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La fin des champs de plastiques!
23 août 2010 14:24
Adoption du projet de loi sur les sacs plastiques
La fin des champs de plastiques



Le projet de loi relatif à l'utilisation des sacs en plastique dégradables a enfin été adopté à l'unanimité ce mardi par la chambre des Conseillers. Un texte globalement bien accueilli, mais qui doit encore trouver des solutions à l'informel.

Le projet de loi relatif à l'utilisation des sacs en plastique dégradables a enfin été adopté à l'unanimité ce mardi par la chambre des Conseillers, le 6 juillet 2010. /caricature SC-aufait

120.000 tonnes de sacs, dont 75.000 de sacs de caisse et 45.000 de sacs à rayon alimentation sont produits annuellement au Maroc./DRConscients de la pollution que génèrent les sacs en plastique distribués tous les jours au Maroc, il y a quelques temps déjà que des consommateurs ressortent le panier en doum pour faire leurs courses.

C’était bien avant l’interdiction de la commercialisation des sacs noirs, entrée en vigueur le 1er avril cette année. Bien avant le projet de loi déposé le 11 juin, et que la chambre des Conseillers vient d’adopter à l'unanimité ce mardi. Un projet relatif à l'utilisation des sacs en plastique dégradables ou biodégradables, qui devra entrer en vigueur le 1er janvier 2011.

Le texte stipule l'interdiction de la fabrication des sacs et des sachets en plastique non dégradables et non biodégradables, et destinés à être commercialisés au niveau local. Il bannit également l'importation, la possession à des fins de commercialisation, l'exposition à la vente ou la distribution gratuite de ces sacs et sachets plastiques. Une initiative qui, rapporte Maghreb Arabe Presse, “vise essentiellement à protéger l'espace écologique de tonnes de sacs en plastique”. 120.000 tonnes, précise Bouchaïb Kasbane, président de l’Association Marocaine des Producteurs de Sachets et Sacs en Plastique (AMPSSP). Sans compter l'informel.

Des tonnes et des tonnes

Chaque année en effet, ce sont 120.000 tonnes de sacs, dont 75.000 de sacs de caisse et 45.000 de sacs à rayon alimentation, qui sont produits par un secteur qui emploie 11.000 personnes.

Ce projet de loi est une bénédiction pour la société Greenberry, implantée au Maroc depuis mai 2009, et qui produit des sacs biodégradables. Edwin Sluismans, son directeur, bien qu’il reconnaisse le surcoût (10 à 15%) qu’entraîne la fabrication de sacs oxo-biodégradables, le trouve nul comparé au gain environnemental que permet cette production, et à la bonne image que renvoient les sociétés qui en font le choix.

400 ans

Outre la pollution visuelle que causent les 30 à 40 milliards de sacs qui s’envolent à travers le Royaume chaque année (estimations de l’Association Marocaine de Plasturgie), Edwin Sluismans regrette la mise en circulation d’un sac “d’une durée de vie utile de quelques minutes à peine, du supermarché à la maison, et qui au mieux servira de sac-poubelle”, mais qui mettra environ 400 ans à disparaître. En laissant quelques molécules derrière lui.

C’est pourquoi Greenberry est fière de ses sacs “à durée de vie contrôlée”, de un an à un an et demi, et qui ne laissent comme souvenir de leur passage sur Terre que du CO2, de la biomasse et de l'eau. Ils ont d’ores et déjà remporté l’adhésion d'un opérateur téléphonique national.

Chez Unibag Maghreb, fabricant d’emballages plastiques, on accueille également ce projet de loi en tant qu’entreprise citoyenne, nous assure Elaridi Lhoucine Abdelouahed, directeur commercial. C’est-à-dire avec satisfaction, d’autant plus que l’entreprise “est adaptée à la fabrication de ce type d’emballages”. Elle a d’ailleurs déjà fourni plusieurs GMS (Grandes et Moyennes Surfaces) en sacs oxo-biodégradables.

Seul hic, le prix de l’adjuvant qui permet la dégradation des emballages. Les rares fournisseurs qui le proposent aujourd’hui le vendent à 134 Dh hors taxes le kilo, un prix largement supérieur à la moyenne des prix des additifs normalement utilisés, de 30 à 35 Dh, 50 Dh tout au plus. “Cela va augmenter le prix final du sac de 15% environ”, compte M. Elaridi, qui reconnaît que les GMS ont affiché leur mécontentement face à cette hausse dont elles font les frais. D’autant plus qu’elles ne peuvent économiser sur la quantité de matière première utilisée, en proposant des sacs plus fins, le projet de loi interdisant aussi les poches d’une épaisseur inférieure à 35 micromètres (pour les deux parois).

Et l'informel

De plus, selon le directeur commercial, dans un secteur où le clandestin est omniprésent, “on peut être sûr que ce ne sont pas les sociétés informelles qui vont acheter un adjuvant à ce prix”. Justement, pour assurer la traçabilité et le contrôle de la qualité des sacs mis sur le marché, le projet de loi introduit également l’obligation pour les fabricants de “labelliser” les sacs en y apposant un cachet qui informera sur leur composition, leurs normes techniques, leur date de production et leur validité. Des mesures qui vont “écraser l’informel”, prédit Bouchaïb Kasbane.

Restera alors, comme le conseille M. Elaridi, à sensibiliser les citoyens, comme prévu dans le plan du gouvernement, car dégradable, biodégradable ou même oxo-biodégradable, un sac ne doit pas être jeté dans la nature.

Biodégradable ?

Une substance est appelée biodégradable si elle peut, sous l'action d'organismes vivants, se décomposer en éléments divers dépourvus d'effet dommageable sur le milieu naturel.

Oxo-biodégradable?

Est oxo-biodégradable, toute matière qui subit une dégradation par un procédé à étapes multiples: un additif amorce la dégradation sous l'effet des rayons ultraviolets (UV) du soleil, et de la chaleur. Après fragmentation, les résidus disparaissent par biodégradation après un certain temps. Le plastique oxo-biodégradable peut être transformé en gaz carbonique et en eau par des micro-organismes qui s’en nourrissent.

Laïla Ziraoui

Dernière mise à jour : 07.07.2010 à 09:15

Source : La fin des champs de plastiques
v
23 août 2010 14:32
Tu m étonnes, au bled, tu as un plastique pour tout, tout, tout.. parfois il te le double sans raison..

Me suis bagarrée cet été avec moul7anout,pour qu'il ne me donne aucun sachet, et il comprenait pas pourquoi j'aimais pas les sacs en plastoche..

Tant mieux..
[color=#FF3300][b][center]☻☺☺☻Quand on est pas jolie, ptite, on reste polie.. ... ☻☺☺☻[/center][/b][/color]Si tu te fais tromper, je te propose [url=http://www.youtube.com/watch?v=33JxH-z8IIc&feature=related]Cette solution, à voir jusqu'au bout [/url]
L
24 août 2010 00:26
Les chiffres sont choquants !!
l
25 août 2010 23:23
salam boutrioult1,

J'apprends ce soir qu'au Maroc il y a un secteur formel eye rolling smiley

c'est simple, tu prend deux ouvriers marocains du même secteur, textile par exemple, l'un travaillant dans le secteur formel et l'autre dans le secteur informel, et tu pose la question suivante : labas bikhir? kidayra l7ala chwiya? lkhadma? kolchi fi aman allah?
Je peux t'assurer que les réponses sont sensiblement les mêmes. Pire, dans la plupart des cas, dans le secteur informel, ces ouvriers sont très souvent mieux lotis...au moins, il ont un panier par semaine (zwita, d9i9, sucre....), de temps en temps le mouton de l'Aîd et et il connaissent très bien leur employeur, il est la plupart du temps dans le magasin et ils fait souvent la prière du vendredi avec ses ouvrier et peut même en dépanner un en cas de coup dur (maladie, mariage des enfants...)

Dans le cas du secteur formel (surtout les multinationales), on achète une force de travail, on s'en tape de la vie des ouvriers, et le patron personne ne le connais (à part le DG et ses assistants).

autre chose, une entreprise informel n'est jamais complètement informel, au moins le Caid et le mokadem sont au courant et entre nous les prélèvement d'impôt, qu'il aille à l'État ou au Caid du coin (beaucoup moins d'impôt, du coup le patron peut payer plus ses employés), il n'y a pas grande différence, l'État marocain sait dilapider suffisamment l'argent du contribuable que ce dernier est dégoûter de payer ses impôts. Dans d'autre cas, l'entreprise est déclarée avec une vrai patente mais assimilée au secteur informel car aucune rigueur comptable...

Enfin,

Citation
a écrit:
La société étrangère dont tu parles est implanté au Maroc. Un investisseur étranger qui crée de l'emploi sur place...

sois sûr qu'il n y a pas de plus charognard que ces entreprises étrangère, avec les rapatriements de profit ce sont des centaine de litre de sueurs marocaines qui s'envolent vers l'étranger surtout...surtout qu'en général ses entreprises étrangère investissent dans des secteurs peu créateurs de valeur ajoutée (normal ils cherchent de la main d'œuvre bon marché). Et s'il s'agit d'un vrai IDE, l'investisseur achète en général une entreprise public très juteuse (et vraiment créatrice de valeur) bradée par les agents du makhzen (cas d'André azoulay par exemple), ce même makhzen que tu ne cesse de dénigrer ici même sur ce forum.

Tu vois c'est très compliqué bout
الزيت يخرج من الزيتونة والفاهم يفهم لغات الطير إلى ما تخرج كلمته ميزونة يحجرها في ضميره خير
c
26 août 2010 19:48
Citation
lmajdoub20600 a écrit:
salam boutrioult1,

J'apprends ce soir qu'au Maroc il y a un secteur formel eye rolling smiley

c'est simple, tu prend deux ouvriers marocains du même secteur, textile par exemple, l'un travaillant dans le secteur formel et l'autre dans le secteur informel, et tu pose la question suivante : labas bikhir? kidayra l7ala chwiya? lkhadma? kolchi fi aman allah?
Je peux t'assurer que les réponses sont sensiblement les mêmes. Pire, dans la plupart des cas, dans le secteur informel, ces ouvriers sont très souvent mieux lotis...au moins, il ont un panier par semaine (zwita, d9i9, sucre....), de temps en temps le mouton de l'Aîd et et il connaissent très bien leur employeur, il est la plupart du temps dans le magasin et ils fait souvent la prière du vendredi avec ses ouvrier et peut même en dépanner un en cas de coup dur (maladie, mariage des enfants...)

Dans le cas du secteur formel (surtout les multinationales), on achète une force de travail, on s'en tape de la vie des ouvriers, et le patron personne ne le connais (à part le DG et ses assistants).

autre chose, une entreprise informel n'est jamais complètement informel, au moins le Caid et le mokadem sont au courant et entre nous les prélèvement d'impôt, qu'il aille à l'État ou au Caid du coin (beaucoup moins d'impôt, du coup le patron peut payer plus ses employés), il n'y a pas grande différence, l'État marocain sait dilapider suffisamment l'argent du contribuable que ce dernier est dégoûter de payer ses impôts. Dans d'autre cas, l'entreprise est déclarée avec une vrai patente mais assimilée au secteur informel car aucune rigueur comptable...

Enfin,

Citation
a écrit:
La société étrangère dont tu parles est implanté au Maroc. Un investisseur étranger qui crée de l'emploi sur place...

sois sûr qu'il n y a pas de plus charognard que ces entreprises étrangère, avec les rapatriements de profit ce sont des centaine de litre de sueurs marocaines qui s'envolent vers l'étranger surtout...surtout qu'en général ses entreprises étrangère investissent dans des secteurs peu créateurs de valeur ajoutée (normal ils cherchent de la main d'œuvre bon marché). Et s'il s'agit d'un vrai IDE, l'investisseur achète en général une entreprise public très juteuse (et vraiment créatrice de valeur) bradée par les agents du makhzen (cas d'André azoulay par exemple), ce même makhzen que tu ne cesse de dénigrer ici même sur ce forum.

Tu vois c'est très compliqué bout


Je suis d'accord....

80% sont raptriés dans certains secteurs....

On se demande a quoi sa sert de leur faciliter la tache? ??
l
26 août 2010 22:51
Citation
a écrit:
Je suis d'accord....
80% sont raptriés dans certains secteurs....
On se demande a quoi sa sert de leur faciliter la tache? ??

je ne sais pas chibani et personne ne sait sauf ceux qui en profitent directement de nos compatriotes au sommet de la décision socio-économique...des parasites et oh combien notre pays en compte!
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26 août 2010 23:03
Citation
lmajdoub20600 a écrit:
salam boutrioult1,

J'apprends ce soir qu'au Maroc il y a un secteur formel eye rolling smiley

c'est simple, tu prend deux ouvriers marocains du même secteur, textile par exemple, l'un travaillant dans le secteur formel et l'autre dans le secteur informel, et tu pose la question suivante : labas bikhir? kidayra l7ala chwiya? lkhadma? kolchi fi aman allah?
Je peux t'assurer que les réponses sont sensiblement les mêmes. Pire, dans la plupart des cas, dans le secteur informel, ces ouvriers sont très souvent mieux lotis...au moins, il ont un panier par semaine (zwita, d9i9, sucre....), de temps en temps le mouton de l'Aîd et et il connaissent très bien leur employeur, il est la plupart du temps dans le magasin et ils fait souvent la prière du vendredi avec ses ouvrier et peut même en dépanner un en cas de coup dur (maladie, mariage des enfants...)

Dans le cas du secteur formel (surtout les multinationales), on achète une force de travail, on s'en tape de la vie des ouvriers, et le patron personne ne le connais (à part le DG et ses assistants).

autre chose, une entreprise informel n'est jamais complètement informel, au moins le Caid et le mokadem sont au courant et entre nous les prélèvement d'impôt, qu'il aille à l'État ou au Caid du coin (beaucoup moins d'impôt, du coup le patron peut payer plus ses employés), il n'y a pas grande différence, l'État marocain sait dilapider suffisamment l'argent du contribuable que ce dernier est dégoûter de payer ses impôts. Dans d'autre cas, l'entreprise est déclarée avec une vrai patente mais assimilée au secteur informel car aucune rigueur comptable...

Enfin,

Citation
a écrit:
La société étrangère dont tu parles est implanté au Maroc. Un investisseur étranger qui crée de l'emploi sur place...

sois sûr qu'il n y a pas de plus charognard que ces entreprises étrangère, avec les rapatriements de profit ce sont des centaine de litre de sueurs marocaines qui s'envolent vers l'étranger surtout...surtout qu'en général ses entreprises étrangère investissent dans des secteurs peu créateurs de valeur ajoutée (normal ils cherchent de la main d'œuvre bon marché). Et s'il s'agit d'un vrai IDE, l'investisseur achète en général une entreprise public très juteuse (et vraiment créatrice de valeur) bradée par les agents du makhzen (cas d'André azoulay par exemple), ce même makhzen que tu ne cesse de dénigrer ici même sur ce forum.

Tu vois c'est très compliqué bout

Tu as dévié le sujet du post vers les multinationales Vs l'informel malheureusement...

Travailler sans être déclaré est quelque chose d'illégale!!

Quand tu travailles dans l'informel, tu ne cotises pas pour ta retraite! Tu n'as pas e sécurité sociale! s'il t'arrive un accident de travail, c'est pour ta pomme! Tu n'as aucune fiche de paie! Tu ne peux pas voyager si on te demande tes fiches de paies bref tu es marginalisé...

Quand tu travailles dans l'informel, tu es sous la coupe de ton patron! Si ce dernier décide qu'il ne t'aidera pas quand il t'arrive un accident, ou quand tu es malade ou si il veut de virer tout simplement sans indemnités-----------> Tu n'as aucuns recours pour réclamer tes droits!

Ce patron, échappe aux contrôles de l'Etat (impôts, hygiènes, statistiques etc...). Ces patrons utilisent les infrastructures du pays sans y mettre un dirham et sans participer aux dépenses nationales...

Concernant les multinationales, je ne veux pas faire l'avocat du diable, mais ces entreprises paient la totalité des impôts sur leurs bénéfices engendrés (au Maroc) à l'Etat contrairement à l'informel (bien national ya7éssra)!! Ces multinationales investissent leur propre argent dans le pays avec tous les risques qui peuvent se manifester...

L'Etat est souverain au Maroc! Et c'est bien lui qui fixe le SMIC, pas les multinationales...

Citation
lmajdoub20600 a écrit:
...ce même makhzen que tu ne cesse de dénigrer ici même sur ce forum.

Ce que je dénigre M. lmajdoub, c'est la corruption, les voleurs de l'argent public, la dictature, les milliards dans les comptes suisses et paradis fiscaux, les ripoux, les opportunistes, les lèches bottes, les représentants de la loi hors la loi et la liste est longue...

Nuance de taille!

Et si on revenait au sujet initial?
l
27 août 2010 00:21
Citation
a écrit:
Quand tu travailles dans l'informel, tu ne cotises pas pour ta retraite! Tu n'as pas e sécurité sociale! s'il t'arrive un accident de travail, c'est pour ta pomme! Tu n'as aucune fiche de paie! Tu ne peux pas voyager si on te demande tes fiches de paies bref tu es marginalisé...

quelle retraite? mais tu as vu le montant des retraites? fait un tour dans les jardins publiques et pose la question aux quwayrtiya du coin entre "missa", "ronda", "7bal" "bount" tu vas entendre des réponses genre 400DH, 500DH ....mais tu vis au Maroc bout?

la sécurité sociale, j'avoue que c'est une bonne chose...encore faut-il que les travailleurs en profite même ceux du formel (ce n'est pas toujours le cas)

Et pour le voyage...dans quel monde tu vis? de quel voyage tu parle quand la personne gagne 1800DH? que ce soit dans le formel ou l'informel? tu as déjà rencontré des smicards marocains entrain de bronzé sur la costa del sol? à moins de vendre des beignets, je vois pas ce qu'ils iront faire labas.

Citation
a écrit:
L'Etat est souverain au Maroc! Et c'est bien lui qui fixe le SMIC, pas les multinationales...

et c'est ce même État qui fait de sorte qu'entre formel et informel c'est 7alouf/kharmous..c'est ce que je suis entrain de t'expliquer depuis le début.

Je ne suis pas contre le formel et pour l'informel, je dis simplement que c'est plus compliqué que ce que cette dame présente et que toi reprend...c'est tout

Citation
a écrit:
Concernant les multinationales, je ne veux pas faire l'avocat du diable, mais ces entreprises paient la totalité des impôts sur leurs bénéfices engendrés (au Maroc) à l'Etat contrairement à l'informel (bien national ya7éssra)!! Ces multinationales investissent leur propre argent dans le pays avec tous les risques qui peuvent se manifester...

fait un petit tour sur les statistiques concernant les stocks en devise au Maroc et leurs évolution...ils sont en nette diminution...c'est qu'il y a des DH qui immigrent (et là nul immigration 0) vers l'étranger sous forme de devise.

[www.telquel-online.com]

lis la fin de l'article

et tu me parle des multinationales qui réinvestissent leurs profits? et même s'il l'investissent ce n'est que pour exploiter d'autres marocains avant de se casser en Chine.

Citation
a écrit:
Et si on revenait au sujet initial?

le sujet initiale aurait été nettement plus intéressant s'il prenait en compte notre petite conversation. Une vision globale des chose pas une réclame pour une société invoquant "l'économie verte" pour sucer le sang rouge des ouvriers marocains avec la complicité des autorités qui mettrons au chômage des milliers de salariés non déclarés (aucun accompagnement pour le moment pour ces sociétés de l'informel)
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