Vies des médecins en Danger au Centre de Santé de Fnideq sous la menace des clochards
Le Médecin guérit le malade, s’intéresse au malade parfois il sacrifie son temps libre pour sauver un malade d ‘une mort fatale, mais aussi au Maroc et dans la ville de Fnideq, le médecin vit sans cesse une propre psychose en silence, en amertume du choix de sa fonction et dans une agonie lente et piquante de stress,il prie dieu de lui sauver la vie chaque jour quand il sort de chez lui en face d’un risque qui le hante qui l’attend tout le temps à la porte de son hôpital, et en face même de la Bachawia, symbole de Makhzen et de son pouvoir autoritaire qui faisait peur jadis à tout délinquant qui déraillait ou pensait pouvoir déranger le cours de la paix dans le quotidien des vies des citoyens marocains, un risque qui se résume dans le mot clochard ou Chamkar comme on l’appelle fièrement de nos jours avec tout le danger qu’on peut anticiper de ses gestes imprévisibles, voir même manifester son mécontentement en face du médecin dans son entrée ou sortie de travail dans des injures, ou carrément menaces sévères en armes blanches.
Le Maroc est un pays en voie de développement, certes on dit vrai, mais a t on jamais entendu dans le monde entier dans ses quatre continents qu’une institution de santé dotée d’une pareille importance en service pour la société marocaine sans un agent de sécurité en garde dans l’entrée de bâtiment, ni de veiller sur son climat d’intérieur en sécurité pour ses fonctionnaires. Le centre de santé de Fnideq nous illustre le plein exemple en négligence de la part de ministère de santé de Maroc vis à vis de son staff de médecins puisque le centre est devenu un vrai abri pour les clochards la nuit, et une vraie toilette puante des odeurs dégoûtantes à étouffer les arrivées de son staff dans leurs premières heures de matinées.
A t on jamais vu dans les pays développés qu’un ministre de santé n’ as jamais été un médecin pour se mettre à la place des médecins, les sentir, anticiper ses peurs pour simuler leurs conditions de travaux !
A t on jamais vu jadis au Maroc une Bachawia, synonyme de commissariat de nos jours voir les clochards ou Chamkar altérer la paix des citoyens sans remuer les doigts ni lèvres pour justifier la contrepartie de sa fonction pour ne pas dire son salaire !
A rappeler qu’un développement est une résultante en piliers des efforts déployés bâtis sur la sauvegarde de l’amour de la dignité de l’homme marocain en principe avant de politiser sa nuance en profondeur, mais dans le cas de centre de santé Fnideq,le mot clarifie bien que la tangente au Maroc notamment dans le domaine de la santé et de la sécurité de citoyen reste toujours un logo qui chapote bien une idéologie chez ceux qui voient dans le Maroc une fertilité en richesse dans ses rentes à accueillir à tout prix et à ne laisser après et derrière eux qu’une simple vraie terre en vert cuit.
Non il n'ya pas d'agent de sécurité devant les hopitaux en général. Les médecins sont respecté pour leur intgrité le respect qu'ils portent aux malades quelque soit leur niveau sociale. On a pas le droit de prendre de l'argent aux patients avant de l'avoir soigné et si il n'a pas d'argent il y des structures qui paient à leur place. Souvent il y a des boxes pour accueillir les chiens des "clochards".
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Entre la loi, le serment d'hypocrate, le code de déontologie les médecins s'engagent et respect les gens donc ils sont respecté.
un médecin qui accepte un billet ne peut plus se plaindre.
pas seulement les hopitaux, dans beaucoup de quartiers populaires on ne peut plus sortir la nuit, le jours on sort en demandant à Dieu "ya rebbi tster" les agressions sont frequentes meme le jour. Il y a un climat de pagaille dans tout notre Maroc. Faut il continuer comme ça ou retourner à la dictature qui terrorise tout le monde, je prefere continuer comme ça en attendant des jours meilleurs.
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