Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
BREAKING NEWS: LE DIRECTEUR LAANIGRI VIENT DE TOMBER
S
13 septembre 2006 23:43
il aurait remplacé par un certain Charki Draiss, serait ce a cause de qui s'est passé dernierement, Trafic de drogues, groupes terroristes, dérives des GUs
le crime ne paye pas, mais il occupe
13 septembre 2006 23:45
c'est officiel, ca vient de tomber à la TVM.
C'était très attendu par les policiers ces derniers jours ( voir sur ce forum : FONCTIONNAIRES EN COLERE )
S
13 septembre 2006 23:56
esperons que c'est ce soit le début des purge, il est sur qu'une grosse tombe fasse tomber bcp de bens en meme temps, la police marocaine a vraiment fait beaucoup de conneries ces derniers temps, a commencer par ces GUs qui ont tué des citoyes , tortures, trafic de drogues chez des hauts gradés, infiltration par des groupes terroristes etc...... , donc il reste maintenant des gens comme Housni benslimane a faire sauter, etc...., esperons surtout que ce soit le début du lavage de la haute administration marocaine.
le crime ne paye pas, mais il occupe
c
14 septembre 2006 02:18
DIRECTEUR LAANIGRI va t'il en prison ?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/09/06 02:20 par comeback.
z
14 septembre 2006 08:41
Maroc: L'Etat ouvre le chantier de la moralisation de la vie publique

Libération (Casablanca)
13 Septembre 2006
Publié sur le web le 13 Septembre 2006
Narjis Rerhaye

«Le chantier de la moralisation de la vie publique est désormais ouvert». Cet observateur en veut pour preuve l'actualité d'une fin d'été caniculaire qui a tenu en haleine ce que les uns et les autres ont pris la mauvaise habitude d'appeler la rue marocaine.

D'une affaire à l'autre, les éléments d'information mis bout à bout laissent indiquer que la moralisation d'une vie publique aux soubresauts multiples participe d'une volonté politique, au sommet même de l'Etat. Visiblement, la moralisation quitte le discours, monument de bonnes intentions, pour investir le terrain. «Il ne faut pas s'y tromper, il y a un point commun entre le démantèlement de la cellule terroriste «Ansar Al Mahdi», l'arrestation, il y a 48 heures, d'un grand baron de la drogue et le fléau de la corruption apparu lors du scrutin du 8 septembre.


Tout semble avoir en effet commencé avec le démantèlement de la cellule terroriste «Ansar Al Mahdi», au mois d'août dernier. Le département de l'Intérieur a très officiellement communiqué sur l'affaire, poussant la transparence jusqu'à informer l'opinion publique que des éléments des Forces Armées Royales et de la sûreté nationale étaient membres de la très salafiste jihadiste «Ansar Al Mahdi». Les «happy few» qui savent décrypter les codes de l'information officielle au Maroc y ont vu alors les tout premiers signes de la moralisation de la vie publique. Si l'armée compte dans ses rangs une poignée de brebis galeuses, l'Etat n'hésite pas à faire le ménage, «dans le cadre de l'Etat de droit», s'était empressé de préciser le ministre de l'Intérieur, au cours d'une conférence de presse il y a une quinzaine de jours.

Alors que les commentaires n'en finissaient pas, ici et là, sur l'implication de quelques sécuritaires et des épouses de pilotes de la compagnie aérienne nationale, voici que dans la soirée du 11 septembre, un communiqué du ministère de l'Intérieur rapporté grâce aux bons soins de la MAP annonçait l'arrestation d'un baron de la drogue, Mohamed Kharraz.

Lequel Kharraz s'est fait gorge profonde en citant, au cours de son interrogatoire, des personnalités qui seraient impliquées dans le trafic de drogue. C'est particulièrement un nom, Abdelaziz Izzou, qui retient toute l'attention au regard des fonctions qu'il occupait jusque-là. Cet ancien préfet de police est, depuis 2003, directeur de la sécurité des palais royaux. Le communiqué du département aux destinées duquel préside le tandem Benmoussa-Al Himma fourmille d'informations et nous apprend notamment que A.

Izzou vient d'être déchargé de ses fonctions, sur instructions royales, le temps que l'affaire soit instruite. «Le message est suffisamment clair. Le Roi n'hésite pas à balayer devant sa porte. Ce faisant, il délivre le message que la belle époque de l'impunité est révolue. Une personnalité est mise en cause dans une affaire de drogue. Elle est immédiatement déchargée de ses fonctions jusqu'à ce que la justice dise son mot, et ce conformément à l'Etat de droit», croit savoir notre interlocuteur avant d'indiquer que d'autres responsables de la police tangéroise, eux aussi mis en cause, vont être déchargés de leurs fonctions exactement pour les mêmes raisons.

24 heures après ces dernières révélations explosives -accointances et complicité entre trafiquants de drogue et celui qui était à l'époque patron de la police de la ville du Détroit - ce sont d'autres informations qui sont venues préciser les contours du chantier de la moralisation de la vie publique. Ce mardi 12 septembre, le ministre de l'Intérieur tenait réunion avec les partis de la majorité. Au coeur de la rencontre, les fraudes électorales et autres «violations des dispositions juridiques en vigueur», survenues lors de l'élection, le 8 septembre dernier, du tiers sortant de la Chambre des conseillers mais aussi les suites juridiques données.

Liens Pertinents
Afrique du Nord
Maroc
A la proclamation des résultats définitifs de ce scrutin, Chakib Benmoussa avait révélé, entre deux paragraphes bien enrobés et un sens poussé de la litote, que des poursuites allaient être entamées contre ceux qui se seraient rendus coupables de corruption. Partis de la majorité et ministère de l'intérieur devraient donc procéder dès cette première réunion à «une opération d'évaluation générale, approfondie et objective des conditions générales ayant entouré ce scrutin et du cadre juridique le régissant et l'organisant».

Dès samedi soir, au lendemain donc du scrutin, le locataire du ministère de l'Intérieur évoquait clairement le nécessaire chantier de la moralisation de la vie politique en annonçant une réforme qui sera entreprise «avec la participation de tous les acteurs concernés afin de proposer les réformes législatives nécessaires» pour que déviations et achat des consciences ne soient plus une composante du paysage politique marocain. «Pour que les institutions élues soient réellement représentatives n'avait pas hésité à déclarer le ministre de l'intérieur», fait remarquer un dirigeant politique.

Du terrorisme au trafic de drogue en passant par l'achat des voix lors de l'élection des Conseillers, le chantier de la moralisation de la vie publique est ouvert. Moralisation ne signifie pas assainissement, du nom d'une campagne de sinistre mémoire. «C'est un chantier de la réforme qui va être mené dans le sens de la moralisation avec le souci permanent de respecter l'Etat de droit», conclut une source bien informée.
k
14 septembre 2006 09:06
Non pas du tout ,les hauts gradés chz nous ne vont pas en prison..ils trouverons autres chose a trafiquer..mais a quand benslimane,???
c
14 septembre 2006 11:01
Laanigri vient d'etre nommer superviseur des forces auxiliaires dans les regions du sud et du nord(les regions les plus sensibles au maroc)!!!!
z
14 septembre 2006 12:21
De la position ou il etait aux forces "auxiliares", c'est une mise au placard evidente...

Citation
col_asu a écrit:
Laanigri vient d'etre nommer superviseur des forces auxiliaires dans les regions du sud et du nord(les regions les plus sensibles au maroc)!!!!
a
14 septembre 2006 12:47
C'est vrai qu'on aimerai que des grosses figures de l'appareil sécuritaire tombent.
A commencer par la pourriture de Benslimane.
l
14 septembre 2006 18:27
Citation
Soprano a écrit:
il aurait remplacé par un certain Charki Draiss, serait ce a cause de qui s'est passé dernierement, Trafic de drogues, groupes terroristes, dérives des GUs

A mon humble avis, Cherqui draiss est en tout cas un gros pourri notoire..
m
14 septembre 2006 19:44
Le Citoyen,

Comment se fait-il que tu connais toutes les pourritures du Maroc ?

mag3
14 septembre 2006 22:17
Avec sa nouvelle fonction, il va mettre sur pied des G.U.S. au sein des mokhaznis, car là où il arrive il a toujours des lubies ( obsessions ) de changer et modeler à sa façon, comme un enfant qui joue avec du sable de la plage !!
S
15 septembre 2006 00:50
Citation
mag3 a écrit:
Le Citoyen,

Comment se fait-il que tu connais toutes les pourritures du Maroc ?

mag3

mon frere, mag, les pourris se reconnaissent les pourris
le crime ne paye pas, mais il occupe
l
15 septembre 2006 19:07
mag3 a dit: "le citoyen, comment se fait-il que tu connaisse toutes les pourritures du Maroc?"

Euh..ce n'était que mon humble avis, mais sinon, c'est Charqui Draiss qui avait signé la destitution d'un caïd honnête (je crois que c'était le caïd Fennich) sans prendre la peine de le convoquer, sans autre forme de procès..il n'a pas convoqué le caïd en question parce qu'il savait qu'il était honnête mais il a quand même signé un acte injuste avec des effets désastreux pour le caïd honnête...Par ailleurs, Charqui Draiss (un ancien de l'intérieur et un ancien fidèle de basri, wali de Laâyoune...) a d'autres antécédants...



Modifié 4 fois. Dernière modification le 15/09/06 19:33 par le citoyen.
15 septembre 2006 19:49
le citoyen a écrit :

....... Par ailleurs, Charqui Draiss (un ancien de l'intérieur et un ancien fidèle de basri, wali de Laâyoune...) a d'autres antécédants.

--- quels autres antécédents ? sois clair ! on aime bien apprendre du nouveau.
a
15 septembre 2006 20:26
MAROC - 13 septembre 2006 - XINHUA

Le roi marocain Mohammed VI a nommé mercredi, Charki Draiss, directeur général de la sûreté nationale (DGSN), en remplacement du général Hamidou Laanigri, selon l'agence MAP.
Le roi marocain a également procédé à la nomination du général Laanigri en tant qu'inspecteur général des forces auxiliaires du pays

Né en 1955 à Beni Amir dans la province de Beni Mellal, M. Draiss, titulaire d'une licence en sciences politiques, a rejoint le ministère marocain de l'Intérieur en 1977 en tant que civiliste avant d'être nommé administrateur adjoint en 1979.

En 1988, il est nommé caid attaché à l'administration centrale au même département, puis secrétaire général de province attaché à l'administration centrale.


En 1998, M. Draiss est nommé gouverneur de la province d'Al Haouz, puis gouverneur-directeur des affaires générales au ministère de l'Intérieur en 1999. M. Draiss a été, par la suite, nommé gouverneur-directeur du personnel d'autorité en 2003, puis wali de la région de Tétouan par intérim en 2005.



JeuneAfrique.com
l
16 septembre 2006 13:41
demha,
Je propose de laisser sa chance à Draiss à ses nouvelles fonctions dans la police où il pourra, j'éspère, changer de principes et se libérer de l'emprise de ses vielles connaissances dans le ministère...
16 septembre 2006 15:30
le citoyen,
------------ j'attends toujours ta réponse. Sois gentil ( MP) !
22 novembre 2006 20:45
La mauvaise gestion et les détournements ... de... fonds alloués à la police nationale, poursuivent toujours le ( giniral ) laanigri !
La presse en fait l'écho : une enquête est ouverte pour retrouver le chemin pris par plus de 70 milliards de centimes ( relevant du budget de la DGSN ) engagés durant les 3 ans du temps de ce (giniral) dans des contrats......!!! ????
22 novembre 2006 20:49
Mille excuses , voici la source :

almassae.ma ( n° 54 du 21/11/2006 ) qui parle aussi des difficultés rencontrées par le nouveau patron de la police , face à la vieille garde !
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook