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Ben barka !!
m
1 octobre 2009 18:56
Ben Barka: 4 mandats d'arrêts diffusés
AFP
01/10/2009 | Mise à jour : 18:47 | Ajouter à ma sélection
Quatre mandats d'arrêt internationaux, dont l'un vise le chef de la gendarmerie royale marocaine, ont été diffusés par Interpol en lien avec l'enquête en France sur la disparition en 1965 de l'opposant marocain Mehdi Ben Barka, a-t-on appris de source proche du dossier. Ces mandats concernent le général Hosni Benslimane, aujourd'hui chef de la gendarmerie royale marocaine, le général Abdelhak Kadiri, ancien chef des services de renseignement, Miloud Tounzi, membre présumé du commando qui a enlevé l'opposant, et Abdelhak Achaachi, ancien agent du Cab 1, une unité d'élite des services secrets, a-t-on précisé de même source.

La diffusion de ces mandats d'arrêt fait suite à un récent feu vert du ministère français de la Justice, selon cette source. Ils avaient déjà été signés par le juge d'instruction du tribunal de grande instance de Paris en charge de cette enquête, Patrick Ramaël, en octobre 2007, mais la Chancellerie n'avait pas alors donné son accord pour diffusion.
m
1 octobre 2009 20:30
ça m'ettonerait qu'on les voit se presenter en france ou ailleurs !!!!!


wait and see !!!!
b
1 octobre 2009 22:30
Achaaci est mort non ???? perplexe
sdate madameLes douleurs légères s'expriment ; les grandes douleurs sont muettes.
m
1 octobre 2009 22:57
Citation
bent lablade a écrit:
Achaaci est mort non ???? perplexe

oui aachaachi est mort et kadiri aussi je pense !!
m
1 octobre 2009 23:33
plus de details :


AFP - Quatre mandats d'arrêts internationaux émis par la France et visant notamment le chef de la gendarmerie marocaine pour la disparition de l'opposant marocain Mehdi Ben Barka en 1965 à Paris, ont été diffusés par Interpol après accord du ministère de la Justice.

Ces mandats, signés par le juge parisien Patrick Ramaël le 22 octobre 2007 au premier jour d'une visite d'Etat de Nicolas Sarkozy au Maroc, ont été notifiés ces derniers jours par Interpol, selon une source proche du dossier.

Leur diffusion, via le Bureau central d'Interpol en France, fait suite à un récent feu vert du ministère français de la Justice, selon cette source.

Ils visent le général Hosni Benslimane, chef de la gendarmerie royale marocaine, le général Abdelhak Kadiri, ancien patron de la Direction générale des Etudes et de la Documentation (DGED, renseignements militaires), Miloud Tounsi, alias Larbi Chtouki, un membre présumé du commando marocain auteur de l'enlèvement, et Abdlehak Achaachi, agent du Cab 1, une unité secrète des services marocains.

"Ces mandats avaient été diffusés à l'époque sur le territoire national mais avaient été bloqués au niveau européen et mondial", a expliqué à l'AFP l'avocat de la famille Ben Barka, Me Maurice Buttin.

Leur diffusion a lieu alors que le ministre français de l'Intérieur Brice Hortefeux est revenu mardi d'une visite de trois jours au Maroc, où il s'est notamment entretenu avec son homologue Chakib Benmoussa.

Ces mandats d'arrêt ont été relayés par Interpol au niveau international sous forme d'"avis de recherche internationaux à des fins d'extradition", communément appelés "red notices".

Leur conséquence immédiate est que les personnes visées risquent l'arrestation dès qu'elles quittent le territoire marocain.

Jeudi soir, le gouvernement marocain n'avait pas réagi officiellement à cette information.

"C'est une surprise mais aussi une ancienne histoire qui revient à la surface chaque fois qu'une 'partie occulte' veut salir les relations excellentes entre le Maroc et la France", a toutefois déclaré à l'AFP une source proche du ministère de la Justice ayant requis l'anonymat.

"Nous nous demandons qui est derrière cette annonce, qui ressemble à celle diffusée en 2007", a ajouté une autre source, également proche du ministère de la Justice.

L'Association marocaine des Droits humains (AMDH) a pour sa part immédiatement appelé les autorités marocaines "à communiquer les informations en leur possession pour faire toute la lumière" sur cette affaire.

Le juge Ramaël avait émis au total cinq mandats d'arrêt en octobre 2007, mais le cinquième, visant un autre membre de Cab 1, n'a pas été relayé au niveau international en raison d'un problème de vérification d'identité, a confié une source proche du dossier.

Leur émission en 2007, en pleine visite de Nicolas Sarkozy au Maroc, avait plongé la délégation française dans l'embarras. Le président français s'était retranché derrière le principe d'une justice "indépendante".

Elle visait, selon Me Buttin, avocat de la famille depuis 44 ans, à "réveiller les esprits endormis" sur une affaire qui "fait partie des relations entre la France et le Maroc".

Ben Barka, chef de file de l'opposition marocaine en exil et figure emblématique du tiers-mondisme, a disparu le 29 octobre 1965 devant la brasserie Lipp à Paris, lors d'une opération menée par les services marocains du roi Hassan II avec la complicité de policiers et de truands français.

Cette affaire n'a jamais été totalement élucidée malgré deux instructions judiciaires: le corps de Ben Barka n'a toujours pas été retrouvé et les conditions de sa mort n'ont pas été établies.
b
1 octobre 2009 23:34
Citation
malak71 a écrit:
Citation
bent lablade a écrit:
Achaaci est mort non ???? perplexe

oui aachaachi est mort et kadiri aussi je pense !!

non wa9ila



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/10/09 23:52 par bent lablade.
sdate madameLes douleurs légères s'expriment ; les grandes douleurs sont muettes.
m
2 octobre 2009 11:29
Affaire Ben Barka: Interpol diffuse quatre mandats d'arrêt internationaux
De Matthieu RABECHAULT (AFP) – Il y a 16 heures

PARIS — Quatre mandats d'arrêts internationaux émis par la France et visant notamment le chef de la gendarmerie marocaine pour la disparition de l'opposant marocain Mehdi Ben Barka en 1965 à Paris, ont été diffusés par Interpol après accord du ministère de la Justice.

Ces mandats, signés par le juge parisien Patrick Ramaël le 22 octobre 2007 au premier jour d'une visite d'Etat de Nicolas Sarkozy au Maroc, ont été notifiés ces derniers jours par Interpol, selon une source proche du dossier.

Leur diffusion, via le Bureau central d'Interpol en France, fait suite à un récent feu vert du ministère français de la Justice, selon cette source.

Ils visent le général Hosni Benslimane, chef de la gendarmerie royale marocaine, le général Abdelhak Kadiri, ancien patron de la Direction générale des Etudes et de la Documentation (DGED, renseignements militaires), Miloud Tounsi, alias Larbi Chtouki, un membre présumé du commando marocain auteur de l'enlèvement, et Abdlehak Achaachi, agent du Cab 1, une unité secrète des services marocains.

"Ces mandats avaient été diffusés à l'époque sur le territoire national mais avaient été bloqués au niveau européen et mondial", a expliqué à l'AFP l'avocat de la famille Ben Barka, Me Maurice Buttin.

Leur diffusion a lieu alors que le ministre français de l'Intérieur Brice Hortefeux est revenu mardi d'une visite de trois jours au Maroc, où il s'est notamment entretenu avec son homologue Chakib Benmoussa.

Ces mandats d'arrêt ont été relayés par Interpol au niveau international sous forme d'"avis de recherche internationaux à des fins d'extradition", communément appelés "red notices".

Leur conséquence immédiate est que les personnes visées risquent l'arrestation dès qu'elles quittent le territoire marocain.

Jeudi soir, le gouvernement marocain n'avait pas réagi officiellement à cette information.

"C'est une surprise mais aussi une ancienne histoire qui revient à la surface chaque fois qu'une 'partie occulte' veut salir les relations excellentes entre le Maroc et la France", a toutefois déclaré à l'AFP une source proche du ministère de la Justice ayant requis l'anonymat.

"Nous nous demandons qui est derrière cette annonce, qui ressemble à celle diffusée en 2007", a ajouté une autre source, également proche du ministère de la Justice.

L'Association marocaine des Droits humains (AMDH) a pour sa part immédiatement appelé les autorités marocaines "à communiquer les informations en leur possession pour faire toute la lumière" sur cette affaire.

Le juge Ramaël avait émis au total cinq mandats d'arrêt en octobre 2007, mais le cinquième, visant un autre membre de Cab 1, n'a pas été relayé au niveau international en raison d'un problème de vérification d'identité, a confié une source proche du dossier.

Leur émission en 2007, en pleine visite de Nicolas Sarkozy au Maroc, avait plongé la délégation française dans l'embarras. Le président français s'était retranché derrière le principe d'une justice "indépendante".

Elle visait, selon Me Buttin, avocat de la famille depuis 44 ans, à "réveiller les esprits endormis" sur une affaire qui "fait partie des relations entre la France et le Maroc".

Ben Barka, chef de file de l'opposition marocaine en exil et figure emblématique du tiers-mondisme, a disparu le 29 octobre 1965 devant la brasserie Lipp à Paris, lors d'une opération menée par les services marocains du roi Hassan II avec la complicité de policiers et de truands français.

Cette affaire n'a jamais été totalement élucidée malgré deux instructions judiciaires: le corps de Ben Barka n'a toujours pas été retrouvé et les conditions de sa mort n'ont pas été établies.

Copyright © 2009 AFP. Tous droits réservés
m
2 octobre 2009 11:44
Citation
medina 1 a écrit:
Affaire Ben Barka: Interpol diffuse quatre mandats d'arrêt internationaux
De Matthieu RABECHAULT (AFP) – Il y a 16 heures

PARIS — Quatre mandats d'arrêts internationaux émis par la France et visant notamment le chef de la gendarmerie marocaine pour la disparition de l'opposant marocain Mehdi Ben Barka en 1965 à Paris, ont été diffusés par Interpol après accord du ministère de la Justice.

Ces mandats, signés par le juge parisien Patrick Ramaël le 22 octobre 2007 au premier jour d'une visite d'Etat de Nicolas Sarkozy au Maroc, ont été notifiés ces derniers jours par Interpol, selon une source proche du dossier.

Leur diffusion, via le Bureau central d'Interpol en France, fait suite à un récent feu vert du ministère français de la Justice, selon cette source.

Ils visent le général Hosni Benslimane, chef de la gendarmerie royale marocaine, le général Abdelhak Kadiri, ancien patron de la Direction générale des Etudes et de la Documentation (DGED, renseignements militaires), Miloud Tounsi, alias Larbi Chtouki, un membre présumé du commando marocain auteur de l'enlèvement, et Abdlehak Achaachi, agent du Cab 1, une unité secrète des services marocains.

"Ces mandats avaient été diffusés à l'époque sur le territoire national mais avaient été bloqués au niveau européen et mondial", a expliqué à l'AFP l'avocat de la famille Ben Barka, Me Maurice Buttin.

Leur diffusion a lieu alors que le ministre français de l'Intérieur Brice Hortefeux est revenu mardi d'une visite de trois jours au Maroc, où il s'est notamment entretenu avec son homologue Chakib Benmoussa.

Ces mandats d'arrêt ont été relayés par Interpol au niveau international sous forme d'"avis de recherche internationaux à des fins d'extradition", communément appelés "red notices".

Leur conséquence immédiate est que les personnes visées risquent l'arrestation dès qu'elles quittent le territoire marocain.

Jeudi soir, le gouvernement marocain n'avait pas réagi officiellement à cette information.

"C'est une surprise mais aussi une ancienne histoire qui revient à la surface chaque fois qu'une 'partie occulte' veut salir les relations excellentes entre le Maroc et la France", a toutefois déclaré à l'AFP une source proche du ministère de la Justice ayant requis l'anonymat.

"Nous nous demandons qui est derrière cette annonce, qui ressemble à celle diffusée en 2007", a ajouté une autre source, également proche du ministère de la Justice.

L'Association marocaine des Droits humains (AMDH) a pour sa part immédiatement appelé les autorités marocaines "à communiquer les informations en leur possession pour faire toute la lumière" sur cette affaire.

Le juge Ramaël avait émis au total cinq mandats d'arrêt en octobre 2007, mais le cinquième, visant un autre membre de Cab 1, n'a pas été relayé au niveau international en raison d'un problème de vérification d'identité, a confié une source proche du dossier.

Leur émission en 2007, en pleine visite de Nicolas Sarkozy au Maroc, avait plongé la délégation française dans l'embarras. Le président français s'était retranché derrière le principe d'une justice "indépendante".

Elle visait, selon Me Buttin, avocat de la famille depuis 44 ans, à "réveiller les esprits endormis" sur une affaire qui "fait partie des relations entre la France et le Maroc".

Ben Barka, chef de file de l'opposition marocaine en exil et figure emblématique du tiers-mondisme, a disparu le 29 octobre 1965 devant la brasserie Lipp à Paris, lors d'une opération menée par les services marocains du roi Hassan II avec la complicité de policiers et de truands français.

Cette affaire n'a jamais été totalement élucidée malgré deux instructions judiciaires: le corps de Ben Barka n'a toujours pas été retrouvé et les conditions de sa mort n'ont pas été établies.

Copyright © 2009 AFP. Tous droits réservés



Combien d'affaires n'ont jamais été élucidées ???!!! qui a tué coluche par exemple ??? qui a tué Kennedy ??Alors pourquoi celle ci ??? !!!Sans preuves !!!c'est juste pour divertir !!
t
2 octobre 2009 11:51
Ben barka etait kidnapé en France par des policier francais.
l
2 octobre 2009 15:50
et quand le fils ben barka dde l'ouverture du dossier à jospin qd il etait 1er ministre (car Hassan II etait mort), il lui a répondu que c secret d'état !

de plus à cette époque ben barka vivait au caire car la bas il etait protégé, en venant en france il ne s'imaginait pas que la france participait à la conspiration. et comme a dit telev, le kidnaping a eu lieu à paris, par des flics francias, soit disant un controle de routine et depuis on ne l'a plus jamais revu !

il lont livré comme une bete au général oufkir à l'époque, il l'ont torturé et tout cette barbarie a eu lieu en france !
z
2 octobre 2009 15:53
le chapeau
+++++++TANGER++++++++
j
2 octobre 2009 16:39
L'affaire Ben Barka apparaît à travers ce que l'on en sait comme une affaire mélant les services secrets français et marocains pour en savoir plus, ou se débarrasser de Ben Barka. Cette affaire a été sous traitée par une bande de pieds nikelés, appelés barbouzes et à la limite du délinquant professionnel.

Faut quand même voir aussi le contexte. Nos frères algériens, descendants des gaulois, devenus indépendants s'étaient promus irrésistibles leaders tiermondistes, et voulaient exporter leurs idées géniales vers leurs voisins opprimés.

De ce qu'il en transpirait à l'époque, Ben Barka, syndicaliste pas très en cours, était l'homme qui allait faire du Maroc un "pays démocratique" et un paradis socialiste à l'image de l'URSS et du grand frère algérien. Un coin de plus dans un bloc capitaliste qui allait se déliter petit à petit et disparaître dans ses propres contradictions.

Ah ces prophètes ! Qu'est-ce qu'ils sont aveugles et dangereux !
D
2 octobre 2009 17:56
Salamou Alykoum,


Ils sont marant eux, n'importe quoi, on a droit à cette histoire chaque fois que le Roi s'apprette à venir en visite officielle.

Pour le reste, ils pourront balancer autant de mandats qu'ils voudront, les prevenus diront toujours qu'ils ont recu leur ordre du big boss, et le big boss est actuellement résident dans un mausolée, tirou ila britou tirou. L'autre point, c'est que cet enlevement n'aurait jamais pu se faire sans que les francais ne soient au courant.
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
A
2 octobre 2009 18:59
" Hosni Benslimane, chef de la gendarmerie royale marocaine, le général Abdelhak Kadiri, ancien patron de la Direction générale des Etudes et de la Documentation (DGED, renseignements militaires), Miloud Tounsi, alias Larbi Chtouki, un membre présumé du commando marocain auteur de l'enlèvement, et Abdlehak Achaachi, agent du Cab 1, une unité secrète des services marocains. "


pauvres anges AngelAngelAngelAngel ou est la pétition de soutien qu'on la signe ...




llah yn3al lli mayhchem
2 octobre 2009 20:03
J'aimerais bien savoir ce qu'a déclaré M. Chabat , le maire de Fes, au sujet de benbarka.
à cause de ses déclarations, le maire de fes est poursuivi en justice. Selon certains, il aurait traité benbarka d'assassin et qu'il aurait même remis des documents justifiants sa position, à un membre de la CPI, de passage à fes ou meknes.
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
j
2 octobre 2009 21:37
Etant français pur porc, et bien entendu ami du Maroc éternel, l'affaire Ben Barka est une page d'histoire importante du Maroc contemporain. Ce n'est pas une simple affaire de droit commun. Elle rentre dans l'affrontement ouest-est communisme contre démocraties libérales. Hassan II a eu un règne extrêment difficile dans un contexte nternational très perturbé dans lequel l'idéologie communiste séduisait les élites intellectuelles des pays sous développés dont Ben Barka.

Maintenant on sait ce que les chantres de la démocratie dite socialiste, et du bonheur des peuples, ont été dans l'exercice du pouvoir et ce qu'ils ont fait de leur pays.

Prenons l'exemple de nos frères algériens qui avec un pays aussi développé que l'Espagne ont fait du socialisme réel. Bilan : formidable recul en arrière, important la quasi-totalité de leurs besoins alimentaires, coup de balancier en direction de l'islamisme radical geurre civile larvée.

Quant aux promoteurs marxistes de cette expérience lamentable, cap chez Mama França (pas rancunière) et pour la plupart supplétifs du facteur.

Je voudrais dire pour terminer que le Maroc l'a échappé belle, et qu'il reste le plus occidentalisé des peubles arabisés. Sur le plan de l'Histoire, la vraie, Hassan II restera un très grand dirigeant, malgré les douloureux dommages collatéraux que tout le monde connaît, et que l'on a mis en relief et traités avec beaucoup d'humanité.
h
2 octobre 2009 23:49
PARIS — Le parquet de Paris a demandé vendredi la suspension de la diffusion des quatre mandats d'arrêt visant des Marocains, notifiés il y a quelques jours, nouveau soubressaut dans l'enquête sur la disparition de l'opposant marocain Mehdi Ben Barka en 1965 à Paris.

Interpol, qui avait diffusé ces mandats il y a quelques jours après feu vert du ministère de la Justice, a demandé depuis des précisions, selon le parquet.

"Le parquet de Paris demande la suspension de la diffusion de ces mandats, dans l'attente des précisions demandées au juge d'instruction", a-t-il indiqué.

"Interpol a demandé des précisions afin de les rendre exécutables. Sans ces précisions ces mandats sont inexécutables", a-t-il précisé.

Ces mandats avaient été signés par le juge parisien Patrick Ramaël, chargé du dossier, en octobre 2007, au moment où Nicolas Sarkozy était en visite d'Etat au Maroc. Cette demande avait plongé la délégation française dans l'embarras.
assalam o alykoum
L
4 octobre 2009 16:54
Citation
Donatello a écrit:
le big boss est actuellement résident dans un mausolée, tirou ila britou tirou. L'autre point, c'est que cet enlevement n'aurait jamais pu se faire sans que les francais ne soient au courant.

un chose est certaine l'autre ne l'est pas a 100 pour 100 grinning smiley
 
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