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Seekme a écrit:
Introduction
D’après de nombreux écrivains, écrire serait une thérapie. Ils affirment que coucher ses douleurs, ses angoisses, ses déviances sur le papier permettrait d’en guérir.
A vrai dire, je n’y crois pas trop. Je ne suis pas certain que ressasser une vieille histoire de cœur qui s’est mal terminée aide à un quelconque rétablissement. Soit. Ça ne me coûte pas grand-chose d’essayer. Et puis, au point où j’en suis, une désillusion de plus ne risque pas de m’abattre.
Aller, essayons. Mais avant, je tiens à vous signaler que l’écriture n’est pas l’une de mes qualités les plus remarquables. Aussi, j’en appelle à votre bienveillance.
*
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Il y’a maintenant près de cinq ans que l’histoire que je m’apprête à vous raconter s’est terminée. Je n’ai plus aucun contact avec la fille que j’ai tant aimée. Je ne sais même pas ce qu’elle est devenue. Et pour parler honnêtement, je m’en tape royalement.
Ce que vous venez de lire est un mensonge. Je vous le confesse rien qu’à vous. La nana qui me suit, la psychologue, je lui ai menti. Je ne cesse de lui répéter que je m’en fous totalement de ce qu’elle est devenue. Je ne sais pas pourquoi je lui ai menti. Je crois que j’ai peur qu’elle me juge. C’est paradoxale hein ? Se rendre chez un psychologue, lui mentir parce qu’on a peur qu’il nous juge. Mais bon, je ne suis pas à un paradoxe près comme vous allez pouvoir l’apprécier tout au long de ce récit.
Revenons à la fille, celle que j’ai tant aimée. Elle s’est mariée il y’a quelques mois. Je le sais parce que je l’observe son profil sur Facebook depuis ce satané jour où je m’y suis inscrit pour une raison qui n’a rien à voir avec cette affaire. Et vous savez c’est quoi le plus marrant ? J’ai découvert qu’elle a célébré son mariage le jour où j’ai fêté le mien ! Mais ça je ne m’en suis rendu compte que plus tard.
Imaginez un peu la chose. Vous vous inscrivez sur Facebook parce que c’est la seule manière de communiquer avec votre coach - oui c’est bizarre, mais ce n’est pas le sujet. Bref. Donc vous remplissez vos données personnelles et, grâce à votre mail, la plateforme vous suggère des amis. Alors votre écran vous affiche plusieurs colonnes de petits visages qui ne vous sont pas inconnus. Vous souriez en observant ces petites images quand soudain une puissante décharge électrique vous paralyse. Tout s’évanouit autour de vous. Plus un bruit. Il ne reste que cette image au centre de votre écran. Vous y distinguez à peine des silhouettes. Un couple le jour de leur mariage semble-t-il. Votre poitrine menace de rompre sous les coups de boutoir. Votre cœur ne cesse de s’emballer. Sous la photo, un nom et un prénom. C’est ceux de la fille que vous avez tant aimée. Dans une longue inspiration vous approchez le curseur de la souris sur la photo, vous cliquez et instantanément vous êtes la cible d’un puissant tir de barrage. BOOOOOM ! Vos tempes vont exploser. Vos yeux vous piquent. Vous les clignez et vous essuyez la larme qui en coule. Vous tremblez. La photo envahi tout votre écran. C’est bien elle. La fille que vous avez tant aimée. Mais elle est à côté d’un homme. Elle, si familière, lui, si étranger. Vous voulez être partout et nulle part à la fois. Vous vous levez de votre siège, à supposer que vous étiez assis, pour immédiatement vous rassoir. Vous éteignez l’écran et le rallumez. Caaaalme ! Calmez-vous. Prenez un café, ou un thé.
Moi, je me suis fait un café après avoir vu la photo de la fille que j’ai tant aimée au bras d’un inconnu peu élégant, pas très beau d’ailleurs. Bon, je ne suis pas objectif. En fait, il est charmant.
Maintenant que j’y pense, je n’aurais pas dû me faire un café. J’ai posé ma tasse sur les papiers du divorce. J’ai tout salopé. Et voilà que je viens de donner une nouvelle raison à l’avocate de ma femme, enfin mon ex-femme d’encore plus me détester.
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* *
Nawel. Elle s’appelait comme ça la fille que j’ai tant aimée. La première fois que je l’ai vu, elle travaillait. C’était son premier jour, si je me souviens bien. Elle servait dans un snack à la périphérie du centre-ville. D’ailleurs je crois qu’elle y travaille toujours. Je ne suis plus retourné depuis un bail.
Donc la première fois que je l’ai vu, c’était un soir d’hiver de 2009. Je m’y étais rendu avec des amis. Je me revois encore gravir les marches du perron qui mènent au comptoir. Je revois la porte que j’ai poussé, je la revois lever ses yeux vers moi et me sourire. Ah ce sourire. Celui qui a causé ma perte ….
A suivre …
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perlitta a écrit:
on croirait les séries turques mdrrrr
mais sinon c'est bien
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perlitta a écrit:
on croirait les séries turques mdrrrr
mais sinon c'est bien
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Toka a écrit:
nan on dirai un anime de manga shojo ( (d amour)
posteur je ne c quoi te dire ,, mai vraiment pas
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perlitta a écrit:
oooh commence pas avec tes mangas mdrrr, cette histoire fais penser aux séries turques and their loves stories
la diversité n'a jamas fait de mal a personne...Citation
Toka a écrit:
j avou c beau mais poignant , sa doit faire mal , tres mal.
haaaa vous me soulez avec vos film turc et indou !!
bha moi c manga point barreuh !
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Rubi<3 a écrit:
Rebeu fragile
Je pensais qu'il y avait pas des hommes qui pense comme ça et en te lisant je me dit non non non c'est horrible un homme sentimentale
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Toka a écrit:
hein pq tu diis sa ??? ya koi d horrible
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MissFavela a écrit:
la diversité n'a jamas fait de mal a personne...
les meilleurs manga c'est death note, GTO, et attaque des titans
mais les films indiens aussi sont bien mexicains, turques , et bresiliens...
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Rubi<3 a écrit:
Comme ça j'aime pad
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Toka a écrit:
haaa ok moi je trouve pas sa hoorible du tout ,, limite sa rassure
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Rubi<3 a écrit:
Moi ça me fait peur lol