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triste époque.........

Battu à mort et torturé dans un squat pour une insulte de trop

La cour d'assises de Haute-Garonne juge aujourd'hui quatre marginaux pour le meurtre d'un père de famille de 36 ans, battu à mort et torturé en 2009 dans un squat, à Toulouse. Deux des accusés encourent 30 ans de réclusion criminelle.

A quel moment Mansour Benzekri, cet habitant de la cité Bagatelle, à Toulouse, a-t-il rendu son dernier souffle dans d'atroces souffrances ? Les experts estiment que ce père de famille de 36 ans a succombé à la suite d'une multitude de coups reçus dans la tête et sur le corps. Des sévices corporels d'une extrême cruauté sont venus ponctuer ce qui devait être une simple soirée entre marginaux.

Aujourd'hui et jusqu'à vendredi, la cour d'assises de Haute-Garonne se plonge dans l'une des affaires criminelles les plus violentes de ces dernières années à Toulouse.

Celle d'un déchaînement de haine furieuse et de rage collective pour une insulte. John Flament, 24 ans, Christophe Desprez, 27 ans, Fabrice Pothier, 29 ans et Gaëtan Grare, 25 ans, sont poursuivis pour le meurtre de Mansour Benzekri. Seuls Flament et Desprez sont accusés en plus de torture et actes de barbarie.

Dans la nuit du 5 au 6 février 2009 à l'intérieur d'un squat, boulevard Déodat-de-Séverac, à Toulouse, ces quatre marginaux et deux autres compagnons de galère qui ont bénéficié d'un non-lieu au cours de la procédure, vident des cannettes de bière achetées dans un supermarché du quartier des Arènes. Parmi eux, se trouve Mansour Benzekri qui a fait connaissance de la bande en se ravitaillant aussi dans cette même supérette.

Mais sous l'effet de l'alcool, la soirée dégénère. Les familiarités de Mansour avec la petite amie de Fabrice Pothier et une injure proférée à l'encontre de Flament font l'effet d'un détonateur. Dans ce premier étage du squat, Flament frappe Mansour d'un coup de bouteille. Puis un déluge de coups d'une violence inouïe s'abat sur «l'invité» qui s'écroule.

Flament l'égorge et lui assène un coup de hache dans la tête. Une rage meurtrière et communicative s'empare d'une partie du groupe. La petite amie de Pothier craque : «Abrégez ses souffrances !», lâche-t-elle, en entendant les râles de Mansour. Flament lui découpe ensuite la joue pour lui arracher une dent, afin d'éviter toute identification du corps . Car désormais, il faut s'en séparer.

Desprez lui sectionne l'oreille droite et lui crève un œil avec un sécateur. Il veut lui ouvrir la poitrine pour brancher son cœur à une batterie de voiture pour voir s'il peut «repartir.» Il y renonce. La scène est filmée par Desprez qui en rigole. Le corps du supplicié, dénudé, est jeté dans une poubelle avant d'être caché dans le coffre d'une Twingo volée.

Flament, Desprez et Pothier sont dans la voiture qu'ils abandonnent sur une voie ferrée toute proche.

La Twingo est incendiée avec le cadavre de Mansour Benzekri à l'intérieur. Le 11 février, sur la base d'un témoignage, le SRPJ de Toulouse interpelle cinq suspects dans le squat puis un sixième, Christophe Desprez, quelques jours plus tard dans le Nord de la France.

Reste à comprendre la raison d'une telle rage. La réponse est à chercher probablement dans l'enfance fracassée des quatre accusés habitués jusqu'ici aux vols à la roulotte. «On espère que ces audiences vont permette de comprendre comment des jeunes gens dont la personnalité n'a rien d'extraordinaire ont pu atteindre un tel sommet dans l'horreur», commente l'avocat de la famille de Mansour, Me Christian Etelin.

John Flament a toujours assumé ses responsabilités. «C'est un garçon doté d'une grande intelligence et dont les actes sont en contradiction avec sa personnalité», estime son avocat, Me Cohen qui aura la lourde charge avec Me Nakache, le défenseur de Desprez, d'éviter la peine encourue : 30 ans de réclusion criminelle.
l'horreur en vidéo

Le président de la cour d'assises, Jean-Louis Cousté, a la possibilité lors de ses cinq jours d'audience de diffuser les images des violences et des tortures exercées sur Mansour Benzekri. Des images filmées par Desprez avec son téléphone portable. La scène dure quelques secondes et sur trois petites vidéos on y voit Mansour à terre, visage tuméfié et roué de coups. Sur d'autres images qui auraient disparu, l'un des accusés aurait fait du trampoline sur le corps de Mansour agonisant.La famille de la victime veut comprendre ce qui a pu expliquer un tel déchaînement. Également parties civiles, la première épouse de Mansour et sa fiancée, représentées respectivement par Me Pierre Le Bonjour et Me Alexandre Martin attendent de ce procès que soient exposées les réelles motivations des accusés.

[www.ladepeche.fr]

Ce sont de vrais criminelles ,et l alcool a fait ressortir la barbarie qu ils ont au fond d' eux mêmes .
Ces crapules sont capables de recommencer sur d ' autres , si jamais ils ressortent de prison .
Même en prison il faut se méfier d ' eux .

gang des barbares !!!

je ne crois pas que l'alcool puisse expliquer une telle barbarie.
perso, j'ai été saoul à de nombreuses reprises, jeune. jamais je n'ai trucidé ou torturé quelqu'un.
et normalement, dans un groupe, quand il y en a un qui disjoncte, les autres l'empéchent de faire n'importe quoi ou essaient de le ramener à la raison.
là, rien. chacun y va de sa sauvagerie et surpasse le précédent.
ça dépasse l'entendement et ça fait douter de beaucoup de choses.............

bah, c est la nature humaine, elle se croise chaque jour et en groupe elle est toujours démultipliée, c est malheureux mais commun je pense.

mauvais endroit mauvais moment...
puis la jalousie ....il avait la cote avec la meuf de son hôte lol
beurk ,n’empêche il a souffert ...

si la charia etait appliquée ça ne serait pas arrivé car

pas d'alcool , et si c'etait arrivé quand meme on aurait

ete debarrassé de ces epaves condamnés a mort .


ceci dit il l'a bien cherché, fricoter avec des poivros sdf

Les poivrots n'ont pas de nationalité.

Bon appétit!

le Comité d'enquête de Russie a annoncé l'arrestation à Vladivostok (Extrême Orient) d'un homme de 35 ans qui a reconnu avoir tué un de ses amis avant de se nourrir de sa chair avec une autre de ses connaissances. Le suspect "a reconnu que le 21 mars, il a tué la victime de 41 ans après avoir consommé de l'alcool fort. Ensuite, avec un ami, ils se sont nourris des restes" du défunt, expliqué le comité.

Citation
mohammed06 a écrit:
si la charia etait appliquée ça ne serait pas arrivé car

pas d'alcool , et si c'etait arrivé quand meme on aurait

ete debarrassé de ces epaves condamnés a mort .


ceci dit il l'a bien cherché, fricoter avec des poivros sdf

mais c'est bien sur. les sociétés ou sevit la charia sont des pays ou regne la justice, c'est bien connu.

Pas besoin d'aller chercher spécifiquement dans l'alcool:

Ça ressemble très clairement à un pétage de plomb dû au cannabis.

Alors de que l'alcool ou la caféine sont métabolisés et expulsés du corps, le poison cannabique s'accumule dans le cerveau, les nerfs et tous les tissus graisseux.

Ceux qui consomment du cannabis, même à faible dose, accumulent le poison.

Ils deviennent de vraies bombes à retardement, car la dose accumulés peut ressortir d'un coup, sous l'effet d'une forte émotion, par exemple.

L'alcool vient en plus, de même que toutes les autres drogues.

Comme c'est décrit, il serait surprenant que ce groupe se soit limité au cannabis et l'alcool.

De plus, parmi les "sous-cultures" où marinent les squats, il y en a qui n'ont aucun respect d'eux-mêmes et des autres.

100 doses de cannabis dans le sang, instantanément
+ alcool
+ drogue(s)
+ "sous-culture" justifiant la violence
====> barbarie


C'est le type de crime où je ne vois aucun inconvénient à guillotiner les coupables.

Leur exécution n'aura peut-être pas d'effet préventif, mais elle aura certainement un effet éducatif.
D'autre part: Un mort ne récidive pas et ne ruine pas la Société en couts d'emprisonnement.

Mais attention: Pour éliminer ainsi un barbare, il faut une certitude à 100%.
99,9999999999% ne suffit pas pour condamner quelqu'un à mort.

Il ne s'agit pas de Loi du talion, une pratique barbare: Il s'agit de prévention.

Même si le résultat est identique, la raison est toute différente.

Afin d'ôter totalement l'aspect vengeance, il faut que la mort soit instantanée et certaine:
- Couper la tête sans intervention humaine (l'Histoire est pleine d'exécutions où le condamné ne meurt pas d'un coup, car celui qui tient l'épée frappe à côté)
- Injecter un anesthésique à une dose létale.


Les armes à feu, les lances, les flèches, l'égorgement, la pendaison, le gazage etc ne sont pas instantanés et sont donc une torture.
Parce qu'ils sont manipulés par des humains, le sabre, la hache etc ne sont pas sûrs et peuvent donc torturer.


La peine de mort consiste à tuer et non pas à torturer,
même pour ceux qui ont commis les crimes les plus barbares.


Le tribunal qui n'ordonne pas un moyen sûr et indolore outrepasse la loi qui lui ordonne de tuer le coupable.
Ce tribunal est frappé d'indignité.



Les Amazighs des Canaries utilisaient une grosse énorme pierre qui écrasait instantanément la tête.
Dans le contexte préhistorique, c'était probablement le meilleur moyen de provoquer, de manière certaine, la mort pratiquement instantanée.

Wow Indigestion, l'expert en cannabis

Toi, la purge, informe-toi !