Un témoignage intéressant qui résume la souffrance de la plupart des immigrés qui passent leurs vies à travailler dur pour le bien-être de leurs familles, pour se retrouver, en fin de compte, emprisonnés dans un foyer jusqu'au jour du départ définitif de ce merveilleux monde. On oublie que ces êtres humains, contrairement à la machine, ont besoin d'être entourés de leurs familles et leurs progénitures pour combler le vide affectif et émotionnel que le monde moderne en est responsable.