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BOUTEFLIKA UNE IMPOSTURE ALGERIENNE
M
18 mars 2011 08:44
LA BIOGRAPHIE SECRETE DU PRESIDENT BOUTEFLIKA
Prologue
Ce livre doit beaucoup au président Bouteflika d'avoir vu le jour.
En décidant, par velléité contre un journal qui le dérangeait, de placer son directeur sous contrôle judiciaire, lui interdisant de quitter le territoire national, le chef de l'Etat a procuré au journaliste que je suis cette stabilité que la presse interdit souvent à ceux qui la pratiquent. J'ai pu ainsi prendre le temps de mes contacts, lire et compulser les quelques détails qui m'ont laissé entrevoir une carrière sans grandeur.
Ce livre n'est cependant pas un portrait à charge.
Il eût été bien superflu d'accabler l'homme quand il n'est en définitive que l'enfant adultérin d'un système grabataire et d'une démocratie violée.
Ce livre serait plutôt chronique d'un temps perdu.
Abdelaziz Bouteflika est la rançon, une de plus, versée par l'Algérie aux dépositaires divins de ce scrutin censitaire par lequel se choisit encore un chef d'Etat dans l'ombre.
L'imposture Bouteflika est née d'une certaine urgence, pour le système acculé, à conférer respectabilité à une carrière sans relief : l'Algérie était invitée à entrer au XXIe siècle sous la direction d'une figurine dont on avait fabriqué la gloire pour mieux s'en convaincre du destin.
D'un auxiliaire militaire on fit alors un civil réformateur, d'un autodidacte inaccompli un lettré, d'un maquisard occasionnel un héros de guerre, d'un noceur avéré un diplomate brillant, d'un dignitaire un opposant, d'un diviseur un rassembleur, d'un revanchard narcissique un prophète On a même fait de Bouteflika un célibataire endurci, alors que l'homme est marié depuis 13 ans !
Les parrains de ces sortilèges, pris à leur propre jeu, s'émeuvent, cinq ans après, que d'une vie si falsifiée on n'eût pu sortir qu'un président défaillant et sans envergure, intrigant, coupé de son époque, inapte à l'écoute, dépassé par ses charges
L'homme n'était pas préparé aux grandes décisions.
Méditer Bouteflika est vital pour les ultimes diagnostics de nos illusions. Au bout, nous ne saurons pas forcément ce qu'il faudra faire pour nos enfants. Nous saurons, en revanche, un peu plus de ce qu'il ne faudra plus jamais faire contre eux.
M. B.
EXTRAITS :
*Historiquement, Abdelaziz Bouteflika a toujours été présent dans les épisodes où le pouvoir civil a dû céder du terrain au pouvoir militaire.
Sa première grande mission réussie au bénéfice des militaires date de décembre 1961. Il récidivera en 1965.
*Tous les témoignages concordent : c'est Bouteflika qui, à force d'assaillir Boumediène de ses insistances, a obtenu que le colonel sorte les chars dans la rue pour écarter Ben Bella.
*« Le Commandant Abdelkader est une invention tout comme la légende de "Abdelkader El Mali". L'itinéraire de Bouteflika au maquis se résume à deux désertions dont on n'a jamais voulu parler. »
*La « traversée du désert » ne dura pas vingt ans, mais sept ans : Abdelaziz Bouteflika ne fut pas évincé du pouvoir en 1979, comme le suggère son entourage : il y est resté jusqu'en décembre 1981, puis reconduit en mars 1989 dans la direction du FLN.
*Le 19 juin 1980, Bouteflika, membre du BP du FLN, approuva la politique de Chadli avec la pleine conscience qu'elle inaugurait la « décennie noire » qu'il se plaira à fustiger sans jamais signaler qu'il en fut l'un des concepteurs consentants.
*Bouteflika ne sera pas écarté du FLN pour ses idées, mais pour « gestion occulte de devises au niveau du ministère des Affaires étrangères », selon la formule d'inculpation de la Cour des comptes.
* Bouteflika s'est soumis dès le début au président Chadli Bendjedid. Il lui a fait allégeance ouvertement et en a sollicité la protection avec une grande obséquiosité. « Je me souviens de la première fois qu'il a siégé en Conseil des ministres, raconte Chadli. Il s'est mis au garde à vous devant moi et m'a dit : "Vous êtes le commandant et je suis votre caporal. J'attends vos ordres". »
* Bouteflika cherchera à retrouver les bonnes grâces de Chadli d'abord par le biais de la famille de l'épouse du président, les Bourokba. Il s'intéressa même à une des filles Bourokba dont il apprit qu'elle était encore célibataire.
*« Sans l'intervention magnanime de Chadli, Bouteflika aurait fait plusieurs années de prison pour détournement de fonds publics », confirment les témoins de l'époque. Chadli Bendjedid, qui n'aime pas évoquer cet épisode, se contente d'une formule miséricordieuse : « Ce n'était pas dans ma nature d'enfoncer d'anciens collaborateurs en mauvaise passe. J'ai fait ce qu'il fallait faire envers Bouteflika. »
*La réputation d'halluciné est sans doute la seule dont Bouteflika aura su asseoir l'unanimité aux yeux de l'opinion. Dès le début de son mandat, l'avis le mieux partagé par les observateurs sur le nouveau président était qu'il était trop excité, trop changeant et trop paranoïaque pour disposer de toutes ses facultés mentales.
*Bouteflika regarde fixement son Premier ministre et lui dit d'une voix assurée : « Je suis contre l'indépendance de la justice. La justice doit être au service du pouvoir. La commission de réforme a fait son rapport, c'est bien, mais ce rapport va rester dans mon tiroir. »
*Bouteflika est en revanche très proche de sa mère. Cette adoration est-elle à l'origine du curieux célibat d’Abdelaziz Bouteflika ?
Bouteflika ira jusqu'à dissimuler son mariage.
Bouteflika se maria un vendredi d'août 1990 dans un appartement de la rue Duc-des-Cars, à Alger.
Il épousa Amal Triki, fille du diplomate Yahia Triki, alors premier conseiller à l'ambassade d'Algérie au Caire.
L'acte de mariage a été établi ce jour-là par un agent de la mairie de Sidi-M'hamed dépêché spécialement à l'appartement de la rue Duc-des-Cars.
Amal Triki devenue Mme Bouteflika se fondra dans la nature. Elle n'est jamais apparue aux côtés de son mari, ni ne figure officiellement dans son entourage.
*Plutôt que d'écarter Bouteflika des Affaires étrangères, Boumediène a choisi d'en faire un leurre : aux yeux des partenaires étrangers, le ministre devait apparaître comme l'interlocuteur officiel sur certains dossiers dont, en réalité, il était tenu dans l'ignorance et sur lesquels il n'avait aucun pouvoir de décision.
*C'est dans l'épisode des nationalisations du pétrole que Bouteflika campera le mieux, et à son insu, ce rôle de « diplomate de paille » : il n'en a rien su jusqu'à la veille de leur annonce par Boumediène le 24 février 1971.
Le Matin, 14 février 2004
[matoub.kabylie.free.fr]
L
18 mars 2011 08:57
Bouteflika se maria un vendredi d'août 1990 dans un appartement de la rue Duc-des-Cars, à Alger.
Il épousa Amal Triki, fille du diplomate Yahia Triki, alors premier conseiller à l'ambassade d'Algérie au Caire.
L'acte de mariage a été établi ce jour-là par un agent de la mairie de Sidi-M'hamed dépêché spécialement à l'appartement de la rue Duc-des-Cars.



Cette histoire de mariage est une pure invention..

la rue Duc-des-Cars n'existe plus depuis..1982

Amal Triki ,la vraie, n'existe pas non plus.. Quant à Yahia Triki,demandez cela aux diplomates Algériens qui ont ey à occuper des postes à l'ambassade du Caire.

De même,et selon la constitution Algérienne, un présidentiable doit être né en Algérie dont les ascendants directs (père et grand-père) doivent être nés en Algérie..Ce qui n'est pas le cas de Bouteflika.

Bouteflika est un chef d'état ,pas un président au regard du droit et de la légitimité...

Le peuple Algérien ne reconnait pas Bouteflika,on lui a imposé.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/03/11 09:00 par Le locataire.
M
18 mars 2011 09:28
merci d'indiquer des source de vos informations ou un démenti officiel.
barakalah ou fikoum
E
18 mars 2011 21:16
C'est que par hasard que je suis tombe sur ce video , qui vraiment choque . Choquant parce que , un jeune homme malade , abondonnes et neglige comme un chien le pauvre ( hacha esmou ) et prie Dieu de me pardonner d'utiliser le mot chien . La famille qui s'occupe de cet enfants et sa soeur aussi ateinte par une maladie mentale , sont pauvres ne disposent meme pas d'electricite et eau et sont impuissants de s'occuper d'eux .
Je trouve que Bouteflica devrait avoir honte de lui , que des citoyens Algeriens vivent dans de telles conditions dans un des plus grand pays d'Afrique , et exporteur de Gaz et petrole .
Les Algeriens devraient tous s'unire et se debarasser de ce regime comme l'ont fait les Tunisiens et les Egyptiens et sont entrain de le faire les Lybiens et autres . Tfouuuuu 2la douela , et ils se croient musulmans .

[www.youtube.com]
r
18 mars 2011 22:09
le chameau voit tjr la bosse de son voisin

[www.youtube.com]
s
18 mars 2011 22:41
Citation
riad-al a écrit:
le chameau voit tjr la bosse de son voisin

[www.youtube.com]

ça c'est vrai bien parlé c'est très juste
je hais l'hypocrisie
19 mars 2011 00:00
salam

On n'a jamais dis que le Maroc était riche et qu'il n'y avait pas de pauvre,on dit juste qu'un pays avec autant de richesses que celle de L' Algérie, un pays qui se targue de n'avoir aucune dettes devrait avoir honte de laissé son peuple souffrir de pauvreté
La vérité est un miroir tombé de la main de Dieu,et qui s'est brisé.Chacun en ramassa un fragment et dit que toute la vérité s'y trouve. [center]Amazighiya face à l'homme et soumise uniquement à Dieu .[/center]
r
19 mars 2011 00:03
aux etats unis il y 'a des pauvres
M
19 mars 2011 00:09
Citation
sakki a écrit:
Citation
riad-al a écrit:
le chameau voit tjr la bosse de son voisin

[www.youtube.com]

ça c'est vrai bien parlé c'est très juste

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