milite activement pour que les fumoirs ne ferment pas. Afrik.com a mené l’enquête.

Rue St Maur à Paris. Un homme fume sa cigarette sur le trottoir. Il s’appelle Samy, il est le propriétaire du 111, un bar à narguilé [1]. Pour lui comme pour tous les autres patrons de ces établissements, le décret anti-tabac, en application depuis le 1er janvier 2008 en France, est un « un coup dur ». Cette nouvelle loi interdit de fumer dans tous les lieux publics « couverts et fermés », - bars, cafés, restaurants, hôtels et boîtes de nuit, les salons de narguilé -. Prétexte invoqué, la nuisance du tabac pour les non fumeurs. « Que ce décret s’applique pour un café d’accord mais pour les établissements comme les nôtres qui sont des fumoirs, c’est ridicule, c’est comme si on interdisait à un boulanger de vendre du pain », explique Samy. Pour lui, le narguilé représente 70 à 90 % de son chiffre d’affaire, dur dans ces cas là d’appliquer la loi surtout que ces propriétaires ne bénéficient pas comme les buralistes d’une indemnisation.

La consommation du narguilé moins nocive que la cigarette

Alors, on joue sur les mots pour légitimer l’ouverture des bars à chicha. « Ce décret concerne les cigarettes pour la nicotine mais pas pour les narguilés qui eux n’en contiennent pas », certifie Chames, propriétaire d’un bar à narguilé baptisé l’Eden. « La théorie qui consiste à faire croire que la consommation d’une pipe à eau serait équivalente à 20 cigarettes est complètement fausse », ajoute-t-il. Alors dans les salons de narguilé, les patrons continuent d’offrir leurs services à leur clientèle même s’ils encourent une amende. Médecins de la santé publique, agent de la salubrité des communes, gendarmes et policiers, tous sont habilités à verbaliser en cas d’infraction, de quoi déclencher une légère paranoïa même si les patrons se disent dans l’ensemble confiants. « Hier, j’ai croisé deux policiers, ils m’ont assuré qu’ils n’allaient pas nous surveiller. Maintenant je fais quand même attention quand quelqu’un franchit le seuil de mon établissement », explique Chames.

Chichas never die

135 euros pour le patron et 68 euros pour le client pris en flagrant délit d’inhalation de fumée toxique. A ce prix là, on pourrait croire que les consommateurs réfléchiraient à deux fois avant de s’aventurer dans un bar à chicha. Mais eux aussi font de la résistance, assis sur des fauteuils confortables, narguilé en main, ils savourent impassibles le tabac au goût de pomme, de menthe… Entre deux volutes de fumée, un habitué explique qu’il vient ici pour discuter et se détendre, c’est son petit « passe-temps à lui ». « Plein de gens nous soutiennent, la clientèle ne s’est pas réduite. Les médias ont annoncé notre mort, donc beaucoup de personnes s’arrêtent devant notre bar, dubitatifs. Pourtant, on est loin de vouloir mettre la clé sous la porte », déclare Chames. Lui et Samy, on choisit de rejoindre l’Union des Professionnels du Narguilé représenté par Bachi Elou.

Contre une cotisation annuelle de 81 euros, les patrons de bars à chicha sont assurés de se faire défendre. « On dispose de quatre cabinets d’avocats chargés de contester les amendes », explique Patrice, patron du Jumeihra et un des membres fondateurs de cette Union. « On pensait qu’avec Nicolas Sarkozy qui s’était opposé, lors de la convention de l’UMP pour la santé le 27 juin dernier, contre le décret anti-tabac, on ne risquait rien. Mais voilà, la loi est passée, donc on a créé ce syndicat », note Patrice. « Outre les amendes, des emplois aussi sont menacés », ajoute-t-il. La plupart des propriétaires de ces fumoirs ont investi et doivent encore rembourser leurs emprunts. Même si les patrons se montrent prudents, ils ne peuvent pas s’empêcher de croire que cette loi les vise personnellement. « On n’est dupe de rien, notre profession rassemble 95 % d’entrepreneurs français d’origine maghrébine. En gros, pour beaucoup, elle n’est qu’un regroupement d’arabes propriétaires de gourbis folkloriques », déplore Karim, patron de l’Oasis du désert. En dépit d’une loi anti-tabac pénalisante, qu’on se le dise, les bars à chicha ne sont pas prêts de partir en fumée…
s
19 janvier 2013 23:14
moi osi je kifreé ouvrire un bar a chicha mes je sai pas comment fair si tu peux me donnée desexplication stp
r
25 janvier 2013 03:29
bonsoir je relance un peu le debat je veux ouvrir un salon de the chicha je sait que c est mission impossible avec la loi anti tabac mais je pensait a un truc .....

si on mettai du tabac a chicha soex ( sans tabac ni nicotine ) est ce que la loi anti tabac est contourner ?. merci de me tenir informer
j
25 janvier 2013 21:36
dommage c est un revenu haram
D
25 janvier 2013 23:36
Citation
jandouba a écrit:
dommage c est un revenu haram

Non pas dommage ukhti =)

ALLAH subhanahu wa ta3ala sais mieux que nous ce qui est bien et mauvais pour nous
j
26 janvier 2013 00:24
crois moi akhi ce nest pas un bon projet
car allah sobhanah nous a donne un cerveau pour bien distingue le bien et le mal
halal et haram ...nous sommes responsables de nos actes ...ne vous fachez pas mes freres
juste je vous donne conseil ...nous sommes des freres fi allah
D
27 janvier 2013 12:27
Citation
jandouba a écrit:
crois moi akhi ce nest pas un bon projet
car allah sobhanah nous a donne un cerveau pour bien distingue le bien et le mal
halal et haram ...nous sommes responsables de nos actes ...ne vous fachez pas mes freres
juste je vous donne conseil ...nous sommes des freres fi allah

Oui je dit aussi que c'est haram =)

Mais ce n'est pas dommage je disais, car si c'est haram c'est pour une bonne raison winking smiley

Salam 3alaykum
I
21 juin 2013 13:02
Akhi franchement moi aussi je voulais ouvrir bar a chicha a la fin je me dit peut etre ci haram j'ai aller voir Imam pour demande il ma dit ci Haram akhi ne fait pas ça Allah il va pas accorde argent faite haram! SoubhnAllah que est ce que en fait!!! je suis Raciste me je suis musulman et je dit ça a me frere muslim! NE FAITE PAS çA SVP!!!!!
22 juin 2013 20:35
Salam

du moment que t'as de quoi investir, remercie Allah de t'avoir donné cette chance, et pour le remercier commence deja par choisir un projet dont le revenu sera inchallah HALAL, des projets comme sa c pas ce qui manque et Allah te récompensera d'avoir abandonné ce projet pour un autre en mettant la baraka dans tes bénéfices.

Allah i3awnek