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Le calendrier APBIF, une secte ?? Éclairez moi...
f
21 mai 2013 12:27
Assalam alaikoum

Dieu subhânahu comme Il est qualifié par l'Élévation, au-dessus des cieux et de toute chose, sans limite à Son élévation, Il est qualifié par la Proximité, tout proche, « et si Mes serviteurs t'interrogent sur Moi, Je suis tout proche », sans limite à Sa proximité, proche dans Son élévation, élevé dans Sa proximité, sans dissociation aucune, sans limitation aucune.

Entre l'Élévation, « au ciel », et la Proximité, « plus proche de nous que notre veine jugulaire », l'Istiwâ, « sur le trône de la création », et la Présence, « avec nous où que nous soyons », c'est une différence de considération, de qualification, et non de fait. Dans l'absolu, Dieu « est », Il n'a pas besoin d'être ; la création n'étant qu'un support de manifestation, qu'un miroir de réflexion, d'être, de lumière :

« Dieu est la Lumière des cieux et de la terre » (Coran).
21 mai 2013 15:39
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Dieu subhânahu comme Il est qualifié par l'Élévation, au-dessus des cieux et de toute chose, sans limite à Son élévation, Il est qualifié par la Proximité, tout proche, « et si Mes serviteurs t'interrogent sur Moi, Je suis tout proche », sans limite à Sa proximité, proche dans Son élévation, élevé dans Sa proximité, sans dissociation aucune, sans limitation aucune.

Entre l'Élévation, « au ciel », et la Proximité, « plus proche de nous que notre veine jugulaire », l'Istiwâ, « sur le trône de la création », et la Présence, « avec nous où que nous soyons », c'est une différence de considération, de qualification, et non de fait. Dans l'absolu, Dieu « est », Il n'a pas besoin d'être ; la création n'étant qu'un support de manifestation, qu'un miroir de réflexion, d'être, de lumière :


« Dieu est la Lumière des cieux et de la terre » (Coran).



Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Ce qu'il faut concernant l'Attribut divin c'est de se conformer totalement à la désignation coranique, et de la Sunna, tel « la main de Dieu » concernant la Main divine, tout en évitant toute interprétation et toute désignation, tel « Dieu a une main », susceptible de déformer le sens de l'Attribut divin, en lequel l'attribut prend tout son sens, toute sa grandeur, toute sa réalité, au-delà de toute limitation.

L'Attribut divin est l'attribut dans toute sa grandeur et sa réalité, la Main divine est la main dans toute sa grandeur et sa réalité, l’Ouïe divin est l’ouïe dans toute sa grandeur et sa réalité, la Vue divine est la vue dans toute sa grandeur et sa réalité, la Puissance divine est la puissance dans toute sa grandeur et sa réalité, l'Élévation divine est l'élévation dans toute sa grandeur et sa réalité, la Proximité divine est la proximité dans toute sa grandeur et sa réalité, l'Istiwâ divin est l'istiwâ dans toute sa grandeur et sa réalité, la Présence divine est la présence dans toute sa grandeur et sa réalité, c'est la qualification dans toute sa transcendance et son immanence
.


APPORTE NOUS LES PREUVES

tu semble jouer avec la langue des gens du kalam comme tout les innovateurs
tu te prend pour un moufassir alors que tu n'a rien, contente toi de cite les preuve et les dire des salafs et les oulama,

.
tes erreurs sons nombreux dans les bases de l'islam, tu es loin d'avoir le niveau dans le tafsir, donc il faut arreter de nous balancer des avis diabolique.
.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/05/13 15:52 par rosiles.
21 mai 2013 21:51
Salam ,



Les soufis et leur maîtres, veulent nous faire croire que leur doctrine a pour origine le Coran. Ils interprètent certains versets selon leur gré, aussi bien linguistiquement que théologiquement, afin de corroborer leurs croyances. En plus de ces différentes interprétations, ils réduisent les versets à des symboles et des codes, qu’ils juxtaposent dans des sens métaphysiques.


Comme a l'image de leur Maitre Ibn Arabi et La "doctrine de panthéisme" une combinaison de manichéisme, gnosticisme, néoplatonisme, philosophie chrétienne, Védantique et de spéculations qu’ils essayent vainement de justifier par l’Islam en les reliant à des traditions prophétiques.

En mêlant des enseignements Islamiques avec cette pensée, les penseurs soufis essayent de sanctifier leur doctrine et de démontrer sa conformité à l’Islam.


Afin de donner un exemple de la gravité de cette perversion du langage soufi, étudions le verset suivant :



« Ô hommes, craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être [Adam], et a créé de celui-ci son épouse [Eve], et qui de ces deux là a fait répandre [sur la terre] beaucoup d’hommes et de femmes »
(Sourate 4 verset 1)


De ces mots, on comprend facilement qu’Allah a créé Adam -Bénédiction d'Allah sur lui- en premier, et selon de nombreux versets, il l’a façonné et a créé Eve -Bénédiction d'Allah sur elle- de la côte d’Adam -Bénédiction d'Allah sur lui-, comme cela est décrit dans les hadiths Sahîhs.

Afin de justifier ses croyances panthéistes, Ibn ’Arabi a donner au verset cité plus haut le sens suivant :
« De lui (Adam) est venu la femelle et les enfants, qui sont tous venus de « la nature universelle » qui est Dieu, qui se manifeste dans la forme de leur (nature) et dans la forme d’Adam, dans la forme de Eve et dans la forme de leur progéniture »


(A-E Affifi, « The mystical philosophy of Ibn Arabi »)

L’élément divin, selon lui, habite toute existence. Il s’est exclamé :
« Gloire à Allah, qui a créé toute chose, et qui est lui même leur essence ».
(Ibid p.135)


«
N’attribuez donc pas à Allah des semblables.
Car Allah sait, tandis que vous ne savez pas
»
(Sourate 16 verset 74)




« Il n’y a rien qui Lui ressemble ; et c’est Lui l’Audient, le Clairvoyant »
(Sourate 42 verset 11)



Et il n’appartient pas aux véritables croyants de faire des interprétations tirées par les cheveux sur l’essence d’Allah ou sur Ses attributs. Les véritables musulmans les acceptent tels qu’ils sont dans le Coran et les hadiths Sahîhs (traditions authentiques).
Ces versets sont une affirmation commandant aux croyants de ne pas Lui imputer d’autres attributs ou noms que ceux qu’Il s’est donné lui-même ou par le biais de Son Messager -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- dans les hadiths Sahîhs. Ils ne doivent pas rendre Allah sujet de similitudes ou exemples.



Afin de justifier sa doctrine théosophique et panthéiste en la faisant apparaître islamique, Ibn ’Arabi utilise le ta’wil (interpolation), qui est le fait de donner des interprétations tirées par les cheveux à des versets bien choisis du Coran ou des traditions prophétiques, changeant le sens apparent en un sens qui souscrit à sa croyance (comme Faqir). Cette technique fut utilisée avant lui par les « Batini », une secte secrète qui s’est égarée du chemin de l’Islam. Il se réfère à Allah le Tout-Puissant comme « Créateur-Créature » et essaye de présenter l’entité divine dans un contexte théosophique, afin de convaincre son lecteur que la création d’Allah n’émane de rien d’autre que de son « entité première ». (Ibid)

Ainsi, la divinité pour Ibn ’Arabi est en réalité tous les éléments qui constituent l’univers : les hommes, les animaux et toute autre existence. Par exemple, il se décrit lui même comme une réalité divine. Et afin d’être sur que ses lecteurs ne remarquent pas son hérésie, il écrit :
« En relation à l’existence, Il (Allah) est l’essence de toute chose existante. Ainsi, dans un certain sens, les choses relatives sont élevées en elles-mêmes, car en vérité, elles ne sont rien d’autres que Lui, qui porte le nom de Abou Sa’id Al-Kharraz »
(Ibid)


A partir de ce concept hérétique sur Allah, on pourrait déduire des principes qui contredisent les aspects fondamentaux et les croyances évidentes contenues dans le Coran et la Sounna. Par exemple, l’homme selon la théorie du « Fils de Platon » (Ibn ’Arabi) n’est rien d’autre que Dieu lui-même, et comme Pharaon était un homme, sa déclaration proclamant sa divinité serait vrai selon la doctrine d’Ibn ’Arabi. De plus, si rien d’autre n’existait en dehors d’Allah, alors tout animal de toute espèce est en réalité Dieu. Et comme toute chose existante à la même essence, l’alcool n’est rien d’autre que l’eau, et toute chose haram est halal. Il n’y a pas de croyance hérétique plus dangereuse que le panthéisme. Allah, l’Exalté, est bien loin de ce qu’Ibn Arabi et ses adeptes (Soufi) lui assignent.


21 mai 2013 22:38
Réfutation du Soufisme et de l'Ash'arisme

dans le lien suivant vous aller voir un de référence des sites soufi, tel que
aslama, doctrine malikite, at-tawhid net, et d'autre site soufis asharite, attention c'est très choquant.

le but c'est de mettre en garde, attention de qui vous apprenez votre religion
[el-tawhid.blogspot.fr]


Réalité du Soufisme, a écouté absolument (Sidati Abou abderrahman)






Réfutation d'un cours de l'apbif par Mahdy Ibn Salah






.
f
22 mai 2013 00:14
Assalam alaikoum

Quand on n'arrive pas à discuter dans le sujet, il paraît que la meilleure façon c'est d'ésquiver et sortir du sujet.
f
22 mai 2013 11:41
Assalam alaikoum

Il est vrai que la transcendance et l'immanence comme termes ne figurant pas dans le Coran, mais comme sens ils sont illustrés, tel dans ce verset :

« Les regards ne L'atteignent pas et Lui atteint les regards »

« Les regards ne L'atteignent pas » illustre la transcendance, « et Lui atteint les regards » illustre l'immanence, le fait que les regards ne L'atteignant pas c'est le fait que Lui atteignant les regards, sans dissociation aucune, la transcendance et l'immanence ne se dissociant pas.

De même, ce verset :

« Dieu est la Lumière des cieux et de la terre »

est une illustration de l'immanence divine ; Dieu comme la lumière de toute chose, donnant à chaque chose sa réalité.

Ceci serait-il du panthéisme ? Dans le panthéisme, la transcendance est absorbée dans l'immanence, alors qu'ici l'immanence ne se dissociant pas de la transcendance, l'illustrant. Dans les mêmes versets (de la lumière), il est dit concernant cette Lumière divine : « Lumière sur Lumière », signifiant son caractère transcendant, ne se dissociant pas de son caractère immanent ; tout en atteignant toute chose, rien ne l'atteignant.

Le dû du Tawhîd, tel l'illustre le Coran, c'est la non dissociation entre la transcendance et l'immanence, et toute dissociation crée, de quelque forme soit-elle, est non conforme à ce dû.
22 mai 2013 14:13
Louange à Allah, nous Le louons et implorons Son aide et Son pardon.

Et nous cherchons refuge auprès d’Allah contre nos vices et nos méfaits.

Celui qu’Allah guide, nul ne peut l’égarer et celui qu’Allah égare, nul ne peut le guider.

Et je témoigne qu’il n’y a point de divinité digne d’adoration autre qu’Allah, l’Unique sans associé et que Mouhammad -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- est Son serviteur et Son messager.



Gloire à Allah qui nous a choisi pour religion l’Islam, la seule religion acceptée par Lui, qui a fait de nous la nation juste et équitable afin qu’elle témoigne du fait que tous les Messagers ont bien transmis le message divin à leur peuple, et qui a fait du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- notre témoin le Jour du Jugement.


Parmi les règles prescrites par Allah, on trouve l’ordre de prescrire le bien et d’interdire le mal :


« Que soit issue de vous une communauté qui appelle au bien, ordonne le convenable
et interdit le blâmable. Car ce sont eux qui réussiront
»
(Sourate 3 verset 104)

Par son infinie sagesse, Allah, permet à celui qui est incapable de rectifier le mal par sa main, de la faire par sa langue, ou au moins de le réprouver par son cœur. Et c’est le niveau plus bas de l’Imane (la foi). La punition pour ne pas prêcher le bien et interdire le mal est grave.
Le Prophète (Prières et bénédiction d'Allah sur lui) a dit :


« Vous devez prêcher le bien et interdire le mal, autrement, Allah envoiera rapidement sur vous une punition et vous le supplierez alors mais il ne vous répondra pas. »
(At-Tirmidhi)


Dans le cadre de l’obéissance à cet ordre émanant d’Allah et de Son Prophète (Prières et bénédiction d'Allah sur lui), et pour les musulmans d'ici et d’ailleurs, je présente cette critique du Soufisme. Cela sera, Incha Allah, profitable pour les musulmans ignorant les dangers cachés du Soufisme, et qui de par leur science superficielle de l’Islam, ou pour d’autres raisons, sont dupés en croyant que l'agrément d'Allah est atteint par des doctrines mystiques et ascétiques et que la relation entre l’homme et Allah est maintenue à travers des prêtres auto-désignés.


En effet, la parole la plus véridique est le livre d’Allah et la meilleure voie est celle de Mouhammad (Prières et bénédiction d'Allah sur lui).

Et les pires choses sont celle inventées [dans la religion]. Et toute chose inventée [dans la religion] est une innovation, et toute innovation est un égarement et tout égarement est destiné à l’Enfer.


La déviation du droit chemin a poussé quelques dirigeants musulmans, à une certaine période de l’histoire, à croire que la perfection de la pensée pouvait être atteinte en mélangeant la philosophie grecque aux croyances islamiques. Ils ont contaminés la pureté et la simplicité de l’Islam comme mode de vie. Cela a ouvert la porte à l’ésotérisme (science cachée), l’élitisme (individus spéciaux choisis pour des missions) et le mysticisme (adoration non présente dans la Sounna ), concepts qui se sont développés plus tard comme une religion à part.
La religion de l’Islam est basée sur le Livre d’Allah et la Sounna du Messager d'Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-.

Cheikh Al Islam Ibn Taymiyya -Qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit :
« Allah a envoyé son Prophète (Prières et bénédiction d'Allah sur lui) bien aimé avec la guidée et la religion de vérité. En faisant cela, il a parfait ses faveurs sur ceux qui ont suivi la guidée, les musulmans, et a rendu clairs leurs droits et obligations »
(« Prescrire le bien et le interdire le mal » de Ibn Taymiyya -Qu’Allah lui fasse miséricorde-)


Cela signifie qu’aucun humain n’a le droit de prescrire aux gens autre chose que ce qu’a prescrit Allah ou Son Messager -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-, ni d’interdire une chose qu’Allah ou son Messager (Prières et bénédiction d'Allah sur lui) n’ont pas interdit.

Celui qui se permettrait un tel acte introduirait une religion totalement différente, suivant l’exemple des Gens du Livre qui ont pris leurs prêtres et rabbins comme divinités avec Allah.
C’est le chemin des innovateurs que d’introduire des Bida’a (innovations religieuses) sous formes de paroles ou d’actions, de les imposer à ceux qui tombent sous leur influence, et à les forcer par n’importe quelle méthode à les conserver. C’est ainsi qu’ont agi les Khawarijs et les Rawafids et les autres sectes (Khawarijs : ceux qui se sont rebellés contre Ali -qu’Allah l’agrée-, 4ième Calife et l’ont tué. Ils considèrent tout pécheur comme mécréant qu’il faut exécuter. Rawafids : ce sont les chiites non Zaydites, ceux qui ont abandonné Zayd -qu’Allah l’agrée-, petit fils de Ali -qu’Allah l’agrée-, lorsqu’ils leur a interdit d’insulter ’Omar -qu’Allah l’agrée- et Abou Bakr -qu’Allah l’agrée-.
Ce terme désigne les sectes Chiites qui insultent les Compagnons du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- (Imamites, Ismaélites (Druzes, Musta’liites et Agha Khani) et Alawi ou Nussairites)).




Les soufis ont exploité l’état chaotique des états au 5ième et 6ième siècle (post-hégire) et ont invité les gens à suivre leur chemin, affirmant qu’ils allaient remédier à ce chaos conformément à la guidée du Cheikh de leur ordre. Ils ont inventé leur propre ordre et établi leurs propres critères, bien que ces critères ne soit pas confirmés par le Coran et la Sounna.

L’imam Malik Ibn Anas -Qu’Allah lui fasse miséricorde- a dit :
« Ce qui ne faisait pas parti de la religion au temps du Prophète (Prières et bénédiction d'Allah sur lui) et de ses Compagnons, ne fera jamais parti de la religion. »



Il a ajouté :
« Celui qui introduit une Bida’a dans la religion de L’Islam et affirme que c’est une bonne chose, affirme par cela que Mouhammad -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a trahit son message et qu’il ne l’a pas complètement transmis, malgré la parole d’Allah :

«
Aujourd’hui, J’ai parfait pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et J’agrée l’Islam comme religion pour vous
» (Sourate 5 verset 3) »



Comme la doctrine Soufie, le panthéisme est adopté par d’autres religions et philosophies faites par des hommes. Cela est confirmé par S. R. Sharda dans son livre, « Pensées Soufies ».

« La littérature Soufie de la période post-Timor montre un changement crucial dans la pensée : elle est devenu panthéiste. Après la chute de l'orthodoxie musulmane au pouvoir en Inde pendant environ un siècle, suite à l'invasion du Timor, les Soufis se sont libérés du contrôle de l’orthodoxie musulmane et se sont mélangés avec les saints hindous, qui les ont influencés à un degré difficilement imaginable. Les soufis ont adopté le Monisme (doctrine qui affirme qu’une seule entité ou essence existe) et se sont dévoués à l’école Védantique Vaishnava (Chef de la philosophie hindoue, traitant de la doctrine oupanishadique de l’identité de Brahman et Atman, qui a atteint son apogée vers 800 JC à travers le philosophe Shankara). Les pratiques Bhakti (adoration dans le but d’atteindre Brahman) et de yoga (union avec l’être suprême) sont prêchés par l'école Védantique Vaishnava. À ce moment-là, la popularité du panthéisme Védantique avait atteint son zénith parmi les soufis. »
(S. R. Sharda, « Sufi Thought »)


Il est clair que les Soufis n'ont pas développé leurs pensées indépendamment de toute influence. Le christianisme et les autres religions ont eu leur impact sur les doctrines soufies. « Au début du neuvième siècle, explique N. Fatemi, les Soufis ont développé une doctrine œcuménique basée sur l'idée du Zoroastrisme, du Bouddhisme, du judaïsme, du christianisme, du Néo-Platonisme et de l’Islam ». Le soufisme considère toutes les religions comme des reflets plus ou moins parfaits de la grande vérité centrale qu'ils recherchent à appréhender entièrement, et par conséquent les soufis les considèrent comme bonnes, proportionnellement à la vérité qu’elles contiennent. (Sharda, Ibid)


Ibn ’Arabi, le philosophe Soufi le plus infâme, a inclus la plupart de ses idées hérétiques dans son livre, « les Facettes de la Sagesse », qu'il affirme avoir reçu du Prophète Mouhammad -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-. Il a écrit :
« J'ai rencontré le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- lors d’une visite qu’il ma accordé dans la dernière partie de Mouharram en l'année 627 A.H. dans la ville de Damas. Il avait dans sa main un livre, et il m’a dit : « C'est le livre des Facettes de la sagesse, prends-le et apporte le aux hommes, afin qu'ils puissent en bénéficier. » « Les facettes de la sagesse », p.71)


Il est suffisant de dire que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- est dans sa tombe depuis le moment où son corps honorable y a été étendu, un fait convenu par toute la nation musulmane. On n'a jamais signalé qu'il avait rendu une seule visite à un de ses Compagnons. Alors que dire de ceux qui sont venus six siècles après ! Abou Hourayra -qu’Allah l’agrée- a rapporté du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- :
« Je serai le plus éminent des enfants d'Adam le jour du jugement, le premier dont la tombe se fendra, le premier médiateur, et le premier dont l'intercession sera reçue (par Allah). »
(Mouslim)


Dans son livre « Les Facettes de la sagesse », Ibn ’Arabi présente certains aspects de ce qu'il nomme « la sagesse divine », tel qu’il la conçoit à travers la vie de 27 prophètes mentionnés dans le Coran. Le contenu de ce livre est décrit par son traducteur, R.W. Austin. Il dit dans sa note préliminaire au chapitre III :
« Ce chapitre est le plus difficile et controversé de tous les chapitres du livre, en raison de l’explication peu commune et extraordinaire du Coran. Certainement, du point de vue de la théologie exotérique, l’approche d'Ibn ’Arabi au Coran en ce chapitre est au mieux insouciante, et au pire scandaleusement hérétique. »




Ce chapitre traite de la Sourate Nouh, un des cinq Prophètes qui ont été dotés de constance et patience. Il a fait des efforts sincères pendant 950 années afin de persuader son peuple d'abandonner l’adoration des idoles et d'adorer Allah en exclusivité, mais en vain. En conclusion, le Messager d'Allah, Nouh -Bénédiction d'Allah sur lui- a invoqué Allah et lui a demandé de punir son peuple entêté et endurcis (dans le polythéisme). Allah a répondu en noyant le peuple de Nouh -Bénédiction d'Allah sur lui- par l'inondation en ce bas monde, et en les condamnant au Feu de l’enfer dans le prochain, une punition à la hauteur de leur crime. Mais Ibn ’Arabi interprète quelques versets de la Sourate Nouh de la façon la plus indigne, puisqu'il suggère des significations diamétralement opposées au sens apparent. Il interprète les « injustes », « infidèles », et « pêcheurs » de la Sourate Nouh en tant que « saints et gnostiques » (Ibn ’Arabi, Ibid) se noyant dans l’eau de la science d’Allah et brûlant non pas dans les tourments de l’enfer, mais plutôt dans les flammes de la science d’Allah. Ibn ’Arabi a considéré les idoles adorées par le peuple de Nouh -Bénédiction d'Allah sur lui- comme de véritables divinités.

Les personnes du peuple de Nouh -Bénédiction d'Allah sur lui- ont dit :


« N’abandonner jamais vos divinités et n’abandonnez jamais
Wadd, Souwa, Yaghouth, Ya'ouq et Nasr
»
(Sourate 71 verset 23)



A ce sujet, Ibn ’Arabi a commenté :
« Si le peuple de Nouh -Bénédiction d'Allah sur lui- les avait abandonnées, il serait devenu ignorant de la réalité, dans la mesure où dans chaque objet de culte, il y a un reflet de la réalité, qu’elle soit reconnue ou non »
(Ibid)



La réalité à laquelle se réfère Ibn ’Arabi n’est rien d’autre que la divinité du panthéisme. Pourtant, ses disciples, les soufis, se défendent, argumentant que leurs doctrines sont basées sur les enseignements de l'Islam. Cependant, les preuves sont là, leur doctrine est plus proche de la doctrine chrétienne de l'incarnation, défendu par Mansour El-Hallaj, une des personnalité infâme du Soufisme, qui a été crucifié pour s’être proclamé identique à Dieu. « Je suis Celui que j'aime » s’est-il exclamé. « Ce que j'aime est moi. Nous sommes deux âmes partageant le même corps. Si vous me voyez, vous Le voyez et si vous Le voyez, vous me voyez. »
(Cheikh Abou Bakr Djaber Al-Djazaïri, Illat-Tasawwouf Ya Ibadallah, pp.10)
22 mai 2013 14:28
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Quand on n'arrive pas à discuter dans le sujet, il paraît que la meilleure façon c'est d'ésquiver et sortir du sujet.


Salam ,


Que crois tu ? Tu pense que nous allons philosophé sur le Coran d'Allah (glorifié soit il) ?
Tu pense que nous somme en pleine rhétorique de tintin au Tibet , le yeti mythe ou réalité ?
22 mai 2013 14:44
Ils n’y a pas plus dangereux pour la « Charî’ah » [Loi Divine] que les gens du « Kalâm » [Rhétorique] et les Soufîs. Les premiers corrompent la foi des gens par des doutes [Choubouhât] dictés par leurs esprits et les derniers pervertissent les actes des gens et cherchent à démolir les fondements et les commandements divins. Ils préfèrent le chômage et l’écoute des chansons.

Quant aux premières générations [Salaf], elles n’étaient pas comme eux, au contraire, elles étaient soumises dans leur dogme [’Aqîda] et étaient actives et consciencieuses.

Mon conseille pour mes frères, c’est de ne pas se faire influencer par les paroles des gens du « Kallâm », et de ne pas prêter l’oreille aux simplicités des Soufîs. Travailler pour gagner sa vie est meilleure que le chômage du Soufisme, et s’attacher aux vérités vaut mieux que d’approfondir des choses copiées à la manière des faux dévots. Ceci étant, nous constatons que le but des gens du Kalâm, est de semer le doute dans les esprits, et celui des Soufîs est de pervertir
[...]
Kitâb « Talbîs Iblîs » de Ibn al-Djawzî, p.384-385
f
24 mai 2013 10:48
Citation
bankss a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Quand on n'arrive pas à discuter dans le sujet, il paraît que la meilleure façon c'est d'ésquiver et sortir du sujet.


Salam ,


Que crois tu ? Tu pense que nous allons philosophé sur le Coran d'Allah (glorifié soit il) ?
Tu pense que nous somme en pleine rhétorique de tintin au Tibet , le yeti mythe ou réalité ?


Assalam alaikoum

De quelle réalité parle-t-on, qu'on se fait lointaine, inaccessible, absente, une réalité sans réalité.
24 mai 2013 17:49
Citation
faqir a écrit:
Citation
bankss a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Quand on n'arrive pas à discuter dans le sujet, il paraît que la meilleure façon c'est d'ésquiver et sortir du sujet.


Salam ,


Que crois tu ? Tu pense que nous allons philosophé sur le Coran d'Allah (glorifié soit il) ?
Tu pense que nous somme en pleine rhétorique de tintin au Tibet , le yeti mythe ou réalité ?


Assalam alaikoum

De quelle réalité parle-t-on, qu'on se fait lointaine, inaccessible, absente, une réalité sans réalité.

assalam alaikum

la religion c'est Allah a dit Son messager a dit haissalatu salam, et si toi, faqir réapprenais ta religion???

.
f
25 mai 2013 00:02
Assalam alaikoum

Cette manière de procéder n'est pas conforme à l'esprit du message coranique, rendant cette réalité accessible, présente, vivable, tel l'illustre ces versets :

« Là où vous vous tournez est la face de Dieu »

Non seulement une face, mais la face, c'est-à-dire la réalité dans toute sa grandeur.

« Dieu est la lumière des cieux et de la terre »

Non seulement une lumière, mais la lumière dans toute son intensité.

De par sa conscience, l'homme devient le réceptacle de la lumière, devenant pour lui un vécu, une réalité, de la lumière des sens, à la lumière de la connaissance (spirituelle), de la lumière de la raison et de la foi, à la lumière de la certitude et de la vision.

« La religion au premier degré (démunie de sa dimension spirituelle, de son esprit) qui contraint l'homme, en vue de son salut éternel, à être passif, appliquant à la lettre les principes religieux des traditions héréditaires, une morale de la forme, un comportement travesti, un élitisme dérisoire, cette religion ne fait que dresser un barrage devant l'impulsion et le désir ardent de réaliser pleinement et totalement sa condition d'homme uni à (et non avec) Dieu, bonheur suprême pour ceux qui l'ont vécu »
25 mai 2013 13:05
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Cette manière de procéder n'est pas conforme à l'esprit du message coranique, rendant cette réalité accessible, présente, vivable, tel l'illustre ces versets :

« Là où vous vous tournez est la face de Dieu »

Non seulement une face, mais la face, c'est-à-dire la réalité dans toute sa grandeur.

« Dieu est la lumière des cieux et de la terre »

Non seulement une lumière, mais la lumière dans toute son intensité.

De par sa conscience, l'homme devient le réceptacle de la lumière, devenant pour lui un vécu, une réalité, de la lumière des sens, à la lumière de la connaissance (spirituelle), de la lumière de la raison et de la foi, à la lumière de la certitude et de la vision.

« La religion au premier degré (démunie de sa dimension spirituelle, de son esprit) qui contraint l'homme, en vue de son salut éternel, à être passif, appliquant à la lettre les principes religieux des traditions héréditaires, une morale de la forme, un comportement travesti, un élitisme dérisoire, cette religion ne fait que dresser un barrage devant l'impulsion et le désir ardent de réaliser pleinement et totalement sa condition d'homme uni à (et non avec) Dieu, bonheur suprême pour ceux qui l'ont vécu 
»

assalam alaikum

Nous avons déjà réfuter ta croyance wahdatul wujud , tu le dit pas clairement mais , tu t'oriente vers la croyance diabolique de ibn Arabi extrémiste soufi, comme quoi Allah est mêler dans sa création, c'est ce que tu laisse enttendre ici, je te connais mieux que qui conque dans cette forum.
-- tu n'a jamais ose me répondre., je vais ramener tes propos et sa réfutation
..
25 mai 2013 13:08
Citation
faqir a écrit:
Citation
Mi-Linda a écrit:
A3leykoum salam

Allah ou a3lem je ne connais pas le tafsir du Coran, mais toi tu ne te base que sur ces 2 verset la alors que la moitié du Coran prouve qu'ALLAH est aux dessus des cieux, je te donne la preuve par des hadith authentique mais tu reste toujours sur ta position : car la puissance tout entière est à Allah : vers Lui monte la bonne parole, […] » (Sourate 35/Verset 10).

Le hadith rapporté par Abou Dawoud et Tirmidhi où le Prophète, , a dit : « Soyez miséricordieux envers ceux qui sont sur terre pour que Celui qui est dans le ciel vous accorde Sa miséricorde.»

Le hadith rapporté par Boukhari et Muslim où le Prophète, , a dit : « Ne m’accordez-vous pas votre confiance alors que Celui qui est dans le ciel m’a accordé la Sienne, voilà qu’Il m’envoie les nouvelle du ciel matin et soir. »

Mon frère je ne vais pas débattre car cela ne sert a rien je te demande de bien réfléchir c'est tout
wa salam


Assalam alaikoum
]Ma sœur, il y a plusieurs versets parlant de la ma'iyya divine, le fait que Dieu soit avec nous, en tous nos états. Moi je ne nie pas la transcendance divine, le fait que Dieu soit au-dessus des cieux, et de toute chose, mais en même temps je ne nie pas l'immanence divine, le fait qu'il n'y a rien dans la création qui ne porte l'emprunte de son Créateur. La transcendance divine ne se dissociant pas de l'immanence divine, et c'est ce sens de non dissociation qu'illustre le Coran, tel ce verset, parmi d'autres, : « Les regards ne L'atteignent pas et Lui atteint les regards ». « Les regards ne L'atteignent pas » exprime la transcendance divine, « Et Lui atteint les regards » exprime l'immanence divine, l'une ne se dissociant de l'autre, l'une ne niant l'autre, l'immanence ne niant la transcendance et la transcendance ne niant l'immanence, l'une illustrant l'autre, comme deux aspects, comme deux considérations d'une même réalité, d'un même fait.

faqir
le fait que Dieu soit au-dessus des cieux, et de toute chose, mais en même temps je ne nie pas l'immanence divine, le fait qu'il n'y a rien dans la création qui ne porte l'emprunte de son Créateur.

pourquoi complique ce qui est facile
dit: Il est au dessus de s cieux elever sur son Trone et Sa science atteint toute chose.

assalam alaik

MI-linda,ou personne ne renie qu Allah est avec ses creature, les creature ne peu rien faire sans Lui
il est avec nous par sa science tout en étant sur son Trône

1--déjà ce n'est pas le sujet de la discutions, nous parlons de celui qui renie qu' Allah est au-dessus des cieux.
2--le fait de dire qu'il est avec nous n'implique pas SON Essence,
Sa science qui atteint toute chose, il n y a pas une feuille d'arbre qui tombe qlq part dans une foret sans qu'il le sache

La seour Mi-linda a bien compris le sujet, et il le traite avec les preuve, reste dans le sujet s'il te plait, ne vient pas embrouiller les monde avec la philosophie des koufar


Citation
faqir a écrit:
Dieu subhânahu ne peut être limité à quelque chose, Il ne peut être exclu de quelque chose, l'Immanent, comme Il ne peut être inclus à quelque chose, le Transcendant, et quand il est dit qu'Il est en chacun de nous et en chaque chose, c'est dans le sens de cette non exclusion, et non d'une quelconque inclusion ; comment l'Absolu serait-Il inclus au relatif, comment l'Infini serait-Il inclus au fini, alors qu'en même temps comment serait-Il exclu de lui ? C'est dans ce sens de cette immanence ne se dissociant de la transcendance, de cette immanence imprimant toute chose, sans qu'elle soit imprimée, par quelque chose, une immanence de transcendance, et une transcendance d'immanence.

C'est dans cette non dissociation, c'est dans cette non dualité, qu'illustre le Coran, que se situe le sens du Tawhîd, et toute dissociation crée, de quelque forme soit-elle, est non conforme à ce sens
.

faqir
1-Il ne peut être exclu de quelque chose......,
REPONSE:
si par IL tu vise Sa science oui, tu as raison, si tu vise son Essence, FAUX, on est pas dans le chistianisme dieu se fait homme

faqir et wahdatul woujud la philosophie des koufar
et quand il est dit qu'Il est en chacun de nous et en chaque chose, c'est dans le sens de cette non exclusion,


REPONSE:
dieu est en chacun de nous??? FAUX , tu délire, si tu vise son Essence, apprend a utilise le terme approprier,
dit : La science d' Allah est en chacun d'entre nous dans chacun de nos souffle
faqir
c'est dans le sens de cette non exclusion,
REPONSE
bien sur i tu vise non exclusion la SCIENCE d' Allah , la volonté des hommes ne peu dépasser la volonté du Créateur . sinon il y a longtemps que l'homme aurai ete au-dela de l'univers
25 mai 2013 16:43
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Cette manière de procéder n'est pas conforme à l'esprit du message coranique, rendant cette réalité accessible, présente, vivable, tel l'illustre ces versets :

« Là où vous vous tournez est la face de Dieu »

Non seulement une face, mais la face, c'est-à-dire la réalité dans toute sa grandeur.

« Dieu est la lumière des cieux et de la terre »

Non seulement une lumière, mais la lumière dans toute son intensité.

De par sa conscience, l'homme devient le réceptacle de la lumière, devenant pour lui un vécu, une réalité, de la lumière des sens, à la lumière de la connaissance (spirituelle), de la lumière de la raison et de la foi, à la lumière de la certitude et de la vision.

« La religion au premier degré (démunie de sa dimension spirituelle, de son esprit) qui contraint l'homme, en vue de son salut éternel, à être passif, appliquant à la lettre les principes religieux des traditions héréditaires, une morale de la forme, un comportement travesti, un élitisme dérisoire, cette religion ne fait que dresser un barrage devant l'impulsion et le désir ardent de réaliser pleinement et totalement sa condition d'homme uni à (et non avec) Dieu, bonheur suprême pour ceux qui l'ont vécu »




A’oudoubillah mine Shaitane Rajime




Dévot de Chaytane perdu dans le labyrinthe sans fin de la philosophie Sankara se noyant dans l’eau de la science d’Allah et brûlant non pas dans les tourments de l’enfer, mais plutôt dans les flammes de la science d’Allah , breakdancer du dimanche.


L'islam est l'application a la lettre des principes religieux émis par Allah ( soubhana wa ta'ala) et transmis par son noble messager (sala Allahu alayhi wa salam) et nous aspirons et aspirerons pour toujours a nous rapprocher autant qu'il sera possible non pas des "traditions" mais de l'héritage véridique qu'est l'islam authentique (pur) . La véritable lumière (et non pas celle de Faqir et les 36 chambres de Shaolin) réside dans le Coran est la Sunna ainsi que la totale soumission véritable au valeur qui y sont révéler élève l'homme dans une spiritualité sans innovation est sans doute , elle en fait un membre actif de la communauté (et non un chômeur soufis) conscient de son environnement (et non des danseurs inconscient soufis) comme a l'image de nos prédécesseurs endurant dans les bonnes actions , ect ect ect ... En bref je vais abréger ;


Les soufis croient que chanter au rythme des barres de fer est une forme d'adoration, ainsi qu'il nous est parvenu de leur part que l'invocation lors d'un chant ou d'un groupe est exaucée, mais une telle croyance est aussi mécréance, puisque quiconque croit qu'il peut se rapporcher d'ALLâh via des rites qui sont déconseillés [Makrouh] ou illicite [harâm] devient mécréant [kâfir]. Car de telles conduites sont considérées par les savants comme illicites ou déconseillées.


Ils ont fondé des endroits de rassemblement d'inactivité qu'ils appellent « al-Arbita », qu'ils ont remplacé aux mosquées. Ce ne sont ni des mosquées ni des demeures, ni des compartiments. Ils s'y sont installés plutôt que de gagner leur vie et y mènent une vie bestiale en mangeant, buvant, dansant et chantant.


En outre, les soufis abandonnent leur volonté à leurs gourous en disant qu'on ne peut s'opposer à leurs décisions en quoi que ce soit. Ainsi, le SHeikh se trouve au-dessus de tenir des propos blasphématoires de mécréance et d'égarement [dhallâl] qu'ils appellent extase et de faire des actes reconnus par la religion comme perversion.

S'il embrasse un jeune garçon, on dit que c'est une miséricorde, s'il se tient à l'écart avec une femme étrangère, on dit que c'est sa fille qui porte al-Khirqa et s'il attribue un habit à une personne autre que son propriétaire et sans accord de ce dernier, on dit que c'est la règle de al-Khirqa.
25 mai 2013 17:09
Le Soufisme contredit l’Islam dans plusieurs choses








1)-L’invocation des morts en dehors d’Allah, qui renferme un polythéisme qui rend les oeuvres vaines. Allah a dit: «Et n’invoque pas, en dehors d’Allah, ce qui ne peut te profiter ni te nuire. Et si tu le fais, tu seras alors du nombre des injustes» Qur’an 10, 106

Il a dit aussi : «… Si tu donnes des associés à Allah, ton œuvre sera vaine et tu seras certainement du nombre des perdants. » Qur’an 39, 65

Le Messager d’Allah (Qu’Allah lui accorde Sa grâce et Sa paix) a dit: «Celui qui meurt en invoquant un autre en dehors d’Allah, le prenant pour égal, entrera en Enfer» (Rapporté par Boukhari)


2) Certains soufis croient qu’Allah S’est installé dans chacune de ses créatures, même Ibn ‘Arabi a dit:

La vérité (Allah) est un serviteur et le serviteur une vérité

Que je désire connaître qui est le redevable?

Et le plus injuste parmi eux a déclaré:

Aussi bien le chien que le porc sont notre dieu

Dieu n’est qu’un moine dans une église.


C’est parce qu’ils croient au panthéisme.



3 )La majorité des soufis croient qu’Allah créé Mouhammad (Qu’Allah lui accorde Sa grâce et Sa paix)de lumière et toutes les autres choses de cette lumière, que Mouhammad (Qu’Allah lui accorde Sa grâce et Sa paix) est la première créature d’Allah alors qu’Allah les dément quand Il dit: «Quand ton Seigneur dit aux anges : « Je vais créer d’argile un être humain.» Qur’an 38, 71

Adam (sur lui la paix) fut le premier parmi les humains et le Calame parmi les choses après le Trône et l’eau.



4) Parmi les dérogations aux principe l’Islam, les soufis font des voeux pour les Walis (les saints). La tournée processionnelle autour de leurs tombes, la construction des stèles et les cérémonies invocatoires enfreignant les enseignements d’Allah et de Son Prophète(Qu’Allah lui accorde Sa grâce et Sa paix), la danse lors de ces cérémonies, les incantations magiques, la sorcellerie, la dévoration des biens illicites, l’escroquerie et autre…


«
Toute personne qui pratique des actes d’adoration autres que ceux apportés par le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) fait sans aucun doutes parties des sectes condamnées à l’enfer
».

Ceci est confirmé par ce message du Prophète ('Aleyhi salat wa salam) à ses Compagnons : « Ma nation se divisera en 73 sectes, toutes iront en enfer sauf une ». Les Compagnons ont demandé « Quel est la secte sauvée ?». Il ('Aleyhi salat wa salam) a répondu « Ceux qui adhère à ma Sunna et celle de mes Compagnons
» ( Ahmad-Abu Dawud)



Les Soufîs sont les premiers à avoir de termes comme « Ceci est la Loi [Charî'a] et cela est la réalité [Haqîqa] », mais cela est une chose inacceptable. La Loi est ce qu'Allâh a prescrit pour le bien de l'humanité et de toute affirmation au-delà, relève dans les esprits de l'inspiration des Shayâtine [des démons]. Toute personne recherchant la vérité [haqq] en dehors de la Loi divine est en égarée [maghrour] et trompée [makhdou']. Quand ils entendent quelqu'un rapporter un hadîth du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam), ils disent : « Les pauvres ! Ils prennent leur hadîth d'un mort et vers un mort. Tandis que nous prenons le nôtre du Tout Vivant, l'Immortel [al-ladhî lâ yamût] ».

Si quelqu'un dit : « Mon père m'a dit d'après mon grand-père », on lui dira : « Mon cœur m'a dit d'après mon Seigneur ». Ainsi, ils se sont égarés et ont détourné beaucoup de faibles d'esprit, en inventant des légendes et en dépensant pour cela de l'argent.

En réalité, les Jurisconsultes [Fuqahâ] ont le même rôle que les médecins. L'argent dépensé pour eux est comme faite pour le traitement, alors que l'argent dépensé pour tels imposteurs est comme la dépense faite pour les chanteuses [al-moughaniyât]. La haine des soufis contre les Jurisconsultes [savants musulmans] est une grande mécréance [Zandaqa] car ces derniers les mettent en garde contre leur égarement [dhallâlahoum] et leur perversité [fassiqahoum]. Certes, la vérité [al-haqq] pèse lourd au même titre que la Zakât. Il est de ce fait plus facile pour certains de dépenser de l'argent pour les chanteuses et les poètes pour leurs louanges. Ils détestent également les Gens du Hadîth [Ashab al-Hadîth]
f
26 mai 2013 00:23
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Cette manière de procéder n'est pas conforme à l'esprit du message coranique, rendant cette réalité accessible, présente, vivable, tel l'illustre ces versets :

« Là où vous vous tournez est la face de Dieu »

Non seulement une face, mais la face, c'est-à-dire la réalité dans toute sa grandeur.

« Dieu est la lumière des cieux et de la terre »

Non seulement une lumière, mais la lumière dans toute son intensité.

De par sa conscience, l'homme devient le réceptacle de la lumière, devenant pour lui un vécu, une réalité, de la lumière des sens, à la lumière de la connaissance (spirituelle), de la lumière de la raison et de la foi, à la lumière de la certitude et de la vision.

« La religion au premier degré (démunie de sa dimension spirituelle, de son esprit) qui contraint l'homme, en vue de son salut éternel, à être passif, appliquant à la lettre les principes religieux des traditions héréditaires, une morale de la forme, un comportement travesti, un élitisme dérisoire, cette religion ne fait que dresser un barrage devant l'impulsion et le désir ardent de réaliser pleinement et totalement sa condition d'homme uni à (et non avec) Dieu, bonheur suprême pour ceux qui l'ont vécu »


Assalam alaikoum

« Malgré tous les efforts, toutes les spéculations philosophiques et autres arguties, on n'a jamais pu extirper du cœur de l'homme la soif du Divin, tant elle est inscrite au plus profond de lui-même. La relation entre l'homme et le Divin, même ténue, existe et existera toujours. C'est pourquoi il y aura toujours des chercheurs de Vérité. Ceux qui voient la religion uniquement comme dogme et loi figée à jamais assassinent, peut-être sans le vouloir, l'Esprit même qui lui a donné naissance ».

Comme il y aura toujours des chercheurs, des assoiffés de Vérité, il y aura toujours, que ce soit au passé comme au présent, ceux qui s'opposent à ceci, les exotéristes, les religieux dogmatiques, qui veulent que l'ordre qu'ils ont établi sot immuable, oubliant que la religion de la lettre nous enseigne des vérités superficielles, sources de malheurs et de drames, alors que la véritable spiritualité est une quête permanente pour découvrir la réalité du message, afin de savourer, dans le partage, les délices de la vie et l'intarissable flux divin.

Ces mêmes exotéristes, ces mêmes religieux, les pharisiens, se revendiquant de la Loi sacrée de Moise, ayant combattu, en son nom (de la loi), Jésus, le prophète de Dieu, et sa mission, alors qu'il leur annonça :

« Malheur à vous, docteurs de la Loi, parce que vous avez enlevé la clef de la science. Vous-mêmes n'êtes pas entrés et avez empêché ceux qui entraient ».
f
26 mai 2013 12:32
Citation
faqir a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Cette manière de procéder n'est pas conforme à l'esprit du message coranique, rendant cette réalité accessible, présente, vivable, tel l'illustre ces versets :

« Là où vous vous tournez est la face de Dieu »

Non seulement une face, mais la face, c'est-à-dire la réalité dans toute sa grandeur.

« Dieu est la lumière des cieux et de la terre »

Non seulement une lumière, mais la lumière dans toute son intensité.

De par sa conscience, l'homme devient le réceptacle de la lumière, devenant pour lui un vécu, une réalité, de la lumière des sens, à la lumière de la connaissance (spirituelle), de la lumière de la raison et de la foi, à la lumière de la certitude et de la vision.

« La religion au premier degré (démunie de sa dimension spirituelle, de son esprit) qui contraint l'homme, en vue de son salut éternel, à être passif, appliquant à la lettre les principes religieux des traditions héréditaires, une morale de la forme, un comportement travesti, un élitisme dérisoire, cette religion ne fait que dresser un barrage devant l'impulsion et le désir ardent de réaliser pleinement et totalement sa condition d'homme uni à (et non avec) Dieu, bonheur suprême pour ceux qui l'ont vécu »


Assalam alaikoum

« Malgré tous les efforts, toutes les spéculations philosophiques et autres arguties, on n'a jamais pu extirper du cœur de l'homme la soif du Divin, tant elle est inscrite au plus profond de lui-même. La relation entre l'homme et le Divin, même ténue, existe et existera toujours. C'est pourquoi il y aura toujours des chercheurs de Vérité. Ceux qui voient la religion uniquement comme dogme et loi figée à jamais assassinent, peut-être sans le vouloir, l'Esprit même qui lui a donné naissance ».

Comme il y aura toujours des chercheurs, des assoiffés de Vérité, il y aura toujours, que ce soit au passé comme au présent, ceux qui s'opposent à ceci, les exotéristes, les religieux dogmatiques, qui veulent que l'ordre qu'ils ont établi sot immuable, oubliant que la religion de la lettre nous enseigne des vérités superficielles, sources de malheurs et de drames, alors que la véritable spiritualité est une quête permanente pour découvrir la réalité du message, afin de savourer, dans le partage, les délices de la vie et l'intarissable flux divin.

Ces mêmes exotéristes, ces mêmes religieux, les pharisiens, se revendiquant de la Loi sacrée de Moise, ayant combattu, en son nom (de la loi), Jésus, le prophète de Dieu, et sa mission, alors qu'il leur annonça :

« Malheur à vous, docteurs de la Loi, parce que vous avez enlevé la clef de la science. Vous-mêmes n'êtes pas entrés et avez empêché ceux qui entraient ».


Assalam alaikoum

Aussi, il y a ceux qui sont comme conservateurs, non de la religion, mais plutôt de l'ordre établi, c'est une conservation de forme plus que de fond, et ceux-ci on peut les trouver partout, chez ceux se revendiquant de salafisme que de soufisme, de charî'a que de haqîqa, alors qu'en revanche, il y a ceux dont la conservation concerne non seulement la forme, mais essentiellement le fond, non seulement la lettre, mais son esprit, non seulement la science, mais sa clef.

Ces conservateurs en vrai de la religion, ces vivificateurs du message, et de son contenu, la seule chose qui les anime c'est l'amour de Dieu, et le souci de cette humanité éprouvée, ces « amis de Dieu, ces « soumis », étant hommes du juste milieu, sont des éléments d'équilibre pour la société, ils sont une miséricorde pour les mondes, ouverte à tous, leur langage, tel un pollen, féconde tous les peuples. Ils ont la liberté de comportement, de pensée et d'expression et se réfèrent, non exclusivement à une loi, à un code, à une philosophie, mais essentiellement à la religion primordiale des hunafâ, à la religion de l'ihsâne, de la soumission, la religion de Dieu, celle de l'islam.

« La religion de la soumission s'adresse aux aspirants de la liberté, à ceux qui fuient les pesanteurs et les tabous des vérités toutes faites, la sclérose et l'aliénation du milieu dégradant qui enchaîne l'esprit, façonne les habitudes, dénature les valeurs en faisant de l'homme un être docile à moitié mort, manipulable, prêt à donner sa fin pour les bonnes causes de ses maîtres à penser.
Les soufis disent : « l'eau qui coule reste vivante, l'eau qui stagne s'altère ». L'eau a une source, elle coule et se rend vers l'inconnu : l'océan (de l'univers divin). Nous ne savons pas comment nous y rendre, ni quel chemin emprunter, ni quels obstacles se dresseront devant nous. Allons-nous rencontrer des déserts, des plaines fertiles, des montagnes ? Mais aucun barrage ne peut arrêter l'eau ! Elle trouve toujours une issue pour poursuivre son parcours. Tous les ruisseaux et tous les fleuves finissent par rejoindre la mer. Même si nous allons sous terre, nous finirons toujours par resurgir et nous fondre dans l'Océan (de la Miséricorde et de la Réalité divines). Peu importe la longueur du chemin, l'essentiel est dans la sincérité de notre quête. »
26 mai 2013 13:13
J'en ai assez d'écouter tes élucubrations




Chercheur de vérité et autre utopie qui sonne bien a l'oreille du profane et qui n'existe absolument pas chez vous , c'est plutôt la passion , le chant , la danse et le désordre c'est la réalité du Soufis .


Voyons un peu ce que disent tes chercheurs de vérités ;


Ahmad Tidjani


Le Livret de Shaikh al-Afriqi livre les croyances suivantes, citées des écritures principales de l’ordre d'al-Tidjaniyyah, avec ses commentaires valables :

« Ils affirment que leur Wird (dhikr à répéter) était gardé secret par le Messager d’Allah ('Aleyhi salat wa salam), qui ne l’a enseigner à aucun de ses Compagnons, sachant que le moment n’était pas encore venu pour le rendre publique, et ni la personne qui devait le rendre publique n’était en vie ». (At-Tidjani)

Le Wird en question se compose de trois lignes, mal construites grammaticalement :


« O Allah, prie sur notre maître Muhammad, celui qui ouvre le verrouillé, l’âme de ce qui nous a précédé, le défenseur de la vérité par la vérité, le guide de ton droit chemin, ainsi que sur sa famille avec l'estimation et le grand honneur qui lui sied ».

En affirmant que le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) a gardé ce Wird secret et ne l’a pas enseigné à ses Compagnons, Ahmad At-Tidjani, chef de l’ordre Tidjaniya réfute les paroles d’Allah :

« O Messager ! transmet au gens ce qui t’a été révélé de la part de ton seigneur, et si tu ne le fait pas , alors tu n’auras pas transmis le message »


Le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) a dit à ses Compagnons : « Celui qui vivra (assez longtemps), verra beaucoup de différences. Adhérez à ma Sunna et la Sunna des Califes bien guidés; Accrochez vous y et méfiez vous des innovations (en matière religieuse). Vraiment, toute innovation est une Bid’a et toute Bid’a est un égarement, et tout égarement conduit au feu ». ( Abu Dawud-An-Nissai )


Dire que le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) n’a pas transmis le message est un acte de mécréance selon l’unanimité des savants. En s’identifiant comme la personne par laquelle ce Wird a été rendu publique, At-Tidjani se place au dessus de Abu Bakr As-Siddiq, le meilleur des hommes après les Prophètes et Messagers. C’est une arrogance et une apostasie.


De plus At-Tidjani affirme :

« Une simple récitation du Wird , qui s'appelle Salatul-Fatih, est équivalente à toute louange qui a eu lieu dans l’univers, et à tout Dhikr et toute supplication majeur ou mineur, et est égal à 6000 récitations du Qur’an ». ( Page 96 )


C'est de l’apostasie et une impiété, et toute personne qui ne renie pas cela est un apostat.

Y a-t-il quelque chose de meilleur que le Qur'an? La personne qui a forgé un tel mensonge n'a pas connu Muhammad ('Aleyhi salat wa salam), ni son message, ou la raison de sa mission. Allah le glorieux indique :


« Vraiment, ceux qui forgent des mensonges contre Allah ne prospéreront pas. » [ 16 : 116 ].


Le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) a dit :

« La meilleure parole que j’ai prononcé, et les prophètes avant moi, est « La illaaha ilAllah », Il n’y de divinité digne d’adoration en dehors d’ALLAH


Il est clair que (le chercheur de vérité) At-Tidjani veut éloigner les musulmans de la lecture et de l’étude du Qor’an.


At-Tidjani ajoute :

« Un pupitre de lumière sera placé pour moi le jour du jugement, et un crieur appellera, d’une voix assez forte pour être entendu de chacun dans l'assemblée: « O personnes de l'assemblée! C'est votre imam, dont vous recherchiez l'aide inconscients. » ( At-Tidjani dans « Baqyiatul Mustafid » p79-80 )


La personne qui dit cela se prend pour le Prophète ('Aleyhi salat wa salam), car c'est vers lui que se précipiteront les gens pour lui demander d’implorer Allah afin de hâter le jugement, car l’attente devient insupportable. Cette parole implique également que tous les Prophètes et les Messagers recherchent son aide, parce que ils seront également dans l'assemblée ce jour, et c'est impossible.



Tidjani dit encore :

« Celui qui me regarde le vendredi ou lundi entrera au Jannah sans jugement ou punition; même si il était un infidèle, il mourrait alors dans l'état d’Iman. »( at-Tijani, « Jawahir al-Ma'ani ». p.129)


Allah l’Exalté indique: « Qui est plus injuste que lui qui invente un mensonge contre Allah, et égare les gens sans science? Vraiment, Allah ne guide pas les injustes » [6 :144]


At-Tidjani s'élève au dessus de tous les Prophètes en se réclamant un tel privilège. Ash-Shaikh al-Ifriqi a écrit :


« Le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) a vécu avec son oncle Abu Talib pendant des années, pourtant ce dernier est mort mécréant. De même que Abu Jahl et Abu Lahab, qui ont regardé le Prophète ('Aleyhi salat wa salam). Le fils du Prophète Nouh ('Aleyhi salam) et le père du Prophète Ibrahim sont tous deux mort mécréants. Aucun de ces mécréants n'a profité de l'avantage de la compagnie des Prophètes. »


Comparez maintenant les propos blasphématoires d'At-Tidjani aux mots de l'homme le plus aimé d'Allah, le sceau des Prophètes et des Messagers, Muhammad ('Aleyhi salat wa salam) :


« Par Allah, je suis le Messager d'Allah, (cependant) je ne sais pas ce qui va m’arriver demain . » (Rapporté par Bukhari)


Allah, gloire à Lui, s'adresse à son Messager bien-aimé :

« Dis : « Je n'ai pas le pouvoir de vous faire du bien ou du mal. », Dis : « Vraiment, personne ne peut me protéger contre Allah, ni puis je trouver un refuge en dehors de lui. » » [ 72 : 20.21 ]



At-Tidjani a encore affirmé avoir rencontré personnellement le Prophète ('Aleyhi salat wa salam), pas dans ses rêves mais en état de veille, et que le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) lui a donné sa garantie de sécurité et l'a libéré de la crainte de l’au-delà.

Extraits du livre de Dr Saleh as-Saleh dans son commentaire de « Fassl fi Zamm al-Hawa »



Umar al-Futi ( m 1864) fut un grand Tijani en Afrique de l’ouest. il étudia à Al-Azhar et partit au Hijaz ou il resta 10 ans. Il prêta serment d’allégeance à Muhammad Al-Ghali At-Tidjani et promit de répandre cet ordre en Afrique de l’ouest. Il affirme que la Khatam Al-Wilayah ( dernier des saints) n’est pas ibn ‘Arabi, mais Ahmad At-Tijani. ( « Taqdis Al-Ashkhas » p 85-86 ]

Umar Al-Futi raconte l’histoire d’une femme, appartenant à la Tariqah Qadiriyah, qu’il réussit à convertir au Tidjanisme. Mais lorsqu’elle tombait malade, elle continuait à invoquer Gilani. En dormant, elle entendit en rêve « Délaisse Abdel Qadir et dit : « O Ahmad Tidjani » et Allah te restaurera la santé. », et en faisant cela, elle fut guérit immédiatement

[ « Taqdis al-Ashkas » p 146 citant « Rimah Hizb ar-Rahim ‘ala Nuhur Hizb Ar-Rajim » (1/191) de Al-Futi ]




Ibn 'Arabi


Regardez vous même la Croyance d'Ibn 'Arabi dans "Fusus Hikam", traduis en anglais par 'Aisha Bewley qui est une Soufi Darqawiste :

Ibn Arabi dis que les Adorateurs des Idoles du peuple de Nuh ont ete plonge dans l'Ocean de Science


"And because of their errors" which is that which is recorded for them, "they were drowned" in the seas of the knowledge of Allah which is perplexity among the men of Muhammad.


Il va a dire que Fir'awn (pharaon) est mort avec la foi, alors qu'Allah 'Azawadjal dis qu'il est chatie nuits et jours, et il aura un plus grand chatiment le jour du Jugement Dernier.


Regardez vous même les propos de Ibn Arabi plus haut que je vais reporter maintenant ;


Ibn ‘Arabi a dit:

La vérité (Allah) est un serviteur et le serviteur une vérité

Que je désire connaître qui est le redevable?



Ibn ’Arabi, le philosophe Soufi le plus infâme, a inclus la plupart de ses idées hérétiques dans son livre, « les Facettes de la Sagesse », qu'il affirme avoir reçu du Prophète Mouhammad -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-. Il a écrit :
« J'ai rencontré le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- lors d’une visite qu’il ma accordé dans la dernière partie de Mouharram en l'année 627 A.H. dans la ville de Damas. Il avait dans sa main un livre, et il m’a dit : « C'est le livre des Facettes de la sagesse, prends-le et apporte le aux hommes, afin qu'ils puissent en bénéficier
. » « Les facettes de la sagesse », p.71)


Il est suffisant de dire que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- est dans sa tombe depuis le moment où son corps honorable y a été étendu, un fait convenu par toute la nation musulmane. On n'a jamais signalé qu'il avait rendu une seule visite à un de ses Compagnons. Alors que dire de ceux qui sont venus six siècles après ! Abou Hourayra -qu’Allah l’agrée- a rapporté du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- :
« Je serai le plus éminent des enfants d'Adam le jour du jugement, le premier dont la tombe se fendra, le premier médiateur, et le premier dont l'intercession sera reçue (par Allah). »
(Mouslim)



Afin de donner un exemple de la gravité de cette perversion du langage soufi (soit disant les chercheurs de vérités), étudions le verset suivant :



« Ô hommes, craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être [Adam], et a créé de celui-ci son épouse [Eve], et qui de ces deux là a fait répandre [sur la terre] beaucoup d’hommes et de femmes »
(Sourate 4 verset 1)


De ces mots, on comprend facilement qu’Allah a créé Adam -Bénédiction d'Allah sur lui- en premier, et selon de nombreux versets, il l’a façonné et a créé Eve -Bénédiction d'Allah sur elle- de la côte d’Adam -Bénédiction d'Allah sur lui-, comme cela est décrit dans les hadiths Sahîhs.

Afin de justifier ses croyances panthéistes, Ibn ’Arabi a donner au verset cité plus haut le sens suivant :
« De lui (Adam) est venu la femelle et les enfants, qui sont tous venus de « la nature universelle » qui est Dieu, qui se manifeste dans la forme de leur (nature) et dans la forme d’Adam, dans la forme de Eve et dans la forme de leur progéniture
»

(A-E Affifi, « The mystical philosophy of Ibn Arabi »)

L’élément divin, selon lui, habite toute existence. Il s’est exclamé :
« Gloire à Allah, qui a créé toute chose, et qui est lui même leur essence ».
(Ibid p.135)


Voir plus haut .


sans oublier les innovations de sa Tombe et des Soufis implorants son Aide etc... et Aussi sa Mosquee et les Innovations qu'en y fait.



L'Emir 'Abdel Kader



Les Extraits se trouve dans le livre ''Le Livre des Haltes'' de l'Emir 'Abdel Qader ;


L'Emir 'Abdel Qader interprete le Verset suivant :

''Quiconque d'entre eux dit : ''Je suis un Dieu en dehors de Lui'' nous lui donnerons l'enfer pour recompense''

(Sourate 21 Verset 29)

Par : '' Le Châtiment dans la vie future est reserve par Allah dans ce verset a celui qui dit : '' Je suis un Dieu en dehors de Lui'' et pour qu'il s'applique, il faut que cette stipulation ait été ajoutée. La créature qui se bornerait a dire : ''Je suis un Dieu'' n'est pas menacée d'un châtiment dans la vie future.''

(Source : ''Le Livre des Haltes'' de l'Emir 'Abdel Qader, qui est en vente dans toutes les librairies ou sous commande)


Pas besoin de réfuter cette doctrine, il suffit de retourner tout simplement au Tawhid, donc Sans commentaire.



L'Indifference vis-a-vis du mal...

En effet, le monde serait le fruit de l'Unique volonté divine, selon la croyance en l’Unicité de l'Existence (Wahdatul Wudjud) et a partir de cette thèse, il serait contraire a l’Unicité divine de s'opposer au mal, fruit de la seule volonté divine.


Comme le dit l'Emir 'Abdel Qader :


'' Celui qui en tout acte contemple le seul agent véritable, cette obligation ne lui incombe pas (Allusion au récit qui stipule que le musulman doit s'opposer au mal respectivement par la main, la langue et le cœur). L'opposition au mal par la force de la part des détenteurs de l’autorité ou par la parole de la part des docteurs comporte un profit pour la communauté et pour celui qui commet un mal. L'opposition au mal par le cœur, elle, ne profite qu'au croyant ordinaire lui-même, en ce qu'elle renforce sa foi par la conviction que le mal est interdit et prévient ainsi de toute inclinaison a accomplir a son tour. Mais le fait de s'opposer au mal par son cœur n'entraine pas ipso facto la ruine d'un pilier de la loi sacrée et n'a pas pour effet de rendre licite ce qui est illicite... Il n'appartient pas a l'un des trois groupes de s'opposer au mal par le cœur car cela revient a nier l’Unicité divine. L’Unicité divine exclut, en effet, l'opposition au mal par le cœur puisqu'elle exclut l'attribution de l'acte par son agent. Il n'est pas d’être qui puisse s'opposer puisqu'une seule et même réalité est l'unique Agent de tous les actes qui sont attribues aux créatures. S'il y avait un agent autre que Dieu, il n'y aurait plus d’unicité divine. Ce qui provoque l'opposition au mal par le cœur, c'est l’existence de l'acte, or il n'y a pas d'agent si ce n'est Dieu''


Il faut savoir que pour pouvoir réfuter cette doctrine pernicieuse, qu'Allah Subhanahu wa Ta'aala a deux volontés, une qu'il souhaite qu'elle se réalise et une autre nécessaire a l’existence de la première, mais qu'il répugne a réaliser. En effet, les choses se distinguent par leur contraires, le bien est absence de mal, ainsi, s'il n'y avait pas le mal, le bien n'aurait pu exister car l’existence nait de la différenciation, de la séparation. Ainsi Allah 'Azzawadjal a crée le bien comme Il a crée le mal, mais, il aime le premier et déteste le second, et cela malgré qu'il soit Son Créateur. Seul un sot peut nier que l'ont peut faire une action que l'on n'aime pas, en effet, il nous arrive de faire des actions que l'on répugne mais dans l’intérêt d'un plaisir supérieur au dégout engendre par la réalisation de ce mal.

Wallahu A'lam

Aujourd'hui on trouve l'emplacement de sa tombe auprès d'Ibn 'Arabi, a Dimashq (Damas) en Syrie. Un gerrier qui est devenu l'Ami de la France.



Pour compléter, voici le témoignage de foi de ce (soit disant chercheur de vérité) traduit par Bruno Etienne dans sa thèse général sur l'Emir et marquant l'accomplissement mystique d'AbdelKader :


Au moment où la trompette de l'archange me signale qu'il est la bonne Heure, j'affirme l'unicité de l'unité dans l'unicité de l'être:

Je suis le Réel-Vrai, le Créateur, la Créature
Je suis Seigneur, je suis serviteur, esclave
Je suis le trône, je suis la natte
Je suis l'enfer, géhenne, je suis le paradis, la récompense, l'éternité
Je suis l'Eau
Je suis le Feu
Je suis l'Air
Je suis la Terre
Je suis le combien, je suis le comment
Je suis la présence, je suis l'absence
Je suis l'essence, je suis l'attribut
Je suis la proximité, je suis l'éloignement
Tout être, voilà mon etre
Je suis unicité, je suis solitude.
La ilaha illa Huwa: non! il n'y a pas de divinité, si ce n'est Lui et je suis sans attribut.




Ce poème attroce aurait été prononcé la nuit du 25 mai 1883 au domaine de Doummar, au bord de la Barada où l'émir passait l'été, avant que le corps fut ramené en ville, au palais d'Amara. Il est disponible en arabe dans le livre de son fils, Tuhfat et dans le recuil des poèmes édités à Beyrouth par Dar al-Yaqadha al 'Arabiyya en 1964 à partir du diwan plusieurs fois publié à Damas et au Caire.
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