Parce qu’ils ont vu et voient Ce qui se passe sur terre
Parce que tout simplement Avec ses lance-pierres Avec ses pièges, Avec ses carabines Avec ses barreaux Avec ses bourreaux et Et toutes sortes de révolvers, L’homme est assassin L’homme est emmerdeur Les oiseaux, constamment, De lui tremblent de terreur Et d’une manière perpétuelle Ils volent, volent dans le ciel Gazouillent et battent des ailes
Toutefois, chose heureuse : Du poète, oui du poète Ils n’ont guère La moindre peur !
Ils entrent chez lui Ils s’y installent tout à l’aise Ils posent un regard sur lui Un regard si amical et qui luit ! Ils s’approchent, s’approchent de lui Et par :’’gai gai jour camarade ’’ils saluent, Sur sa tête ils se mettent Et y mettent un bout de poème Qu’ils sortent tout chaud De sous leurs belles plumes Un poème en miettes Qui, subitement, se met sur pieds Ils émettent un doux chant Et sur les épaules du poète Délicatement ils se posent Comme pour vers le haut, le tirer ; Puis, ils s’en vont saluant en dansant Dans le ciel, dans les champs Tout en chantant ’’c’est le printemps, c’est le printemps A bientôt camarade dans les champs Viens nous voir comme on est venu te voir Tu seras rassasié de nos chants Du matin jusqu’au soir Et le splendide ciel tu verras et tes yeux bleuir Et les arbres et les belles herbes et tes yeux verdir C’est le printemps camarade, c’est le printemps…’’
[color=#CC0099][b]:oups:nunca llores por un mal amor...[/color] [color=#FF66FF]no merece tus làgrimas!![/b][/color]:o==[color=#FF0066]:(la tristeza se convierte en alegria[/color] [color=#FF33CC]cuando recibimos una sonrisa comprensiva:D[/color]