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Salam alaikoum à tous ...

Je tenais à vous faire part des derniers films que j'ai vu ...
ça pourrait aider ceux d'entre vous qui ont envie de se faire une toile

Le film "constantine" avec keanu reeves :

Un vrai bonheur ce film ! époustouflant d'action et d'effets spéciaux réussis! et keanu reeves est incoryablement convaincant ds le role de l'exorciste ...Je sais vous allez me dire, bof encore un truc d'exorcisme ...Mais vs vs trompez si vous croyez que c'est un film avec des "bak marmak" il est vraiment extra ! j'ai passé 2h excellentes, toutefois attention pr ceux qui ont des sueurs froides rien qu'en entendant une musique morbide vous serez servis ! les monstres st vraiment hideux et la musique fait flipper ! et pour ceux qui fument, keanu ne fume pas moins de 11 cigarettes durant tt le film ( oui, je les ai comptées il en a allumé une dizaine ) ...et peut-être que ça vous fera renoncer à la cigarette ...

Le film " mon beau père et moi" :

Ben, que dire ? bof, sans plus, si vs avez vu le premier opus celui-ci vs fera sourire de temps en temps sans pls...Mais pr ceux qui sont fans de dustin hoffman allez le voir vs serez servis ! il est vraiment déjanté ds ce film ! moi je l'ai bien apprécié ! sans lui le film n'aurait ps été aussi drole ...
Je ne sais ps si vs l'avez vu chez denisot sur canal + mais ce mec en jette vraiment ! rigolo et franc ...

Le film "rencontre à wicker parc" :

Celui-ci je vous le conseille vivement, je ne sais ps s'il est encore en salle, mais il en vaut le détour ! suspense bien mené et les acteurs ns trompent bien cm il faut! moi j'ai été bluffée du début à la fin ! le meilleur film à suspense que j'ai vu en cette année ...

Oua allah aalam...

T'as vu le film avec Robert de Niro (qu'il est beauuuuu cet homme ) et la ptite fille ?

nan ps encore et je pense pas aller le voir, il est vrai que j'apprécie bcp robert de niro mais ce genre de film ne m'attire ps vraiment ...

Par contre ces prochains jours j'ai ds mon programme les films "ray" dont il parait que c'est une petite merveille de réalisme, et d'émotion...Y'a aussi " sideways" dont on m'a dit du bien ... Ainsi que "ze film" dont la franche rigolade est de mise ...

On m'a aussi parlé du dernier costas gravras ...A voir ...peut-être ...


Oua allah aalam...

sadhia a écrit:
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> nan ps encore et je pense pas aller le voir, il
> est vrai que j'apprécie bcp robert de niro mais ce
> genre de film ne m'attire ps vraiment ...
>
> Par contre ces prochains jours j'ai ds mon
> programme les films "ray" dont il parait que c'est
> une petite merveille de réalisme, et
> d'émotion...Y'a aussi " sideways" dont on m'a dit
> du bien ... Ainsi que "ze film" dont la franche
> rigolade est de mise ...
>
> On m'a aussi parlé du dernier costas gravras ...A
> voir ...peut-être ...


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Moi ça me tente bien pour le frisson... j'avais vu des extraits et ça m'avait l'air très palpitant.

Pour Ray, je pense aussi aller le voir .

17:49 Saïd Taghmaoui à l'affiche du prochain film d'Elie Chouraqui "O Jérusalem"
PARIS (AFP)
[movieshop.ru]

L'acteur Saïd Taghmaoui le 19 mars 2004 à Valenciennes© AFP/Archives François Lo Presti

Saïd Taghmaoui sera l'un des interprètes principaux de "O Jérusalem", le prochain film du réalisateur français Elie Chouraqui, directement adapté du livre de Dominique Lapierre et Larry Collins sur la création de l'Etat d'Israël, a annoncé le comédien à l'AFP.

Saïd Taghmaoui interprètera un jeune palestinien, ami d'un juif, avant que les deux hommes ne soient séparés par les événements.

Le comédien français d'origine marocaine partagera l'affiche avec l'actrice américaine Winona Ryder ("Beetlejuice", "Edward aux mains d'argent", "Alien, la résurrection"...). Le tournage doit débuter le 10 avril, en Grèce.

"Avec ce film, on part en mission. C'est un beau et grand projet à un moment où l'espoir semble revenir sur le terrain", a déclaré à l'AFP Saïd Taghmaoui.

Saïd Taghmaoui sera aussi à l'affiche du "Pain nu", adaptation du best-seller autobiographique de l’écrivain marocain Mohamed Choukri. Réalisé par Rachid Benhaj, ce film, tourné au Maroc et en Italie, devrait être présenté au Festival de Cannes, en avril. Saïd Taghmaoui interprète l'écrivain.

Au côté de l'acteur américain Laurence Fishburne ("Matrix", Saïd Taghmaoui vient aussi de tourner un inspecteur de la CIA en guerre contre un groupe terroriste, dans une superproduction américaine, "Five fingers", sous la direction de Laurence Maklin.

© AFP Agence France-Presse

Du coup, j'suis allée voir TROUBLE JEU avec Robert de Niro. C'est dans la veine du 6EME SENS, la fin est surprenante.

Très bon film qui fait grimper le rythme cardiaque !!

Moi je vous conseille Neverland : très belle histoire qui vous fait plonger dans le monde de l'enfance et de l'imaginaire.

moi je vous conseille "Gāi shàng shùxué kè le".....un superbe film chinois

le titre veut dire:

A peine condamné à la prison pour un crime qu'il a commis sous l'emprise de la colère et du vin, il est "repêché" par un notable, Shi En, qui l'estime et lui confie un rôle de policier. En poste, il ne retrouve par hasard son frère que pour s'apercevoir que ce dernier est honteusement trompé par une épouse sans vergogne... Pire! la dévergondée, après avoir essayé de l'attirer dans ses rets, l'accuse de tentative de séduction et de viol auprés du trop naïf cocu et Wu Yong manque se fâcher avec son frère.
En retour de mission, Wu Song découvre que la femme infidèle, avec la complicité de son amant, a assassiné son mari et tenté de dissimuler son crime.
Reconnaissez que notre héros a quelques excuses... même s'il décapite les coupables avec une sauvagerie peu commune.
Il devra donc s'enfuir, et après quelques aventures qui rendront son courage et sa force légendaires, il n'aura d'autre ressource que rejoindre les Marais du Mont Liang et devenir l'un des meilleurs capitaines de Song Jiang.

ça m'a l'air intéressant hakim, d'autant pls que je suis fan de cinéma asiatique ...

Sinon, j'ai été voir "sideways" et je peux dire qu'il m'a surprise qd mm, moi qui m'attendait à un navet ennuyeux, non, l'histoire d'un mec paumé, mais vraiment paumé qui nous touche tellement il se sent au dessous de tout ...

QQ scènes franchement rigolotes et des personnages attachants, des paysages sympas ( la californie et ses plateaux de vignes ...)

Oua allah aalam...

"La Fiancée syrienne"

: l'observation dénonciatrice d'une impasse courtelinesque
LE MONDE | 09.03.05 | 14h57

Une jeune Druze et son promis, bloqués à la frontière, dans un film d'Eran Riklis.
Film franco-israélien d'Eran Riklis avec Makram J. Khoury, Hiam Abbass, Clara Khoury. (1 h 36.)

Depuis le beau film de Michel Khleifi Noce en Galilée (1987), où le maire d'un village des territoires occupés par Israël demande au gouverneur de lever le couvre-feu, le temps de célébrer les noces de son fils, le mariage est devenu le thème idéal des cinéastes palestiniens ou israéliens pour plaider la réconciliation des deux peuples.

La guerre du Liban et l'Intifada ont favorisé l'éclosion de cette nouvelle sensibilité israélienne dont parle Régine-Mihal Friedman, dans le livre que Janine Halbreich-Euvrard vient de consacrer à la manière dont les uns et les autres dépeignent leur conflit (Israéliens, Palestiniens : que peut le cinéma ?, éd. Michalon, 2005, 22 €) : l'adversaire palestinien est devenu "le cauchemar éveillé" de l'Israélien, et, bien qu'animés par des convictions humanistes, les nombreux films consacrés aux amours mixtes se terminent tragiquement. Comme si l'espoir était devenu obsolète. Ce sont surtout les documentaires israéliens qui reviennent "sur les difficultés quotidiennes de la population palestinienne en butte à l'occupation sur son territoire".

UNE JOURNÉE PARTICULIÈRE

Réalisée par un citadin de Tel-Aviv, La Fiancée syrienne est donc une exception courageuse. Inspirée par le travail du Comité international de la Croix-Rouge qui gère les mariages entre des personnes vivant de part et d'autre de la ligne de démarcation, cette fiction retrace une journée particulière dans la vie de Mona, une jeune fille d'origine druze vivant dans un village du Golan occupé par les Israéliens depuis 1967. Elle doit épouser la vedette de la télévision syrienne, et pour cela franchir une frontière qu'elle ne pourra plus jamais repasser en sens inverse. Sa famille ne la reverra plus. Ses frères, dispersés dans le monde, se retrouvent pour lui dire adieu.

Ce beau et digne film suit donc les retrouvailles fugaces des uns, la tristesse des parents, en particulier du père, qui, au risque d'être emprisonné, brave l'interdit qui lui a été signifié par l'occupant de participer à une manifestation anti-israélienne (c'est aussi le jour où Bachar Al-Assad accède au pouvoir en Syrie). De ces noces à l'ambiance de funérailles, on passe au burlesque tragique : une incompatibilité de tampons sur son passeport entre douane israélienne et douane syrienne donne lieu à un cocasse va-et-vient d'une zone à l'autre, en pure perte. Mona doit rester derrière la barrière tandis que son futur mari l'attend quelques centaines de mètres plus loin en lui faisant des signes... Jusqu'à ce geste audacieux dont elle prend l'initiative.

Politiquement, le film ne prend aucun parti. Il se contente d'observer cette courtelinesque impasse, dotant peut-être le camp israélien de plus de compréhension, mais déplorant l'absurdité du tracé de la frontière et renvoyant dos à dos les responsables du malentendu administratif. Pourtant, le personnage principal de La Fiancée syrienne n'est pas la jeune promise ; c'est Amal, sa sœur aînée. Car le film s'en prend autant à des traditions phallocrates qu'à la fatalité géopolitique. C'est sur son visage qu'il s'ouvre et se termine. Elle pousse son père à oublier la fâcherie qui l'oppose à l'un de ses fils, émigré, elle parlemente avec les autorités, elle soutient sa fille contre son époux sectaire, encourage la mariée à assumer son choix, transgresse la loi du mâle en décidant de reprendre des études qu'elle avait dû interrompre pour élever ses enfants. Elle incarne à la fois la possibilité d'une négociation et la révolte contre l'oppression masculine.

Campée sur deux lieux, la maison et la frontière, La Fiancée syrienne dénonce donc deux barrages. Celui qui entrave la communication entre les peuples, et celui qui restreint l'espace vital de la femme musulmane. Il suggère que les check-points sont aussi mentaux, qu'il est aussi légitime d'abolir des frontières pour "ouvrir de nouvelles possibilités à l'identité féminine" que (pour reprendre les termes de Yael Munk dans le livre précité) pour "ouvrir l'espace national".

Jean-Luc Douin

• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 10.03.05