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Bouazizi Mohamed 17.12.2010
B
11 décembre 2011 17:37
salam,

il ya presque un an que Mohamed Bouazizi s'est fait brule en Tunisie pour manifester son refus a Lhogra et a la dictature ...
ce qui s'est passe apres cette action est connu par tout le monde.

je sais qu'il y aura des yabis qui vienderont dire: non c'est l'amerique ou la chine ou le zimbabwie qui est derierre tout les manifaestations.

d'autre prefere halaliser et haramiser cette Action.

je veux juste dire par ce post: Allah y rehmek a Bouazizi.
J
12 décembre 2011 10:03
Salam, j'ai entendu dire qu'il était ivre au moment des faits. J'ai était surprise d'entendre ça ! En tout cas, qu'il repose en paix et j'ai hâte de partir en Tunisie pour lui rendre hommage. Merci pour ce post.
o
13 décembre 2011 07:30
Il reste un faiblard et une personne qui a oublie le livre. Que dieu le maudisse.
c
13 décembre 2011 09:57
Citation
ouldabbas a écrit:
Il reste un faiblard et une personne qui a oublie le livre. Que dieu le maudisse.


tu devrais avoir honte.
z
13 décembre 2011 11:21
Citation
ouldabbas a écrit:
Il reste un faiblard et une personne qui a oublie le livre. Que dieu le maudisse.

Salam Alaykoum,

Il reste un faiblard comme nous tous ,car nous avons été crée faible.

C'est une personne qui a commis un péché ,mais tout comme toi tu viens de le faire en demandant la malédiction sur lui ,et en ne respectant pas ce défunt.

Citation
Jasmin10 a écrit:
Salam, j'ai entendu dire qu'il était ivre au moment des faits. J'ai était surprise d'entendre ça !

Salam Alaykoum,

Inutile de colporter cette information ,un tu n'en as pas la preuve,et de deux quand bien même tu l'avais sache qu'il ne t'est pas permis de dévoiler les péchés des autres.

Parler des défunts uniquement pour dire du bien, ou sinon gardez le silence.
B
13 décembre 2011 14:57
Un an déjà, que le temps passe vite ...

Le plus bel hommage que j'ai lu sur ce jeune héros pour l'éternité, hé oui un héros, même si la gifle n'était qu'une invention, il ne faut pas oublier que l'humiliation source de cette réaction suicidaire est bien réelle, allez parler aux vendeurs à la sauvette et dieu sait qu'il y en a beaucoup dans nos pays.... rien qu'en sortant du port de Tanger on est assailli par ces jeunes et moins jeunes vendeurs de toute sorte de marchandise!!!



Mohamed Bouazizi, un héros arabe.


Écrasé et humilié par une administration corrompue, Mohamed Bouazizi a choisi de protester en se sacrifiant. Un geste qui est à l’origine de la révolution du 14 janvier en Tunisie. Et du printemps arabe qui se dessine. Portrait d’un fils du peuple devenu l’icône universelle de la dignité retrouvée.

En s’immolant par le feu, il a allumé la mèche de la contestation politique qui a fait des Tunisiens, que l’on disait particulièrement indolents, les pionniers de ce qui ressemble à un printemps des peuples arabes. Il, c’est Mohamed Bouazizi, dont les manifestants ont scandé le nom et brandi le portrait tout au long des trente jours de soulèvement populaire qui ont abouti à la chute de Zine el-Abidine Ben Ali. Cette unique photographie, qui a fait le tour du monde, a été prise lors d’une fête. On y voit un Mohamed Bouazizi battant des mains, au sourire aussi éclatant que son tee-shirt blanc. La future icône de la révolution tunisienne n’avait rien d’un rebelle : c’était un jeune homme simple et paisible, au visage tanné par le soleil, comme il en existe des millions en Tunisie et dans le monde arabe.

Les Bouazizi sont des anonymes parmi les 40 000 oubliés de Sidi Bouzid, gros bourg agricole du centre du pays, enclavé entre les montagnes de la Dorsale tunisienne et du Djebel el-Kbar, et menacé par les crues des oueds Gammouda et Falet Galla. Mohamed est né ici, au printemps 1984, dans une région connue pour ses plantations d’oliviers et d’amandiers. Il est le fils de cette Tunisie profonde, celle de « l’intérieur », que la rhétorique politique de l’ancien régime qualifiait de « zone d’ombre », celle que la pauvreté avait, croyait-on, rendue muette et apathique. Officiellement, le nouveau-né a pour prénom Tarek, mais très vite, tout le monde l’appelle Mohamed pour le distinguer d’un homonyme. Sa mère, Manoubia, le surnomme Besbouss, (« celui qui est à croquer de baisers »), un surnom qui ne le quittera plus, pas même à l’âge adulte.

Un lien fort se tisse entre la mère et le fils, d’autant que le père, Taïeb, est souvent absent. Ouvrier agricole, il a, pendant un temps, tenté sa chance en Libye comme journalier. Il revenait en expliquant que, là-bas, les « gens pauvres souffrent aussi ». Il s’est littéralement tué à la tâche, pour finalement laisser un lopin de terre et trois orphelins : Salem, Leïla et Mohamed. À la mort de son père, ce dernier a 3 ans. Et, comme souvent dans les régions rurales, pour ne pas avoir à partager leurs maigres biens, Manoubia épouse le frère de son mari. Quatre autres enfants voient le jour : Samia, Basma, Karim et Zyed. Mohamed est à la fois leur cousin et leur frère. Sage et réservé, il continue de traîner dans les jupons de sa mère. À 6 ans, il aide aux travaux des champs. Mais c’est pour lui un jeu, comme aller à l’école à pied avec ses camarades. La famille est un cocon ; on est encore plus unis quand on a du mal à joindre les deux bouts. Les temps sont durs, la terre aussi. Les Bouazizi s’endettent auprès d’une banque, n’arrivent pas à honorer les échéances et perdent les 3 ha qu’ils avaient hypothéqués. Une histoire banale, tant elle est répandue dans le gouvernorat de Sidi Bouzid, qui ne vit que de l’agriculture. Ici, on connaît bien les revers de fortune, si tant est que l’on puisse appeler fortune la servitude quotidienne : il suffit d’une mauvaise récolte ou d’une inondation pour perdre ses sources de revenu. Mais personne n’a le temps de s’apitoyer sur son sort. Il faut continuer.

« L’homme de la famille »

Mohamed grandit. Il devient un petit gars qui se partage entre les coups de main à la famille et les bancs du lycée. Quelque part, il est plein d’espoir ; l’enseignement gratuit et obligatoire laisse entrevoir une réussite possible. Depuis les années Bourguiba, les Tunisiens croient en l’ascension sociale, s’accrochent à l’idée du succès par la méritocratie. Mohamed n’excelle pas, c’est un élève moyen qui, dès ses 14 ans, devient maçon pendant son temps libre. Personne ne s’avise qu’un mineur n’est pas censé travailler, a fortiori dans n’importe quelles conditions. Ici, chacun participe sans même y penser, la chose est tout à fait naturelle. On devient ouvrier agricole de père en fils, l’agriculture étant le seul secteur qui embauche des journaliers. Le travail est aléatoire, mais il n’y en a pas d’autre. Le développement économique n’a pas atteint Sidi Bouzid ; les industries ont préféré s’implanter dans le gouvernorat voisin, celui de Sfax, qui dispose de toutes les infra­structures nécessaires. Quand Mohamed visite Sfax, il est épaté par l’énergie de cette ville. Il n’a parcouru que 135 km, mais c’est comme s’il avait fait un long voyage à l’étranger. Il découvre un autre monde, celui d’une Tunisie opulente avec vue sur la mer qui affiche ses succès économiques. Tout l’opposé de Sidi Bouzid, où tout est si linéaire, où tout est attente ; celle de la pluie, celle des récoltes, celle de jours meilleurs. Mais Mohamed est fils de Sidi Bouzid, il n’a pas envie de partir, et son niveau ne lui permet pas de prétendre à un bon travail. Tant qu’à être dans l’aléatoire, autant rester chez soi. Mohamed a une priorité : il se sent investi d’une responsabilité à l’égard des siens. À la mort de son père, les adultes lui répétaient qu’il était l’homme de la famille, histoire de le détourner du chagrin en lui donnant des objectifs. La bouture a pris et le jeune homme devient le principal soutien de la fratrie.

Apprécié de tous

Il y a huit bouches à nourrir. C’est à elles que Mohamed décide d’accorder la priorité. Il range donc ses rêves et quitte le lycée avec un niveau de terminale. De toute façon, il n’aurait rien pu faire du bac puisqu’il n’avait pas les moyens de poursuivre des études. Mais il se jure de faire en sorte que ses jeunes frères et sœurs puissent avoir une formation solide. Aujourd’hui, Samia fait du droit à l’université et Basma prépare son baccalauréat. Mohamed s’inscrit dans une association de jeunes chômeurs, mais rien de concret ne lui est proposé. Impossible de trouver un emploi qualifié dans une région souffrant de sous-investissement chronique. À 19 ans, il n’a pas le choix, et va faire ce qu’il a toujours vu faire autour de lui : vendre des fruits et légumes.

Mohamed devient donc marchand ambulant. Il ne renâcle pas à la tâche. Le soir, il loue une camionnette et va s’approvisionner à Meknassi ou Souk el-Jedid. Ses fournisseurs le connaissent bien, l’estiment et lui font crédit. Il ramène tous les jours pour 50 à 100 euros de fruits et légumes qu’il écoule en parcourant les artères de Sidi Bouzid. Tout le monde l’apprécie. C’est un fils du pays, il est aimable et n’hésite pas à ajouter gracieusement un petit plus dans les paniers. Il cherche juste à gagner décemment et simplement sa vie. Mais il va se heurter à une administration corrompue qui se plaît à compliquer la moindre démarche dans le but de rançonner la population. Mohamed est un travailleur clandestin, il n’a pas les moyens de verser des pots-de-vin pour obtenir son autorisation. Pendant sept ans, lui et les services municipaux vont jouer au chat et à la souris. Les agents de la police municipale se servent sans scrupule, quand ils ne prélèvent pas 10 euros dans la caisse du jour. Parfois, arguant qu’ils doivent appliquer la loi, ils assènent une amende de 320 euros, que Mohamed a du mal à payer. La marchandise est souvent confisquée, et il lui faut régulièrement débourser 10 euros pour récupérer la balance chèrement acquise.

Mohamed résiste, mais il a de plus en plus de mal à tenir le coup. C’est en pensant à la famille qu’il s’accroche. Il aime le regard approbateur de sa mère quand il rentre avec des fruits à la maison ; immanquablement, il la taquine. Elle rougit, appelle à la rescousse ses filles. Mais elle ne manque jamais une occasion de faire plaisir à son fils, lui prépare du poisson grillé, son plat préféré, et ne cesse de le bénir. Mohamed goûte le calme et la tranquillité. Quand ses sœurs chahutent trop fort, il hausse la voix. Elles rechignent un peu, mais obéissent à ce grand frère qui leur donne discrètement un peu d’argent de poche. Mais Mohamed ne résiste pas au petit dernier, Zyed, qui du haut de ses 8 ans le mène par le bout du nez et préfère jouer plutôt que de dormir dans la pièce commune à l’heure de la sieste.

« Dieu me rendra justice »

Mohamed trime, mais ne se plaint pas. À défaut d’une réussite sociale, il est devenu l’homme de la maison ; ses frères sont soit trop jeunes, soit au chômage comme son beau-père. Mohamed s’est forgé un caractère. S’il n’est pas très bavard, il veille à ce que ses sœurs reçoivent une bonne éducation et ne manquent de rien. Comme tous ses congénères de la région, il respecte des codes combinant les coutumes et le bon sens. S’il rejoint ses copains au café, c’est surtout pour parler de football et de son idole, Tarak Dhiab, pendant des heures. Mohamed ne se confie pas facilement. De toute façon, ses tracas sont connus de tous. Ici, la dignité, l’honnêteté, la patience et le respect sont encore des valeurs cardinales. Mohamed a été élevé dans cette tradition des campagnes où l’on est musulman sans être rétrograde. Contre l’adversité, il disait de plus en plus souvent : « Hassibi rabbi » (« Dieu me rendra justice »). Son rêve est d’avoir assez d’argent pour pouvoir acheter une camionnette et ne plus s’épuiser à pousser une charrette.

Mohamed tient bon pendant sept ans. À 26 ans, il se drape dans la dignité des laissés-pour-compte, ceux qui, d’une certaine manière, ont accepté de perdre leur vie à gagner une misère. Il est à bout de forces. Harcelé, acculé, il glisse imperceptiblement dans la mélancolie. Le 7 novembre 2010, alors que le pays fête le 23e anniversaire de l’accession de Ben Ali au pouvoir, on lui confisque encore une fois son étal. Il y voit un symbole. « Ici, le pauvre n’a pas le droit de vivre », dit-il à sa sœur Leïla. Mohamed désespère de voir le bout du tunnel. La vie est de plus en plus chère. Le courage et la volonté ne suffisent plus. Il est endurant, mais ne supporte plus cette injustice flagrante qu’on lui fait, celle de l’empêcher de travailler, sans raison.

Une gifle fatale

Le 17 décembre 2010, les agents municipaux lui saisissent encore une fois sa charrette. Quand il ose aller déposer une réclamation au gouvernorat, aucun responsable ne prend la peine de le recevoir. Pis, une auxiliaire municipale, Feida Hamdi, le gifle et lui crache à la figure. L’humiliation publique, infligée par une femme dans un environnement où le respect fait partie du code social, est le geste de trop, une souillure dont Mohamed va se purifier par le feu. Il ne réfléchit plus, est pris dans la spirale du désespoir, d’un implacable no future. Puisqu’il ne peut se faire entendre, il va protester de la manière la plus voyante. Consumé par la misère, il se sent déjà brûler de l’intérieur, alors autant affronter le feu. Il n’a pas peur, ne tremble pas. Il craque une allumette comme on claque des doigts et s’immole sur la place publique. Un geste qui embrase le pays et fait de tous les Tunisiens – et peut-être de tous les Arabes – des marchands ambulants bafoués dans leurs droits, avides de dignité et de justice.

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/12/11 14:59 par Bento.
J
13 décembre 2011 15:11
Aleykoum Salam, je ne colporte rien du tout, j'étais etonnée d'entendre dire ça de cet homme c'est tout ! Et j'en suis indignée ! Bouazizi est un héro pour beaucoup de personne dont moi alors inutile de me dire ce que je dois faire alors que je n'ai rien dit de mal !
s
13 décembre 2011 15:34
Citation
Biladien a écrit:
salam,

il ya presque un an que Mohamed Bouazizi s'est fait brule en Tunisie pour manifester son refus a Lhogra et a la dictature ...
ce qui s'est passe apres cette action est connu par tout le monde.

je sais qu'il y aura des yabis qui vienderont dire: non c'est l'amerique ou la chine ou le zimbabwie qui est derierre tout les manifaestations.

d'autre prefere halaliser et haramiser cette Action.

je veux juste dire par ce post: Allah y rehmek a Bouazizi.


j'ai lu par le feuécrit par le grand des grands de la littérature (B J) qui est le seul à mon sens qui a su expliquer ce cas de Mohamed et sa fiancée et son diplôme et la barbarie policière il a même dénoncé le producteur du cinéma qui a voulu faire de la mort de MED son sujet réservé pour un film moyennant une enveloppe pour la famille de la victime
je hais l'hypocrisie
o
13 décembre 2011 17:36
"C'est une personne qui a commis un péché ,mais tout comme toi tu viens de le faire en demandant la malédiction sur lui ,et en ne respectant pas ce défunt"

Mais comme je suis en vie, je peux me ressaisir. lui non. Que dieu le maudisse et le remaudisse. winking smiley
z
13 décembre 2011 20:14
Citation
ouldabbas a écrit:
"C'est une personne qui a commis un péché ,mais tout comme toi tu viens de le faire en demandant la malédiction sur lui ,et en ne respectant pas ce défunt"

Mais comme je suis en vie, je peux me ressaisir. lui non. Que dieu le maudisse et le remaudisse. winking smiley

Salam Alaykoum,

Ce que tu dis n'a aucun sens ,du fait que tu sois en vie te permet de commettre des péchés? Une des conditions du repentir est de renoncer et donc de ne pas recommencer son péché.

Et tu disais de cet homme qu'il était un faiblard ,ne l'est tu pas en tenant les propos que tu tiens ici d'un homme qui ne peut plus se défendre ayant quitté ce bas monde ?

Crains Allah swt il est interdit de maudire ainsi les gens attention que la malédiction que tu appelle ne te retombe pas dessus de ton vivant.

Selon Abouddardà (das), le Messager de Dieu (bsdl) a dit: «Quand 'homme maudit quelque chose ou quelqu'un, sa malédiction monte au ciel, mais les portes du ciel se ferment devant elle. Elle retourne alors à la terre et en trouve aussi les portes fermées. Puis elle se cherche un passage à droite et à gauche et n'en trouve aucun. Elle revient alors à celui qui a été maudit, s'il la mérite, sinon elle retombe sur celui qui l'a proférée». (Rapporté par Abou Dawùd)
o
13 décembre 2011 22:59
Je peux retirer "le que dieu le maudisse" mais je ne vois pas en quoi cet homme peut devenir un heros
ou un exemple. N'oublions pas que d'autres ont suivi dans ses pas au maroc, en algerie. C'est
devenu un phenomene en 2011. Ce mec doit etre oublie et vite. Je veux vomir quand
j'entend son nom.

Nous avons tous des problemes mais il faut garder raison comme meme.

Ceci dit je me regale pour la suite. thumbs up
s
13 décembre 2011 23:26
si les malédictions font autant de vas et viens et des montées et des descentes pour enfin retombent sur les expéditeurs
ou les destinataires par le sens logique il n'y aurait pas un seul vivant vivant sur terre
parce que tout le monde on en fait donc bcp de monde ne seraient plus parmi nous
je hais l'hypocrisie
z
14 décembre 2011 01:23
Citation
ouldabbas a écrit:
Je peux retirer "le que dieu le maudisse" mais je ne vois pas en quoi cet homme peut devenir un heros
ou un exemple. N'oublions pas que d'autres ont suivi dans ses pas au maroc, en algerie. C'est
devenu un phenomene en 2011. Ce mec doit etre oublie et vite. Je veux vomir quand
j'entend son nom.

Nous avons tous des problemes mais il faut garder raison comme meme.

Ceci dit je me regale pour la suite. thumbs up

Salam Alaykoum,

Nous avons effectivement tous des problèmes et il faut certes garder la raison ,mais parfois elle peut nous faire défaut ,je suis une mère ,et demain si on ôtait injustement le pain de la bouche de mes enfants ou que l'on m'empêcherais de le gagner ,je ne sais nullement comment je réagirais et je pense que c'est pareil pour beaucoup d'entre nous.

Je ne cautionne aucunement son geste ,je demande simplement de respecter ce défunt ,demandons à Allah swt de lui pardonner ,cet homme n'a pas demandé à être élevé au rang de héros ou de martyr.

Cet homme n'a pas besoin de vomis ,mais de rahma.
o
14 décembre 2011 11:28
@zz95

Cet homme est mort. Il s'est suicide. Un geste des plus laches. On ne va pas
le pleurer comme meme. On a un livre que dieu a bien voulu nous donner.
Te rappelles tu de Abou Lahab et de sa femme?

Tabat yada abi lahabin wa tab.
Ma aghna anhou maalouhou wa ma kassab.
sa yasla naaran daata lahab
wa amrahatouhou hamalata alhatab
fi jidiha habloun min massad.

Maintenant tu ne va pas me dire qu'on doit les pleurer aussi? perplexe
z
14 décembre 2011 14:46
Citation
ouldabbas a écrit:
@zz95

Cet homme est mort. Il s'est suicide. Un geste des plus laches. On ne va pas
le pleurer comme meme. On a un livre que dieu a bien voulu nous donner.
Te rappelles tu de Abou Lahab et de sa femme?

Tabat yada abi lahabin wa tab.
Ma aghna anhou maalouhou wa ma kassab.
sa yasla naaran daata lahab
wa amrahatouhou hamalata alhatab
fi jidiha habloun min massad.

Maintenant tu ne va pas me dire qu'on doit les pleurer aussi? perplexe

Salam Alaykoum,

Les versets que tu cite n'ont aucun rapport ,Abou Lahab était l'oncle du Prophète sws ,il était un ennemis de l'islam ,et il le déclarait haut et fort.

Le suicide est un grand péché certes ,mais il ne fait pas sortir de l'islam celui ou celle qui commet cet acte ,on effectuera la toilette mortuaire sur la personne ,on effectura salat al janaza et on l'enterrera selon la charia.

Personne ne te demande de le pleurer ,je te demande de respecter ce frère décédé ,oui nous avons un Livre venant de notre Seigneur et nous avons hamdulilallah une belle religion et celle ci te demande de dire du bien d'un défunt ou de garder le silence.

L'islam interdit de maudire un être de son vivant et encore moins quand il a quitté ce bas monde,car il n'a plus la possibilité de se défendre ,la mort ne concerne pas uniquement les autres j'y gouterais et tu y gouteras ,invoquons la miséricorde,la clémence,le pardon... sur nos défunts ,car on doit agir envers nos frères et nos sœurs comme on voudrait qu'on agisse à notre égard.
s
14 décembre 2011 18:22
si Tahar B J a sorti son livre par le feu il sait de quoi il parle pourquoi mêler la religion ici
et si vous mélanger la religion avec le sociale eh beh si Moed s'est suicidé donc = dieu = ALLAH a déjà déjà lui a tracé son destin donc où la faute de Med ? puisque c'est Allah qui a tracé son avenir et d'ailleurs il le fait pour nous tous quelle faute il a commis ?
je hais l'hypocrisie
z
14 décembre 2011 23:53
Citation
sakki a écrit:
si Tahar B J a sorti son livre par le feu il sait de quoi il parle pourquoi mêler la religion ici
et si vous mélanger la religion avec le sociale eh beh si Moed s'est suicidé donc = dieu = ALLAH a déjà déjà lui a tracé son destin donc où la faute de Med ? puisque c'est Allah qui a tracé son avenir et d'ailleurs il le fait pour nous tous quelle faute il a commis ?

Salam Alaykoum,

C'est ceux appartenant à la secte Al-jabriyya qui raisonne ainsi ,en fait tu partie ?
s
15 décembre 2011 12:20
je sais que ma vie est déjà tracée et la fin = le destin est déjà tracé et décidé par Allah personne ne pourra chjanger rien de sa destinée en
suicide
en gloire
ou en mendicité
c'est la volonté d'Allah l'homme n'est fautif sauf si tu tombes entres les mains des gendarmes ou la PJ ou le contrôle fiscale
dans ces cas Allah il décidera de t'aider ou ou non
je hais l'hypocrisie
15 décembre 2011 17:12
NON, c'est le burkinafasso qui a tout orchestre depuis ouagadougou
"Préparez le chemin du Seigneur, Aplanissez ses sentiers."
 
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