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Boycotter Israël : Création d’1 comité pour le désinvestissement...
s
18 février 2006 15:43
Boycotter Israël : Création d’1 comité pour le désinvestissement d’Israël à l’Université du Michigan


Création d’un comité d’études pour le désinvestissement d’Israël à l’Université du Michigan
par William J. Thomson, professeur émérite associé de psycholgie, Université du Michigan, USA, février 2006. Courriel [email protected]

Traduit de l’anglais au français par Yves Lecrique, membre de Tlaxcala, le réseau de traducteurs pour la diversité linguistique ([email protected]). Cette traduction est en copyleft.

Un groupe de la faculté, membres du personnel et étudiants du campus de l’Université du Michigan travaillent sur une demande auprès de l’université pour former un comité visant à étudier les possibilité de désinvestissement d’entités contribuant à des infractions des droits de l’homme dans le cadre du conflit israélo-palestinien. Un bref historique de tels comités au sein de l’université du Michigan et notre argumentaire pour cette demande sont fournis dans le premier article ci-dessous. Nous pensons que si nous pouvons réussir dans nos efforts, le prestige de l’Université du Michigan, joint à d’autres voix, constituerait une contribution positive considérable dans le but d’exercer une pression économique sur les parties en conflit.

Notre tâche présentement consiste à recevoir les soutiens pour la formation d’un tel comité en provenance du plus grand nombre d’organisations possible ; internationales, nationales ou basées dans le Michigan. Nous sommes également à la recherché de soutiens individuels, en particulier de ceux ayant des attaches présentes ou passées avec l’Université du Michigan.

Pour un premier début, Le Conseil multiconfessionnel pour la paix et la justice (Interfaith Council for Peace and Justice - ICPJ) du Michigan du sud-est et de nombreux autres groupements ou individus (voir le deuxième message ci-dessous) ont appuyé la formation d’un tel comité.

Encore une fois, veuillez prendre note que notre appel vise la constitution d’un Comité d’enquête pour le désinvestissement par l’Université du Michigan, et non le désinvestissement lui-même ; qui sera du ressort de ce comité. Comme on le sait, les universitaires ont tendance à se dresser quand on leur dit quoi décider sur un problème controversé. En conséquence, la résolution est rédigée sous une forme aussi ‘neutre’ que possible afin d’en appeler au sentiment de recherche équilibrée et d’investigation, valeur fondamentale de l’Université du Michigan et de toute université de pointe et de recherche . Cependant, je n’ai guère de doute que les décisions d’un tel comité quel qu’il soit reflèteraient celles d’autres groupes s’étant déjà penchés sur la question de ces désinvestissements.

Pour toute question, n’hésitez pas à envoyer un courrier électronique à [email protected] , ou à m’appeler au (USA) 734-668-8479 ou 734-622-2216. Dans la paix, William J. Thomson, Ph.D.

ACTION REQUISE : 1) Signez la declaration ci-dessous (deuxième article) en envoyant un courriel à [email protected] et déclarant « Je souscris à l’appel pour un comité de désinvestissement de l’Université du Machigan ». Si vous êtes à présent membre de la faculté, du personnel ou étudiant de l’Université du Michigan, ou passé, indiquez s.v.p. clairement dans quelle catégorie vous vous situez (par exemple « ancien étudiant de l’UM ») 2) Si vous faites partie d’une organisation diverse souhaitant adhérer à cet appel, s.v.p. faites en sorte qu’un représentant approprié de celle ci me contacte à [email protected] .

De la question du désinvestisement d’Israël/Palestine

par David Skrbina & William Thomson , The University Of Michigan Record [le bulletin de l’Université du Michigan], 31 octobre 2005

Le 22 février 2005, le gouvernement des étudiants du campus de Dearborn passa une résolution demandant le désinvestissement immédiat d’Israël. C’était la première fois qu’un groupe d’étudiants de l’U-M [Université du Michigan] passait une telle résolution, et un des premiers à l’échelle nationale. Ce geste déclencha une discussion au sein de la faculté de Dearborn, et raviva notre conviction que ce problème nécessitait de plus profondes considérations. Les étudiants ont demandé directement un désinvestissement d’Israël, mais nous pensons ici à la faculté qu’il existe un processus formel de désinvestissement qui commence pour la formation d’un comité d’investigation. Les conditions nécessaires pour un tel comité ont été énoncées pour les membres du Conseil d’université en 1978 : si un problème apparaît « mettant en cause de sérieuses interrogations morales ou éthiques suscitant des inquiétudes auprès de nombreux membres de l’université », alors « un conseil consultatif... sera nommé » (session de mars, 1978 ; p. 1059). Ces conditions sont assez contraignantes, mais ont néanmoins effectivement joué par deux fois : par rapport à l’Afrique du Sud en 1978, et avec les avoirs boursiers de compagnies du tabac en 2000. Dans les deux cas, le désinvestissement a été recommandé, et appliqué.

Sans aucun doute la situation en Palestine diffère de celle d’Afrique du Sud par divers aspects, et de celle des dangers pour la santé publique posés par la tabac. Ce sont des problèmes largement différents, mais tous ont une caractéristique commune : ils présentent tous « de sérieuses interrogations morales ou éthiques » en regard de nos investissements, et sont un soucis pour un grand nombre des universitaires. La situation en Israël/Palestine est au moins aussi sérieuse que celle qui prévalait dans l’Afrique du Sud de l’apartheid, et au moins aussi sérieuse que le dilemme moral posé par la possession d’avoirs boursiers dans l’industrie du tabac. Cela mérite sans aucun doute un enquête. A cet effet, un comité ad hoc de membres de la faculté, de Dearborn ainsi que de Ann Arbor, ont rédigé une première mouture de « Lettre en faveur d’une enquête sur le désinvestissement », appelant l’administration de l’université, NON PAS à désinvestir, mais simplement à constituer une commission consultative s’enquérant de la justification d’un désinvestissement. L’objectif de l’enquête serait d’exposer l’étendue complète de nos investissements en Israël et en Palestine, et d’établir lesquels, éventuellement, sont impliqués dans les actions illégales et immorales se déroulant là-bas. Le comité solliciterait des commentaires de la part des membres de l’université, évaluerait les arguments, et ferait ensuite ses recommandations. Un site ouèbe provisoire à été installé (http://casl.umd.umich.edu/divestment), pour afficher la lettre et réunir des noms. Le manifeste, la ‘Lettre en faveur...’, est très inoffensif, et représente la première étape minimale vers le déclenchement d’une action positive. La présence d’Israël en Palestine, vieille de 38 ans, est assurément un sérieux problème moral, et est coûteuse en vies humaines des deux côtés, bien que dans un taux 7 fois supérieur pour les Palestiniens. L’occupation a été condamnée par Human Rights Watch, Amnesty International, B’tselem, et le Comité international de la Croix Rouge. Elle est et a été un facteur majeur dans les deux guerres contre l’Irak, et la ‘guerre globale contre le terrorisme’. L’université ne devrait pas prendre parti dans cet agissement, qui selon toute norme, est illégal et immoral. Si notre désinvestissement d’entreprises américaines, même petit, peut accélérer sa fin, le désinvestissement devrait être envisagé.

Quelques motifs d’inquiétude vont immédiatement être soulevés. D’abord : pourquoi choisir Israël ? Il y a de nombreuses violations des droits de l’homme de partle monde, on peut le dire, alors pourquoi choisir Israël ? Il y a plusieurs raisons : (1) Aucun autre conflit n’est directement soutenu par les produits et services d’entreprises américaines, entreprise dont l’université possède des actions.

(2) Une enquête en désinvestissement a une plus grande probabilité de modifier la situation que pour aucun autre conflit, en particulier depuis que l’impasse Arafat a été levée (sic !).

(3) Ce conflit est celui qui a le plus d’incidence globale, étant un facteur important dans les deux guerres iraquiennes, les attaques du Onze Septembre, et la guerre contre terrorisme.

(4) Il y a un certain consensus mondial à estimer ce conflit de la plus haute importance, si l’on se base sur des résolutions de l’ONU et des enquêtes publiques, entre autres.

(5) Par analyse utilitaire, on évalue que ce conflit a touché plus de personnes (3.8 millions), sur une plus longue durée (57 ans - depuis la création d’Israël), que tout autre.

Enfin une autre observation : une investigation sur Israël/Palestine n’en exclut pas d’autres. S’il y a d’autres problèmes sérieux liés à nos investissements, investiguons ceux-ci également.

Un autre motif d’inquiétude dans ce problème est celui de la ‘prise de position’ partisane. Beaucoup souhaiteraient conserver une ‘neutralité’ sur l’ensemble de la question. Mais, autant l’aimerions-nous, il n’y a pas de neutralité ici. L’occupation en est à sa 38ème année, et l’université persiste à détenir des millions de dollars dans des compagnies directement impliquées, principalement en tant que fournisseurs d’armes et de munitions. Nous finançons , et tirons profit, de l’occupation. C’est une grave insulte envers les Palestiniens, les Arabes, et les Musulmans sympathisants sans parler de l’opinion mondiale. Le statu-quo est une offense envers nos Arabes ou musulmans, membres de la faculté, du personnel ou étudiants. Certains d’entre nous pourraient être hésitants à signer cette Lettre, craignant qu’elle ‘soit offensante’. Mais il n’y a pas d’alternative inoffensive ici. Le problème n’est pas de “ne pas causer offense”, mais plutôt, de “qui allons-nous offenser”. Un troisième point délicat que nous avons entendu, lié au précédent, concerne ‘la volonté de ne pas s’aliéner des alliés potentiels’, ceci parmi les partisans de la fin de l’occupation. De nombreuses personnes de la mouvance progressiste sur le campus préfèrent la poursuite du dialogue, des pourparlers et des colloques, et des ponts jetés. Toutes ces choses sont fort bien, mais n’ont donné d’aucun résultat à ce jour. Si ‘la progression’ de ces 38 dernières années est tout ce que nous ayons à mettre sur le compte de ces parlantes méthodes, il est d’évidence temps pour nous d’essayer quelque chose d’autre. Le fait que plus de 170 personnalités éminentes de la société civile palestinienne aient appelé au désinvestissement nous assure qu’il s’agit de la bonne action, et qu’elle aura quelque effet envers l’arrêt de l’occupation.

Quatrièmement, certains ont prétendu que la moindre initiative envers le désinvestissement visait ‘à la destruction d’Israël’. Ceci est une assertion ridicule et il est à peine nécessaire de la commenter, sauf qu’il semble qu’elle soit tenue par plus que quelques individus. Comme si la vente par l’Université du Michigan de quelques actions de fournisseurs du ministère de la défense US allait entraîner le fin d’Israël ! (Aux dernières nouvelles, l’Afrique du sud existe toujours). L’appareil militaire le plus puissant du Moyen-Orient n’a rien à redouter de nos activités. Le soutien à Israël par le Congrès américain et les 6 milliards de dollars en aides directes et indirectes qu’Israël reçoit chaque année, - environ 1000 dollars pour chaque homme, femme , et enfant - ne sont pas menacés. Nos actions n’ont d’importance que morale et symbolique.

Cinquièmement, nous entendons de la part de certains que ‘le désinvestissement ne se fera pas, alors pourquoi perdre sont temps ?’ Certains citent notre président. Le 26/09/02, Mary Sue Coleman a déclaré : « Je ne suis pas en faveur du désinvestissement. Pour ce qui est de la politique de l’université, nous [?] ne croyons pas que les intérêts politiques devraient gouverner nos décisions concernant nos investissements. ... [Les conditions telles que celles qui prévalaient avant les précédents désinvestissements] ne sont pas réunies, et je n’ai pas prévu de demander à notre Conseil d’Université d’engager un désinvestissement. » Techniquement, elle avait raison. Mais cela ne veut pas dire que les conditions n’ont pas changé. La situation a empiré, davantage de vies ont été perdues ou ruinées (israéliennes ou palestiniennes), et le mur de la barrière de sécurité/apartheid s’approche rapidement de son achèvement. Madame le président Coleman ne prend pas personnellement la décision d’investiguer la question, c’est la communauté de l’université qui la prend. Si suffisamment d’inquiétudes ont été exprimées, elle doit agir.

Il y a un dernier, et fort troublant, motif d’inquiétude : Certaines personnes étant clairement en sympathie avec l’idée d’une enquète sur le désinvestisement ont peur de s’exprimer publiquement sur le sujet, de peur de représailles implicites ou explicites. De telles menaces quelles qu’elles soient sont absolument intolérables dans une université libre et ouverte, et doivent être immédiatement et catégoriquement condamnées. Le simple fait que cette inquiétude existe est un bien piètre spectacle que donne notre université. Nous devrions soutenir une enquête sur des bases et des principes moraux. L’occupation est mauvaise, et les efforts en faveur de sa fin sont des actions moralement riches, quelles que soient les conséquences. Une signature ne nous prend que quelques secondes, sans aucune conséquence de ‘perte’ de temps. Et nous pouvons être sûrs que rien ne se produira si personne n’élève la voix. Soyons réalistes, alors : qui s’opposera à une enquête ? D’abord, ces anti-Arabes qui tiennent les Palestiniens pour des sous-hommes, indignes de droits élémentaires ; ces gens doivent être condamnés. Ils n’ont pas de place dans cette université. Ensuite, ceux qui soutiennent l’occupation, en tant ‘qu’action regrettable mais nécessaire’ ; il y a certes quelque logique là-dedans, mais il est intéressant de constater que personne au monde, à l’exception des USA et d’Israël, ne le perçoit de la sorte. Troisièmement, il y a ceux qui sont convaincus, au delà de toute hésitation, que le désinvestissement est une erreur parce qu’il échouera à hâter la fin de l’occupation ; mais comment ils savent cela n’est jamais exprimé clairement, en particulier à la lumière des succès de la campagne de désinvestissement envers l’Afrique du Sud de l’apartheid. Finalement, il y a ceux qui suspectent, ou savent, que nos implications financières avec Israël, et avec l’occupation, sont plus profondes que d’aucuns ne l’imaginent. S’il y a quelque chose à cacher, alors sûrement on aimerait éviter une enquête.

De nombreuses personnes dans cette université sont des défenseurs des droits de l’homme. Beaucoup sont pacifistes [ou ‘anti-guerre’ dit-on aujourd’hui, NDT], et beaucoup se sentent touchés par les souffrances, en Palestine, en Israël. Toutes ces grandes causes sont servies en demandant une commission d’enquête sur le désinvestissement. La Lettre de Soutient est peut-être la meilleure opportunité que nous ayons de mener quelque action, fût-elle modeste, et à notifier à notre administration la nécessité de satisfaire aux règlement de l’Université et de commencer une enquête formelle.

Appel pour la constitution d’un Comité pour le désinvestissement d’Israël-Palestine de l’Université du Michigan

D’après le règlement du conseil d’administration de l’Université du Michigan, tel qu’exprimé le 16 mars 1978 comme suit : Si le conseil d’administration établit qu’un problème particulier met en œuvre de sérieuses considérations morales ou éthiques provoquant des inquiétudes à de nombreux membres de l’Université, une commission consultative constituée de membres du Sénat de l’Université, d’étudiants, administratifs et anciens élèves sera créée afin de rassembler les éléments d’information et de formuler des recommandations à l’attention du conseil. Par la présente, les soussignés expriment de sérieuses inquiétudes morales et éthiques concernant le conflit entre Israéliens et Palestiniens, Par la présente, les soussignés croient que tout investissement de l’Université dans des entités contribuant aux violations des droits de l’homme par les Israéliens ou les Palestiniens est inopportune, Décidés, les soussignés demandent la mise en place par l’Université du Michigan d’une commission consultative constituée de membres du Sénat de l’Université, d’étudiants, d’administratifs et d’anciens élèves afin de déterminer si des investissements de l’Université sont à remettre en question et nécessitent d’être corrigées activement.

Des copies de cette resolution doivent être transmises aux :
Conseil d’administration de l’Université du Michigan
Président Mary Sue Coleman
Conseiller Spécial auprès du Président Gary D. Krenz
le CFO Timothy P. Slottow

VOTRE NOM CLAIREMENT ECRIT (CARACT. d’IMPRIMERIE) SIGNATURE APPARTENANCE

ACTUELLE ANTÉCÉDENTE | ÉTUDIANT PERSONNEL FACULTÉ |__________________________|____________________________|____________________________

> à retourner s.v.p à Dr. Bill Thomson, 874 Belfield Cir., Ann Arbor, MI 48104734-668-8479, [email protected]

Cette résolution a été approuvée par : Ann Arbor Coalition Against the War Most Rev. Thomas J. Gumbleton, Auxiliary Bishop, Archdiocese of Detroit Friends of Sabeel -- SE Michigan The Interfaith Council for Peace and Justice International Solidarity Movement -- Michigan Michigan Peace Team Palestine Aid Society Palestine Israel Action Group of Ann Arbor Friends Meeting Palestine Office -- Michigan Pax Christi -- Michigan Social Concerns Committee of the Ann Arbor Unitarian Universalist Congregation University of Michigan/Dearborn Student Government
siryne
T
18 février 2006 17:48
Salam,


Très chère Syrine, je salue encore une fois l'indéfectible dévouement qui est le tien sur ce forum en soutien à la cause palestinienne!!


Pourtant très chère Syrine, penses tu qu'une telle action en boycott à l'encontre des interêts israëliens (pour ne pas dire américano-sionistes!), a réellement des chances d'aboutir??


Pour ma part, je sens monter en moi les inquiétantes effluves du vilain doute qui me grignotte profondément le subconscient!


En d'autres termes, j'ai un peu de mal à y croire...

Ne connaissant que trop bien la puissance du lobby sionsiste et sa tentaculaire emprise sur les institutions les plus importantes de cette planète, je n'ose croire qu'une telle éventualité puisse être ne serait ce qu'envisager à l'heure actuelle!


Ca m'étonnerait fort!


Je me demande même si toute cette effervescence ne serait pas qu'une simple mascarade??


Ouais je suis persuadé que l'université en question, oui, celle du michigan, est dirigée et gérée de fond en comble par ces mêmes sionistes qu'ils se sont mis en tête de mettre en quarantaine!


Un comble de plus et pas des moindres dans ce monde de ouf!


"Snif!"


Mdrr!


Bien sympathiquement.


Aziz.
s
18 février 2006 18:37
Salam Aziz ,


Aboutire ! Il faut avoir de l'espoir , donc ne pas fermer toutes les portes et donner raison à la fatalité , et en cela nous avons l'exemple du peuple palestiniens et son niveau de resistance avec presque pas de moyen à part celui de sacrifier leurs vies ou les pierres , donc pourquoi pas et l'essentiel apres tout c'est de faire quelque chose et ne pas rester les bras croisés .

Croire ou non ! peut-etre ou pas , mais ça vaut la peine de le signaler , car ça permet soit aux musulmans vivant dans le coin de verifier les dires , soit à d'autres qui sont peut-etre au courant ou de confirmer dans le positif ou negatif ,

Et il faut pas oublier surtout que ça vient cette initiative d'un groupe d'etudiants qui habite l'un des pays 1er sponsort de l'etat sioniste , et avec tout ce que les peuples musulmans subissent preuves à l'appuies, qui pourra dire que ce n'est pas un reveil pour certains nourri au propagande mediatique sionistes ?

Je n'en sais rien Aziz , juste que je veus garder l'espoir .
siryne
T
18 février 2006 19:35
Salam,


T'inquiète jeune et fougueuse Siryne, j'avais bien compris le sens que tu souhaitais donner à ta démarche...


Ce qui est tout à ton honneur...


Toutefois je suis bien obligé de remarquer aujourd'hui qu'il est certains combats face auxquels même le plus transcendant des espoirs ne peut que s'effacer, se vautrant lamentablement dans une impuissance des plus regrettables!


Mais il est clair que je n'ai en aucun cas le droit de t'empecher d'y croire à ce minuscule et ô combien improbable élan d'esperance!


Puisque j'ai moi même tellement envie d'y croire, quelque part!


Je ne sais où!


Mdrr!


Bien sympathiquement.


Aziz.
L
18 février 2006 19:43
[www.protection-palestine.org]

je conteste totalement le chapitre Meurtres illégaux

Sinon oui, le boycott est une forme de lutte non violente qu'il ne faut pas négliger

Ceux qui décident et gouvernent plieront plus facilement sous les supplication de la bourgeoisie Israellienne que sous les plaintes des palestiniens
q
18 février 2006 20:30
Citation
La Boetie a écrit:
http://www.protection-palestine.org/impression2034.html

je conteste totalement le chapitre Meurtres illégaux

Sinon oui, le boycott est une forme de lutte non violente qu'il ne faut pas négliger

Ceux qui décident et gouvernent plieront plus facilement sous les supplication de la bourgeoisie Israellienne que sous les plaintes des palestiniens

Salam


Tu contestes la réalité.
 
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