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Asalama aleykoum !

Ils y'a quelques semaine j'avais vu une video du Dr zakir naik dans une conferance qui faisais referance a budda , pas la statue mais l'homme qui a existé a l'epoque , et comme quoi il a etait divinisé alors qu'il l'avais jms demander toussa ((fin ca reste flou ).. Et je m'etait poser la question de savoir
est ce que peut etre ca avais pu etre un messager ( messager pas prophete hein )de l'islam pour les peuple asiatique ? Dit comme ca a l'air de rien , mais je sais pas les bouddiste sont quand meme un peuple d'associateur toussa , alors ne serait ce que penser que le budda ( je parle toujours de l'homme hein et pas de la statue ) ai pu avoir un rapport avec l'islam je me sent mal a l'aise d'avoir pu me poser cette question.. Evidemment tout est clair mtn je sais qu'il n'as absolument rien a avoir.

Alaykoum salam,

Allah dit dans le Qur'an, qu'Il a envoyé des Messagers à chaque peuple, et qu'il se trouve des histoires de Prophètes qu'Il ne nous a pas raconté, donc c'est possible.
De plus, le Dr Zakir Naik a déjà dit que le nom de Muhammad (saws), apparaissait dans un livre hindouiste (quelque chose comme ça) Allahou 'alem.

Qui décide qui ? C'est là le problème ! De nos jours il est absolument impossible de croire à un quelconque prophète. Même si un Marsien arrive avec un message parfait, on le croira pas !
Il ne faut pas oublié qu'un prophète est prophète si il arrive à réussir son business. Si il a un nombre important qui le croit, il est prophète. En tout cas aujourd'hui, la majorité a déjà du mal à comprendre les prophètes qui ont duré ! Boudha prophète ou pas c'est un business qui marche, d'ailleurs c'est la religion qui accueille le plus d'adepte. Je ne suis pas boudhiste mais au moins c'est une religion qui n'appelle pas à la haine ni à la violence et n'impose pas ses lois !

De ce que j'en sais, Bouddha n'a jamais demandé à ses contemporains de croire en un Dieu unique.
Et les prophètes qui sont envoyés ont au moins ça en commun, apporté la vérité sur Lui.

Donc, c'était un homme très sage et philosophe mais je ne pense pas qu'il était un prophète ou un messager de Dieu.

slm
Bouddha est un prince qui avait dévidé de quitter sa famille, de délaisser les choses matérielles de ce monde. Il sopposait au système des castes hindoux,...
Son but était d'atteindre la délivrance, pour se faire il devait reconnaitre la vacuité de l'Absolu (le vide)
Bref il a fait 4 rencontres dans sa vie ,...

Voici un lien ou c'est bcp mieux expliqué que moi

Who's Bouddha?
Allah 3azza wa Jal a envoyé d'autres Messagers qui ne sont pas cités dans le Coran, mais Bouddha n'en est pas un.

d'ou ma question
est ce que dhal -alkifl cité dans le coran pourrait etre bouddha?

salam alaykoum,

peut être que tu trouveras la réponse ici : [www.youtube.com]

non ce n'est pas boudha !!!! boudha est inventé de toutes pièces et l'islam n'impose rien a personne !!!

s tu n'est pas content personne ne te demande d'être musulman .


Si vous ne croyez pas, Allah se passe largement de vous. De Ses serviteurs cependant, Il n'agrée pas la mécréance. Et si vous êtes reconnaissants, Il l'agrée pour vous. Nul pécheur ne portera les péchés d'autrui. Ensuite, vers votre Seigneur sera votre retour : Il vous informera alors de ce que vous faisiez car Il connaît parfaitement le contenu des poitrines. ( sourate 39 verset 7 )

Assalam alaikoum

Dhul Kifl semble être Ezechiel, mais cela n'est absolument pas une certitude
Quant à l'attribution à Bouddha, elle semble peu probable, et on a pas grand chose de fiable là-dessus...

Assalam alaikoum


Parlant de Bouddha, je mets ici un texte, ou un commentaire, de Cheikh ‘Adda, intitulé « Bouddha vu par un maître soufi ».



Nous voulons dire quelques mots sur le prophète Bouddha (il le qualifie de prophète) parce qu’il y a beaucoup de gens qui disent : « Bouddha est un prophète », alors que d’autres disent : « Bouddha n’est pas un prophète, mais simplement un saint venu pour une région déterminée, tandis qu’un prophète vient pour tout le monde. »

Si nous observons raisonnablement la vie de Bouddha, son œuvre, son abandon à Dieu, ses voyages, nous trouvons qu’il a laissé une trace de prophète plutôt qu’une trace de simple saint. Peut-être nous reprochera-ton que les livres de Dieu ne mentionnent pas son nom, comme le Coran qui désigne des prophètes sans y parler de Bouddha. Mais Dieu lui-même, dans le Coran, s’adresse au Prophète Mohammed en ces termes, après avoir désigné un grand nombre de prophètes :

« Nous avons inspiré les prophètes
dont Nous t’avons déjà raconté l’histoire
et le prophètes
dont Nous ne t’avons pas raconté l’histoire. » (4, 64)

Il ne nous dit pas que Bouddha n’a pas donné une loi à son peuple. Son enseignement ressemble à celui de Jésus, un grand prophète reconnu par tous les livres de Dieu. Lui-même a apporté l’Evangile. Bien qu’il ait apporté l’Evangile, il est toujours resté fidèle à la Loi de la torah. C’est dire qu’il n’a rien apporté de nouveau à son peuple sur le plan de la Loi si ce n’est qu’il l’a revivifiée, qu’il l’a ressuscitée, car l’Evangile est une belle parole qui, d’une belle lumière, nous éclaire dans notre cheminement vers Dieu.

Si Jésus, ce grand prophète, a suivi la Torah du Prophète Moïse, Bouddha lui aussi n’est pas loin du prophète qui a suivi la Loi de notre grand-père Abraham. Nous soutenons toujours que Bouddha est un prophète parce qu’il a laissé cette trace. Si quelqu’un nous rétorque que Bouddha n’est pas un prophète et que les bouddhistes en ont fait un objet d’adoration, nous lui répondrons tout simplement que ceci ne peut être imputé à Bouddha. Et cela n’enlève rien à son enseignement et à sa relation avec Dieu. Il a été statufié bien après sa mort parce qu’il est grand et que son peuple n’a pas trouvé de meilleure façon de le remercier que l’adoration.

Nous constatons que la communauté de Bouddha et celle de Jésus adorent, chacune à sa manière, ces deux prophètes. N’oublions pas que l’amoureux vraiment touché par ce sentiment peut perdre la raison, à l’image de la boussole qui s’affole au contact du pôle Nord. Le passionné adore l’objet de son amour sans se soucier si le monde approuve ou désapprouve sa façon d’adorer.

Mais parlons raisonnablement. Aussi, dirons-nous : avant de critiquer, avant de blâmer les modes d’adoration des autres, regardons en nous-mêmes comment nous adorons et ce que nous adorons. L’adoration se manifeste de plusieurs façons. Faisons attention, car nous pouvons adorer notre orgueil, notre fortune, sans le savoir réellement.
Soyez sage, attention…attention…

Assalam alaikoum


Je mets en partage ce commentaire, toujours de Cheikh ‘Adda, qu’il a donné comme réponse à une question à propos d’une parabole de Bouddha, sur « le sage, les enfants et le singe ».





- Cheikh, voici les paroles du Bouddha qui font croire à la réincarnation. Je voudrais votre avis…

- Voyons ces paroles, dit le vénérable Cheikh, dont le mouvement de la tête signifiait non au mot réincarnation.

- Le maître Bouddha raconte l’histoire d’un grand saint hindou invité avec ses disciples chez un seigneur (un roi). En visitant le domaine, ils virent une clairière en pleine forêt. Au temps où le domaine avait été planté, un gamin du village avait arraché les jeunes arbres. Le Bouddha racontait : « le jardinier du roi, voulant aller à la fête de la ville, avait prié les singes d’arroser les arbres à sa place.
- Holà, les singes, s’était alors écrié le chef des macaques, il faut économiser l’eau. Retirez les jeunes plants et mettez de l’eau à leur place, dans chaque trou.
Un sage passa (le saint invité) :
- O singes, pourquoi agissez-vous ainsi ?
- Ainsi nous l’a ordonné notre chef.
Et le sage pensa : « En vérité, les fous et les ignorants croient bien faire et font tout le contraire. »

En vérité, sans l’expérience, la bonne conduite ne mène pas au succès. C’est ainsi, par sottise, le singe jardinier manqua le but. En ce temps là, ajouta Bouddha, le chef des singes était le petit villageois (le gamin) qui détruisit le jardin. Quant au sage, c’était moi (là on pourrait assimiler cette phrase de Bouddha à une quelconque réincarnation).

Cheikh ‘Adda : « C’est donc avec facilité, mon frère, que je vais répondre à votre demande. Mais j’espère que les personnes qui ont lu les paroles du prophète Bouddha m’excuseront si je prétends avoir compris le Bouddha mieux qu’eux-mêmes. Oui, ils m’excuseront, car telle n’est pas mon intention. Je veux simplement développer une vérité qui est cachée depuis longtemps. Je remarque tout d’abord que le Bouddha a cité, dans son histoire, un enfant, les singes, le sage. Son intention, en citant l’enfant, est de désigner les personnes qui ne comprennent pas la profondeur des choses, même s’ils sont des vieillards. Les singes sont des gens peu intelligents. Le sage, c’est le maître, c’est l’envoyé de Dieu dans tous les temps.
Maintenant, voyons l’intention du prophète Bouddha dans son histoire :
Les enfants, même s’ils ont de la barbe, sont de toutes les époques. Les enfants barbus sont les être légers et inconscients qui font des gamineries et des enfantillages, même quand le sage est parmi eux. La deuxième catégorie, celle des singes, comprend ceux qui ne sont pas intelligents et qui ne connaissent rien par eux-mêmes. Le sage, lui, est toujours le vrai envoyé de Dieu. Comme Bouddha est envoyé de Dieu, il dit : " En ce temps-là le chef des singes, c’était le petit villageois qui détruisit le jardin. Quant au sage, c’était moi. "
Le sage Bouddha a dit cela avec beaucoup de sagesse mais cette sagesse n’est ni de Bouddha ni de l’époque de Bouddha. Elle existe depuis le commencement du monde. C’est elle qui est en Bouddha comme en Jésus lorsqu’il dit : " Avant qu’Abraham fût, j’étais. " Ou comme Mohammed : " J’étais déjà prophète alors qu’Adam n’était qu’entre glaise et eau. "
Un jour, un soufi (Mulây al-‘Arbi Ad-darqâoui) se rendit au marché. Quelqu’un lui demanda où se trouvait le marché des vaches. Il voulait acheter une bête.
" Dépasse-moi (dépasse al-‘Arbi), lui répondit le soufi en montrant la foule, et achète qui tu veux. "
A première vue, la parole du soufi laisse croire qu’il a classé tout le monde, excepté lui, parmi les bêtes. En vérité, les gens ne sont pas des bêtes dans la pensée du soufi. En revanche, tous ces gens ivres de la vie, ignorants de Dieu et d’eux-mêmes, sont semblables aux vaches du marché. D’où la réflexion du soufi. De même, le seigneur Bouddha appelait singes ceux qui détruisent le jardin.
L’exemple de celui qui arrache les arbres pour leur donner de l’eau ressemble à celui qui, cherchant pour son fils une situation, apporte, en même temps que cette situation, les soucis et les problèmes de la vie. Il l’arrache à sa quiétude et le jette dans les tourments matériels.
Un simple soldat fait tout ce qu’il doit faire pour défendre son pays. Mais aussitôt qu’on lui donne un galon, même celui de simple caporal, il perd ses nobles sentiments. Oui, il continuera peut-être sa vie de militaire mais uniquement pour les grades et les galons. Alors, il est comme l’arbre déraciné. Et celui qui l’a arraché, si nous réfléchissons bien profondément, a eu l’attitude du singe de l’histoire du Bouddha.
Il est évident que l’intention du père qui voulait orienter la vie de son fils est aussi louable que celle qui donne le grade au soldat. Mais n’a-ton pas fait du mal en voulant faire le bien ? Est-il sage de donner une arme à un enfant pour se défendre ? Saura-t-il l’utiliser ? Ne risquera-t-il pas de se faire du mal ? Ne devrions-nous pas lui apprendre le maniement de l’arme avant de lui faire ce cadeau afin que, riche de cette expérience, il en fasse bon usage ? Nous lui apprendrons ainsi la force de l’arme afin que, par la pratique, il réalise une expérience.
Dans le temps passé, un roi avait élevé son fils pour en faire son héritier. Un jour, le jeune prince vient trouver son père et lui dit :
- Père, vous pouvez vous reposer, je suis capable de vous remplacer. Je suis le meilleur cavalier, le meilleur tireur, le meilleur diplomate, enfin le meilleur en tout.
- Ah ! Mon fils, il vous manque encore quelque chose…
- Que me manque-t-il donc ?
- Il vous manque cinq ans à vivre pauvre. Vous allez partir dans un autre pays et, durant cinq ans, je ne veux plus entendre de vous. Vous vivrez par vos propres moyens, de votre travail, comme les pauvres. Je ne doute pas un seul instant que, durant ce long séjour, vous aurez à connaître toute sorte de personnes, bonnes, comme mauvaises. Lorsque vous aurez subi cette épreuve avec succès, vous pourrez alors venir vous asseoir sur le trône. Pour être roi, il faut être au fait des problèmes et de la vie du peuple.
Voilà un père qui a su préparer son fils à la situation qui lui était destinée.
On peut donc conclure que, sans l’expérience, la seule bonne conduite ne mène pas toujours au succès… »

Complètement faux Bouddha et le Bouddhisme croient en une seule divinité supérieure et sont très précis sur la transmission de l'énergie divine. Leur livres comptent des milliers de pages. Cherchez la science dans la religion et ne vous suffisez pas à un seul livre. C'est le commandement de notre religion. Cherchez l'information lisez et vous comprendrez cela serai trop long a expliquer. Moi j'ai fait ce travail et a chaque fois je me dit Soubhana Allah.
Bonne quête de sens et de spiritualité à tous

Savez vous que comme marie pour Jésus ,bouddha est né par conception spirituelle et non par rapport physique et sa mère a annoncé qu elle allait donné la vie a être spirituel,a sa naissance il marcha par 7 pas faisant apparaître 7 lotus et joignant les mains il dit c est ma 7 ème et dernière vie
Alors pour moi si c est un prophète car un nouveau né qui parle marche et fait apparaître des Lotus par magie je n ai jamais vu ça chez un humain pour ma part

et si pour Jésus comme pour le Bouddha ce n'était qu'une légende ?

Citation
Mymy1984 a écrit:
Savez vous que comme marie pour Jésus ,bouddha est né par conception spirituelle et non par rapport physique et sa mère a annoncé qu elle allait donné la vie a être spirituel,a sa naissance il marcha par 7 pas faisant apparaître 7 lotus et joignant les mains il dit c est ma 7 ème et dernière vie
Alors pour moi si c est un prophète car un nouveau né qui parle marche et fait apparaître des Lotus par magie je n ai jamais vu ça chez un humain pour ma part

Tu te trompes complètement et tu affirmes une thèse qui est fausse. Un prophète n'est pas "quelqu'un qui réussi son buisness". Un prophète est un envoyer de Dieu, destiné à transmettre les révélations aux êtres humains. Au contraire, buddha n'est en rien un prophète, on pourrait se demandais si il est véritablement humain? Qui pourrait affirmer qu'un humain aurait la capacité d'enseigner les " matras" et toutes ces choses non visible par l'être humain. Une telle chose n'est possible que grâce à l'intermédiaire de l'ange Gabriel (ou Jibril) qui aurait reçu l'ordre de notre créateur de révéler les enseignements aux êtres humains. Pourtant, et à preuve du contraire, buddha n'a nullement enseigné ce qui a été révélé aux messagers précédents. Les enseignements entre les différents prophètes ont toujours un lien, une signification chronolique. Chaque prophète a apporté en lui-même une partie cruciale des révélations de notre créateur. Je pourrais par exemple cité Isa Aleyhi Salam (Jésus) qui principalement enseignait l'amour envers chaqun, Muhammad Sallalahou Aleyhi Wa Salam qui enseignait le comportement, Moussa Aleyhi Salam qui enseignait la confiance en notre créateur. Et bien évidemment, accompagnant ces messages significatifs sont venus les enseignements crucieux comme s'abstenir de nourriture illicite, s'abstenir de la fornication, de l'association ou encore de la sorcellerie et les bienfaits du jeûne. Pouvons nous vraiment affirmer que bouddha aurait enseigné quelques émanants de notre créateur? Ou as t-il plutôt éloigner une partie de la population terrestre des enseignements de notre créateur Allah. Serait-il donc un djinn? Qui sait..