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chibani R a écrit:
24 ans c'est jeune???
Pourquois les maghrebines sont pressés ...et veulent se marier jeune???
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chibani R a écrit:
24 ans c'est jeune???
Pourquois les maghrebines sont pressés ...et veulent se marier jeune???
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Moh Tsu a écrit:
Salamalikoum
Voilà un sujet des plus répandu et agaçant en tous points où le sujet classique du devoir du 17 juin s'invite avec la question du bonheur. "Qu'est-ce que le bonheur ?" Étrange question quand la réponse est donnée avec la santé, une famille, un travail, des atours de Dieu. Le mal du siècle n'est pas le mal du dos, mais les maux de tête qu'on se prend pour rien. Car la question philosophique du bonheur, du plaisir, désir, trouvera toujours son prisme de réponse au travers de la nation du "moi" (l'égo). L'égoïsme en amant de l'hypocrisie, vêtue de très beaux mots connus des beaux parleurs, s'affirme de plus en plus dans des sociétés marquées par l'intérêt au sens monétaire. L'argent (réussite) qui fait le bonheur est intimant lié au temps.
Le temps ? On ne le prend pas. Un clin d'œil à Renaud avec "c'est pas l'homme qui prend la mer, mais la mer qui prend l'homme (tatadan!)". On fait les choses très vite, trop vite même, sans trop de réflexion, le cœur à la barre du paquebot des émotions qui finit par se briser contre un iceberg, par faire "craquer" certain(e)s et qui sombrent dans les profondeurs abyssales de la solitudes et autres regrets. On veut parfois trop bien faire au point de tout défaire ! La première relation a avorté avec cette forme de naïveté détenue du rêve, de l'environnement social avec ses beaux couples. Et quand on quitte le rêve avec un "pincement" (au cœur ?), il est souvent trop tard. L'erreur a presque été fatale ici, avec un engagement sans sentiments forts.
Là, on pourrait répondre à la question du mot bonheur. Mais, je pense qu'il faut au préalable répondre à la question "qui suis-je ?". Une question qui interroge la volonté, l'esprit, l'âme, la connaissance, etc. Bref le fors intérieur. La réponse se manifeste par la notion de confiance. Chose ici perdue et qui engendre des contradictions. D'un côté des hommes s'intéressent à la posteuse dans la rue (une satisfaction personnelle), etc. et d'un autre côté elle attend le miracle (de Dieu)... Ce qui dans un sens rejoint l'histoire suivante emprunte de beaucoup de sagesse et philosophie.
"Une inondation menace un village et les pompiers ordonnent de l’évacuer. Ils vont à l’église et trouvent le curé en train de prier.
« Monsieur le Curé, il faut nous suivre. Le village va être inondé. »
« Que nenni, mon bon ami. J’ai prié Dieu. Personne ne mourra noyé. »
Les pompiers repassent vingt minutes plus tard. Ils découvrent le curé juché sur un banc, priant.. Ils insistent pour que le curé les accompagne et ce dernier refuse.
Une troisième fois, ils reviennent à l’église. Le curé est monté sur l’autel, mais il refuse péremptoirement de suivre les pompiers, faisant toujours la même réponse : « J’ai prié Dieu. Personne ne périra noyé. »
Arriva ce qui devait arriver. Le brave curé périt noyé.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là et nous le suivons jusqu’aux portes du Paradis et le voyons en pleine conversation avec Saint-Pierre à qui il relate sa mésaventure. Saint Pierre est tout marri de ce qui est arrivé au curé qui répète incessamment : « J’ai prié Dieu et il ne m’a pas exaucé. »
Très ennuyé, Saint Pierre téléphone à Dieu le Père et lui explique la déconvenue du curé qui, avait mis toute sa foi en Dieu mais n’avait pas été exaucé. Mais Dieu répondit tout simplement à Saint Pierre :
« Mais, c’est qu’il est très entêté, ton brave curé. Je lui ai envoyé trois fois les pompiers et il a refusé à chaque fois de les suivre.»
Bon courage et continuation
Amicalement,
Môh Tsu
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amouruese a écrit:
salam,
je suis une jeune demoiselle de 24ans.
Je suis fonctionnaire et gagne très bien ma vie hamdullah.
Je suis née a bxl ou j'y ai grandi.
En 2007,j'ai rencontré un homme,sans papier,mais très bien élévé.
Mes parents lui ont parlé,et m'ont dit on te donne le feu vert c'est un homme bien.
Jusque la ca va.Cependant,il était pressé pour tout,fiancille et mariage..j'ai fait les 2 en 15 jours..
A peine avoir signer lacte de mariage,5 jours apres il avait filé...j'ai donc compris quil ne lui fallait que les papiers rien de plus..fort heureusement pour moi,il n'y a pas eu de consommation de mariage..De plus,je me rend compte que je ne l'aiamais pas,ca ne m'as vraiment pas fait souffrir.hamdullah.
Mais en 2007<2008,j'ai rencontré un homme,(qui avait ses papiers),je l'aimais énormémént et c'était reciproque...Du moins pendant quelques mois puis notre relation s'est déterioré parce que ses parents voulaient quelqun de leur ville natal..c'est con mais ca existe encore....bref de fil en aiguille,c'etait dur mais nous nous sommes séparés...Depuis,3ans(bientot),je suis celibataire.
J'ai des demandes en mariage,je me fait draguée en rue,je suis donc plaisante au regard ouf!!!
Mais,je n'ai rien de concret,'jai difficile a trouver a quelqun,je sais pas..j'ai limpression qua part des sans papiers a bxl,c'est tout ce qu'il y a....
Voila donc Presque 4années que j'attend patiemment..et je me dis quapres la pluie,le beau temps,je me dis aussi quel mektoub viendra inchallah...mais parfois c'est dure...D'autant plus Ma vie professionnelle est stable ect...
Je sais quil faut patienter mais bon parfois c'est dure...comment faire pour aller mieux???
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Moh Tsu a écrit:
Salamalikoum
Voilà un sujet des plus répandu et agaçant en tous points où le sujet classique du devoir du 17 juin s'invite avec la question du bonheur. "Qu'est-ce que le bonheur ?" Étrange question quand la réponse est donnée avec la santé, une famille, un travail, des atours de Dieu. Le mal du siècle n'est pas le mal du dos, mais les maux de tête qu'on se prend pour rien. Car la question philosophique du bonheur, du plaisir, désir, trouvera toujours son prisme de réponse au travers de la nation du "moi" (l'égo). L'égoïsme en amant de l'hypocrisie, vêtue de très beaux mots connus des beaux parleurs, s'affirme de plus en plus dans des sociétés marquées par l'intérêt au sens monétaire. L'argent (réussite) qui fait le bonheur est intimant lié au temps.
Le temps ? On ne le prend pas. Un clin d'œil à Renaud avec "c'est pas l'homme qui prend la mer, mais la mer qui prend l'homme (tatadan!)". On fait les choses très vite, trop vite même, sans trop de réflexion, le cœur à la barre du paquebot des émotions qui finit par se briser contre un iceberg, par faire "craquer" certain(e)s et qui sombrent dans les profondeurs abyssales de la solitudes et autres regrets. On veut parfois trop bien faire au point de tout défaire ! La première relation a avorté avec cette forme de naïveté détenue du rêve, de l'environnement social avec ses beaux couples. Et quand on quitte le rêve avec un "pincement" (au cœur ?), il est souvent trop tard. L'erreur a presque été fatale ici, avec un engagement sans sentiments forts.
Là, on pourrait répondre à la question du mot bonheur. Mais, je pense qu'il faut au préalable répondre à la question "qui suis-je ?". Une question qui interroge la volonté, l'esprit, l'âme, la connaissance, etc. Bref le fors intérieur. La réponse se manifeste par la notion de confiance. Chose ici perdue et qui engendre des contradictions. D'un côté des hommes s'intéressent à la posteuse dans la rue (une satisfaction personnelle), etc. et d'un autre côté elle attend le miracle (de Dieu)... Ce qui dans un sens rejoint l'histoire suivante emprunte de beaucoup de sagesse et philosophie.
"Une inondation menace un village et les pompiers ordonnent de l’évacuer. Ils vont à l’église et trouvent le curé en train de prier.
« Monsieur le Curé, il faut nous suivre. Le village va être inondé. »
« Que nenni, mon bon ami. J’ai prié Dieu. Personne ne mourra noyé. »
Les pompiers repassent vingt minutes plus tard. Ils découvrent le curé juché sur un banc, priant.. Ils insistent pour que le curé les accompagne et ce dernier refuse.
Une troisième fois, ils reviennent à l’église. Le curé est monté sur l’autel, mais il refuse péremptoirement de suivre les pompiers, faisant toujours la même réponse : « J’ai prié Dieu. Personne ne périra noyé. »
Arriva ce qui devait arriver. Le brave curé périt noyé.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là et nous le suivons jusqu’aux portes du Paradis et le voyons en pleine conversation avec Saint-Pierre à qui il relate sa mésaventure. Saint Pierre est tout marri de ce qui est arrivé au curé qui répète incessamment : « J’ai prié Dieu et il ne m’a pas exaucé. »
Très ennuyé, Saint Pierre téléphone à Dieu le Père et lui explique la déconvenue du curé qui, avait mis toute sa foi en Dieu mais n’avait pas été exaucé. Mais Dieu répondit tout simplement à Saint Pierre :
« Mais, c’est qu’il est très entêté, ton brave curé. Je lui ai envoyé trois fois les pompiers et il a refusé à chaque fois de les suivre.»
Bon courage et continuation
Amicalement,
Môh Tsu