Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Le calendrier APBIF, une secte ?? Éclairez moi...
a
9 novembre 2011 23:19
Trois messages vides

Traduis les versets demandés plus haut
Commentaire sur le hadith de l'esclave?
Application des règles physiques sur Allah
Commentaire sur le tafsir d'al Qurtubi
Commentaire sur le sharh d'an-nawawi
Utilisation du kalaam
Différence de traitement arbitraire sur certaines sifatullah

Je mettrais de plus en plus de paroles de savants asharites/kullabites et pas jahmites comme toi à propos de cette question
Y
9 novembre 2011 23:26
Citation
as300 a écrit:
Trois messages vides

Traduis les versets demandés plus haut
Commentaire sur le hadith de l'esclave?
Application des règles physiques sur Allah
Commentaire sur le tafsir d'al Qurtubi
Commentaire sur le sharh d'an-nawawi
Utilisation du kalaam
Différence de traitement arbitraire sur certaines sifatullah

Je mettrais de plus en plus de paroles de savants asharites/kullabites et pas jahmites comme toi à propos de cette question

Qu'est ce qui t'arrive, réponds un peu au questions pour constater l'incohérence de ta croyance
tu te répètes la. car je t'ai dis on ne change pas de sujet.
Tu peux aussi dire que t'as pas de réponse et la je t'explique la bonne croyance de Ahlussunna.

.
a
9 novembre 2011 23:34
Chacun peut relire les posts et peut aisément se rendre compte de la fausseté de tes propos
A part mettre en gras et en italiques les mots mouchabbih, Au dela, sur istawa, je ne vois pas comment ce que tu dis peut être bénéfique

Traduis les versets demandés plus haut
Commentaire sur le hadith de l'esclave?
Application des règles physiques sur Allah
Commentaire sur le tafsir d'al Qurtubi
Commentaire sur le sharh d'an-nawawi
Utilisation du kalaam
Différence de traitement arbitraire sur certaines sifatullah

J'ai bien peur comme l'a cité An-nawawi que ta croyance est bien celle des ahl ul kalaam, philosophes et autres négateurs: pas de réponse à cela non plus de ta part (tu n'as fait que dire qu'an nawawi citait al qadi 3iyyad...et alors, ça change quoi?)
Y
9 novembre 2011 23:46
Citation
as300 a écrit:
Chacun peut relire les posts

Je suis d'accord avec ca
Sur notre discussion depuis le début, (mais que t'a voulu changer aujourd'hui)

Est-ce que t'avoue que les les propos des Mouchabbih amène a dire
que Dieu a un créateur
ou bien
qu'il est changeant imparfait

Sachant que les 2 sont du Koufr
?????

Moi je ne change pas de sujet,
Aujourd'hui, aujourd'hui tu savais que c'était la fin pour ton argumentaire et que ca te mènerait a la fausse croyance des mouchabbih donc t'as rajouté deux trois paroles a droite a gauche pour changer de sujet, mais ca ne marche pas.
.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/11/11 23:49 par Ya_Mou7ammad.
a
9 novembre 2011 23:56
Citation
Ya_Mou7ammad a écrit:
Citation
as300 a écrit:
Chacun peut relire les posts

Je suis d'accord avec ca
Sur notre discussion depuis le début, (mais que t'a voulu changer aujourd'hui)

Est-ce que t'avoue que les les propos des Mouchabbih amène a dire
que Dieu a un créateur
ou bien
qu'il est changeant imparfait

Sachant que les 2 sont du Koufr
?????

Moi je ne change pas de sujet,
Aujourd'hui, aujourd'hui tu savais que c'était la fin pour ton argumentaire et que ca te mènerait a la fausse croyance des mouchabbih donc t'as rajouté deux trois paroles a droite a gauche pour changer de sujet, mais ca ne marche pas.
.

Encore une fois, tu ne lis même pas les réponses:

Le fait de dire que Dieu a un créateur est du koufr: m'attribuer cela est ridicule...Tu te perds
Dieu ne change pas: je l'ai dit explicitement
Par contre, c'est toi qui croit que le fait de s'établir sur le Trône est un changement pour Dieu, car tu appliques les lois de la physique à Dieu alors qu'il n'est pas concerné par ces lois, idem pour le Nouzoul, idem pour tout ce qui a trait des sifatullah
Y
10 novembre 2011 00:53
Citation
as300 a écrit:
Citation
Ya_Mou7ammad a écrit:
Citation
as300 a écrit:
Chacun peut relire les posts

Je suis d'accord avec ca
Sur notre discussion depuis le début, (mais que t'a voulu changer aujourd'hui)

Est-ce que t'avoue que les les propos des Mouchabbih amène a dire
que Dieu a un créateur
ou bien
qu'il est changeant imparfait

Sachant que les 2 sont du Koufr
?????

Moi je ne change pas de sujet,
Aujourd'hui, aujourd'hui tu savais que c'était la fin pour ton argumentaire et que ca te mènerait a la fausse croyance des mouchabbih donc t'as rajouté deux trois paroles a droite a gauche pour changer de sujet, mais ca ne marche pas.
.

Citation
as300 a écrit:
Encore une fois, tu ne lis même pas les réponses:
Si si je lis très bien.

Citation
as300 a écrit:
Le fait de dire que Dieu a un créateur est du koufr: m'attribuer cela est ridicule...Tu te perds

La fausse croyance sur laquelle sont les Mouchabbih ramène a dire cela, je t'ai expliqué en détail comment cette croyance que Dieu serait Limité ramènerait a dire une de deux chose (reviens a l'explication, reviens vite pour comprendre)

Citation
as300 a écrit:
Dieu ne change pas: je l'ai dit explicitement

C'est normal le Mouchabbih ne se dévoile pas facilement mais Ahlussuna ont expliqué ou se situe vos déviances
Quand tu dit:

Citation
as300 a écrit:
Une fois que Dieu a créé le Trône, où serait-il par rapport à Dieu?Question toute simple
Il ne peut être qu'en dessous

Ceci ramène au changement, Explication:
Dieu existe de toute éternité avant le Trône, le Mouchabbih ne peux pas Localiser a ce moment la Dieu, le Mouchabbih ne pouvais ni dire que le Trône en dessous de Dieu, ni dire que Dieu est au dessus du Trône par Lui même.

Après que Dieu a créé le Trône, Dieu ne change pas, mais MAIS !!! le Mouchabbih a Localiser Dieu au dessus du Trône et le Trône en dessous de Dieu, Ainsi le Mouchjabbih a attribué le CHANGEMENT a Dieu
La Mouchabbih prétend qu'après avoir créé le Trône Dieu s'est Placé au dessus ( comme le menuisier qui construit une chaise et s'installe dessus) et par cela le Mouchabbih attribut a Dieu le changement

Le changement étant une imperfection pour Dieu le Mouchabbih aura par cela attribuer a Dieu ce qui est indigne de Lui soub7anahou. Comment le Mouchabbih repond a cela ??? Q ?

En Plus le Mouchabbih Limite Dieu par en dessous, sachant que celui qui est limité a besoin de celui qui lui a donné cette limite on se rend compte que le Mmouchabbih là aussi a attribué ce qui est indigne a Dieu. Commet le Mouchabbih repond a cela ??? Q?

Donc on ne s'attend pas que les Mouchabbih disent explicitement que Dieu change mais l'attribution d'attributs non-digne de Dieu à Dieu ramène a dire que Dieu CHANGE. c'est ICI que Je dis que la Croyance du Mouchabbih est bancal.

Citation
as300 a écrit:
Par contre, c'est toi qui croit que le fait de s'établir sur le Trône est un changement pour Dieu, car tu appliques les lois de la physique à Dieu alors qu'il n'est pas concerné par ces lois, idem pour le Nouzoul, idem pour tout ce qui a trait des sifatullah

Etabli n'est pas SifatuLlaah, Moustawin est une des sifat de Dieu et c'est ce terme la dans le sens que Dieu a voulu qui n'est pas source de changement.
Ahlussunna disent Que Dieu est MOUSTAWI sur le Trône même avant d'avoir créé le Trône de la même façon qu'ils disent que Dieu est ARRA7MAN ARRA7iiM même avant d'avoir créé les créatures.

Les Mouchabbih Localisent Dieu est disent Au-dessus et en-Dessous donc il ne Peuvent pas prétendre qu'ils peuvent dire que Dieu était Localiser en HAUT par LUI MÊME avant d'avoir créé les Cieux, le Trône, le Haut, le Bas .....ect , et c'est là encore qu'on comprend que la croyance des Mouchabbih ne tient pas la route.

Vasy réponds a cela. c'est ca Notre sujet.

Dieu Existe avant l'Endroit sans endroit et après avoir créé l'endroit Dieu ne change pas et Est toujours sans endroit



Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/11/11 00:56 par Ya_Mou7ammad.
f
11 novembre 2011 19:28
Citation
faqir a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum


Comme l’illustre la parole d’Unicité « lâ ilâha illallâh », « il n’y a de dieu si ce n’est Dieu », l’Unicité se compose de négation et d’affirmation, comme deux considération indissociables, négation de ce qui n’est pas dû, « il n’y a de dieu », affirmation de ce qui est dû, « si ce n’est Dieu ».

Aussi, dans le Coran, la désignation du Divin se faisant par négation, de ce qui n’est pas dû, négation de toute ressemblance ou comparaison, et affirmation, de ce qui est dû, tel l’illustre le verset : « les regards ne L’atteignent pas et Lui atteint les regards ». Négation, « les regards ne L’atteignent pas », affirmation, « et Lui atteint les regards ». La négation et l’affirmation étant indissociables.

On ne peut considérer la négation, de ce qui n’est pas dû, « les regards ne L’atteignent pas », sans considérer l’affirmation, de ce qui est dû, « Lui atteint les regards », sinon on tombe dans une sorte de restriction, dans une sorte de négativité, de ta’tîl, en considérant Sa transcendance, au-delà, en dehors des regards, et de toute chose, sans considérer Son immanence, en les regards, et en toute chose, comme signification que, Lui étant en dehors des regards, et de toute chose, les regards, et aucune chose, ne pouvant être en dehors de Lui.

De même, on ne peut considérer l’affirmation, de ce qui est dû, « Lui atteint les regards », sans considérer la négation, de ce qui n’est pas dû, « les regards ne L’atteignent pas », sinon on tombe dans une sorte de restriction, dans une sorte de limitation et de tashbih.

Dans l’Unicté, il n’y a pas de dissociation entre la négation et l’affirmation. Aussi, si, comme l’illustre le verset : « Il est avec vous où que vous soyez », Dieu est avec nous, où que nous soyons, ce qui représente l’affirmation, de ce qui est dû, en revanche, nous ne sommes pas avec Lui, où qu'Il est, ce qui représente la négation, de ce qui n’est pas dû. Cette négation, « nous ne sommes pas avec Lui », donne à l’affirmation, « Il est avec nous », un sens d’abstraction de toute ressemblance, de toute comparaison, de tout tashbih, Il est avec nous, et avec toute chose, sans tashbih.

Dieu est « au-delà de tout », ce qui signifie qu’Il existe par Lui-même, sans aucune chose, alors qu’aucune chose ne peut exister sans Lui, aussi Il est « partout ». Tout en étant « partout », affirmation, de ce qui est dû, Il est « au-delà de tout », négation, de ce qui n’est pas dû, c’est indissociable, aussi, « partout » au-delà de toute comparaison. La comparaison n’est que de désignation, n’est que d’expression, et non de désigné, et non d’exprimé.

Cette Présence, on peut la ressentir, on peut en prendre conscience, on peut en être témoin, sans pouvoir La saisir. Elle nous cerne et cerne toute chose, alors qu’aucune chose, ni espace ni temps, ne La cernant, ne La contenant.

C’en est la Grandeur divine, de par Ses différentes considérations : l’istiwa, l’élévation, la proximité, la présence, se manifestant à travers l’espace et le temps – le trône et la création pour l’istiwa, le ciel pour l’élévation, l’homme pour la proximité et la présence - tout en étant en dehors d’eux.


Assalam alaikoum

De ce qui précède, on peut comprendre que les désignations, d’immanence et de transcendance, « partout », « en », « au-dessus », « sur », « au-delà », « en dehors », « istiwa », « élévation », « proximité », « présence », sont des désignations de grandeur et non d’endroit, de makâna et non de makâne, de tanzih, d’abstraction de toute comparaison, et non de tashbih, de comparaison. Des désignations de makâna se faisant par le makâne, de tanzih se faisant par le tashbih. C’en est la makâna se montrant, se manifestant au travers le makâne, le tanzih au travers le tashbih, l’absolu au travers le relatif, l’intemporel au travers le temporel, le métaphysique au travers le physique, tout en le transcendant


Assalam alaikoum


La Makâna existant sans le makâne, en dehors de lui, cependant, dans Sa transcendance du makâne, Elle lui est immanente. C’est à travers lui qu’Elle se montre, qu’Elle se manifeste, qu’Elle prend forme. La Makâna, par Ses différentes considérations : l’Istiwa, l’Elévation, la Proximité, la Présence, le makâne étant Son support, Son objet. La création objet de l’istiwa, le ciel objet de l’élévation, l’homme objet de la proximité et de la présence, le makâne objet de la Makâna.

La Makâna est une, les considérations multiples, c’est toujours la même Makâna se montrant sous différentes considérations, sous différents aspects. Dieu ayant voulu cela, s’étant donné un outil afin que tous Ses attributs puissent prendre forme, s’incarner. C’est de là qu’on peut dire qu’Il est bien moustawi, bien « établi » sur Sa création, objet de cet istiwa.

La Makâna, existant sans le makâne, n’ayant pas besoin de lui, n’étant pas liée, dépendante, de lui, toutefois, en lien avec lui. C’est à travers lui qu’Elle se montre, qu’Elle s’affirme, non par rapport à Elle, mais par rapport à nous. Nous ne pouvons La percevoir, en Elle-même, dans Sa transcendance, en dehors du makâne, en dehors du support. C’est dans Son immanence, en le makâne, et en toute chose, qu’on peut La percevoir, par Sa transcendance, dépassant le makâne, et toute chose. La transcendance, relevant de la négation, sans le makâne et sans aucune chose, ne peut être perçue en dehors de l’immanence, relevant de l’affirmation, en le makâne, et en toute chose.

Aussi, pour le Divin, la transcendance et l’immanence sont indissociables. Tout en étant transcendant, existant par Lui-même, sans le makâne et sans aucune chose, sans le ciel, sans le trône, en dehors de tout, au-delà de tout, Il est immanent, existant en le makâne, et en toute chose. Tout en étant immanent, existant en le makâne, et en toute chose, Il est transcendant, existant sans le makâne, et sans aucune chose. Immanent dans Sa transcendance, transcendant dans Son immanence, sans dissociation aucune, sans changement aucun.

La transcendance et l’immanence, la négation et l’affirmation, forment un tout indissociable. On ne peut considérer la transcendance sans l’immanence, sinon on tombe dans une sorte de restriction, de négativité, de ta’tîl, en rendant la Makâna, isolée du makâne, sans objet. Le relatif étant l’objet de l’absolu, le physique étant l’objet du métaphysique, le temporel étant l’objet de l’intemporel, le changeable étant l’objet de l’immuable.

De même, on ne peut considérer l’immanence sans la transcendance, sinon on tombe dans une sorte de restriction, de limitation, en rendant la Makâna limitée en le makâne, assimilée à lui, le tanzih assimilé au tashbih, le sujet assimilé à l’objet.

Le tanzih, consistant en l’abstraction de toute comparaison, ayant deux aspects : la transcendance, qui consiste en le tanzih par négation, de toute comparaison, de tout tashbih, au-delà du tashbih, c’est le tanzih par tanzih, et l’immanence, qui consiste en le tanzih par affirmation, le tanzih s’affirmant au travers le tashbih, comme étant son objet (le tashbih objet du tanzih), c’est le tanzih par tashbih, par comparaison. Ce sont les deux aspects du tanzih : le tanzih par tanzih, par négation, de ce qui n’est pas dû, et la tanzih par tashbih, par affirmation, de ce qui est dû, tel l’illustre le verset : « les regards ne L’atteignent pas et Lui atteint les regards », « les regards ne L’atteignent pas », c’est le tanzih par tanzih, « et Lui atteint les regards », c’est le tanzih par tashbih ». Aussi le verset : « rien ne Lui est semblable, et Il est l’Auditant, le Voyant ». « Rien ne Lui est semblable », c’est le tanzih par tanzih, «et Il est l’Auditant, le Voyant », c’est le tanzih par tashbih. « Il est avec vous où que vous soyez », « Et Il est plus près de lui que sa veine jugulaire », « Là où vous vous tournez est la face de Dieu », « Dieu est la lumière des cieux et de la terre », « êtes-vous à l’abri de Celui en le ciel ? », « Ses deux mains sont tendues », ces versets illustrent le tanzih par tashbih.

Le tanzih étant considéré par ses deux aspects : de transcendance, le tanzih par tanzih, et d’immanence, le tanzih par tashbih, et toute dissociation créée à ce niveau fait sortir du dû du tanzih, de sa réalité, de son sens, et fait tomber dans la dérive du tashbih. Aussi, en dissociant la transcendance de l’immanence, c.à.d. en considérant la transcendance sans l’immanence, le tanzih par tanzih sans le tanzih par tashbih, on tombe dans ce que l’on peut appeler le tashbih par tanzih, où le tanzih est isolé du tashbih, le sujet isolé, séparé de son objet, ce qui relève d’une limitation pour lui (pour le tanzih), lui faisant perdre son sens de non limitation. Alors qu’en dissociant l’immanence de la transcendance, c.à.d. en considérant l’immanence sans la transcendance, le tanzih par tashbih sans le tanzih par tanzih, on tombe dans ce que l’on peut appeler le tashbih par tashbih, où le tanzih est assimilé au tashbih, le sujet est assimilé à son objet. Dans les deux cas, le tanzih, par ses deux aspects : par tanzih et par tashbih, devenant tashbih, par ses deux aspects : par tanzih et par tashbih ; le tanzih par tanzih devenant tashbih par tanzih, et le tanzih par tashbih devenant tashbih par tashbih.

Ce qu’on peut dire, c’est que le tanzih c’en est un tout indissociable, et toute dissociation lui fait perdre son sens, lui fait perdre son caractère de non limitation, son caractère de tanzih.
13 novembre 2011 09:02
Quatre termes ambigus partie 2


La jiha, le makân, le haïyiz, et le hadd

(Partie 2)

Voir : el usûl e-latî banâ ‘alaïhâ el mubtadi’a madhhabuhum fî e-Sifât (3/73-78) du D. ‘Abd el Qâdir ibn Mohammed ‘Atâ Sûfî, qui, à l’origine, est une thèse universitaire ès Doctorat.


Le makân


Le terme makân (endroit) peut renvoyer à plusieurs sens, dont :
* Ce qui recouvre ou qui renferme une chose de tous les côtés.
* Ce qui soutient une chose de sorte que sans lui, elle tomberait. Ex. : une terrasse.
* Ce qui se trouve en dessous d’une chose, mais sans dépendre d’elle, contrairement au cas précédent. Ex. : l’air en dessous du ciel, la terre en dessous de l’air et des anges, le sol en dessous de l’oiseau.
* Ce qui se trouve au-dessus de l’univers et qui peut avoir un sens privatif (néant).

C’est dans ce dernier sens qu’il faut comprendre qu’Allah est établi sur Son Trône au-dessus de la création, soit dans une direction non-existante.

Hassân ibn Thâbit, le poète du Prophète (r), est l’auteur des vers suivants :

Le Très-Haut est en haut au-dessus du Trône
Son endroit est plus haut et bien plus immense

Il dit explicitement qu’Allah est dans un endroit au dessus de l’univers, là où il n’y a aucune existence. Il sait pertinemment que, Riche par excellence, Il n’a besoin de rien ni personne, mais que c’est la création, le ‘Arsh y compris, qui a besoin de Lui.

L’istifsâl

Si cela est clair, il ne nous reste plus qu’à demander quand ce terme est utilisé (que ce soit pour l’affirmer ou l’infirmer), ce qu’on entend par là. On peut vouloir dire qu’Allah est dans un endroit dans le sens où il Le couvre et où Il dépend de Lui. Dans ce cas, nous L’exaltons d’une telle représentation.

On peut vouloir entendre par endroit, ce qui se trouve au-dessus de l’univers, en sachant qu’il n’y a rien d’autre que le Créateur. L’existence se divise en effet en Créateur et créature ; si l’on sait que le premier (existant) est distinct du second, il devient évident qu’au-dessus de la création, il y a l’Apparent au-dessus de qui il n’y a rien ni personne.

Peu importe que les innovateurs appellent cela « endroit » ou non. L’essentiel, c’est de rester fidèle aux textes conformément au consensus des anciens. Nous donnons foi aux Attributs divins indépendamment de savoir quels termes on utilise pour les décrire. Nous attachons plus d’importance au fond qu’à la forme. Nous n’allions pas renier une vérité textuelle uniquement parce qu’on a recours pour l’exprimer à un vocabulaire hérétique.

Lehaïyiz

Il incombe avant tout chose d’analyser le terme haïyiz ou mutahaïyiz (espace, localisation).

La définition du haïyiz

A- Au niveau de la langue
Au niveau de la langue, le terme mutahaïyiz est le participe présent du verbe tahaïyaza yatahaïyazu. Le haïyiz, du verbe hâz yahûzu est ce qu’on entoure, rassemble, réuni, rattache. Le hawz est la chose qu’on s’approprie, qu’on s’attache, qu’on possède. Il peut décrire également l’action d’amener dans le calme un troupeau de chameaux à l’abreuvoir. Selon el Asma’î, quand on ramène le troupeau des pâturages qui se trouvent loin de l’abreuvoir, on appelle la première nuit sur le chemin du retour, laïla el hawz.

On dit également qu’un serpent se replie sur lui-même (tahawwaz, tahaïyaz) ou que quelqu’un se tortille comme un serpent.

Le haïyiz ou le haïz sont les dépendances d’une maison. Le hawza est un côté, inhâz consiste à s’écarter, à dévier, à lever le camp, retirer ses troupes du champ de bataille, ou les regrouper pour les réorganiser (battre en retraite), voire fuir carrément le combat.

Le point commun entre toutes ces déclinaisons et acceptions, c’est que tous font allusion à un déplacement, un changement de lieu ou de trajet. Tout ce qu’on peut déplacer d’un endroit à un autre (quand l’argent change de main ou quand il est thésaurisé dans un endroit) ou qui peut se déplacer par lui-même (changement de propriétaire) entre sous la dénomination de mutahaïyiz. Il n’est donc pas possible, en regard de la langue, de désigner ainsi une montagne immobile.

Sheïkh el Islâmibn Taïmiya souligne que, par extension, tout ce qui est recouvert ou entouré par une chose existante, est qualifié de mutahaïyiz. Par rapport à cela, les cieux, la terre, et tout ce qui se trouve à l’intérieur de l’univers est mutahaïyiz. En revanche, la partie supérieure de la création, et qui constitue le toit de l’univers n’entre pas dans cet ensemble. Si l’on s’en tient à cette définition extensive du terme, nous pouvons dire que notre univers, dans son ensemble, n’est pas mutahaïyiz, car il faudrait, pour cela, qu’il y ait un autre univers qui l’entoure.

En outre, il est possible de désigner de la même manière la partie d’un tout. On dit que les côtés ou les diamètres d’un objet sont mutahaïyiz.

Ainsi, mutahaïyiz s’applique aussi bien aux éléments d’une même entité, qu’à ceux qui sont extérieurs à cette entité, comme la maison ou le vêtement d’un tel. Nous avons le même principe avec le vocable « hadd » qui tantôt fait allusion aux limites intérieures et tantôt aux limites extérieures d’un corps ou d’une entité abstraite, comme le périmètre d’un terrain ou d’une maison, ou un ensemble de règles. Cela dépend de quel point vue, on le considère. Dans les deux cas, le vocable haïyiz convient selon sa définition extensive.

En résumé, le vocable haïyiz s’applique à deux choses :

* Ce qui se déplace d’un espace ou d’un lieu à un autre.
* Ce qui est entouré par un espace existant.


Notons que ce qui se déplace d’un espace à un autre est entouré lors de son déplacement par un espace existant.

Si tout cela est clair, il devient évident qu’il ne convient pas de dire qu’Allah est mutahaïyiz si l’on s’en tient à la stricte définition linguistique et à ses nuances (ou implications) extensives du terme.

B- La définition du haïyiz dans le vocabulaire théologiens du kalâm

Les mutakallimîns se permettent quelques dépassements par rapport à la langue arabe. Déjà, ils ne tiennent pas compte de sa définition linguistique (et extensive) selon laquelle tout ce qui est recouvert par une chose existante, ou ayant un espace existant qui l’entoure est qualifié de mutahaïyiz. À leurs yeux, tout ce qu’on peut montrer du doigt et qui se distingue d’une autre chose suffit pour entrer dans leur conception du terme ; peu leur importe qu’elle ne soit pas fidèle à la langue.

Ainsi, selon cette conception, tout corps est mutahaïyiz, en sachant que, pour eux, un corps désigne ce qu’on peut montrer du doigt. En regard de cette définition, les cieux, la terre et tout ce qu’ils contiennent sont mutahaïyiz, alors que ce n’est pas le cas dans la langue. Quand ils parlent du haïyiz, ils font allusion tantôt à une chose existante (sens positif), tantôt à une chose inexistante ou au néant (sens privatif).

Ils vont encore plus loin, car, ils donnent au haïyiz un sens plus large dans l’absolu qu’à l’endroit (makân). Ils se contentent en effet d’attribuer l’endroit uniquement à des corps, tandis que le haïyiz englobe, en plus des corps, les monades (jawhar fard). Ainsi, selon cette définition, tout endroit est haïyiz, mais le contraire n’est pas vrai. Le haïyiz est le makân, serait donc deux choses différentes. Le second serait concrètement une chose existante, tandis que le premier serait l’évaluation (ou l’étendue) de ce makân. Tout l’univers serait ainsi dans un espace, mais pas dans un endroit. L’ensemble des corps ne se trouve pas dans une chose existante, et, par conséquent, n’est pas dans un endroit, mais plutôt localisé, disent-ils.


À suivre…

Karim Zentici

Dar-u ta’ârudh el ‘aql wa e-naql d’ibn Taïmiya (6/249).
Minhâj e-sunna d’ibn Taïmiya (2/277, 356-357).

Idem. (2/145).
Voir : e-sihâh d’el Jawharî (3/875-876), asâs el balâgha de Zamakhsharî (p. 147), el qâmûs el muhît de Faïrûz Âbâdî (p. 655), et el mu’jam el wasît (p. 206).

Dans ce sens, nous avons le v. 16 de la s. Le butin.
Idem.
Majmû’ el fatâwâ (17/344).
Dans ce sens, nous avons les v. 186 et 229 de la s. La vache.
Naqdh asâs e-taqdîs d’ibn Taïmiya (2/118).
Minhâj e-sunna (2/350, 555).
a
13 novembre 2011 21:07
Citation
as300 a écrit:
Trois messages vides

Traduis les versets demandés plus haut
Commentaire sur le hadith de l'esclave?
Application des règles physiques sur Allah
Commentaire sur le tafsir d'al Qurtubi
Commentaire sur le sharh d'an-nawawi
Utilisation du kalaam
Différence de traitement arbitraire sur certaines sifatullah

Je mettrais de plus en plus de paroles de savants asharites/kullabites et pas jahmites comme toi à propos de cette question

Assalamou alaikoum

Tout un week end passé et aucune réponse..
Non seulement tu ne fais que te répéter mais tu ne rends aucun salam, etc
Les gens observent ce qui se passe et on voit bien qui cherche à s'échapper
Tu ne maitrises ni les paroles de Nawawi ou d'al qurtubi, ni les paroles des salafs, mais par contre le kalaam tu gères...

Soubhanallah
s
14 novembre 2011 03:48
tu as demandé a ce qu'on t'éclaire alors si je peux j'essaie in cha Allah

Allah nous a appris de vérifier les informations avant de les propager

l'APBIF est un regroupement de musulmans sunnite qui fait un travail de diffusion et mets en garde (entre autre) conte le courant dit "salafites" et qui subit donc en retour des calomnies dans différentes salle de prières en france. Calomnies qui sont propagées ensuite par d'autres sans vérifications auprès des gens concernés.

Son enseignement n'a rien de fantaisiste mais est plutôt conforme à celui des quatres écoles de jurisprudence les plus connues.

Quant à dire Ya Mouhammad c'est une parole permise que les compagnons eux même ont prononcé même après sa mort (Sallallahou alayhi wa sallam) ( Ibnou taymiyyah l'a lui même rapporté de Abdoullah Ibnou Oumar dans son livre qu'il a appellé " les bonnes paroles..."winking smiley

Tout comme le prophète lui même l'a dit les anges lui présente les oeuvres de sa communauté et lui transmettent le salam des gens et lui sallallahou alayhi wa sallam fait des invocations

C'est une demande d'invocation du Prophète et non pas une adoration du Prophète (l'adoration qui n'est que pour Dieu)

et c'est Dieu Qui guide ... mefiez vous des rumeurs

si tu veux dis avant dormir dis ô Allah fais moi voir quelque chose sur cette association
14 novembre 2011 16:46
Citation
simplemuslim a écrit:
tu as demandé a ce qu'on t'éclaire alors si je peux j'essaie in cha Allah

Allah nous a appris de vérifier les informations avant de les propager

l'APBIF est un regroupement de musulmans sunnite qui fait un travail de diffusion et mets en garde (entre autre) conte le courant dit "salafites" et qui subit donc en retour des calomnies dans différentes salle de prières en france. Calomnies qui sont propagées ensuite par d'autres sans vérifications auprès des gens concernés.

Son enseignement n'a rien de fantaisiste mais est plutôt conforme à celui des quatres écoles de jurisprudence les plus connues.

Quant à dire Ya Mouhammad c'est une parole permise que les compagnons eux même ont prononcé même après sa mort (Sallallahou alayhi wa sallam) ( Ibnou taymiyyah l'a lui même rapporté de Abdoullah Ibnou Oumar dans son livre qu'il a appellé " les bonnes paroles..."winking smiley

Tout comme le prophète lui même l'a dit les anges lui présente les oeuvres de sa communauté et lui transmettent le salam des gens et lui sallallahou alayhi wa sallam fait des invocations

C'est une demande d'invocation du Prophète et non pas une adoration du Prophète (l'adoration qui n'est que pour Dieu)

et c'est Dieu Qui guide ... mefiez vous des rumeurs

si tu veux dis avant dormir dis ô Allah fais moi voir quelque chose sur cette association

Assalam alaikoum

ce que tu dis me semble incorrect, peut etre que ca vient de mon ignorance, Nous aimerons savoir
quel sont les condition des invocation?
d
14 novembre 2011 17:14
salam,

vous m'avez donnez mal au crâne loooool

en tous k ce que g retenu c ke je me méfirai de ces vendeur de calendrier car je vois que les personne fréquentant cette association, ne sont pas cohérentes dans leur propos, ça fé même peur de voir ça....

allah ihdina, n invoquer personne à part Allah!! même pas le prophète car c de l'associationnisme!
« La complaisance fait des amis, la franchise engendre la haine. » « Tout le monde aime la flatterie, chacun se méfie de la franchise. » « L’honnêteté est une folle qui s’aliène ceux qu’elle sert. »
14 novembre 2011 18:13
Citation
divvana a écrit:
salam,

vous m'avez donnez mal au crâne loooool

en tous k ce que g retenu c ke je me méfirai de ces vendeur de calendrier car je vois que les personne fréquentant cette association, ne sont pas cohérentes dans leur propos, ça fé même peur de voir ça....

allah ihdina, n invoquer personne à part Allah!! même pas le prophète car c de l'associationnisme!

walaiki salam warahmatoullah

tout a fait , il faut se mefier d'eux, pour empecher le mal des crane a l'avenir ma soeur c'est d'appendre l'aquida, At Tawhid,
il te sera une protection contre les virus des ahbaches les soufi, les asharia et les matouroudia.
il nous font la guerre tu sais. nous devons tous etre armer et pret a repousse leur ambiguite avec science.
f
16 novembre 2011 22:26
Assalam alaikoum

« Au-dessus » est une désignation de makâna, le makâne comme désignation du makâna ; on dit quelqu’un dans un makâne élevé, alors que Dieu soubhanahou est dans la Makâna, dans le makâne le plus élevé, al-A’lâ, au-dessus de toute chose, rien ne L’atteignant, et Lui atteignant toute chose, rien n’est au-dessus, comme rien n’est au-dessous, de Lui.

« Rien ne Lui est semblable », rien ne Lui est comparable. Nous ne sommes rien par rapport à Lui, alors qu’Il est tout par rapport à nous. Existant par Lui-même, sans aucune chose, en dehors de toute chose, rien ne L’atteignant, alors que rien ne pouvant exister sans Lui, en dehors de Lui, atteignant tout, en toute chose.

Rien ne Le détermine. Tout en étant en dehors de toute chose Il est en toute chose, et tout en étant en toute chose Il est en dehors de toute chose. Il n’est ni localisé en une chose, rien ne L’atteignant, ni isolé d’une chose, atteignant tout. Ni localisé en une chose, ni isolé d’une chose. Comment serait-Il localisé en quelque chose alors qu’Il existe en dehors de toute chose ? Et comment serait-Il isolé de quelque chose alors que rien n’existe en dehors de Lui ?

Être localisé en une chose ou isolé d’une chose c’est être limité par cette chose, ce qui serait valable pour le relatif, pour le fini, non pour l’Absolu, non pour l’Infini, ne pouvant être limité par quelque chose, étant au-delà de toute limitation, de toute comparaison, « Il est le Premier et le Dernier, l’Apparent et le Caché. »
17 novembre 2011 07:25
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

« Au-dessus » est une désignation de makâna, le makâne comme désignation du makâna ; on dit quelqu’un dans un makâne élevé, alors que Dieu soubhanahou est dans la Makâna, dans le makâne le plus élevé, al-A’lâ, au-dessus de toute chose, rien ne L’atteignant, et Lui atteignant toute chose, rien n’est au-dessus, comme rien n’est au-dessous, de Lui.

« Rien ne Lui est semblable », rien ne Lui est comparable. Nous ne sommes rien par rapport à Lui, alors qu’Il est tout par rapport à nous. Existant par Lui-même, sans aucune chose, en dehors de toute chose, rien ne L’atteignant, alors que rien ne pouvant exister sans Lui, en dehors de Lui, atteignant tout, en toute chose.

Rien ne Le détermine. Tout en étant en dehors de toute chose Il est en toute chose, et tout en étant en toute chose Il est en dehors de toute chose. Il n’est ni localisé en une chose, rien ne L’atteignant, ni isolé d’une chose, atteignant tout. Ni localisé en une chose, ni isolé d’une chose. Comment serait-Il localisé en quelque chose alors qu’Il existe en dehors de toute chose ? Et comment serait-Il isolé de quelque chose alors que rien n’existe en dehors de Lui ?

Être localisé en une chose ou isolé d’une chose c’est être limité par cette chose, ce qui serait valable pour le relatif, pour le fini, non pour l’Absolu, non pour l’Infini, ne pouvant être limité par quelque chose, étant au-delà de toute limitation, de toute comparaison, « Il est le Premier et le Dernier, l’Apparent et le Caché.
»

arrête de philosopher revient a la voie des salafs point
m
8 février 2012 11:53
comment nous somme pas une secte vous dite que allah est assit sur le trone vous egarer les gens
8 février 2012 15:12
Citation
moha-marseille a écrit:
comment nous somme pas une secte vous dite que allah est assit sur le trone vous egarer les gens

c'est tout ce que tu as comme argument,
tu doit etre un suiveur aveugles, de cette secte.

je te pose une question

quel est la différence entre, le Prophete paix et benediction d Allah sois sur lui qui Attribue a Allah la Main,
Je jure par celui qui détient mon âme dans sa main,
--et moi qui dit et qui crois qu Allah a deux Mains


Non Omar ! Je jure par celui qui détient mon âme dans sa main, il est indispensable que tu m'aimes plus que ta propre personne." C'est alors qu'Omar répondit : " Par Allah, tu es certes, ô Messager d'Allah, la personne que j'aime plus que ma propre personne." Le prophète dit alors : " Maintenant Ô Omar !". (Boukhari)
D
19 mai 2013 00:18
sOUrat TAhA : AllAh dit :"ar-RaHmAn ^ala l^archi stawa " , celui la est un verset EQUIVOQUE que l'on doit INTERPRETER DANS UN BON SENS. c'est a dire que "istawa " est attribuer a AllAh et ici il donne l'impression si on le prend au sens apparent , que AllAh aurait une partie de Lui qui Lui servirait a s'assoire , ce qui est de la ressemblance aux créatures, c'est a dire que une imga nous vient directement dans notre imagination , ce qui n'est pas normal !! Mais si nous voyons dans sOUrat az-zoumar verset 9 , AllAh dit : " qoul hal yastaouil-LadhIna ya^lamOun wal-LadhIna lA ya^lamOun " qui signifie : " Sont -ils "istawa" ceux qui savent et cexu qui ne savent pas ? " bien evidément , interpreter "istawa" par "assis " ou "surelever" ne donnerais aucun sens a ce verset et les gens dirons que Dieu nous revelerais n'importe quoi ce qui est impossible ! Donc nous interpretons "istawa" par "pareil" ou "egaux " ou meme "equivalent " , ce qui donne cette signification : "sont-ils equivalent ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ? " et donc la il y a un sens , si nous interpretons !! Donc donc le verset de sOUrat TahA , nous prennons une bonne interpretation aussi pour donner un bon sens , voila le verset interpreter : "Le Misericordieux , ^ala le Trone "istawa" " nous interpretons "istawa" par "istawlah" ou "qahara" ou "al moulk" ce qui donnent :" Le Misericordieux , Il domine le Trone " (le trone qui est la plus immence créatures , si Il nous informe qu'Il domine le trone , qu'en est il de cette terre?? ) VOILA COMMENT REAGISSENT ET ARGUMENTE AHLOUSSOUNNAH , ILS NE SONT PAS DES ASSIMILATEUR !!
20 mai 2013 00:16
Citation
DIEU EST SANS ENDROIT a écrit:
sOUrat TAhA : AllAh dit :"ar-RaHmAn ^ala l^archi stawa " , celui la est un verset EQUIVOQUE que l'on doit INTERPRETER DANS UN BON SENS. c'est a dire que "istawa " est attribuer a AllAh et ici il donne l'impression si on le prend au sens apparent , que AllAh aurait une partie de Lui qui Lui servirait a s'assoire , ce qui est de la ressemblance aux créatures, c'est a dire que une imga nous vient directement dans notre imagination , ce qui n'est pas normal !! Mais si nous voyons dans sOUrat az-zoumar verset 9 , AllAh dit : " qoul hal yastaouil-LadhIna ya^lamOun wal-LadhIna lA ya^lamOun " qui signifie : " Sont -ils "istawa" ceux qui savent et cexu qui ne savent pas ? " bien evidément , interpreter "istawa" par "assis " ou "surelever" ne donnerais aucun sens a ce verset et les gens dirons que Dieu nous revelerais n'importe quoi ce qui est impossible ! Donc nous interpretons "istawa" par "pareil" ou "egaux " ou meme "equivalent " , ce qui donne cette signification : "sont-ils equivalent ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ? " et donc la il y a un sens , si nous interpretons !! Donc donc le verset de sOUrat TahA , nous prennons une bonne interpretation aussi pour donner un bon sens , voila le verset interpreter : "Le Misericordieux , ^ala le Trone "istawa" " nous interpretons "istawa" par "istawlah" ou "qahara" ou "al moulk" ce qui donnent :" Le Misericordieux , Il domine le Trone " (le trone qui est la plus immence créatures , si Il nous informe qu'Il domine le trone , qu'en est il de cette terre?? ) VOILA COMMENT REAGISSENT ET ARGUMENTE AHLOUSSOUNNAH , ILS NE SONT PAS DES ASSIMILATEUR !!



Salam ,



Qui interprète les verset a équivoque ici ?


Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.



1. Alif, Lam, Mim. .

2. Allah! Pas de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par Lui-même "al-Qayyum" .

3. Il a fait descendre sur toi le Livre avec la vérité, confirmant les Livres descendus avant lui . Et Il fit descendre la Thora et l'Évangile

4. auparavant, en tant que guide pour les gens. Et Il a fait descendre le Discernement . Ceux qui ne croient pas aux Révélations d'Allah auront, certes, un dur châtiment! Et, Allah est Puissant, Détenteur du pouvoir de punir.

5. Rien, vraiment, ne se cache d'Allah de ce qui existe sur la terre ou dans le ciel.

6. C'est Lui qui vous donne forme dans les matrices, comme Il veut. Point de divinité à part Lui, le Puissant, le Sage.

7. C'est Lui qui a fait descendre sur toi le Livre : il s'y trouve des versets sans équivoque, qui sont la base du Livre, et d'autres versets qui peuvent prêter à d'interprétations diverses. Les gens, donc, qui ont au coeur une inclinaison vers l'égarement, mettent l'accent sur les versets à équivoque, cherchant la dissension en essayant de leur trouver une interprétation, alors que nul n'en connaît l'interprétation, à part Allah. Mais ceux qui sont bien enracinés dans la science disent : "Nous y croyons : tout est de la part de notre Seigneur! " Mais, seuls les doués d'intelligence s'en rappellent.


Allah le très haut a dit vrai .




f
21 mai 2013 00:36
Assalam alaikoum

Ce qu'il faut concernant l'Attribut divin c'est de se conformer totalement à la désignation coranique, et de la Sunna, tel « la main de Dieu » concernant la Main divine, tout en évitant toute interprétation et toute désignation, tel « Dieu a une main », susceptible de déformer le sens de l'Attribut divin, en lequel l'attribut prend tout son sens, toute sa grandeur, toute sa réalité, au-delà de toute limitation.

L'Attribut divin est l'attribut dans toute sa grandeur et sa réalité, la Main divine est la main dans toute sa grandeur et sa réalité, l’Ouïe divin est l’ouïe dans toute sa grandeur et sa réalité, la Vue divine est la vue dans toute sa grandeur et sa réalité, la Puissance divine est la puissance dans toute sa grandeur et sa réalité, l'Élévation divine est l'élévation dans toute sa grandeur et sa réalité, la Proximité divine est la proximité dans toute sa grandeur et sa réalité, l'Istiwâ divin est l'istiwâ dans toute sa grandeur et sa réalité, la Présence divine est la présence dans toute sa grandeur et sa réalité, c'est la qualification dans toute sa transcendance et son immanence.
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook