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C'est quoi une bombe atomique?????
p
9 juillet 2011 18:52
k
9 juillet 2011 19:28
une femme voilée
e
9 juillet 2011 19:37
It 's me Cool
Je suis tombée amoureuse d'Omar Khayyam...
p
9 juillet 2011 19:38
salam alaykoum

les soeurs en niqab .
T
9 juillet 2011 19:42
Une femme a la beauté naturelle Angel
Les traits fins, visage symetrique, regard expressif, un sourire facile et des cheveux soyeux 8)
Elle doit avoir des formes feminines bien proportionnées lol tongue sticking out smiley Voila une " bombe atomique " pour moi grinning smiley
Mais bon, les femmes sont la plus belle creature In love Et cst bien connu "Toutes les fenmes sont belles .... sauf les moches biensur grinning smiley"
9 juillet 2011 20:06
Citation
Yabiloulette a écrit:
perplexe


alors si on prend le sens premier de bombe qui fait de véritable dégat alors c'est de moi qu'il s'agit grinning smiley

ouai suis tellement moche que tout ce qui me croisent finissent en statut de pierre evil
" j'ai pris le train des rêves, et c'est un ange qui m'y conduit..."
F
9 juillet 2011 20:17
le naturelle a l etat pure

physique + personnalité + diin = bombe atomique

mais tu a aussi les bombe thermonucléaire = physique tape a l oeil ( les yeux qui pique )

physique + matérialisme -diin = bombe electro magnétique ( attire les pièces les billets et la CB voir mm le chéquier )

smoking smiley je sais pas se qui ma prie de dire sa c nul

donc en faite c juste le naturel d une femme pour moi pourvue quelle me plaise elle peut être moche au yeux du monde elle est magnifique a mes yeux.

smiling smiley
s
9 juillet 2011 20:26
salam

je pense que tu parles du physique lol
donc pr moi c est une femme d une beauté incroyable, bien faite qui a tout pour plaire !!!
une femme qui ne laisse jamais indifferente , quand elle passe , elle attire tout les regards des hommes et certains sont pris de crise cardiaque ou de criseeee de demence lol


je ne parle que du physique mais une bombe atomique ne signifie pas que c est une bombe atomique a l interieur lol
elle peut etre trés moche au fond car la beauté ne fait pas la personne grinning smiley
C
9 juillet 2011 20:34
Chacun à sa propre vision de la bombe atomique. Pour moi un ***** de physique, c'est kim kardishian, le comportement c'est autre chose aprés.
E
9 juillet 2011 20:59
la bombe c'est elle [www.google.co.ma]
C
9 juillet 2011 21:27
j'aime pas trop, c'est qui au juste ?
a
9 juillet 2011 21:55
C'est chlehadeparis ptdr
b
9 juillet 2011 21:58
[www.casafree.com] ceci est une bombe car elle as la crainte d'Allah avant toute chose
p
9 juillet 2011 22:03
Pour moi la bombe je la vois comme ca :

Une fille ni trop grande ni petite d'au moins 1m68 Longue jambes fines et fuselées ..

fine genre 50 kg,

Long cheveux jusqu'a la taille marron chocolat pas lisse mais plutot ondulés qui tombent en cascade sur une chute de rheins

Yeux en amande maron , ténébreux

Bouche pulpeuse mais pas grosse ni grande et large ( beurk)

Une jolie poitrine ferme, pas proeminente , ni la poitrine pleine de graisse, un bon 80C , c'est le top ! petit dos et joli bonnet

Petite fesse rebondie et bien ferme qui rentrait sans probleme dans un bon 34

Taille fine

Chute de rhein vertigineuse

Et bien sur quelques grains de beauté par ci par là..

Tenue vestimentaire : classe mais pas fashion pour un sous

jolie haut, beau talons, escarpins à talons, , veste mini bien ajustée, petite pochette ( pas de sac )


Voilà comment moi je la vois la bombe atomique, une fille simple , une beauté simple et naturelle, sans trop d'artifice, maquillée ou pas elle est belle, et surtout la classe et la simplicité de la tenue vestimentaire, car trop de fashion c'est pour cacher les defauts..

si j'etais comme ca , je serai la plus heureuse !!
p
9 juillet 2011 22:06
Citation
Esprit Ébène a écrit:
la bombe c'est elle [www.google.co.ma]

LOL elle a une machoire d'homme !!! beurk
E
9 juillet 2011 22:26
oui normal !

je suis gay
p
9 juillet 2011 22:29
Citation
Esprit Ébène a écrit:
oui normal !

je suis gay

2 en 1

mi homme mi femme
S
9 juillet 2011 22:29
Citation
Yabiloulette a écrit:
perplexe

Sheera
S
9 juillet 2011 22:30
Citation
princessesliema a écrit:
Citation
Esprit Ébène a écrit:
la bombe c'est elle [www.google.co.ma]

LOL elle a une machoire d'homme !!! beurk

des fesses au niveau du menton
h
9 juillet 2011 22:31
voila a quoi ça ressemble [www.lab52.com]

[seconde.guerre.mondiale.pagesperso-orange.fr]

Principe[modifier]
Les premières armes nucléaires, tel Fat Man, étaient très difficiles à transporter et leur mise à feu était complexe.
Masse critique et neutrons[modifier]
Criticité[modifier]

Une masse de matériel fissile est qualifiée de critique quand elle devient capable d'entretenir une réaction en chaîne, compte tenu de sa taille, de sa forme, de la pureté et de la composition isotopique du matériau. Une mesure numérique du caractère critique est le coefficient multiplicateur de neutron k = f - l, où f est le nombre de neutrons relâchés en moyenne par chaque fission d'atome et l est le nombre moyen de neutrons perdus, soit parce qu'ils s'échappent du système ou parce qu'ils sont capturés par d'autres atomes sans produire de fission. Quand k = 1, la masse est dite critique, quand k < 1 la masse est sub-critique, et pour k > 1 la masse est dite super-critique.

La masse critique d'une boule de matériau pur (non modéré) en l'absence de réflecteur est d'environ 50 kilogrammes pour l'uranium 235 et de 10 kilogrammes pour le plutonium 2391. Si l'on dispose autour de la matière fissile un revêtement renvoyant une partie des neutrons vers elle (réflecteur de neutrons), on peut réduire la masse critique.

Pour éviter que la réaction ne se déclenche n'importe quand, on donne à la matière fissile une forme facilitant l'évasion des neutrons : séparation en deux morceaux, ou boule creuse, donc de plus grande surface. De cette manière la masse critique n'est pas atteinte et il n'y a donc aucun risque qu'une fission nucléaire s'amorce sans qu'on le désire. Le déclenchement de l'explosion a lieu lorsque toutes les parties de la matière fissile sont brusquement réunies, sous une forme convenable, et atteignent ainsi une masse super-critique.
Passage en assemblage supercritique[modifier]

Pour obtenir une explosion atomique, il faut déclencher une réaction en chaîne dans un matériau fissile, le faisant passer rapidement d'une configuration subcritique (k = 0.9) à une configuration nettement supercritique (typiquement, k = 3), de manière à ce que les neutrons libres puissent se multiplier exponentiellement. Pour cela, il faut avoir une quantité suffisante de matière fissile, c'est la masse critique, et sous la forme la plus compacte possible, une boule, pour éviter que trop de neutrons ne s'échappent par la surface.

Le principal problème technique à résoudre pour assurer l'efficacité de l'explosion est de maintenir le matériau fissile dans une configuration supercritique suffisamment longtemps pour qu'une fraction substantielle de sa masse ait subi la fission et produise de l'énergie.

Cependant, si la présence d'une masse critique suffit à déclencher une réaction en chaîne, celle-ci n'est pas nécessairement explosive : elle ne l'est pas dans une centrale nucléaire, ni lors d'accident de criticité. Dans les bombes atomiques, la quantité de matière fissile doit même être supérieure à la masse critique, de l'ordre de trois fois en général[réf. nécessaire]. On parle alors de masse sur-critique.
Amorçage de la réaction[modifier]

Pour éviter une prédétonation, qui chaufferait et dissiperait le matériau fissile avant qu'il n'ait atteint sa configuration optimale, et assurer une explosion efficace, le matériau fissile doit être amené dans une configuration supercritique très rapidement. Il faut donc à la fois minimiser le temps de mise en configuration supercritique et minimiser le nombre de neutrons ambiants avant l'explosion. Pour cette raison, les armes nucléaires comportent une source de neutrons.
Explosion nucléaire[modifier]

Une fois la masse critique atteinte, la réaction en chaîne est déclenchée. Dans une réaction complète, chaque noyau de la matière fissile se divise en deux noyaux plus légers (produits de fission) et libère en plus des neutrons. Ces derniers vont alors percuter d'autres atomes de matière fissile, qui à leur tour vont libérer des neutrons et ainsi de suite. La réaction en chaîne est déclenchée, et la matière dégage une énergie colossale en comparaison de la quantité de matière fissile mise en jeu. Cependant, dans une bombe atomique, seule une petite fraction (parfois très faible) du matériau fissible est effectivement consommée avant d'être dissipée par l'explosion, ce qui diminue d'autant la puissance de l'explosion par rapport à celle disponible dans la masse fissible.

À quantité égale de réactifs, l'énergie dégagée lors d'une réaction de fission peut être de l'ordre de la centaine de millions de fois plus grande que celle dégagée par une réaction chimique. Cette énergie se transforme très rapidement en chaleur, par freinage de ces produits de fission dans la matière avoisinante.
Importance de la mise en configuration critique[modifier]

Pour des raisons évidentes de sécurité, les éléments fissiles d'une bombe atomique sont tenus en configuration sous-critique pour éviter toute fission nucléaire accidentelle. C'est juste avant le déclenchement de la bombe qu'on lève les différentes sécurités mises pour éviter que la forme critique soit atteinte ; on dit alors que la bombe est armée.

Dans une bombe atomique, il est important que les éléments fissiles soient réunis le plus vite possible. En effet, les éléments fissiles utilisés sont par ailleurs radioactifs, et dégagent naturellement des neutrons. De ce fait, une réaction de fission nucléaire peut se déclencher avant que toute la matière fissile n'ait la meilleure configuration. La puissance de l'explosion se trouve alors amoindrie, parce que la petite explosion qui en résulterait dissiperait le reste de la matière fissible sans l'avoir consommé.

Il existe plusieurs techniques pour réunir la matière fissile et ainsi atteindre la configuration sur-critique, qui déclenche la fission nucléaire. On peut citer 2 techniques : par insertion, et par implosion.
Technique de l'insertion[modifier]
Schéma de la bombe Little Boy

La technique la plus simple pour déclencher une explosion est de projeter un bloc de matière fissile contre un autre bloc, constitué de la même matière, ou mieux, un bloc cylindrique à l'intérieur d'un bloc creux. C'est la technique de l'insertion, aussi appelée la technique du pistolet —  ou du canon. Ainsi, les conditions critiques sont atteintes et la réaction de fission nucléaire est amorcée.

Le bloc de matière fissile est projeté à l'aide d'un explosif très puissant, pour permettre que la forme soit atteinte rapidement. L'inconvénient de cette technique est que bien que cette forme soit atteinte rapidement (de l'ordre d'une milliseconde), elle ne l'est pas assez pour du plutonium 239, qui contient toujours des isotopes, notamment le plutonium 240, dégageant spontanément des neutrons, ce qui amorce l'explosion prématurément, juste au moment où les conditions deviennent critiques. C'est pour cette raison que la technique de l'insertion n'est utilisée que pour les bombes à uranium 235.

La bombe larguée sur Hiroshima, Little Boy, utilisait cette technique. Le fait que cette technique ait été employée sans essai préalable (contrairement au type à implosion utilisé sur Nagasaki) montre à quel point ce mode de fonctionnement est robuste, et relativement facile à maîtriser.
Architecture d'une bombe par insertion (Little Boy)
Architecture d'une bombe par insertion (Little Boy)


Ailerons stabilisateurs
Cône de queue
Entrée d'air
Détonateur par pression
Conteneur en plomb (protection)
Bras du détonateur
Tête du détonateur
Charge explosive (cordite)
Projectile en uranium 235
Cylindre du canon
Cible en uranium 235 avec réceptacle, le réflecteur de neutrons se trouve à son sommet
Sondes pour la télémétrie (altimètre)
Fusibles d'armement de la bombe (insérés peu avant le largage)

Technique par implosion[modifier]
Schéma de la bombe Fat Man
Schéma de la propagation des ondes de choc et de leur changement de forme dans les explosifs

La technique de l'implosion est plus complexe à mettre en œuvre. Elle consiste à rassembler la matière fissile disposée en boule creuse, puis à la comprimer de manière à augmenter sa densité et ainsi atteindre une configuration supercritique, qui déclenchera la réaction de fission nucléaire et donc l'explosion.

Sa mise en œuvre est très délicate : la compression de la matière fissile est réalisée à l'aide d'explosifs très puissants disposés tout autour. Mais la détonation de ces explosifs est déclenchée par un ensemble de détonateurs qui doivent être rigoureusement synchronisés. De plus, chaque explosion a tendance à créer une onde de choc sphérique, centrée sur le détonateur. Or on doit obtenir une onde de choc aboutissant simultanément à tous les points externes de la matière fissile, que l'on peut imaginer comme une boule creuse. Ces ondes de choc doivent se déformer pour passer de sphères centrées à l'extérieur à une sphère de centre commun. On aboutit à ce résultat en utilisant des explosifs où l'onde de choc se déplace à des vitesses différentes, ce qui amène à sa déformation. L'usinage des formes de ces explosifs doit être fait avec toute la précision de lentilles optiques.

Un problème semblable se pose avec le plutonium, qui peut revêtir plusieurs états (phases) de caractéristiques mécaniques différentes, et qui a donc tendance à devenir inhomogène, ce qui aboutirait à une déformation de l'onde de choc. On y remédie, comme dans la métallurgie du fer – où un additif commun est le carbone – par l'addition de faibles quantités d'un autre élément, souvent le gallium.

La technique de l'implosion permet d'atteindre la disposition super-critique bien plus rapidement que par celle de l'insertion. Par implosion, le délai est de l'ordre de deux à trois microsecondes, ce qui est environ cent fois plus rapide que par insertion. Cette technique permet d'utiliser le plutonium 239 comme matière fissile.

On peut encore améliorer le rendement et/ou diminuer la masse critique en plaçant entre l'explosif et la matière fissile diverses couches qui peuvent soit avoir un effet mécanique par leur inertie ou en étalant dans le temps l'onde de choc (prolongeant ainsi l'explosion), soit ralentir la perte de neutrons (réflecteur à neutrons diminuant la masse critique)

La première bombe atomique de l'Histoire, Gadget, et la troisième, Fat Man, contenaient du plutonium et utilisaient la technique de l'implosion.
Retombées radioactives[modifier]

Postérieurement à l'explosion atmosphérique l'intégralité des substances se trouvant dans l'arme sont répandues dans l'atmosphère (en 1er lieu), et sur le sol (à terme) Les principales matières radioactives sont les suivantes;

la proportion non fissionnée de la matière fissile (uranium 235 et uranium 238 ou plutonium 239),
les produits de fission dont la masse est le complément à 100 % de la masse initiale de matière fissile
des produits d'activation des structures constitutives de l'arme

La masse de produit de fission dépend de l'énergie produite durant l'explosion laquelle n'est pas très élevée car si la puissance thermique est considérable le temps durant lequel elle est émise est très court.

Une fission dégage 200 MeV = 3,2 10^-11 joule; un gramme de matière fissile fissionnée dégage environ 8,2 10^10 joule, valeur de l'ordre de 1 Megawatt * jour

Dans une explosion de bombe à fission (effets allant de 20 à 150 tonnes de TNT) la quantité de matière fissile fissionnée peut être estimée de l'ordre de la centaine de gramme à 1 kilogramme; les quantités de produit de fission sont donc très inférieures à celle produites par un réacteur électrogène de grande puissance durant une année de fonctionnement

Dans le cas de la bombe "Little Boy" qui a explosé à Hiroshima un calul précis donne une masse fisionnée de 730 g sur une masse totale de 64 kg d'uranium enrichi à 80 %


[hiroshimabomb.free.fr]
Brevet[modifier]

La bombe A fait l'objet d'un brevet d'invention portant sur le Perfectionnements aux charges explosives. Ayant le numéro 971-324 et déposé le 4 mai 1939 par la Caisse nationale de la recherche scientifique — concernant les travaux de Frédéric Joliot-Curie, Hans Halban et Lew Kowarski —, le brevet entre dans le domaine public en 1959. A celui-ci s'ajoutent quatre autres brevets déposés de 1939 à 1940 et portant sur la production d'énergie2.

Ces brevets ont peu rapporté de redevance en comparaison de leur importance. Une part de l'argent obtenu est affectée à la recherche scientifique via l'attribution de bourses2.
assalam o alykoum
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