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Chant et récitation de poèmes Ibn Qayyim al-Jawziyya
t
18 juillet 2005 14:45
salam, bonjour,

Chant et récitation de poèmes

Ibn Qayyim al-Jawziyya écrit dans son livre, Vol. 1, page 489:

Le Prophète (s) a recommandé à Aicha de permettre à deux dames de chanter le jour de la cId. Il dit à Abou Bakr: «Laisse-les chanter parce que pour chaque nation il y a une fête et celle-ci est la nôtre.»


Ibn Qayyim commente que le Prophète (s) donnait aussi la permission de chanter pendant les cérémonies de mariage et, comme on l'a déjà dit, autorisait la poésie à son égard. Anas ® et les autres Compagnons louaient le Prophète (s) et récitaient ce poème avant la célèbre bataille des tranchées:

Nous sommes ceux qui avont prêté serment de loyauté à Mouhammad
pour la jihad aussi longtemps que nous serons en vie.


Ibn Qayyim mentionne aussi le long poème de cAbdoullah ibn Rawaqui où ce dernier chanta les éloges du Prophète (s) à son entrée à la Mecque, après cette audition le Prophète (s) pria pour lui. Il pria aussi pour un autre poète, assan ibn Thabit, afin qu’Allah le soutienne avec le Saint-Esprit. Similairement, Kacb ibn Zoubayr fut récompensé d'une robe par le Prophète pour son poème. Le Prophète demanda à Aswad ibn Sari de composer des poèmes louant Allah, et demanda à un autre de réciter le poème de 100 vers que Oumayyah ibn Abi al-al avait composé. Ibn Qayyim continue, «cA'icha récitait tout le temps des poèmes à sa louange et il les appréciait.»

Oumayyah ibn Abi al-Salt est un poète de la Jahiliyya qui est mort à Damas avant la venue de l’Islam. Il était un homme pieux qui évita l’alcool et l’adoration des idoles, comme cela fut rapporté par Dhahabi dans Siyar a`lam al-noubala' (2:23).

Au décès du Prophète, Hassan ibn Thabit récita cette éloge funèbre:

Je dis, et personne ne peux me taxer d’être dans l’ erreur,
Sauf celui dépourvu de tous les sens:
Je ne cesserai jamais de le louer.
Il se peut que faire cela m’éternise au Paradis
Avec l’Elu dont mon espoir réside en son support.
Et pour atteindre ce jour j’applique tous mes efforts.



Chant et récitation du Coran

Ibn al-Qayyim dit dans son livre Madarij as-Salikin:

Allah donna la permission au Prophète de réciter le Coran mélodieusement. Abou Moussa al-Achcari récitait un jour le Coran d'une voix mélodieuse et le Prophète (s) l'écoutait. Lorsqu'il eut finit, le Prophète le félicita pour sa belle voix et l'assura qu’Allah lui avait donné un mizmar (une flûte) comme celle de Daoud (as). Abou Moussa répondit: «O Messager d’Allah, si j'avais su que vous m'écoutiez, je l'aurais récité avec plus de mélodie et avec une plus belle voix, une voix que vous n'avez jamais entendu auparavant.»


Ibn Qayyim continue en disant que le Prophète a dit: «Décorez le Coran avec votre voix» et «Celui qui ne chante pas le Coran n'est pas des nôtres.»

Ibn Qayyim commente à la page 490:

«Prendre plaisir à écouter une belle voix est acceptable, comme on prend plaisir à un beau paysage aux montagnes, à la nature, à une odeur agréable ou à un bon repas, aussi longtemps que cela est en conformité avec la Charica. Si écouter une belle voix est haram, de même prendre plaisir à toutes ces choses est aussi aram.»


Ibn Qayyim conclue à la page 498:

Ecouter une belle voix célébrer l'anniversaire du Prophète (s) ou célébrer n'importe quel autre jour important de notre histoire procure la paix et achemine au cœur de l'auditeur la lumière du Prophète (s), et il boira de la source de Mouhammad (s) (al-cayn al-Mouammadiyya).

p
18 juillet 2005 14:51
salamu aleikoum


*************L’avis juridique sur les anashids dits islamiques*************



















-------Les chansons-------




Question : A son éminence cheikh ‘Abdul-‘Azîz Ibn Bâz. Salut d’Allah sur vous, ainsi Sa miséricorde et Sa bénédiction. Quel est le regard de la religion sur la chanson ? Est-elle un péché, même si je ne l’écoute que par distraction ? Quel est le regard de la religion sur le fait de jouer d’un instrument de musique, ar-Rabâba (sorte de violon) et de chanter des chansons traditionnelles ? Est-il illicite de taper sur un tambour pendant les mariages ? J’ai entendu que c’était licite, mais je ne sais pas. Qu’Allah vous récompense et raffermisse vos pas.

Réponse : Ecouter les chansons est un péché, un acte abominable et fait partie des causes des maladies des cœurs, de leur endurcissement et de leur rejet du rappel d’Allah et de la prière. La plupart des exégètes ont commenté la parole d’Allah le Très-Haut : « Et parmi les hommes, il est [quelqu’un] qui, dénué de science, achète de plaisants discours » (Luqmân, v. 6) par les chansons. En effet, ‘Abdullah ibn Mas’ud, qu’Allah l’agrée, jurait que les « plaisants discours » signifiaient la chanson. L’interdiction est encore plus sévère si la chanson est accompagnée d’instruments, comme ar-Rabâba, le violon, le luth et le tambour. Certains savants ont dit qu’il y avait un consensus sur l’interdiction de la chanson accompagnée d’instruments. Par conséquent, il faut s’en écarter. Le Messager d’Allah (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Il y aura dans ma communauté des gens qui rendront licite l’adultère, la soie, le vin et les instruments de musique.» (Bukhârî, 5590)
Je te conseille ainsi qu’à tous les musulmans donc, d’écouter la station de radio Al-Qur’ân al-Karîm et le programme Nûr 'ala ad-Darb, car ils sont d’une très grande utilité et t’éviteront d’écouter les chansons et les instruments de musique.







Concernant le mariage, il est permis de frapper le Duff (sorte de tambourin) et de chanter des chansons qui n’incitent pas au péché et ne font pas l’éloge du péché. Cela ne doit être fait que par les femmes au moment de la nuit pour annoncer le mariage, afin de différencier le mariage licite de la fornication, comme cela a été souligné dans la Sunna authentique. Par contre, il n’est pas permis de frapper le tambour (Tabl) pendant le mariage : on doit se restreindre seulement au Duff. Il n’est pas non plus permis d’utiliser les haut-parleurs pour annoncer le mariage, même si on chante des chansons permises à cause de ce que cela peut engendrer comme mal aux musulmans. Il n’est pas permis non plus que cela dure longtemps, mais un temps court suffit pour annoncer le mariage, car veiller tard empêche de se lever pour la prière du Fajr. Et ceci est un des grands péchés et un acte des hypocrites.




Cheikh Ibn Bâz, in Magazine ad-Da’wa, n°902, Chawâl 1403H.






- 2



------Les tambours et les chants dans les occasions----------





Question : Dans certaines occasions, nous utilisons les tambours accompagnés de chants islamiques, et nous passons une partie de la nuit comme ça. Mais une personne nous a réprimandés à ce sujet. Notre acte est-il répréhensible, c’est-à-dire l’utilisation des tambours et des chants, sachant que ces chants ne contiennent pas de paroles malsaines ? Informez-nous, qu’Allah vous récompense.




Réponse : Je ne connais pas de texte autorisant l’utilisation des tambours et ce qui est évident dans les hadiths authentiques est qu’il est interdit d’en jouer, au même titre que les autres instruments de musique, comme le luth ou autre. Parmi les hadiths, il y a celui dans lequel le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit : « Il y aura dans ma communauté des gens qui rendront licite la fornication, la soie, le vin les instruments de musique et les chansons (Ma’âzif). » (Bukhârî, 5590) et le terme Ma’âzif comprend tous les instruments de musique et les chansons.




Revue des Recherches Islamiques, n° 38, p. 144, cheikh Ibn Bâz.








- 3 –



------------Les chansons islamiques (Anâchîd Islâmiyya)-----------





Question : Nous sommes conscients de l’interdiction des chansons aujourd’hui, en raison de leurs paroles vulgaires, obscènes et futiles, et l’utilisation des instruments de musique. Nous sommes des jeunes musulmans dont Allah a éclairé les cœurs, et nous avons besoin d’un substitut. Nous avons alors choisi les chansons islamiques (Anâchîd Islâmiyya) qui contiennent de l’exaltation, de l’émotion, ainsi de suite. Ces Anâchîd sont sous forme de vers poétiques [...]. Quel est le regard de la religion sur ces Anâchîd islamiques qui ne contiennent que des paroles ferventes et de l’émotion, écrites par des prêcheurs contemporains et passés, et des paroles sincères qui décrivent l’islam et y invitent ? Comme ces Anâchîd sont accompagnés du Duff (sorte de tambourin), est-il permis de les écouter ? Je sais, et ma science est limitée, que le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a permis de frapper du tambour la nuit du mariage. Faites-nous profiter de votre science, qu’Allah vous guide vers ce qu’Il aime et agrée.




Réponse : La réponse du Comité est la suivante : vous avez dit vrai quant à l’interdiction des chansons tels qu’on les connaît aujourd’hui, à cause de leurs paroles vulgaires et malsaines, sans aucun bien, mais qui sont plutôt source de distraction futile, et d’excitation des passions, des instincts charnels et de la perversion, qui pousse celui qui les écoute vers le mal. Qu’Allah nous guide vers ce qu’Il agrée.







Il est donc permis de remplacer cela par des chants islamiques contenant des sagesses et des rappels qui incitent à la ferveur, à la défense de la religion, qui excitent les émotions islamiques, éloignent du mal et de ses causes, afin de pousser celui qui les écoute à obéir à Allah, à s’éloigner de Sa désobéissance, de la transgression de Ses limites, et incitent au Jihâd dans la voie d’Allah.




Cependant, on ne doit pas prendre cela comme une habitude qu’on garde, mais on peut les écouter de temps en temps, dans des occasions comme le mariage, en voyage pour le Jihâd dans la voie d’Allah et autre, ou quand il y a un découragement pour le bien, afin d’inciter les gens à faire le bien, et quand les âmes penchent vers le mal, afin de réprimer ce penchant et de les en écarter.




Mais il est préférable de lire une partie du Coran et un ensemble de rappels prophétiques authentiques, car c’est le meilleur moyen pour purifier les âmes, le plus sûr pour apaiser les cœurs. Allah, le Très-Haut a dit : « Allah a fait descendre le plus beau des récits, un livre dont [certains versets] se ressemblent et se répètent. Les peaux de ceux qui craignent leur Seigneur frissonnent [à l’entendre] ; puis leur peau et leur cœur s’apaisent au rappel d’Allah. Voilà [le Livre] guide d’Allah par lequel Il guide qui Il veut. Mais quiconque Allah égare n’a point de guide. » (Az-Zumar, v.23) et « Ceux qui ont cru, et dont les cœurs se tranquillisent à l’évocation d’Allah. N’est-ce point par l’évocation d’Allah que se tranquillisent les cœurs ? * Ceux qui croient et font de bonnes œuvres, auront le plus de bien et aussi le meilleur retour. » (Le Tonnerre, v. 28-29.)
Le quotidien des Compagnons et leur préoccupation étaient d’accorder la plus grande importance au Livre d’Allah et à la Sunna du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, en les étudiant, en les apprenant par cœur et en les mettant en pratique. Mais ils avaient des refrains ou des phrases courtes qu’ils déclamaient par exemple, lors du creusement de la tranchée autour de Médina, la construction de la mosquée, dans le Jihâd et d’autres circonstances, sans que cela soit leur devise et sans leur consacrer toutes leurs préoccupations et tous leurs soins, mais seulement pour réconforter leurs âmes et raviver leurs sentiments.




Par contre, le tambour et tout autre instrument de musique ne doivent pas accompagner ces chants, car le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, et ses Compagnons ne l’ont pas fait. C’est Allah Qui guide vers le droit chemin et prières et salut d’Allah sur notre Prophète Muhammad, sa famille et ses Compagnons.




Le Comité Permanent de l’Ifta, Fatâwâ Islamiya (4/532-534).




Remarque : Bien que cette fatwa est en apparence, moins radicalement défavorable aux Anashid, nous espérons que les lecteurs sauront relever toutes les nuances qu’apporte le Comité Permanent de l’Ifta, et la différence entre ce que le Comité autorise et ce que les gens font aujourd’hui, qui est comme la différence entre la nuit et le jour !




- 4 –



----------Un mot sur les Anashîd islamiques--------------





Cheikh Nasiruddin Al-Albâni – rahimahullah – a écrit dans son livre Tahrîm Âlât it-Tarb (l’interdiction des instruments de musique), p. 181 :




« Un mot sur les Anashîd islamiques




Il ne me reste, pour conclure ce livre qui sera utile – si Allah le veut - qu’à dire un mot sur ce qu’on appelle les Anashîd islamiques ou les « chants religieux », en disant :
Au chapitre 7, nous avons montré les formes de poésie qui étaient autorisées de chanter et celles qui ne l’étaient pas, comme nous avons montré que tous les instruments de musique sont interdits sauf le Duff, pour les femmes, à l’occasion des fêtes et des mariages.
Dans ce dernier chapitre, nous disons qu’il n’est autorisé de se rapprocher d’Allah (ou de L’adorer) que de la manière qu’Il a prescrite, donc, comment peut-on se rapprocher de Lui de la manière qu’Il a interdite ? C’est suivant cette règle que les savants ont interdit le chant des soufis, et qu’ils ont réprouvé avec encore plus de vigueur celui qui les considère comme licites. Si le lecteur garde à l’esprit ce principe solide, il lui apparaîtra clairement qu’il n’y a aucune différence entre les raisons de l’interdiction des chants soufis et les raisons de l’interdiction des Anashîd.







Mais en réalité, ils se trouvent dans ses Anashîd un autre défaut, qui est qu’ils se chantent à la manière des chants interdits : ils se jouent selon les règles musicales arabes ou occidentales qui divertissent les auditeurs, les font danser, et leur font perdre la maîtrise d’eux-mêmes. Donc, le but ici est de chanter et se divertir et non pas le chant en lui-même. Ceci constitue une nouvelle infraction (à la Sharî’a), qui est le fait de vouloir ressembler aux mécréants et aux débauchés.




Et à la suite de cela, il se produit une autre infraction, qui est de leur ressembler dans leur rejet du Coran et le fait qu’ils s’en détournent ; ils entrent ainsi dans le sens général de la plainte du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, à prpos de son peuple (Quraysh), comme Allah le dit : « Et le Prophète a dit : « Seigneur, mon peuple s’est détourné de ce Coran… ».




Et je me rappelle parfaitement, lorsque j’étais à Damas, deux ans avant que je ne m’exile ici (à Amman), que certains jeunes musulmans se mirent à chanter des Anashid dont les paroles étaient saines, dans l’intention de contrer les chants soufis tels que les poèmes de Bussayri (contenant des paroles de Kufr) et autres, et ils enregistrèrent cela sur cassettes, et il ne se passa que peu de temps jusqu’à ce qu’ils se mirent à accompagner leurs chants du Duff ! Et au début, on ne les écoutait que dans les mariages, selon le principe que le Duff n’est autorisé que dans les mariages. Puis, les cassettes se diffusèrent et elles furent copiées, et on se mit à les écouter dans de nombreux foyers, et les gens commencèrent à les écouter nuit et jour, dans les fêtes et en dehors des fêtes. Et ceci devint leur distraction et leur habitude, et cela ne se produisit que par la force des passions, et l’ignorance des ruse de Satan.




Ces chants les détournèrent et ils n’accordèrent plus d’importance au Coran et ne l’écoutèrent plus, sans parler du fait de l’étudier, et ils s’en détournèrent comme c’est cité dans le verset au sujet duquel Al-Hâfidh Ibn Kathîr a dit dans son Tafsîr (3/317) : « Allah dit, à propos de Son Prophète, prière et salut d'Allah sur lui : « Et le Prophète a dit : « Seigneur, mon peuple s’est détourné de ce Coran… », car les polythéistes n’entendaient pas le Coran et ne l’écoutaient pas, comme Allah dit : « Et ceux qui ont mécru ont dit : « N’écoutez pas ce Coran et distrayez-vous en… » ; et lorsqu’un verset était récité, ils faisaient davantage de vacarme et discutaient, pour que personne n’écoute, et ceci est parmi leurs actes de rejet (du Coran), et de manque de foi en lui ; et le fait qu’ils n’y croyaient pas fait partie de leur rejet, et le fait de ne pas le méditer et de ne pas chercher à le comprendre fait partie de leur rejet, le fait de ne pas l’appliquer fait partie de leur rejet, le fait de ne pas s’abstenir de ses interdits et de ne pas appliquer ses ordres fait partie de leur rejet, et le fait d’y renoncer pour (se tourner vers) la poésie, les propos, les chansons, les divertissements ou les discussions ou d’autre formes, fait partie de leur rejet.
Je demande à Allah le Généreux, Celui Qui accorde toute chose, Celui Qui est Capable de ce qu’Il veut, de nous éloigner de tout ce qui provoque Sa colère, et qu’il m’utilise dans ce qui Le satisfait, comme le fait de préserver et retenir Son Livre et le comprendre, et de l’appliquer, jour et nuit, de la manière qu’Il aime et qui Le satisfait. Il est certes Généreux et Celui Qui accorde. »




Cheikh Muhammad Nasiruddîn Al-Albânî, rahimahullah.
Amman, 28/6/1415 (1995 environ)









A lire sur le sujet :




Un livre intitulé Al-Qawl ul-Mufîd fi Hukm il-Anashîd, avec des fatwas des savants Ibn Uthaymîn, Fawzân, Albani… éditions Mektebat ul-Furqân (EAU).
Fi khidmate din attawhid inchallah.
t
18 juillet 2005 15:06
salam, bonjour,

Je cite des savants du salaf et toi du khalaf ? Est ce que les anciens savants ne sont ils plus connaisseur en avis Islamique ?

tawmat
p
18 juillet 2005 20:43
Ibn Qayyim conclue à la page 498:

Ecouter une belle voix célébrer l'anniversaire du Prophète (s) ou célébrer n'importe quel autre jour important de notre histoire procure la paix et achemine au cœur de l'auditeur la lumière du Prophète (s), et il boira de la source de Mouhammad (s) (al-cayn al-Mouammadiyya).


donne moi le nom du livre qui di ceci.
Ibn Al Qayyim est innocent de vos mensenges ya akhi.

ramene moi juste le nom du livbre et je te croirai
Fi khidmate din attawhid inchallah.
t
18 juillet 2005 20:59
salam, bonjour,

Cela prouve que vous ne lisez seulement ce que vous voulez lire smiling smiley

tawmat
p
18 juillet 2005 22:38
non ya akhi, passe moi juste le nom du livre, on est tous la pour apprendre subhana allah.
t
19 juillet 2005 00:08
salam, bonsoir,

Le titre du livre est dans le poste c'est cela que je voulais dire en disant que tu ne lisais qu'à moitié.

tawmat
H
20 juillet 2005 05:13
Bismillah

As-Salamou 'alaikoum

Tinky, Tinky Tinky!

Pourquoi tu joue toujours avec les mots comme les juifs!

Ce matin avant de partir travailler, j'ai vu ton post et je n'avais pas le temps de répondre ni de retourner au livre de Madarij As-Salikine, toutefois je savais que ce que ca n'avais aucun rapport avec ce que dit l'Imam Ibnoul-Qayyim.

Subhaanallah! Ibnoul-Qayyim Al-Jawziyyah et son Sheikh Ibn Taymiyyah son très clair au sujet de l'interdiction des chansons et de la musique!

Ce que tu as traduit comme étant les chansons n'a rien a voir avec la chanson :c'est le mot Samaa' qui veut dire l'écoute! Et Ibnoul-Qayyim l'a divisé en trois catégorie:

1-Ce qui est aimé d'Allah et de son messager dans ce qu'on écoute!

2-Ce qu'Allah déteste et hait de ce qu'on écoute et qu'Il a interdit.

3-Ce qui est neutre (Moubaah), ni détestable ni aimé!

Puis il a donné des exemples de chaque catégorie!

1-Comme exemple de la première catégorie: Il a clarifier que c'est l'écoute du Coran et avec soumission, compréhension, méditation et acceptation.

Et il dit: (C'est d'écouter les versets (Ayaats), non les vers (Abyaat). C'est l'écoute du Qor'an, non des flûtes du Shaytaan. C'est l'écoute de la parole du Seigneur de la terre et des cieux (Samaa). Non pas l'écoude des poêmes des poètes (Shou'araa). C'est l'écoute de ce qui nous guide (Maraashid), pas l'écoute des poêmes (Qasaaid). C'est l'écoute des prophètes et des messagers, pas l'écoute des chanteurs et des vocalistes.)

Et il dit plus loin: (Et O Allah quel chose étrange! Quel foi, quel lumièreou clairevoyance ou guidance ou savoir peu venir de vers récitée avec une belle voix? La pluspart de ce qu'ils disent est Harm et met Allah et son messager en colère et on en sera punit pour l'avoir entendu.


2-Comme exmple de la deuxième catégorie: Il dit que c'est d'écouter tout ce qui nuit au serviteur d'Allah dans son coeur et dans sa religion.

Et Il dit que c'est Al-Laghwou puis il mentionne des versets de Coran qui mentionne que les croyants s'éloignent du Laghwou et il cite Mohammad Ibnoul-Hanafiyyah qui dit qu'il s'agit de la chanson (Al-Ghina)!

Et ensuite il cite le compagnons Ibnou Mas'oud qui dit: (La chanson (Al-Ghina) plante l'hypocrisie (An-Nifaaq) dans le coeur.) Et il commente cela en disant: Voilà la parole de celui qui connait l'effet de la chanson et de ses conséquences. Car personne ne prend l'habitude d'écoute les chansons (Al-Ghina) sans que son coeur devienne rempli d'hypocrisie (Nifaaq) sans qu'il ne s'en rende compte! Et s'il connaissait la réalité de l'hypocrisie et son étendu, il l'aurait remarqué dans son coeur! Car il ne peu s'unir dans le coeur d'un serviteur, l'amour de la chanson et l'amour du Qor'an, sans que l'un chasse l'autre! Et nous avons observez la lourdeur du Qor'an pour les gens de la chanson et de ceux qui l'écoute! Et comment ils crient au reciteurs du Qor'an lorsqu'il prolongent leur lecture, et comment leur coeurs ne prifitent pas de ce qu'ils récitent...)

Puis il dit un peu plus loin: (Et parmi les choses les plus étonnantes, comment les gens qui aime la chanson ont utilisé comme argument pour déclarer la chanson acceptable: Le fait que les âmes aiment la musique de facon naturelle, et repose vers elle, et que l'enfant se calme en entendant une belle voix, et que facilite la marche des chameaux a porter les lourde chargent quand il entendent une belle voix... et comment ce serait Haram alors que Allah a permis au prophète paix et salut sur lui d'écouter la belle voix qui récite le Qor'an et que le prophète paix et salut sur lui a laissé 'Aisha d'écouté les deux petites filles le jours de l'Aid et les jours de mariage et que les Sahabahs récitaient des poèmes lorsqu'ils creusaient le jours de Khandaq et en d'autres occasions Ainsi que les poèmes de Hassan etc... (Je résume)

Puis il dit: (La réponse est que cet argument est un détournement du but, et un éloignement du réel conflit, car le fait qu'une chose soit plaisante et procure une jouissance quelconque ne prouve pas qu'une chose soit permise ni interdite, ni detestable ni recommendée. Car ce plaisir procuré peut faire parti des cinq règles : Haram ou Wajib, Makrouh, Moustahab ou Moubaah. Alors comment peut-on prendre le fait qu'un chose soit plaisante comme preuve qu'elle est permise???

Cette forme d'argumentation est semblable a celui qui prouver que l'adultère est permis a cause du plaisir qu'il procure a celui qui le fait et que personne ne peut nier son plaisir! Et est-ce que les instrument de musique, D'ON L'INTERDICTION EST RAPPORTÉ DE FACON AUTHENTIQUE PAR LE PROPHETE paix et salut sur lui en disant que parmi sa Oummah, un nombre de personne chercheront a les rendre licite, ce qui est rapporté selon une chaine authentique; et les savants sont d,accord sur l'interdiction de certain instrument, tandis que la majorité des savants ont interdit tous les instruments en bloc, est-ce que ces instruments-là ne procure pas de plaisir à l'écoute? Et est-ce que le fait que l'enfant et le chameaux ressente du plaisir a entendre une belle voix est une preuve que ce soit permis ou interdit?!... N'est-ce pas là la voie des gens qui déclare tout comme étant Halal et qui prétendent suivre le dessin de la nature?)

On peut donc voir que la véritée est que l'Imam Ibnoul-Qayyim interdit la chanson et la musique!

En ce qui concerne la partie ou tu cite qu'il a parler de la fête du prophète paix et salut sur lui, c'est pas écrit du tout! Tu as inventer ca!

Et quand tu dis que le prophète paix et salut sur lui a permis a deux 'dames' de chanter le jours de l'Eid!!! Ce n'est pas deux dames, c'était deux petites filles!!! (Jariyatain)!!!

Tinky, tu ments encore une fois Tinky!




Modifié 6 fois. Dernière modification le 21/07/05 08:02 par Harith.
Heureux celui qui apprend des erreurs des autres!
H
20 juillet 2005 06:19
Bismillah

As-Salamou 'Alaikoum

Il i a aussi des explications claires de l'Imam Ibnoul-Qayyim Al-Jawziyyah sur l'interdiction de la Musique et des chansons dans son livre: Ighathatoul-Lahfaan min masaayid Ash-Shaytaan!

C'est une bombe nucléaire sur la tête des gens de l'égarement ce Livre! smiling smiley
Heureux celui qui apprend des erreurs des autres!
 
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