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Une chronique peut être ?
D
20 février 2014 14:35
Salut les filles,
Je sais que sa fait longtemps que je ne suis pas venue sur forum et que je n'ai pas ecris ^^.
J'aimerai savoir si vs êtes interessé pour une nouvelle chronique.
b
20 février 2014 15:09
oui
Clap mais faut la finir car ici elles ont l'arts de commencé mais de pas finir Grrrr
D
20 février 2014 22:21
Non miss, je ne comptais pas la laisser incomplète, car cette histoire appartient à une fille que je respectais beaucoup, ainsi que son histoire. Welcome
b
20 février 2014 22:30
Citation
DGabaana a écrit:
Non miss, je ne comptais pas la laisser incomplète, car cette histoire appartient à une fille que je respectais beaucoup, ainsi que son histoire. Welcome

yawning smiley j'ai hate de te lire alors
20 février 2014 23:20
moi assi g hate allez ma belle
m
20 février 2014 23:54
Slm
Moi ossi g hâte
Après le mauvais temps les beaux jours arrivent C'est dur de se retenir oulalala
D
21 février 2014 00:51
Chaque matin, je me reveillée avec une joie d'aller etudier. Malgre que la distance etait enorme, rien ne m'arreter, je voulais etudier et arrivera tout prix. Quand je vois la misère et la pauvreté dans laquelle ma famille vit, 5 km sont qu'une petite epreuve quotidienne.

C'est moi khadija, je vis dans un village dans l'atlas, où on a peu de moyen pour pas dire aucun.
Je vis dans une famille pauvre tout comme la plus part des gens qui habittent ce village.
Malgré que mon père travaille toute la journee et que ma mere passe des journees a faire des tapis marocains pour les vendre, la vie est dure.
beaucoup de gens dans ce village ignore que l'education est un moyen qui pourra nous aider a sortir de la pauvreté, mais pour eux c'est une perte de temps.
Mes parents m'ont jamais interdit ainsi qu'à ma soeur d'etudier.
Mes parents n'était pas des ignorants malgré que le milieu dans lequel je vis, pousse à le devenir.
J'ai eu une enfance simple, j'avais l'essentiel de la vie: manger boire et respirer.

J'avoue que je n'ai jamais su c'est quoi des jouets ni aller m'amusé, mais je m'estime chanceuse, car au moins j'ai pas eu le destin de certaines où elles ont été marié a des hommes pour leurs richesses. Je n'ai pas eu non plus la malchance de quitter mes parents pour aller travailler chez des gens dans la ville.


Sa c'était ma vie d'avant,
Maintenant j'ai 15 ans et ma vie a changé, j'ai des conditions pour rester aux etudes,je dois aider ma mere et s'occuper de mon petit frère qui a la santé très fragile.

J'aime beaucoup mohamed, je me rappelle qu'a sa naissance, je l'ai porté après ma mère et j'ai regardé ses petits yeux noirs. Dès ce premier regard, j'ai su qu'il sera cher dans mon coeur. Il grandit vite, déjà 5 ans et j'ai juste hâte de le voir encore plus grand pour sentir la presence d'un frere.

Maintenant si je parle de moi, je serai injuste avec ma soeur fatima. C'est une amie avant d'etre une soeur, je partage tous mes secrets et mes rêves avec elle. Je l'aime beaucoup aussi et je serai prete a tout faire pour qu'elle ait un bon avenir, malgre qu'elle a juste 10 ans, je la vois deja differente, elle a une ambiance qui dépasse la mienne et sa me fascine.

Aujourd'hui on est le 15 decembre, je suis au lycé, mais mon esprit est ailleurs, je pense a mohamed qui etait tres malade cette semaine, il devient tres faible, le froid nous tue tous, mais vu son jeune age, il tient pas trop.
Le medecin nous dit qu'il faut l'amener en ville pour des medicaments, mais ma famille n'a ni les moyens pour le transport, ni pour acheter les medicaments. On a tenté tous les remèdes naturelles, mais rien n'a donné un resultat durable.

je me sens pas trop bien, je dis au prof que jvais rentrer chez moi pour voir mon petit frere.
Je prends la route et je pars chez moi.
Devant chez moi, je trouve pleins gens qui pleurent. Que se passe-t-il ? Pourquoi tout ces gens ?
Ma mere vient me voir et elle prononce ces quelques mots qui m'ont paralysé
Ma mere : ton petit frere est mort, vient le saluer avant qu'ils l'amènent à la mosquee
D
21 février 2014 01:44
Depuis cette datte, une triste a habité mon corps, sa fait 6 mois que mon frère n’est plus là, mais je suis toujours sous le choc.

Tous mes souvenirs avec lui reviennent. Je me rappelle quand j’ai ramassé quelques sous et j’ai acheté un ballon pour qu’il joue avec ses amis à des matchs. Il était tellement heureux, il m’a serré fort dans ses petits bras. Comme il était doux mon petit frère !

Je ne me suis même pas rendue compte que j’avais versé des larmes, jusqu’à l’arrivé de ma sœur.
Fatima : khadija, qu’est ce que t’a khty ? tu pleures pour la mort de mohamed ?
J’essuie mes larmes, je ne veux pas qu’elle soit triste aussi.
Moi : non pas du tout.
Fatima : il faut que je te dis quelques choses d’important
Moi : qu’est ce qu’il y a ?
Fatima : je sens que ma mère n’est pas trop bien, elle est de plus en plus faible.
Moi : qu’est ce qu’elle a ?
Fatima : je ne sais pas.
Moi : vient.
Je me lève et j’y vais voir ma mère dans la pièce à côté.

Moi : yemma ca va ?
Ma mere : oui benti, ca va Al HamdouAllah.
Moi : tu n’as pas l’air en forme.
Ma mere : Non, je sens juste un peu de douleur à la poitrine ce qui m’aide pas a respirer correctement, sinon a part sa tout va bien.
Je veux lui demander depuis quand, mais quelqu’un tape a la porte.

Moi : salam alikom hanan

Hanan mon amie de classe et ma voisine.
Elle : alikom salam.
Elle salue ma mère et me fait signe de la suivre.

Moi : Yemma, je reviens juste voir quelques minutes hanan.
Ma mère me fait signe de la tête que je peux aller, mais je sais que sa l’embête. Dans notre village c’est déplacé des filles qui discutent dehors.

Moi : qu’est ce que t’a hanan ?
Elle : mes parents vient de m’annoncé que quelqu’un veut venir demander ma main.
Moi : tes serieuse ?
Elle : oui khadija et tu sais que ce n’est pas un choix. C’est une obligation.
Moi : et tes études ? Tes rêves ?
Elle : si on te mariant t’aller pouvoir sauver mohamed, tu allais accepter ?
Je baisse la tete, parce que la reponse était évidente.
Moi : tu vas me manquez.
Je la prends dans bras, elle s’en va sans rien dire, car elle peut s’effondrer dans n’importe quel moment.



1 mois plus tard,

Hanan n’est plus là, elle est parti avec son mari. Son mariage était traditionnel, mais pour moi ce n ‘etait pas un mariage, mais un enterrement. Elle vient de perdre sa liberté et ses rêves.
C’était la fin d’année scolaire, j’ai passé mon année et je voulais être heureuse comme les autres, car j’ai réussis avec de bonnes notes, mais la joie n’est plus de mon droit.

Ma mère avait de plus en plus mal au niveau de la poitrine, je ne voulais plus la voir comme sa.
Il fallait l’amener au médecin, mais on avait encore moins de moyen qu’avant. Je ne peux pas me permettre de perdre un autre cher.

J’ai entendu un certain brahim qui s’occupe des filles qui veulent aller en ville pour travailler chez des gens. Je n’ai jamais pensé à quitter mes études et encore moins d’être boniche, mais je n’ai plus le choix. Je vais me sacrifier pour sauver ma famille.

Je reste à côté de la fenêtre pour voir si brahim va passer. Un jour, alors que je venais de m ‘installer je le vois passer.

Moi : brahim brahim
Il cherche qui l’appel.
Moi : je suis là, approche toi de la fenêtre.
Il m’aperçoit.
Lui : oui ?
Moi : brahim, je veux aller travailler en ville.
Lui : attends, mais je n’amène plus personne.
Moi : stp brahim, j’ai besoin stp stp. Ma famille souffre de la pauvreté et tu le sais. Ma mere est malade et j’ai perdu mon frère mohamed il y a des mois. Stp
Il a baissé la tête quelques secondes et il m’a repondu.
Lui : d’accord, juste parce que c’est ta situation, mais dit le a personne, car je le fais plus.
Retrouve moi dans deux jours, je vais être a la sortie de route, je t’amène à casa.

Il s’en va.

Je vais partir d’ici pour sauver ce que je peux, seule ma sœur qui saura ce départ. Dans deux jours, je vais être dans un autre monde avec d’autres gens.

Je ne sais pas ce que la vie me réserve, mais je sais que je dois être forte pour affronter ce qui m’attends.
b
21 février 2014 10:08
Waouw suis dans l histoire
La suite? grinning smiley
D
21 février 2014 18:36
Deux jours plus tard,

Assise à côté de brahim dans un autocar,je pensais à ma soeur qui n'a pas arrêté de me supplier de rester. Avec une grande peine que je pars de ce village sans espoir.

Mes parents sont en ce moment entrain dormir, ils croient que leur fille est dans la pièce voisine, mais c'est loin d'être sa.
Je retiens mes larmes pour pas que Brahim change d'idée, je reste zen et je fais semblant d'être forte.

La route était longue, je n'ai pas pu dormir une seule seconde. Je sens un énorme stress, stresser d'être dans ce nouveau monde qui n'est pas le mien, stresser d'affronter ce changement.

Brahim : khadija, on est arrivé
Moi : d'accord.
je prends mes affaires et je descends de l'autocar. Je découvre cette ville qui fascine tant de gens du village.
Casablanca une ville si peuplé et différente des autres villes.
Je suis surprise de voir tant de gens dans une seule place, des immeubles, des panneaux pub, beaucoup de voitures et surtout beaucoup de bruit.
Brahim : tu vas t'habituer avec le temps, enfin j'espère.
Moi : oui
Brahim a remarqué que j'étais ébahis par cet nouvel environnement.
Brahim : à 10h un couple vont venir te chercher dans ce café. ( il me pointe un café)
je n'ai jamais encore une l'occasion de rentrer à un café ni de m'assoir dans un lieu public, j'ai passé toute ma vie à faire la route entre chez moi et l'école sans plus.
Moi : tu vas être avec moi ?
Brahim : n'ait pas peur, je ne vais pas partir avant d'être sur que tout va bien.
Moi : merci
on va s'assoir et il commande un petit dej pour nous.
Je me sens tellement gêné, je n'ai même pas l'habitude de parler à un homme et encore moins d'être assise dans un café, mais brahim comprends ce que je ressens.
Brahim : Dans cette ville, rien n'est la honte comme au village khadija. Ne croit pas qu'on va parler de toi, car tu es dans un café ou avec moi. Ici on s'en fou de sa.
Moi : j'ai remarqué.
Brahim : avec le temps tu vas voir que les filles ici ont beaucoup de liberté, elles s'habillent comme elles veulent, elles mettent des pantalons, des jupes,etc.
pendant que brahim m'apprends ses choses là, je me rends compte combien sa peut être différent d'une ville à l'autre malgré que c'est le même pays.
Brahim : Bon ils arrivent.
mon coeur bat fort, en les voyants arriver.
Brahim se lève pour les saluer et je fais de même.
La femme : comment tu t'appelles ?
Brahim : elle s'appelle Khadija, elle a 16 ans
La femme : on voulait une plus âgé
Brahim : je connais des filles plus âgé, mais elles ne sont pas aussi honnête que cette fille.
le mari me regarde et me demande.
Le mari : tu as déjà travaillé avant ?
je veux répondre, mais brahim répond à ma place.
Brahim: oui une famille avant vous.
Le mari : pourquoi tu es plus avec eux ?
Brahim : ils ont déménagé à une ville très loin.
Le mari : ok d'accord, mes amis m'ont conseillé de te demander pour me trouver quelqu'un, ils m'ont dit que tu étais sérieux.
Brahim : je le suis.
Le mari : écoute on te promet de bien se comporter avec elle.
Brahim : c'est sa ce que je veux, c'est comme ma soeur.
sa m'a fait chaud au coeur ce que brahim vient de dire.
Moi : j'ai une petite demande.
brahim est surpris que j'ai parlé et le couple aussi.
Le mari : oui ?
moi : je veux avoir possibilité d'aller à la mosquée une fois par semaine
Le mari : pour ?
moi : je veux aller etudier pour pas perdre ce que j'ai appris.
le couple souris
La femme : ecoute on a deux enfants, chaque jour il y a un enseignant privé qui vient réviser avec eux, tu peux te rejoindre à eux.
Le mari : oui sa nous dérange pas.
moi : merci beaucoup
brahim est content, car il a compris que le couple est super sympa.
Le mari : pour le salaire ?
Brahim : vous pouvez donner combien ?
Le mari : 500 dh c'est assez ?
Brahim : elle nourrit sa famille et aide sa mère malade, 500 dh ne suffira pas.
La femme : 800 dh
Brahim : sa me va ! sa te va khadija ?
Moi : Oui

le couple serrent la main à brahim et se dirige vers leur voiture.
Brahim met ses deux mains sur mon épaule et me regarde dans les yeux.
Brahim : ecoute khadija je te donne mon numéro, appelle moi n'important quand si tu as un soucis ou tu es pas bien, je viendrai te chercher.
Moi : oui brahim promis, merci beaucoup pour tout. Stp, je veux que ma paye soit pour ma famille et juste pour te remercier pour tout je veux que tu prends 300 dh chaque mois.
Il sourit.
Brahim : Je prendrai rien, je donnerai le tout à ta famille. prend soin de toi.

il s'en va et je monte dans la voiture
b
21 février 2014 19:44
La suite stp grinning smiley
22 février 2014 00:11
la suite stm je kiff
B
22 février 2014 14:28
La suite grave sa fait mal au cœur je suis a fond dedan la
[b][u][color=#FF3333]DEPUIS QU'ON EST PASSER A L EURO PLUS PERSONNE EST FRANC[/color][/u][/b]
m
23 février 2014 01:59
La suite
Après le mauvais temps les beaux jours arrivent C'est dur de se retenir oulalala
23 février 2014 08:56
La suite stp très belle histoire.
D
23 février 2014 19:33
Depuis cette journée, je n'ai plus vu Brahim, mais je l'appelai de temps en temps pour savoir si mes parents recevaient l'argent et prendre de leur nouvelle.
Ma soeur a dit à brahim de me dire que mes parents ont eu beaucoup de peine, car je suis partie, mais avec le temps ils ont essayé d'accepter la situation.
Elle lui a dit aussi que ma mère est partie voir le médecin et elle a découvert qu'elle a une pneumonie et qu'elle a eu un vaccin et des médicaments. Maintenant elle se sent mieux, chose qui me fait plaisir.
Ma petite soeur continu ses études, mais elle n'arrête pas de dire à brahim que je lui manque, ce qui me rend très triste des fois.

Aujourd'hui sa fait exactement 1 an que je suis avec cette famille, c'est des gens biens qui m'ont bien traité. Je me sens pas étrangère, mais on ne peut jamais être bien loin des siens.

Avec le temps j'ai appris à m'habituer à cette ville, mais je me sens pas intégré, les gens ici se basent sur les apparences et moi pauvre petit Khadija, je n'ai pas l'allure qui va avec alors je suis invisible.

je viens de finir le parterre et j'entends mon prénom.
La femme : khadijaaaa
Moi : oui
La femme : vient au salon, on veut te parler.
Moi : d'accord, j'arrive.
je vais au salon et je trouve le couple assit.
La femme : viens assit toi
je m'assoie en face d'eux.
Moi : il y a quelque chose ?
La femme : oui, on aimerai te parler de qlq chose d'important.
tout a coup, je sens un stress et mon coeur qui bat fort.
Moi : oui
Le mari: dit lui toi sanaa ( la femme ).
La femme : bon, j'aimerai que tu m'écoutes sans m'interrompre
qu'est ce qui se passe ? pourquoi elle me parle avec tant de suspense et de mal a prononcé ses mots.
Moi : oui khalti ? ( tante)
La femme : on savait pas que s'aller marché.
elle respire profondément et continue.
La femme : on a pas cru qu'on allait pouvoir et c'était avant ton arrivé qu'on a fait le dossier. On a eu notre visa pour l'espagne. On part labas vivre, car au Maroc c'est de plus en plus difficile pour nous.
Le mari : s'il y avait un moyen de t'amené on l'aura fait et on se sent vraiment mal, car on te quitte.
La femme : tu sais, on part pour mouhcine et nisrine ( les petits), on veut juste un bon avenir pour eux.
je ne savais pas quoi repondre, j'étais figée et je n'arrivais pas à croire que je ne verrai plus Madame sanaa et son mari et encore plus les petits que je considère comme mes petits frères.
Sanaa s'assoit à côté de moi et me prends dans ses bras.
Depuis 1 an, personne ne m'a prit dans ses bras et maintenant que c'est le cas, je pleure comme une gamine de 5 ans.
La femme : désolé khadija, tu vas tellement nous manquer.
Moi : vous aussi.
sanaa avait versé une larme et j'ai senti qu'elle m'a vraiment aimé.
Le mari : mais on ne va pas t'oublier khadija, on va venir te voir dès qu'on est au Maroc et on va t'envoyé de labas une somme d'argent.
La femme : oui, ne croit pas qu'on va t'effacer.
Moi : je vous remercie beaucoup pour tout, j'espère que vous aller trouver labas ce que vous chercher.
La femme : inchAllah
Moi : vous partez quand ?
La femme : le mois prochain.


PS : merci pour votre intérêt les filles. <3
b
23 février 2014 20:11
J ai lacher une larme sad smiley
La suite stp grinning smiley
24 février 2014 19:59
c tristesad smiley continue stp
26 février 2014 00:46
Stop papillon elle est ou l,histoire avec Yasser ou un truc comme ca....?!
Ils se sont mariés ?
Im lost...
D
28 février 2014 23:07
Désolé les filles pour ce retard, j'avais un empêchement.

Voilà que sa fait 1 mois que j'ai quitté la famille chez qui je travaillais, leur départ était très dure pour moi, c'était avec beaucoup de pleur et d'émotion que je les ai vu partir.

Maintenant je vis chez moi en attendant que brahim me trouve une autre famille. J'avoue que sa m'a fait plaisir d'être chez moi, surtout que j'ai pu revoir tout le monde.

Sa fait du bien d'être loin de la ville, un calme total et un paysage si apaisant.

sa fait 15 jours que je suis chez moi et à la 16 ème journée Brahim vient me voir, pour m'annoncer qu'il y a une famille qui veut qlq un.
Je prends mes affaires et le lendemain je le rejoins pour aller cette fois à rabat.
Je n'ai pas besoin de vous dire que les adieux sont toujours dures et qu'à chaque fois que je monte l'autocar, j'ai un stress énorme.

On arrive cette fois directement à une villa, j'étais ébahis par la grandeur de la maison. Moi qui vivait dans une maison de 20 m.
Brahim : regarde khadija, ici il n'y a pas que toi. il y a d'autre employée, tu ne dois pas chercher de trouble, sinon ils vont tout faire pour te mettre dehors.
Moi : pourquoi ?
Brahim : c'est la vie, ces gens là aiment pas les problèmes surtout pas avec vous.
Moi : les bonnes c'est sa ?
Brahim : oui.
Moi : ok
Brahim : tu as mon numéro, n'oublie pas si tu as besoin quoi ce soit. Appel moi
Moi : d'accord, tu rentres pas ?
Brahim : non, ils ont déjà tout négocié par tel.
Moi : Bon merci pour tout.
il me salut de la main et s'en va.
Je sonne et une fille m'ouvre la porte.
Elle : rentre
Moi : merci
Elle : ecoute, moi c'est imane. il y a karim le jardinier, naima la cuisinière, ahmed chauffeur et houda une fille comme nous.
Moi : nous ?
on marche vers une chambre qui se trouve au sous sol.
Elle : moi, toi et houda on est là pour les courses, le marché, le parterre, la vaisselle....
Moi : d'accord
Elle : je te conseil, houda n'est pas si sympa, evite là.
Moi : d'accord.
sa s'annonce mal, j'ai deja un obstacle.
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