Citation
lam2verre a écrit:
As salm Allahi 'aleyki,
Ma chere Minaa,
Voici un lien qui résumé une réponse de l'honorable cheikh al Albany (RahimahuLah) à la question que tu te pose!
[www.salafs.com]
La réponse se situe dans le premier paragraphe!
Sache ma chere Minaa, que tt ce qui peut plaire a ton mari est autorisé SI il n'y aucun texte l'interdisant!
C'est la regle de base en islam pour les choses de cette douniya, l'autorisation prime s'il n'y pas pas d'interdiction.
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divvana a écrit:
salam,
je sais mais je voulasi te faire peur
Question : Nous savons que l'on interdit la danse d'une femme devant son mari et de même sa danse avec des femmes, et la dabka [1] d'hommes, mais quelle est la preuve pour cela ? Pouvez-vous nous en donner, qu’Allah vous récompense.
Réponse : Cette question consiste en trois parties :
Premièrement: une femme dansant devant son mari
Deuxièmement : une femme dansant devant d'autres femmes
Troisièmement : la dabka exécutée par des hommes
Quant à la première partie, qui est la danse d'une femme devant son mari. Si sa danse est naturelle et pas professionnelle – c’est à dire qu’elle n’a pas appris à danser, comme c’est la mode à cette époque- même si elle excite les désirs de l'homme, il n'y a aucun texte qui interdise cela. Mais, à condition que cela se passe entre elle et son mari seulement. Quant au cas où elle a appris à danser et applique les principes de danse moderne, alors ce n'est pas permis. Ceci parce que je crois que si elle le fait devant son mari, alors elle le fera aussi sûrement devant d'autres hommes en dehors de son mari.
Quant à sa danse devant d'autres femmes, alors je dis aussi que si son objectif dans sa danse est de danser ce style moderne de danse, il est clair que ce n'est pas permis. Et s'il est dit : « quelle est la preuve pour ce que vous avez exposé ? » Je dis :
La modération dans les choses est très rare; il y a excès ou négligence. Ceci est particulièrement le cas avec les gens qui ont vécu une longue période dans un certain égarement. Puis, quand il leur devient claire que cette chose était un égarement et que la religion la rejette, ils s'en détournent et en présentent en place, une réaction sévère.
C'est ce qui nous est arrivé à cette époque, en ce qui concerne la question d'exiger la preuve en place du suivi aveugle. Les musulmans, communs et autres, ont vécu de longues générations en ne connaissant rien d’autre que le madhab d’untel et le madhab d’untel - quatre madhab, les madhahib d'Ahl-us-Sunna wal-Jama'a. Sans mentionner les autres madhahib, ceux qui ont dévié de la Sunna et de la Jama'a. Quant au fait de revenir à ce qu'Allah et Son messager (sallallahu 'alayhi wa sallam) ont dit, pour prouver (ce que l’on dit), cela est seulement trouvé dans les générations qui ont reçu le témoignage de leur excellence. Puis ceci a pris fin jusqu’à l’époque d'Ibn Taimiya et de ses étudiants qui lui étaient dévoués. Donc, ils ont informé les musulmans de l'obligation de revenir à ce sur quoi était les premiers Salaf (prédécesseurs), comme revenir au Qur'an et à la Sunna pour la preuve.
Il n'y a aucun doute que l'appel d'Ibn Taimiya et de ses étudiants a eu un effet positif. Cependant, sa portée était très faible pendant son époque et l’impassibilité intellectuelle (c'est-à-dire ne pas réfléchir sur les preuves) est revenue et a dominé parmi les gens (de science), sans parler des gens communs.
Puis ont suivi des générations pendant lesquelles ce réveil que Shaikh-ul-Islam Ibn Taimiya a enflammé s'est éteint. Et les musulmans sont revenus à leur indifférence de compréhension (c'est-à-dire des preuves), jusqu'à ce jour et une période brève avant cela, car beaucoup de savants se sont chargés de la reprise de la da'wa, en raison du besoin de revenir au Qur'an et à la Sunna. Ils ont été précédés en cela par shaikh Muhammad Ibn 'Abd-il-Wahhab, qui en réalité, a appelé au suivi du Qur'an et de la Sunna. Mais étant donné les terres des Arabes du Najd où vivait shaikh Muhammad et le paganisme présent dans leurs pays, son plus grand effort a été de montrer l’importance du tawhid.
Et comme il est naturel, à mon avis, que la capacité de l’homme soit limitée, il n'était pas capable mener sa guerre sur chaque front, comme ils disent. Ainsi, à cause de cela, tous ses efforts ont été dirigés vers la diffusion de l'appel du tawhid et la guerre contre le paganisme et l'idolâtrie. Et il a reçu tout le succès et son appel splendide a été étendu partout dans le monde islamique par la suite. Et ce bien que, malheureusement, il y eut des conflits entre lui et ses opposants. Mais c'est la Sunna (la Voie) d'Allah en ce qui concerne Sa création. Et vous ne trouverez pas de changement dans la Sunna (la Voie) d'Allah.
Cependant, de nos jours, les savants ont renouvelé leur appel au Livre et à la Sunna et ainsi beaucoup des gens communs et d’autres dans les pays arabes se sont réveillés de nouveau. Quant aux pays non-arabes, malheureusement ils sont toujours dans un état de sommeil.
Ces pays arabes ont été éprouvés par un renversement, qui est ce que j'ai indiqué précédemment, au point que certains d'entre eux ne s'arrêtent pas au point moyen de modération. Au lieu de cela, ils connaissent une chose et ignorent autre chose. Donc vous verrez l'homme commun qui ne comprend rien, quand il interroge un savant sur un sujet : « Quel est jugement ? », même si la réponse est un démenti et une négation, il commence par sa demande : « Quelle est la preuve ? »
Et parfois que le savant n'est pas capable d'établir la preuve, particulièrement si la preuve est déduite et adoptée par la recherche approfondie et n'est pas exposée dans un texte spécifique dans le Qur'an et la Sunna. Ainsi, dans les questions de cette nature, il n'est pas approprié à la personne qui interroge d’aller profondément et de dire : « Quelle est la preuve ? » Et il est exigé que la personne qui pose des questions se connaisse. Est-il parmi les gens qui comprennent les preuves ou non ? A-t-il une part dans la connaissance du général ('am), du spécifique (khas), du sans restriction (mutlaq) et du limité (muqayad), de l'abrogeant (nasikh) et de l'abrogé (mansukh). Ainsi, si la personne ne comprend aucune de ces choses, il n’obtient aucun bénéfice de la parole: « Quelle est la preuve »?! Pour quoi ?! - Pour le jugement sur une femme dansant devant son mari ou devant sa sœur musulmane, si cela est permis ou interdit! Et la dabka d'hommes! Il veut la preuve pour cela! Mais en réalité, il n'y a aucune preuve textuelle du messager (sallallahu 'alayhi wa sallam) sur cette question. Il y a seulement des recherches, la déduction et l'acquisition de la compréhension pour cela.
C’est pourquoi, nous disons certaines fois : Toute question n’a pas de preuve explicite qui puisse être présentée en détail, que chaque musulman peut comprendre, qu’il soit une personne illettrée ou un étudiant en science. Mais ce n'est pas pour toutes les questions. C'est pourquoi Allah, le Très-Haut, dit : « demandez aux gens de science si vous ne savez pas. »
Parmi l'extrémisme que nous avons précédemment indiqué - et en raison de cela, les plus ignorant des gens ont commencé à refuser la preuve - est que beaucoup de ceux qui s'attribuent au Livre et à la Sunna croient que le savant, lorsqu’on l’interroge sur une question, doit obligatoirement lier « Allah a dit et Son messager (sallallahu 'alayhi wa sallam) a dit » à sa réponse.
Je dis que ce n'est pas une obligation et que c’est parmi les bénéfices de l'appartenance à la méthodologie des Salaf As-Salih (des pieux prédécesseurs). Et en outre, leurs biographies et leur fatawa (verdicts religieux) sont une preuve en acte de ce que j'ai exposé. Basé sur cela, mentionner la preuve est obligatoire quand la situation le nécessite, cependant il ne lui est pas obligatoire, chaque fois qu’il est interrogé, de dire : « Allah dit ceci et ceci » ou « le messager d'Allah, (sallallahu 'alayhi wa sallam) a dit ceci et ceci. » Et ceci, particulièrement si les questions sont des questions détaillées et complexes de Fiqh dans lesquelles il y a des différences d'avis.
yam
Traduit en français par les salafis de l’Est
Article précédent - Art
Citation
lam2verre a écrit:
Allah ilkhalik ya habibti minaa!!!!
Les instruments de musiques sont interdits en islam :
Notre bien aimée Muhammed, sala Allahi 'aleyhi wa salem a dit.
"Il y aura parmi ma "oummah" (communauté) des gens qui considéreront le vin, le porc, la soie (pour les hommes) et les instruments de musique ("ma'âzif" comme étant licites." (Boukhâri)
Quand à la parole d'Allah dans le qur'an :
"Et, parmi les hommes, il est [quelqu'un] qui, dénué de science, achète de plaisants discours pour égarer hors du chemin d'Allah et pour le prendre en raillerie. Ceux-là subiront un châtiment avilissant."
Selon de nombreux Compagnons (radhia allâhou anhoum), le terme "plaisant discours" employé par Allah concerne la musique et les chants. Tel est notamment le commentaire rapporté de Ibné Mas'oud (radhia allâhou anhou) (Moussannaf Ibné Aby Chaybah, Hâkim, Bayhaqi) et de Ibné Abbâs (radhia allâhou anhou) (Bayhaqi)
Mais le duff reste autorisé!
Hbiba, je suis fière de toi!!!!!!!!!!!!!!!
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lam2verre a écrit:
Wallahi minaa, Allah m'en ai témoin, que tu va te défaire de ces choses petit a petit, le coran remplacera la musique et quel parole que celle du Kur'an, la meilleur des paroles!
Tes levres prononceront la parole d'Allah naturellemnt car la musique sera qu'un vieux souvenir!!!!
Ta principale péroccupation sera la satisfaction d'Allah...
Citation
lam2verre a écrit:
"Allahouma ina as alouka 'ilmen nafi'en, wa rizken tayiben, wa 'amalen moutaqabalen. Amin"
Hta ntina hbiba thala fi rassek wa fi ahlika:
Elf million boussa