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Les Champs Elysées: l'autre visage de la plus belle avenue du monde
c
10 novembre 2007 09:05
Les Champs-Elysées, majestueuse avenue de la capitale, ne sont plus seulement la vitrine des grandes marques de luxe. Les magasins de consommation de masse mais aussi la prostitution, les violences, le racket y ont cours. Voyage loin des clichés...

LES CHAMPS-ELYSEES, symbole de Paris et de la France connu de la planète entière, perdraient-ils leur image de plus belle avenue du monde ? Car on peut aussi s'y faire tuer d'une balle dans la tête pour un mot déplacé, comme la semaine dernière, à la sortie d'un restaurant de la rue Marbeuf. Hier, deux individus ont été placés en garde à vue par la brigade criminelle. S'il ne s'agit sans doute pas des auteurs du crime, selon une source proche de l'enquête, les investigations pourraient néanmoins progresser rapidement.




« Pigallisation »

Car les Champs, en argot parisien, c'est aussi le territoire du milieu. Où Francis le Belge, parrain marseillais, est exécuté en 2000 sans que l'on retrouve son meurtrier. Où des impacts de balles ornent les façades de superbes immeubles haussmanniens. Où la prostitution passe (presque) inaperçue. Où officiait l'ex-patron de l'une des boîtes les plus en vogue du moment, le Baron, poursuivi hier pour proxénétisme devant le tribunal correctionnel de Paris.

Les Champs-Elysées seraient-ils devenus le « rendez-vous des voyous et des banlieusards », comme l'affirme François Lebel, le maire du VIII e arrondissement ? Serait-ce « la plus grande blanchisseuse d'argent sale de l'Hexagone », comme l'affirme un habitué du monde de la nuit bien informé ? Nombreux sont aujourd'hui ceux qui s'accordent sur le fait que les Champs sont en voie de « pigallisation », expression chère au maire. Les « très bons chiffres de la délinquance », dixit Dominique Lasserre-Cussigh - la commissaire du VIII e arrondissement -, sont pourtant en contradiction avec cette impression. La délinquance générale est stable depuis 2001 dans le quartier, et la délinquance sur la voie publique a même baissé de 17,7 % (entre 2001 et 2006). Sur la même période, les vols simples ont chuté de 11 %. Cependant, avec l'installation de mégastores de grande consommation, les vols à l'étalage ont augmenté de 23 % et les violences volontaires de 4 %, ces dernières renforçant le sentiment d'insécurité. Les Champs méritent-ils toujours leur réputation de plus belle avenue du monde ? Radioscopie.

Raphaël Domenach
samedi 10 novembre 2007 | Le Parisien



Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/11/07 09:05 par coccinel.
B
10 novembre 2007 09:16
Salam aalikoum



source...Le parisien....mouais perplexe
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
c
10 novembre 2007 10:15
Un cousin (magnifique jeune homme de 18 ans) qui vivait à poissy 78 y a trouvé la mort, (poignardé pour un portable).

C'est aussi un lieu où rôdent les saoudiens et autres parasites affamés.
B
10 novembre 2007 10:20
Salam aalikoum

Citation
coccinel a écrit:
Un cousin (magnifique jeune homme de 18 ans) qui vivait à poissy 78 y a trouvé la mort, (poignardé pour un portable).

C'est aussi un lieu où rôdent les saoudiens et autres parasites affamés.


pourquoi cette haine contre les saoudiens moody smiley


et puis passer du coq à l'ane en 2 phrases est tres maladroit de ta part.
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
c
10 novembre 2007 10:36
Citation
Bass a écrit:
Salam aalikoum

Citation
coccinel a écrit:
Un cousin (magnifique jeune homme de 18 ans) qui vivait à poissy 78 y a trouvé la mort, (poignardé pour un portable).

C'est aussi un lieu où rôdent les saoudiens et autres parasites affamés.


pourquoi cette haine contre les saoudiens moody smiley


et puis passer du coq à l'ane en 2 phrases est tres maladroit de ta part.

Peut-être que je suis maladroite, mais je fais référence à l'article par des faits réels.

C'est ce qui est important ici, pas comment j'écris.
B
10 novembre 2007 10:52
Citation
coccinel a écrit:
Citation
Bass a écrit:
Salam aalikoum

Citation
coccinel a écrit:
Un cousin (magnifique jeune homme de 18 ans) qui vivait à poissy 78 y a trouvé la mort, (poignardé pour un portable).

C'est aussi un lieu où rôdent les saoudiens et autres parasites affamés.


pourquoi cette haine contre les saoudiens moody smiley


et puis passer du coq à l'ane en 2 phrases est tres maladroit de ta part.

Peut-être que je suis maladroite, mais je fais référence à l'article par des faits réels.

C'est ce qui est important ici, pas comment j'écris.


tu sais aussi bien que moi que l'on peut à partir d'un fait réel dire ce que l'on veut



Eh puis Le parisien n'est vraiment pas une reference pour moi.smiling smiley
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
c
10 novembre 2007 11:02
Citation
Bass a écrit:
Citation
coccinel a écrit:
Citation
Bass a écrit:
Salam aalikoum

Citation
coccinel a écrit:
Un cousin (magnifique jeune homme de 18 ans) qui vivait à poissy 78 y a trouvé la mort, (poignardé pour un portable).

C'est aussi un lieu où rôdent les saoudiens et autres parasites affamés.


pourquoi cette haine contre les saoudiens moody smiley


et puis passer du coq à l'ane en 2 phrases est tres maladroit de ta part.

Peut-être que je suis maladroite, mais je fais référence à l'article par des faits réels.

C'est ce qui est important ici, pas comment j'écris.


tu sais aussi bien que moi que l'on peut à partir d'un fait réel dire ce que l'on veut



Eh puis Le parisien n'est vraiment pas une reference pour moi.smiling smiley


Entendu khoya smiling smiley
c
10 novembre 2007 12:35
Au fait pourquoi ce post sur les Champs Elysées, la plus belle avenue du monde (pour certains), simplement pour souligner que la prostitution et insécurité y règnent, faits non rélayés par nos chers médias et autres polémiqueuers qui actuellement se font un plaisir de ne cibler que le Maroc.

Le parisien est le seul à faire ce genre de constat, pas forcément un journal d'élite mais pour une presse locale, il est pas mal.
E
11 novembre 2007 18:30
Cette avenue n'est-elle pas la plus surveillée de Paris, la maréchaussée ferait-elle acte de négligeance?
On se tue sur cette avenue, nous voilà bien avertis! Evitons cette célèbre artère!
D'ailleurs j'habite pas Paris, la nuit en citoyen modèle je reste en ma demeure!
p
11 novembre 2007 18:40
salam

ça ne date pas d'hier !

je partage ce regard sur cette avenue, qui n'est pas sécure et de tout repos

je n'aime pas trop les champs elysées car c'est le théatre d'embrouilles en tout genres ,


parler de "pigallisation" n'est pas faux ... en 2 fois plus cher quand même ! winking smiley


panam eastSiiiiiiide is better thumbs up
!!*!! le seul chat autorisé sur ce forum
J
12 novembre 2007 16:16
avez vous lu l'article du parisien sur les "marcheuses" des maghrabines à majorité marocaine (dexit le journal) qui viennent avec un visa touriste se vendre sur cette "belle" avenue et les cabarets alentour à leurs compatriotes et autres orientaux ! l'extrait :
....
Il y a aussi un problème de prostitution sur les Champs. On appelle ces prostituées les « marcheuses »...

C'est vrai. On les appelle ainsi car elles marchent pour éviter d'être accusées de racolage. Mais ce sont des prostituées. Ce sont des femmes d'origine maghrébine, souvent marocaines. Elles viennent avec un simple visa touristique puis rentrent chez elles. Elles sont très chics pour séduire une clientèle très huppée. Elles chassent les Saoudiens, les Koweïtiens, ceux que j'appelle les « pétroliers »... Eux n'hésitent pas à demander cinq ou six filles à des intermédiaires qui sont elles-mêmes souvent d'anciennes prostituées.

On retrouve également ces prostituées dans des cabarets...

Exact. Elles viennent y chercher de la clientèle. Sinon, quand une belle voiture s'arrête, les prostituées vont voir ses occupants. Elles fréquentent également les belles terrasses des Champs. Il n'est pas évident pour les propriétaires de distinguer des prostituées de femmes qui veulent simplement faire des rencontres. Un chef d'établissement s'est déjà trompé. La situation était très gênante... Ces prostituées marocaines sont souvent occasionnelles. Elles ne se considèrent pas comme telles.

Mais accorder leurs faveurs lors d'une soirée peut leur rapporter jusqu'à 5 000 €. Elles seraient deux cents voire trois cents sur les Champs...

Ce chiffre me paraît exorbitant mais elles sont très discrètes et évitent la police. Elles sont souvent indépendantes. Ce qui nous intéresse, ce sont les établissements dans lesquels elles travaillent. Une procédure est actuellement engagée à l'encontre d'un cabaret oriental.
f
12 novembre 2007 16:23
200 ou 300 faut arrete la!!!!!! sinon les champs vont etre classe patrimone marocain.................
E
12 novembre 2007 18:18
Bravo Feriell!

Des internautes bien informés nous annoncent des prix, ils nous dirigent vers ces lieux de bonheur sexuellofinanciers, claironnant haut et fort que ces dames de petite vertue sont nos soeurs!!!
Oubliant que le sida est une maladie présente et exportables, cette maladie n'a pas encore été vaincue!
c
12 novembre 2007 20:06
Qui a dit que les Champs Elysées est la plus belle avenue du monde ?

Menteurs................ !
B
18 novembre 2007 12:27
GUY PARENT, patron de la brigade de répression du proxénétisme de la préfecture de police de Paris

Comment qualifieriez-vous l'ambiance qui règne sur les Champs-Elysées ? Guy Parent. Ce n'est plus aussi bon enfant qu'avant. Il y a de plus en plus d'incidents.


La clientèle des Champs-Elysées est souvent instable. Beaucoup de gens de cités veulent faire la fête dans les discothèques. La clientèle est souvent alcoolisée. Cela crée des incidents à la porte des boîtes de nuit. Quand certains sont refusés à l'entrée, il y a régulièrement de la bagarre entre vigiles et consommateurs. La tension est palpable.

Peut-on parler de « pigallisation » des Champs-Elysées ?

Oui. Il y a une présence de plus en plus nombreuse de jeunes de cités souvent agressifs. Comme à Pigalle, dans le passé, la clientèle traditionnelle et huppée est remplacée par une clientèle instable.

Les soirées R'n'B - du nom de la musique rhythm and blues qu'on y écoute - sont régulièrement pointées du doigt...

C'est vrai qu'il y a souvent des incidents lors de ces soirées. Elles attirent une clientèle de banlieue avide de sensations fortes. Il y a déjà eu mort d'homme. Nous avons multiplié les avertissements préfectoraux ou les fermetures d'établissement. Le Man Ray, qui en organise régulièrement, a déjà fait preuve d'observations. Mais ces soirées R'n'B ne peuvent pas être interdites.

Dans le cadre de votre mission de surveillance des établissements de nuit, que pouvez-vous faire ?

Si les organisateurs ont la possibilité de bien encadrer la soirée, avec un dispositif de sécurité conséquent, il n'y a pas de problème. Si ce n'est pas le cas, nous leur demandons d'y renoncer. Nous les dissuadons mais nous n'avons pas le pouvoir d'interdire la soirée.

Certains établissements blanchissent de l'argent...

Le blanchiment a toujours existé sur les Champs-Elysées. Mais les vrais voyous passent par des prête-noms. Officiellement, tout est nickel. Ils ne figurent pas dans les statuts des sociétés. Quand nous le constatons, nous les dénonçons. Il y a eu un cas de blanchiment avéré il y a deux ou trois mois mais ce n'était pas dans le quartier. Je ne pense pas que ce phénomène prenne de l'ampleur.

Des groupes organisés sèment la terreur en rackettant des établissements. Comment cela se passe-t-il ?
Des individus viennent, commandent pour 1 000 ou 2 000 € de champagne et partent sans payer en impressionnant les salariés. Et ils reviennent régulièrement en utilisant le même stratagème. Puis arrive un homme tout gentil qui se propose de régler le problème contre rémunération. Certains chefs d'établissement préfèrent vendre plutôt que de se faire buter. Les autres paient 5 000 ou 10 000 €, par exemple. Et le tarif ne cesse d'augmenter. Peu d'établissements sont affectés. Le racket constitue une prise de risques énorme pour les voyous. Ils utilisent surtout les boîtes de nuit pour blanchir de l'argent.

Il y a aussi un problème de prostitution sur les Champs. On appelle ces prostituées les « marcheuses »...
C'est vrai. On les appelle ainsi car elles marchent pour éviter d'être accusées de racolage. Mais ce sont des prostituées. Ce sont des femmes d'origine maghrébine, souvent marocaines. Elles viennent avec un simple visa touristique puis rentrent chez elles. Elles sont très chics pour séduire une clientèle très huppée. Elles chassent les Saoudiens, les Koweïtiens, ceux que j'appelle les « pétroliers »... Eux n'hésitent pas à demander cinq ou six filles à des intermédiaires qui sont elles-mêmes souvent d'anciennes prostituées.

On retrouve également ces prostituées dans des cabarets...

Exact. Elles viennent y chercher de la clientèle. Sinon, quand une belle voiture s'arrête, les prostituées vont voir ses occupants. Elles fréquentent également les belles terrasses des Champs. Il n'est pas évident pour les propriétaires de distinguer des prostituées de femmes qui veulent simplement faire des rencontres. Un chef d'établissement s'est déjà trompé. La situation était très gênante... Ces prostituées marocaines sont souvent occasionnelles. Elles ne se considèrent pas comme telles.

Mais accorder leurs faveurs lors d'une soirée peut leur rapporter jusqu'à 5 000 €. Elles seraient deux cents voire trois cents sur les Champs...

Ce chiffre me paraît exorbitant mais elles sont très discrètes et évitent la police. Elles sont souvent indépendantes. Ce qui nous intéresse, ce sont les établissements dans lesquels elles travaillent. Une procédure est actuellement engagée à l'encontre d'un cabaret oriental.


AVENUE DES CHAMPS-ELYSEES (PARIS VIII e ), MERCREDI SOIR. Pour échapper au délit de racolage, ces jeunes femmes, prostituées occasionnelles, marchent en permanence à la recherche de clients huppés. Guy Parent. (LP/ALAIN AUBOIROUX.)
B
18 novembre 2007 12:35
Désormais, les « marcheuses » arpentent les trottoirs
R.D. samedi 10 novembre 2007 | Le Parisien



LES RIDEAUX ROUGES sont tirés. A l'abri des regards, dans un cabaret oriental de la rue Washington (VIII e ) - à quelques dizaines de mètres de la plus belle avenue du monde - le manège des « marcheuses » bat son plein. Ce sont des « prostituées qui marchent pour éviter d'être accusées de racolage, comme les définit Guy Parent, patron de la brigade de répression du proxénétisme, elles viennent chercher de la clientèle dans les cabarets orientaux ».


Il est minuit passé et des groupes de demoiselles d'origine maghrébine - le plus souvent par deux - pénètrent dans l'établissement. Bise au portier, elles semblent habituées.
« Un jour, une mère m'a même proposé sa fille » A l'intérieur, des groupes d'hommes, quasiment exclusivement d'origine maghrébine ou arabe, boivent du thé à la menthe mais aussi du whisky ou du champagne. Un homme pousse la chansonnette. Une danseuse du ventre chauffe l'ambiance. Des clients n'hésitent pas à offrir des coupes de champagne à certaines jeunes filles. Mais ces femmes ne sont pas des prostituées comme les autres. « Ce sont des tapins (NDLR : prostituées) occasionnelles de luxe, raconte le videur d'un établissement voisin. Elles viennent du bled (NDLR : le plus souvent du Maroc) ou de cités et guettent les riches Saoudiens. J'en ai vu une vingtaine aujourd'hui mais, l'été, elles sont beaucoup plus nombreuses. » « Même moi qui fréquente des tapins depuis quinze ans, je ne sais pas si ces demoiselles, à qui j'ai payé un verre, sont des prostituées ou pas, confie un client, Français d'origine marocaine. Je le saurai au moment de passer à l'acte. » Chaussures Dolce & Gabbana, tailleur Yves Saint Laurent, parfum Chanel, par exemple, elles respirent le luxe. Une heure plus tard, il partira bras dessus bras dessous avec une Marocaine de Casablanca. A-t-il payé ? Une chose est sûre : à l'intérieur, plus les hommes paraissent fortunés, plus ils ont du succès. Dehors, quelques « marcheuses » poursuivent leur marathon le long des 1 910 mètres de l'avenue des Champs-Elysées. « Les marcheuses des Champs et les filles des cabarets, c'est kif-kif, assure un client habitué. Ce sont souvent les mêmes. La seule différence, c'est qu'en cabaret, c'est plus cher ! » Les tarifs varieraient de 300 € , pour le quidam, à 1 500 € pour un émir. « Un jour, une mère m'a même proposé sa fille », raconte, halluciné, le videur d'un prestigieux établissement.

Dossier sur l'autre visage des Champs Elysées.


Comment se fait il que le gouvernement Marocain donne des visas à ses prostituées et laisse des personnes désirant faire leur études et travailler en Europe dans le carreaux.

Quand je vois des compatriotes mourir en mer pour passer de l'autre coté , je trouve ça inadmissibles.
18 novembre 2007 13:05
Citation
Bidawy a écrit:


Comment se fait il que le gouvernement Marocain donne des visas à ses prostituées et laisse des personnes désirant faire leur études et travailler en Europe dans le carreaux.

Quand je vois des compatriotes mourir en mer pour passer de l'autre coté , je trouve ça inadmissibles.
Salam
Merci pour l'article , c'est vraiment honteux de lire ça , meme si je connaissais ce phénoméne .C'est pas reservé aux champs , ce phénoméne est present dans les pays du golf , a montreal ,... .Il y a des mafias specialisé dans ce domaine qui ont leur terrain de chasse dans les salons de beautés , les salles de sport et meme dans les facultés marocaines, qui obtiennet les visas pour ces prostitués.

Mais c'est pas le gouvernement marocains qui delivrent les visas mais c'est l'administration française a travers les consulats .
[center][b]« Tout le monde pense à changer le monde mais personne ne songe à se changer lui-même. »[/b][/center] اكتُب مبادئك بقلمٍ جاف حيث الرسوخ و الثبات •• و اكتب آرائك بقلمِ رصاص حيث التعديل و التصحيح
B
18 novembre 2007 20:32
Citation
Jall a écrit:
avez vous lu l'article du parisien sur les "marcheuses" des maghrabines à majorité marocaine (dexit le journal) qui viennent avec un visa touriste se vendre sur cette "belle" avenue et les cabarets alentour à leurs compatriotes et autres orientaux ! l'extrait :
....
Il y a aussi un problème de prostitution sur les Champs. On appelle ces prostituées les « marcheuses »...

C'est vrai. On les appelle ainsi car elles marchent pour éviter d'être accusées de racolage. Mais ce sont des prostituées. Ce sont des femmes d'origine maghrébine, souvent marocaines. Elles viennent avec un simple visa touristique puis rentrent chez elles. Elles sont très chics pour séduire une clientèle très huppée. Elles chassent les Saoudiens, les Koweïtiens, ceux que j'appelle les « pétroliers »... Eux n'hésitent pas à demander cinq ou six filles à des intermédiaires qui sont elles-mêmes souvent d'anciennes prostituées.

On retrouve également ces prostituées dans des cabarets...

Exact. Elles viennent y chercher de la clientèle. Sinon, quand une belle voiture s'arrête, les prostituées vont voir ses occupants. Elles fréquentent également les belles terrasses des Champs. Il n'est pas évident pour les propriétaires de distinguer des prostituées de femmes qui veulent simplement faire des rencontres. Un chef d'établissement s'est déjà trompé. La situation était très gênante... Ces prostituées marocaines sont souvent occasionnelles. Elles ne se considèrent pas comme telles.

Mais accorder leurs faveurs lors d'une soirée peut leur rapporter jusqu'à 5 000 €. Elles seraient deux cents voire trois cents sur les Champs...

Ce chiffre me paraît exorbitant mais elles sont très discrètes et évitent la police. Elles sont souvent indépendantes. Ce qui nous intéresse, ce sont les établissements dans lesquels elles travaillent. Une procédure est actuellement engagée à l'encontre d'un cabaret oriental.


encore Le parisienmoody smiley


arrete de lire ce torchon


c'est peut etre une avenue qui a des coté malsain, cependant c'est l'une des avenues les plus surveillés, et si vous ne voyez rien, Big brothers is watching U smoking smiley
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
 
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