Au bled Arte (français) mar. 17 janv. 21h35 (50 min., 2004, France, Société/Politique/Éco) Ajouter à mon AgendaAjouter à mon Agenda
Nés en France, ils ont été renvoyés par des parents désemparés au "bled". Un phénomène qui s'étend au sein de l'immigration soninké. Recours ou impasse ? Voyage sensible en terre malienne, aux côtés de quatre "Francos" en semi-exil.
Champ, contrechamp. Le préambule du voyage est une cité anonyme de la région parisienne, avec les escaliers fatigués du bâtiment B - "B comme Bamako" - où "les jeunes, résume Yaté, partent en couille". Et nous voilà transportés sans transition dans les rues ocre et rouge de Kayes, au Mali, avec leurs cours sans ombres, leurs buvettes endormies, leurs boubous éclatants. Comme Mamadou, le frère de Yaté, Massiga, Lamine, ou Macerré, que leurs parents ont expédié d'autorité "au bled". Un phénomène, précise le réalisateur, qui concerne aujourd'hui des milliers de jeunes "Francos", comme on les appelle au Mali. À travers ses quatre jeunes héros, il a voulu éclairer un phénomène qu'il interprète comme l'échec patent des politiques françaises d'accueil. Temps suspendu de l'exil Stéphane Le Gall-Viliker accompagne discrètement ces jeunes "Francos" dans un quotidien ralenti, entre désoeuvrement, lycée, visites familiales, conversations d'adolescents. Sans commentaire et sans démonstration, son film déroule le temps suspendu del'ailleurs, recueillant des mots aussi savoureux que déchirants. Deux des garçons ont délaissé l'école et fait quelques "bêtises". Massiga avait été promise à un mariage auquel elle a échappé à force de batailles. Macerré dit s'être "posé", tient boutique avec sérieux, se laisse marier sans même vraiment l'avoir choisi. Il est le seul à ne pas vouloir "retourner sur son goudron", comme le résume plaisamment Massiga : "Parce qu'ici, pour nous, c'est l'exil, comme là-bas pour nos pères." un faux recours, renchérit Mamadou, qui "aggrave notre jeunesse". Ce documentaire, maintes fois projeté dans les milieux de l'immigration malienne en France, y a reçu un accueil enthousiaste, notamment de la part d'une "deuxième génération" sevrée de dialogue. .
Réalisateur : Stéphane Le Gall-Viliker. Production : Les Films d'Ici, Arte France
Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/01/06 21:39 par kni_nza.
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Seigneur, Tu entends nos prières, Tu connais nos secrets, et ce que cachent nos coeurs ne peut T'être dissimulé. Nous T'adressons la supplique de ceux qui sont dans le besoin et affaiblis; nous n’avons d'autre Dieu que Toi auquel nous nous adressons, ni d'autre Miséricordieux duquel nous espérons Sa MiséricordeSeigneur, embellis-nous par la beauté de la foi, et fais de nous des guides bien guidés. Seigneur, Ouvre nos coeurs à l’Islam et à la foi. Seigneur, fais dans nos oeuvres une facilité, fais qu’après la diffculté vienne la facilité et facilite nous toutes nos affaires. [ Allahouma Amine ]
c'etait space .. je n'ai vu que les 5 dernieres minutes
une fille couverte en par un voile rouge et des gens qui criaient alhou akabar de maniere monotonne ..
Ci tt qq1 a vu ?
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Seigneur, Tu entends nos prières, Tu connais nos secrets, et ce que cachent nos coeurs ne peut T'être dissimulé. Nous T'adressons la supplique de ceux qui sont dans le besoin et affaiblis; nous n’avons d'autre Dieu que Toi auquel nous nous adressons, ni d'autre Miséricordieux duquel nous espérons Sa MiséricordeSeigneur, embellis-nous par la beauté de la foi, et fais de nous des guides bien guidés. Seigneur, Ouvre nos coeurs à l’Islam et à la foi. Seigneur, fais dans nos oeuvres une facilité, fais qu’après la diffculté vienne la facilité et facilite nous toutes nos affaires. [ Allahouma Amine ]