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Aïn Chock - Lycée Ibn Zaïdoun - Casablanca
M
18 décembre 2009 00:17
Salam à tous,

Bonne Année 1431


A l’occasion du 1er Muharram du nouvel an Hégirien 1431, correspondant au Vendredi 18 décembre 2009, je vous présente mes vœux les plus chers, les plus sincères, que cette année puisse être pour vous ainsi que vos proches une année de réussite, de bonheur et de prospérité ...

Massoud
"Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien; si tu possèdes peu, donne de ton coeur" Proverbe de chez nous. "La mutualisation, le partage des richesses est un devoir citoyen" Un de mes principes
b
21 décembre 2009 23:26
Environnement
La faculté des sciences décide de gérer ses «déchets»
L'enseignement supérieur de la métropole encourage les bonnes pratiques




Un vent positif souffle depuis quelques temps sur la Faculté de Ain Chock. L'établissement mène une initiative innovante en matière de «La gestion intégrée des déchets» (GID).


Les meneurs de cette démarche veulent sensibiliser la gent universitaire sur la gestion intégrée des déchets et l'économie de l'eau. Cette thématique est devenue une des prérogatives indispensables pour toutes les communautés. Ainsi, l'objectif principal des clubs environnementaux de l'ensemble des facultés à la métropole est de sensibiliser les étudiants et le personnel des institutions universitaires à la valorisation et au recyclage des déchets, à s'engager pour les bonnes pratiques environnementales dans leur quotidien. En effet, la Faculté de Aïn Chock est la première institution universitaire à se mettre au tri et à la valorisation des déchets. Aujourd'hui, en décidant de gérer ses déchets, une faculté comme la FSCA peut générer des bénéfices allant de 100 à 150 DH par jour.

Une étude préliminaire effectuée par le professeur Mohamed Tahiri et quelques étudiants de la licence professionnelle «Protection de l'environnement et développement durable » (PEDD), a montré que plus de 95% des déchets générés au niveau de la Faculté des sciences sont recyclables ou valorisables. Ces déchets composés de papier de carton de plastique (eau minérale et boissons), du métal (canettes, papier biscuits), sont récupérés de manière professionnelle. De fait, un des premiers fournisseurs mondiaux de ciment et de granulat au Maroc apporte son soutien actif à cette initiative. Cette entreprise fournit les bennes à ordure et les sacs permettant la récolte des déchets qui se chiffrent entre 700 et 1000 litres de bouteilles en plastique et cannettes et 60 à 100 kg de papier carton par jour.

Cet engagement pour les bonnes pratiques environnementales de la part des étudiants de la Faculté des sciences de la métropole ambitionne de devenir une culture, une éducation et une des pratiques rentables pour l'environnement. Les professeurs et les enseignants de la faculté insistent au cours des conférences sur l'impératif de prendre conscience du moment présent et de se doter d'un esprit créatif. A Casablanca, l'absence de vérifications, des eaux usées et des déchets mêmes spéciaux freinent le développement. Ainsi, dans un contexte de concentration urbaine et industrielle, la région casablancaise est forcée de résoudre maintes problématiques, parmi elles l'évacuation des déchets solides industriels. Particulièrement dans le contexte des conventions internationales relatives à l'environnement, la future zone de libre-échange avec l'Union européenne ainsi que les Objectifs du millénaire pour le développement.

Cependant, la restriction des espaces verts, l'accroissement de certaines industries qui contribuent de plus en plus à la pollution atmosphérique et l'élargissement du parc automobile constituent un péril pour la ville et ses habitants. Ces derniers commencent à sentir que la protection de l'environnement à travers des gestes simples est loin d'être une punition. Il est par contre un gisement de développement et un facteur d'épanouissement.
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Responsabilité et engagement
Mégalopole qui connaît de plus en plus une extension des unités industrielles, Casablanca va devoir réfléchir sur des solutions capables de rendre leurs rejets moins néfastes pour l'environnement. Cela dans le but de recycler un maximum de matières valorisables. Particulièrement celles qui peuvent être réutilisées une fois traitées.
D'une manière globale, les restants industriels qui vont être traqués et restreints à leur minimum font intégrer, également, le traitement des déchets dits dangereux. Le but est de minimiser l'impact environnemental de ces matières. Sans oublier que cette opération passe par l'optimisation des transports et des flux de déchets pour limiter les coûts et les émissions de CO2.
En réalité, la démarche est complexe. Ces objectifs, pour être réalisés, obligent les acteurs industriels à repenser l'ensemble de la chaîne logistique habituelle du déchet.

Une bonne initiative,une fois concrétisée ça rapporte une plus valus au niveau de l'arrondissement,de la région etc...
b
22 décembre 2009 18:48
Des mécènes financent les études supérieures des élèves des «khayriate»

Grâce à l’aide de la Fondation marocaine de l’étudiant, ces bacheliers font des études supérieures dans le privé gratuitement et bénéficient en plus d’une bourse d’études.
Plus de 60% de ces jeunes sont parmi les majors de leur promo
.
Depuis 2002, 42 MDH de financement en leur faveur.

«Dans la vie, il n’y a pas de solution. Il y a des forces en marche, il faut les créer, et les solutions suivent». La Fondation marocaine de l’étudiant (FME) présidée par Mohcine Berrada, le créateur du Forum de l’étudiant, a fait de cette citation d’Antoine Saint-Exupéry sa devise. Tous les bacheliers marocains n’ont pas les capacités matérielles et financières pour poursuivre des études supérieures. C’est le cas, en particulier pour ces centaines d’enfants issus des «khayriate», maisons de bienfaisance appelées pudiquement «Etablissements de protection sociale» (EPS), qui décrochent chaque année leur bac. En dépit de la précarité de leurs conditions sociales et économiques, ils ont un potentiel qui ne demande qu’à s’exprimer.
La FME, dont le président est très impliqué dans le monde de la formation depuis bientôt vingt ans, a eu l’heureuse idée, en 2002, de financer des études supérieures dans le privé aux plus méritants des bacheliers issus de ces maisons de bienfaisance, en l’occurrence ceux qui obtiennent leur bac avec mention. Et ils sont nombreux.
En 2009, 768 élèves issus de ces EPS ont eu leur bac, dont 153 avec mention. Mais au-delà du bac, la perspective de poursuivre des études supérieures réussies et accéder au monde du travail reste étroite. Avec un peu de chance, seule une petite minorité y parviendra, si elle rencontre sur son chemin des mécènes qui savent l’apprécier à sa juste valeur. La FME a su capitaliser ces forces en marche.
En vertu d’une convention passée entre la Fédération des EPS et l’Entraide nationale, cette fondation, depuis sa création en 2002, choisit chaque année une quarantaine de ces bacheliers brillants et leur trouve des bourses pédagogiques auprès des écoles supérieures privées de la place pour poursuivre leurs études gratuitement. Avec en sus une bourse de 900 DH qu’elle leur octroie mensuellement. L’intervention de la FME ne s’arrête pas là : pour leur assurer le maximum de chance après l’obtention de leur diplôme, la fondation leur cherche dès la première année de leurs études supérieures un parrain dans le monde de l’entreprise. «C’est un parrainage strictement moral et non financier. Son objet est de permettre à l’étudiant de trouver des stages, de l’aider à trouver un emploi à la fin du cursus scolaire, et surtout, durant tout ce cursus, de rester continuellement en contact avec lui dans l’objectif de lui démystifier son environnement socio-économique», tient à préciser M. Berrada.

Le parrainage d’une entreprise, une clé pour une insertion professionnelle
On dénombre aujourd’hui quelque 83 lauréats qui ont achevé leurs études, grâce à l’aide de cette fondation. Ils sont insérés sur le marché du travail en tant que financiers dans des entreprises, comptables ou infographistes dans des hôtels ou dans des banques. Certains ont même créé leurs propres entreprises. Parmi ceux-ci, Ahmed El Hamzaoui (voir encadré). C’est un exemple de ces étudiants qui ont réussi, après leur bac, un excellent parcours, grâce à la FME et à l’école supérieure qui l’a formé gratuitement. El Hamzaoui, 28 ans, est issu de la Maison des enfants de Témara. C’est en fait l’un des premiers lauréats à avoir bénéficié des services de la FME. Après une licence en droit privé à la Faculté des sciences juridiques à Rabat, il intègre l’Institut marocain de droit des entreprises (IMAD) de Casablanca pour obtenir un master de juriste en conseil d’affaires, et un diplôme délocalisé avec l’Université Mendès France de Grenoble. Diplôme en poche, il travaille sept mois à la Coopération internationale chez GTZ (Coopération technique allemande), avant d’intégrer la FME pour créer l’association de ses lauréats, dont il est promu président. Un autre exemple, Rachida Abboudi, qui est issue de la Maison de bienfaisance de Béni-Mellal. Elle réussit son bac section lettres modernes en 2005 avec 17 de moyenne. Son nom est transmis par l’Entraide nationale à la FME. «On m’a d’abord proposé une école à Casablanca qui délivre un bac+2. J’ai refusé. Je connais mon potentiel et je veux bac+5», martèle avec détermination Rachida. Elle entre donc à l’Institut des hautes études économiques et Sociales (IHEES) à Casablanca. A 22 ans, elle obtient un master en management financier. Après un stage à Attijariwafa bank, elle se retrouve à la Société de Bourse de Casablanca. Son parcours vient juste de commencer, et elle compte aller plus loin puisqu’elle pense déjà à un master en audit en France. En tout cela elle n’oublie pas la fondat
b
22 décembre 2009 19:59
suite et fin de l'article

«Sans elle, je n’aurais jamais imaginé devenir ce que je suis. Je me considère chanceuse, une fille de la campagne n’a, en fait, que très peu de chance de faire ce que j’ai fait». Ibtissam Jaâfari figure également parmi ces profils qui intéressent la fondation. Issue elle aussi de la Maison de bienfaisance de Béni-Mellal, elle a réussi un joli parcours à l’IHEES. Elle est aujourd’hui comptable dans un hôtel géré par le groupe Accor.
Yassine Zniber, un autre lauréat de la fondation, est issu, lui, de la Maison de bienfaisance d’Aïn-Chok à Casablanca. Il a fait, grâce à la fondation, l’Ecole polytechnique dans la même ville pour devenir ingénieur et intégrer une multinationale. Et M.Berrada de se féliciter que «plus de 60% de ces jeunes sont majors de leurs promotions, et il nous arrive d’atteindre les 80% dans les meilleures écoles supérieures privées. Ces résultats honorent la fondation, et les écoles privées qui les ont formés». Ces écoles engagées dans ce processus de bienfaisance ont dépensé et dépensent encore bénévolement, pour les former, des sommes non négligeables.
Pour parrainer ces jeunes, les accompagner et les insérer dans le monde du travail, il a fallu la contribution de 134 chefs d’entreprises et cadres dirigeants. Outre les bourses pédagogiques des écoles supérieures privées ou des écoles de formation professionnelle, la fondation octroie pour chacun de ces étudiants une bourse de 900 DH par mois (logement, alimentation, transport...), sans parler d’autres dépenses de mise à niveau linguistique et de fournitures scolaires.
Un étudiant coûte aux école supérieures privées chaque année une moyenne de 45 000 DH, soit 225 000 DH pour une formation qui dure cinq ans. A la fondation, on avance le chiffre d’environ 42 MDH de bourses distribuées depuis sa création, par 60 établissements privés partenaires (37,6 MDH bourses pédagogiques et 4,5 MDH en bourses directes). Des bourses qui ont bénéficié à 141 garçons et 77 filles. La plus grande partie a choisi la filière TIC, le reste se répartit entre gestion, commerce, management, finances, assurance, marketing, paramédical ou encore tourisme, électronique et droit...
122 étudiants poursuivent encore leurs études, tous boursiers. M. Berrada regrette une chose : malgré les 150 bourses pédagogiques annuelles proposées par les écoles supérieures, il ne peut prendre que 40 recrues (34 en 2009-2010) à cause du manque de moyens. «Si on pouvait prendre les 150 bourses par an, on aurait à la fin de la 5e année 750 recrues, si on multiplie les 750 par 12 et par 900, cela donnera quelque 8 MDH par an. Mais en réalité c’est dérisoire si l’on tient compte de la valeur ajoutée que produiraient ces 750 diplômés dans un Maroc qui souffre encore d’un manque en ressources humaines», estime le président de la FME. Pour recruter plus de candidats, la fondation devra trouver davantage de sources de financement, sachant que l’essentiel provient actuellement de l’Entraide nationale (50%), du ministère de la famille et de la solidarité (25%), le reste étant assuré par quelques fondations privées (Fondation BMCI, CDG, Lafarge...).
b
31 décembre 2009 23:49
Assalam,

Kouli 3am Wa antoum bi5air

Du fond du coeur ,meilleurs voeux pour l'année 2010 ...

Plein de tendresse,d'amitié,de participation,d'engagement,de partage,d'amour, de pardon, de

tolérance et la liste et non exhaustif ...






bara
M
4 janvier 2010 00:22
Salam à tous,

A l'occasion de la nouvelle année 2010, je vous présente mes voeux les plus chaleureux. Que cette année soit riche en rêves et en projets, et qu'elle vous permette d'en réaliser le plus grand nombre.

Je ne peux vous présenter mes voeux sans aller dans le fond de mes pensées. Des pensées pour les enfants sans enfance, les adolescents en souffrance, les plus démunis en partance vers l'espoir, vers une transformation sociale et politique, vers un Maroc solidaire et humain. L'ignorance de la citoyenneté n'est pas le pire. Le pire, c'est de ne pas combattre cette ignorance qui reste l'ennemi de la connaissance, de la conscience.

La citoyenneté n'est pas seulement l'exercice de la désignation "démocratique" de la représentation parlementaire ou communale. La citoyenneté c'est l'action pour le bien être social et culturel. C'est la construction des attitudes de responsabilité, de tolérance, d'engagement, de solidarité. Aïn Chock comme d'autres quartiers de Casablanca sont des lieux d'apprentissage, d'action, de construction et de transformation.


Que cette année soit une année de lutte, d'énergie et d'espoir pour le peuple palestinien et tous ceux qui soutiennent son légitime combat pour recouvrer ses droits.


Bien cordialement, Massoud
"Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien; si tu possèdes peu, donne de ton coeur" Proverbe de chez nous. "La mutualisation, le partage des richesses est un devoir citoyen" Un de mes principes
M
4 janvier 2010 00:28
Citation
BARA222 a écrit:
Assalam,

Kouli 3am Wa antoum bi5air

Du fond du coeur ,meilleurs voeux pour l'année 2010 ...

Plein de tendresse,d'amitié,de participation,d'engagement,de partage,d'amour, de pardon, de

tolérance et la liste et non exhaustif ...



bara

Wa alaykoum assalam Si Bara,

Avec une extrême simplicité et modestie, je te remercie pour ces voeux significatifs... Merci encore.

Massoud
"Si tu as de nombreuses richesses, donne de ton bien; si tu possèdes peu, donne de ton coeur" Proverbe de chez nous. "La mutualisation, le partage des richesses est un devoir citoyen" Un de mes principes
b
30 janvier 2010 00:03
Casablanca: Le parc d’Aïn Chock rénové

· Après 14 mois de travaux

· Il sera ouvert en fin d’année

· Coût du projet: 9 millions de DH

Après Murdoch et Alesco, c’est au tour du parc d’Aïn Chock d’être rénové. Il a fallu près de 14 mois de travaux pour rendre agréable cet ancien espace de jeux, situé tout près de la mosquée d’Aïn Chock.
Ce «prétendu» jardin était livré à l’abandon et ne ressemblait pas du tout à un parc. Aujourd’hui, la métropole peut jouir d’un nouvel espace vert qui offre aux habitants un paysage purement naturel. «Plus de 90% de la superficie de ce vieux parc étaient en béton. Ce qui était loin de lui procurer une ambiance vivace et naturelle», indique Omar El Asri, chef de la division des espaces verts et pépinières au Conseil de la ville de Casablanca.
L’idée était, donc, de transformer l’endroit dans son intégralité. Un investissement de quelque 9 millions de DH a permis de doter l’arrondissement d’Aïn Chock d’un véritable espace de détente. Les habitants seront, ainsi, accueillis dans un domaine de quatre hectares aménagé en une oasis de calme, de verdure et de convivialité. Sa réouverture, prévue dans quelques semaines, coïncidera avec le début de l’année. Les responsables du projet finalisent la plantation des fleurs et la construction d’un bloc sanitaire. Les travaux, qui ont débuté en octobre 2008, sont, aujourd’hui, presque achevés. Et le résultat est saisissant.
A noter que le projet s’inscrit dans le cadre d’une convention signée en septembre 2006 entre le Conseil de la ville et la Direction générale des collectivités locales (DGCL) pour la restauration des parcs, jardins et espaces verts de la ville. Le financement est assuré par les deux parties. Le marché a été adjugé à la société GPC qui s’est chargée des travaux de terrassement et de génie civil. Ainsi, il a été procédé à la démolition des allées en béton, des anciens socles et de tous les bâtiments et constructions anarchiques. Le parc a été équipé d’un réseau d’arrosage automatique. Un système qui permet de réaliser de substantielles économies tout en améliorant l’entretien de la pelouse et du jardin. L’apport en eau étant plus précis et mieux dosé, notamment dans le cas du goutte-à-goutte, contrairement à l’arrosage traditionnel qui se révèle plutôt excessif. «Avec l’arrosage automatique, les plantes reçoivent la quantité d’eau suffisante, au moment opportun», explique El Asri. Et de renchérir, «à cet effet, une bâche à eau a été construite pour recevoir l’eau d’un puits qui servira à l’arrosage».
Le système installé ne sera que plus efficace et les économies d’autant plus grandes. Par ailleurs, le parc a été doté d’un réseau d’éclairage moderne. Une clôture a été construite pour le protéger. Et pour le rendre plus accessible, cinq portes d’accès et de sortie ont été créées. De plus, près de 90 bancs dotés d’un éclairage sophistiqué ont été mis en place. «Nous offrons, grâce à ce projet, l’occasion au grand public de profiter pleinement de la beauté de la nature en découvrant une panoplie de plantes dans un cadre convivial», souligne le responsable. Et pour le plaisir des enfants, des aires de jeux, dont des toboggans sont en cours d’installation. Côté accessibilité, une voie reliant les boulevards de Fès et de Témara a été spécialement ouverte à la circulation. Histoire de rendre le parc plus visible. Or, cette ruelle pourrait poser un vrai problème de sécurité aux enfants, puisqu’elle s’est transformée en une véritable «piste d’atterrissage» pour les automobilistes.
Un autre espace de détente et de loisirs sera bientôt ouvert au grand public. Il s’agit du parc préfectoral d’Aïn Sebaâ (cf.www.leconomiste.com du 07/08/09). «Il ne reste plus que l’installation des bancs et des lampadaires et la construction de quelques aires de jeux», indique-t-on auprès du Conseil de la ville. C’est une superficie d’environ huit hectares qui fait actuellement l’objet de réaménagement et de réfection. Les efforts sont, ainsi, concentrés sur une première tranche, et ce, depuis mars dernier. La deuxième partie du projet concernera les 14 hectares restants et sera lancée ultérieurement.

Bouchra SABIB
y
6 mars 2010 21:21
Bonjour,

J'ai vu vos commentaires et vos souvenirs j'en suis très ému , moi aussi j'ai fait mes études primaires à aljanoubia ( ibn khaldoun) de 65/66 à 70/71 et à ibn zaidoune de 71/72 à 78/79 ( collège + lycéé ) des souvenirs inoubliables , d'abord à eljanoubia avec les profs : Si NOUHASS - Si miftah - DOFRALLAH - ELAMIRI ( le catcheur)-NASR ALLAH- et d'autre dont j'ai oublié les noms ( lah yarhamhoum ila matou ).Pour les anciens copains et copines , je me rappelle qu'en 67 en CE2 avec Si MEFTAH on était une classe mixte il y avait KHADIJA FEKKAK ( de BEN AHMED) , BAROUNI AMAL , GHOUTANI , AGGAD , FAYTAH , OMARI , AZEKRI , TAROUS , HALINE et la liste et longue.
à ibn zaidoune je me rappelle d'un prof de l'éducation islamique SI HATIMI , ou l'inoubliable AITOUNI ( éducation sportive ) on a été sa 1ere classe en 72 , je me rappelle de sa phrase inoubliable " yallah deux par deux à coté de jnab lhaite" , il y' avait Mme Rouillère , Mr et Mme OGER , Mr LISCLIDE , et la petite dame ( MARTOURI) avec les minijupes et la décapotables qui sortait avec le gardien.
Un autre souvenir des zayanes dans les camions militaires lors des greves habituelles de chaque mois de mars , c'était vraiment des souvenirs inoubliables et il y avait une grandes solidarité entre les éléves filles et garçons on était vraiment des freres et soeurs , meme le cadre était très agréable le lycée était au milieu des champs de blé à perte de vue jusququ'à sidi massoud.
J'aimerais bien avoir une photo de classe de cette époque , surtout celle de 65 on a étudié la moitié de l'année dans la cantine et l'autre moitié à l'école panoramique à coté de la grande mosquée.

à bientot

Mohamed
b
8 mars 2010 23:08
Citation
yourmomo a écrit:
Bonjour,

J'ai vu vos commentaires et vos souvenirs j'en suis très ému , moi aussi j'ai fait mes études primaires à aljanoubia ( ibn khaldoun) de 65/66 à 70/71 et à ibn zaidoune de 71/72 à 78/79 ( collège + lycéé ) des souvenirs inoubliables , d'abord à eljanoubia avec les profs : Si NOUHASS - Si miftah - DOFRALLAH - ELAMIRI ( le catcheur)-NASR ALLAH- et d'autre dont j'ai oublié les noms ( lah yarhamhoum ila matou ).Pour les anciens copains et copines , je me rappelle qu'en 67 en CE2 avec Si MEFTAH on était une classe mixte il y avait KHADIJA FEKKAK ( de BEN AHMED) , BAROUNI AMAL , GHOUTANI , AGGAD , FAYTAH , OMARI , AZEKRI , TAROUS , HALINE et la liste et longue.
à ibn zaidoune je me rappelle d'un prof de l'éducation islamique SI HATIMI , ou l'inoubliable AITOUNI ( éducation sportive ) on a été sa 1ere classe en 72 , je me rappelle de sa phrase inoubliable " yallah deux par deux à coté de jnab lhaite" , il y' avait Mme Rouillère , Mr et Mme OGER , Mr LISCLIDE , et la petite dame ( MARTOURI) avec les minijupes et la décapotables qui sortait avec le gardien.
Un autre souvenir des zayanes dans les camions militaires lors des greves habituelles de chaque mois de mars , c'était vraiment des souvenirs inoubliables et il y avait une grandes solidarité entre les éléves filles et garçons on était vraiment des freres et soeurs , meme le cadre était très agréable le lycée était au milieu des champs de blé à perte de vue jusququ'à sidi massoud.
J'aimerais bien avoir une photo de classe de cette époque , surtout celle de 65 on a étudié la moitié de l'année dans la cantine et l'autre moitié à l'école panoramique à coté de la grande mosquée.

à bientot

Mohamed


Salam si Mohamed,

Hélas! je n'ai gardé que cette photo de classe avec si Dafr Allah comme instituteur et ne me demande surtout pas les noms de mes camarades de classe à part quatre où cinq ...peut-être d'autres...pardon pour le temps qui passe...

[img398.imageshack.us]


cordialement
bara
s
21 novembre 2010 23:15
salam

j'ai lu votre discussion à propos de l'école ibn khaldoun (aljanoubia) et ibn zaidoun. ça m'interesse aussi de retrouver des photos de classes de1967 à 1973 même si c'est long et difficile. chokran
a
10 juin 2012 16:35
natif d'ain chock bien que je sois né à derb soltane dont je n'ai aucun souvenir (sauf ce que me racontent mes parents). mais ain chock c'est mon enfance, mon adolescence jusqu'au bac. Qui ne connaît pas si lhoussine. moi c'est rue 120 en face de derb kdim.
souvenirs souvenirs c'est jhonny ki chante.
je n'ai plus mis les pieds à ain chock depuis bientôt 10 ans. si un(e) ancien (ne) m'invite à prendre un thé, j'irais volontiers.lol
s
19 juin 2016 17:18
Bjr,
Je ne sais si l'objectif de cette association a pris le jour ou non . Pouvez-vous me renseigner via mon facebook : je souhaite créer ou reprendre cette initiative. Bien à vous .
[email protected]
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