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Banlieues, où sont les responsabilités ?
s
26 octobre 2006 23:50
Banlieues,


Il y a un an, les Français, stupéfaits, assistaient à la plus grande révolte que les cités aient connue : pendant trois semaines, les émeutes gagnèrent plus de deux cents villes, dix mille véhicules furent incendiés, onze mille policiers mobilisés.

Ce nouveau numéro de Manière de voir (1) revient sur ces événements, et, après les avoir analysés, traite successivement des deux « piliers » de la question des banlieues : la politique de la ville et celle de l’immigration.

Sans aucun rapport avec l’« intégrisme » ou le « choc des cultures », la révolte des banlieues, souligne Ignacio Ramonet, s’inscrit dans la « continuité de la longue histoire française ». Une histoire de luttes pour la reconnaissance de droits (au logement, à l’éducation, au travail, à la dignité), dont l’absence ou la négation provoque toujours la protestation des exclus.

Victimes d’un véritable apartheid social, mal logés, mal instruits, condamnés au chômage, soumis à d’incessantes humiliations policières, qui provoquent les émeutes qu’elles prétendent empêcher, les jeunes des banlieues, comme le montrent les analyses de Laurent Bonelli et Dominique Vidal, se battent non pas contre la République, mais au contraire pour que celle-ci mette fin à toutes les discriminations qui les frappent. Combat solitaire, que la gauche syndicale et politique n’a pas compris ni soutenu. Sourde, lorsqu’elle était au pouvoir, aux revendications des exclus, qu’elle a tenté, avec SOS-Racisme, d’exploiter à son seul avantage, elle n’a plus de crédit dans les banlieues, qui deviennent de ce fait, explique Abdellali Hajjat, des déserts politiques.

Banlieues au tissu social déchiré : à Gennevilliers, des quartiers entiers sont pris « dans la spirale du déclin » (Olivier Masclet), Sarcelles éclate en communautés (Akram B. Ellyas), Dreux symbolise l’incapacité des politiques à construire un projet d’intégration (Paul Moreira), et si, à Trappes, l’existence d’un fort mouvement associatif réduit les tensions, la violence sociale multiplie les exclus (Nicolas Truong).

S’il est de bon ton de célébrer la réussite de ces enfants de l’immigration devenus chanteurs, hommes d’affaires, préfets et même ministre, ne suggère-t-on pas, demande Mathieu Rigouste, que les autres – la majorité – restent une menace pour l’emploi, la paix sociale, la laïcité, et qu’il convient de rester vigilant ?

Réprimer : c’est la seule réponse que les politiques, d’hier et d’aujourd’hui, apportent à ceux qui exigent qu’on les respecte. Comme le souligne Gérard Noiriel, il n’existe pas de modèle français d’intégration : naturalisés en masse pour raisons démographiques et économiques après l’hécatombe de la première guerre mondiale, les ex-immigrés, devenus « Français de papier », ont dû se battre, comme les Français dits « de souche », pour acquérir un certain nombre de droits.

Même l’école, comme le rappellent Maurice Lemoine et Alain Gresh, n’est plus un ascenseur social – malgré les efforts de nombreux enseignants, elle n’insère pas, elle rejette. Sans parler du racisme, plus virulent que jamais, la politique actuelle tend à maintenir les immigrés et leurs enfants dans les marges les plus inconfortables et les plus humiliantes de la société française.
Articles fouillés,





(1)Manière de voir, no 89, « Banlieues. Trente ans d’histoire et de révoltes », octobre novembre 2006, 7 euros.
a
27 octobre 2006 00:10
la politique de la ville et celle de l’immigration

Ne sont pas les seuls critères pouvant être retenus afin d'expliquer "la crise des banlieues".

Notamment pas la politique de la ville.

Partiellement vrai en ce qui concerne la politique de l'immigration.

Il y a quand même, derrière ces deux politiques plus ou moins bien orientées et menées, un autre aspect -beaucoup plus fondamental à mes yeux- qui est celui de l'éducation.

Ne croyez-vous pas que la manière d'éduquer les enfants, dans une certaine optique dite traditionnelles et avec les insuffisances logiques des dits-parents, ne serait-elle pas beaucoup plus fondamentale?**

Croyez-vous que c'est vraiment un hasard si les filles isssues de l'immigration s'en sortent globalement beaucoup mieux -tant dans le secteur de la seul instruction d'une part et dans leurs relations sociales d'autre part (y compris sur le marché du travail) que les garçons.

Au-delà des discriminations extrinsèques n'y aurait-il aucune raison intrinsèque?
w
27 octobre 2006 01:31
a mon avis ta question sur la tradition ne veut rien dire car s'il connaissait la tradition on aurait jamais les actes inqualifiables dans lesquelles nous sommes entrain de faire face...par contre le manque d'education cela oui surement....on en reparlera 2main la il est tard...
a
27 octobre 2006 01:56
wlidi17,

Donc "Bonne nuit" et à plus.

Mais, avant que tu n'interprêtes mal mes propos, je vais préciser ce que je mets en cause avec le mot "traditions"... ce qui te permettras d'éventuellement me répondre en toute connaissance de cause.

Ici et maintenant, en l'occurence, par "traditions" je mets en cause les attitudes mentales et les comportements sociaux des parents (et singulièrement les mères mais aussi toutes les femmes de la parentèle) qui, dans la quasi totalité des cas, en sont encore à avoir des attitudes et comportements différents lorsque leur enfant est une fille ou un garçon.

Enfants les filles et les garçons ne sont pas considérés de la même façon comme si ils n'avaient pas le même potentiel de développement... par nature... alors que ce n'est que de l'ordre culturelm.

Aux garçons les mères, les pères, la parentèles, le clan, la tribu seront prêt à tout excuser, à tous pardonner, à tout comprendre "puisque c'est un mâle.

Aux filles il ne sera rien passé, rien pardonné mais tout exigé -surtout de la part des femmes de la famille (dont la mère) dans un premier temps (avant la puberté) puis ensuite de la part des mâles (père, frères, oncles, cousins, ou simples voisins) après la puberté.

Il se trouve que, à l'épreuve du temps, les parents ayant laissé leurs fils faire ce qu'ils voulaient ceux-ci sont devenus des rebelles à toutes autorités... y compris parentales...alors que les filles, beaucoup plus serrées, n'ont trouvé leur salut que dans la fuite vers les études et l'affirmation de soi avec les résultats maintenant constatables.

C'est donc bien le regard traditionnel des mères et des pères sur leur progéniture mâle qui a largement participé à l'exclusion de ceux-ci alors que les contraintes traditionnelles vis-à-vis des filles ont produits un autre effet... positif de mon point de vue.

Maintenant que je me suis expliqué... j'attends vos observations et objections.
L
27 octobre 2006 02:50
j'ai dis exactementla même chose dans un autre post sur la culture machiste, mais cela ne semblait pas sembler évident aux yabladinautes

npous sommes peut etre des zombis

le seul probléme si nous nous trompons c'est qu'il n'y a pas de comtre argumentation

mais à la culture machiste j'ai aussi d'autres<argument pour appuyer cela mais il ne faut pas etre réducteur , j'ai d'autresb raison que je n'ai jamais vue débattues, j'attend de voir déjà si ce point peut etre débatu pour avancer les autres raisons
s
27 octobre 2006 13:15
Des enfants filles ou garçons issu de « la nouvelle génération maghrébine », dont les parents sont analphabètes, qui ont eu un passage terrestre dans l’enfer des banlieues, s’en sortent, n’ont jamais volés, jamais agressé, jamais brûlé quoi que ce soit, sont inséré dans la société, lisent, élèvent bien leurs enfants, sont bien intégrés ………………….
Donc, il y a comme même un problème humain qui dépasse la soit disant responsabilité de l’état, de la société, de …………

Etre pauvre ne vous dispense pas d’être respectueux des personnes et des biens d’autrui.
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être propre
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être utile à soi même, à autrui et à sa société
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être digne, de se cultiver, de s’instruire et d’apporter de la plus value à sa personne.
Etre pauvre ne vous oblige pas à être délinquant et voyou.



Certes la misère est plus une misère intellectuelle, morale, une insoutenable légèreté de l’être, une défaillance des mécanismes de survie de l’individu elle aime la compagnie mais elle n’engendre que le néant.
Les conditions les plus difficiles de l’existence n’ont pas engendrer que des sous hommes , violents et dangereux ;
a
27 octobre 2006 15:56
Les " Maux" qui font mal.
Ce n'est que mon simple avis.

Durant pratiquement trois décennies, le pouvoir en place a injecté artificiellement des "Sous" dans des me surettes et des programmes soit disant d'intégration/insertion et aides en tous genres.
Le résultat, est que cette manne financière donnait bonne conscience permettait de calmer les esprits et gérer tranquillement la crise.
Or loin de calmer les esprits, cette politique a aiguisé les appetits d'un certain nombre d'opportunistes ou d'inconscients.
On achète pas le silence en attendant une nouvelle législature, on ne créée pas une inflation de la sorte en jetant l'argent par les fenêtres sans un retour de bâton.

L'argent ainsi distribué sans des objectifs précis, régulés et contrôlés, ne peut déboucher sur des lendemains qui chantent.

Les plus déshérités et les banlieues ne peuvent absorber cette poudre aux yeux indéfiniment.
Ni les responsables inconscients, naïfs où peut être trop bons pour être honnêtes, ni les bénéficiaires de cette manne financière n'ont vraiment calculé les méfaits de cette politique.

Les responsables politiques récoltent maintenant ce qu'ils on semé.
Les bénéficiaires devenus de véritables assistés ont délapidés l'argent pour les biens personnels.
Beaucoup de responsables d'associations qui fleurissent opportunément ont bien négocié les détournements d'argent laissant la jeunesse livrée à elle même.
Les aides octroyées aux familles sans véritables contrôles ont été investies dans des maisons et appartements au Bled alors que cet argent devait servir en premier à l'éducation des enfants et aux besoins des enfants.

Le résulta est là, pas mal d'associations heureusement pas la majorité entre les mains de véritables magouilleurs et des enfants livrés à eux mêmes .



Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/10/06 19:35 par azl95.
d
27 octobre 2006 16:43
(il faut être une fille pour comprendre la subtilité de l'éducation et les différences de traitement entre filles et garçons dans nos familles maghrébines et musulmanes, on laisse aux garçons le champ libre (souvent) ce n'est pas une généralité, les garçons élevés au sein de famille ou il y a plus de filles ont une sensibilité différente (ce que j'ai remarqué), de toute façon les hommes sont ce que nous en faisons (nous les femmes, les mères), il y a effectivement une différence de traitement ce que j'ai ressenti en tant que fille, et ce que je ressens en tant que mère (je fais en sorte d'être le plus équitable possible avec ma fille et mon fils). Les pères finissent en général par être heureux d'avoir des filles, car elles s'impliquent et prennent en charge pas mal de choses. Elles sont respectables pour tellement de raisons.)

voilà ce que j'ai dis dans un autre poste, ce qui rejoint ce que tu penses à propos de l'éducation différente selon si on est une fille ou un garçon. on peut trouver dans ce contexte les sources de ces dérapages, mais il faut aller plus loin.
les garçons par pudeur, et respect de leurs familles, se retrouvent par obligation dehors entre garçons, ils ne peuvent recevoir chez eux, du coup la rue devient une extention du domaine familial, l'effet de groupe amplifie toujours les réactions des garçons, pris individuellement ils se révélent être vraiment gentils, mais il y a tjrs des brebis galeuses, qui font n'importe quoi, leur malaise peut avoir comme origine la rage qui s'est accumulé d'avoir vu leurs parents adopter une attitude de soumission vis à vis de l'administration, et de toutes les contraintes subies, alors ils se vengent de la sorte, leur malaise peut provenir du désoeuvrement, d'un problème de projection vers le futur, car même pour ceux qui sont bien installés, l'avenir semble assez terne, on doit s'adapter sans cesse. Rien n'excuse les incivilités, rien n'excuse qu'on s'en prenne aux bus, aux voitures, c'est presque de la lacheté, autant revendiquer autrement, intelligemment. l'éducation bien sur a un rôle important à jouer, mais je crois que l'environnement dans lequel ils vivent est malsain, ils sont entre eux, ils sont très sectaires, la curiosité n'est pas leur fort, même vis à vis de leur pote "blanc" ou "gaulois", c'est triste.
Il faut calmer les dérapages la police ne cherche que ça, les jeune ont envie d'etre entendus comme des citoyens à part entière,leurs réactions sont vraiment un appel au secours, que sarko et ses journalistes arrêtent d'aller faire leur show pour l'audimat, un acte isolé et toute la banlieue trinque,
les bavures policières sont à pointer du doigt aussi. ils sont pas neutres.
l
27 octobre 2006 17:44
Citation
souheil a écrit:
Des enfants filles ou garçons issu de « la nouvelle génération maghrébine », dont les parents sont analphabètes, qui ont eu un passage terrestre dans l’enfer des banlieues, s’en sortent, n’ont jamais volés, jamais agressé, jamais brûlé quoi que ce soit, sont inséré dans la société, lisent, élèvent bien leurs enfants, sont bien intégrés ………………….
Donc, il y a comme même un problème humain qui dépasse la soit disant responsabilité de l’état, de la société, de …………

Etre pauvre ne vous dispense pas d’être respectueux des personnes et des biens d’autrui.
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être propre
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être utile à soi même, à autrui et à sa société
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être digne, de se cultiver, de s’instruire et d’apporter de la plus value à sa personne.
Etre pauvre ne vous oblige pas à être délinquant et voyou.



Certes la misère est plus une misère intellectuelle, morale, une insoutenable légèreté de l’être, une défaillance des mécanismes de survie de l’individu elle aime la compagnie mais elle n’engendre que le néant.
Les conditions les plus difficiles de l’existence n’ont pas engendrer que des sous hommes , violents et dangereux ;


desole mais partout ou on entasse des gens à faibles revenus, il y a de la delinquance, de la violence. que ce soit à rio, new york, johannesburg, paris ou berlin.
elle peut prendre plusieurs formes. mais elle est bien là. ça peut donner le phenomene hooligan en angletterre ou des emeutes dans la banlieue parisienne. alors oui, certains s'en sortent tres bien malgre tout ça. on salue ces exemples car justement on s'attend plutot au contraire.
certains reussissent tres buien dans des ecoles vetustes ou les classes sont surchargées. est ce une raison pour dire que la reussite ne depend que de chacun et eviter ainsi de s'attaquer aux causes?
tout cela est prevu, fait l'objet d'etudes. on sait tres bien qu'un plan social impliquant le licenciement de X personnes donnera un nombre Y de suicides, de divorces, d'alcoolisme...etc
les suicides dans le monde rural du fait du laminage de la paysannerie par l'agriculture industrielle avaient eux aussi été estimés.
idem pour les banieus. de nombreux rapports mettaient en exergue le delitement de certains quartiers et prevoyaient une explosion.
O
27 octobre 2006 18:17
Citation
a écrit:
Ne croyez-vous pas que la manière d'éduquer les enfants, dans une certaine optique dite traditionnelles et avec les insuffisances logiques des dits-parents, ne serait-elle pas beaucoup plus fondamentale?**


Merci , merci , merci .

Faites des exercices avec vos enfants , et pendant les vacances d ete , mettez les dans des camps de vacances ou des endroits ou ils apprennent un sport ou autres activites culturels , et vous aurez des enfants brillants .

Laissez les jouer dans la rue et la cite , et vous aurez une joli surprise !
p
27 octobre 2006 18:33
la demission de l'etat, la demission de certains parents, et surtout la recuperation politique et mediatique.
S
27 octobre 2006 22:35
Citation
souheil a écrit:
Des enfants filles ou garçons issu de « la nouvelle génération maghrébine », dont les parents sont analphabètes, qui ont eu un passage terrestre dans l’enfer des banlieues, s’en sortent, n’ont jamais volés, jamais agressé, jamais brûlé quoi que ce soit, sont inséré dans la société, lisent, élèvent bien leurs enfants, sont bien intégrés ………………….
Donc, il y a comme même un problème humain qui dépasse la soit disant responsabilité de l’état, de la société, de …………

Etre pauvre ne vous dispense pas d’être respectueux des personnes et des biens d’autrui.
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être propre
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être utile à soi même, à autrui et à sa société
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être digne, de se cultiver, de s’instruire et d’apporter de la plus value à sa personne.
Etre pauvre ne vous oblige pas à être délinquant et voyou.






Certes la misère est plus une misère intellectuelle, morale, une insoutenable légèreté de l’être, une défaillance des mécanismes de survie de l’individu elle aime la compagnie mais elle n’engendre que le néant.
Les conditions les plus difficiles de l’existence n’ont pas engendrer que des sous hommes , violents et dangereux ;


ETRE PAUVRE NE VOUS DISPENSE PAS DE VOUS REVOLTER
ETRE PAUVRE NE vOUS OBLIGE PAS A VOUS SOUMETTRE...
ET A VOUS ECRASEZ ET A VOUS PROSTERNEZ...
DONC ETRE PAUVRE VOUS OBLIGE A VOUS REVOLTER...
ET A VOUS LIBERER DE VOS CHAINES, DE VOTRE MISERE ET DE VOTRE EXPLOITATION !!!
p
27 octobre 2006 23:50
Citation
Sanrival a écrit:
Citation
souheil a écrit:
Des enfants filles ou garçons issu de « la nouvelle génération maghrébine », dont les parents sont analphabètes, qui ont eu un passage terrestre dans l’enfer des banlieues, s’en sortent, n’ont jamais volés, jamais agressé, jamais brûlé quoi que ce soit, sont inséré dans la société, lisent, élèvent bien leurs enfants, sont bien intégrés ………………….
Donc, il y a comme même un problème humain qui dépasse la soit disant responsabilité de l’état, de la société, de …………

Etre pauvre ne vous dispense pas d’être respectueux des personnes et des biens d’autrui.
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être propre
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être utile à soi même, à autrui et à sa société
Etre pauvre ne vous dispense pas d’être digne, de se cultiver, de s’instruire et d’apporter de la plus value à sa personne.
Etre pauvre ne vous oblige pas à être délinquant et voyou.




PAS EN BRULANT DES AUTOBUS, certes c'est triste et dommageable la situation en banlieue mais ce qu'ils font ne sert pas leur interet bien au contraire
la revolte passe aussi par l'instruction et le respect!




Certes la misère est plus une misère intellectuelle, morale, une insoutenable légèreté de l’être, une défaillance des mécanismes de survie de l’individu elle aime la compagnie mais elle n’engendre que le néant.
Les conditions les plus difficiles de l’existence n’ont pas engendrer que des sous hommes , violents et dangereux ;


ETRE PAUVRE NE VOUS DISPENSE PAS DE VOUS REVOLTER
ETRE PAUVRE NE vOUS OBLIGE PAS A VOUS SOUMETTRE...
ET A VOUS ECRASEZ ET A VOUS PROSTERNEZ...
DONC ETRE PAUVRE VOUS OBLIGE A VOUS REVOLTER...
ET A VOUS LIBERER DE VOS CHAINES, DE VOTRE MISERE ET DE VOTRE EXPLOITATION !!!
p
28 octobre 2006 00:00
c'est ca ce qu je voulais dire, lol c'est tardsleeping



PAS EN BRULANT DES AUTOBUS, certes c'est triste et dommageable la situation en banlieue mais ce qu'ils font ne sert pas leur interet bien au contraire
la revolte passe aussi par l'instruction et le respect!
s
28 octobre 2006 00:07
Crise des banlieues parisiennes
Azouz Begag, un ministre en colère


Azouz Begag :


« Il n’y a rien à célébrer. Célébrer 13 000 voitures volées ? Des écoles incendiées ? La violence ?. »


« Quand je me suis opposé à une sémantique que j’ai qualifiée de guerrière, d’aucuns ont dit que j’étais téléguidé. » Il martèle que l’égalité des chances ce n’est pas l’intégration. « Depuis 1975, on nous remplit la tête de ce concept creux d’intégration. »


Et aussi : « Je veux que cette égalité des chances soit une exigence personnelle. La nouvelle mentalité que nous sommes en train d’installer depuis 8 mois, c’est que chaque personne qui a le sentiment d’être dans une inégalité se dise : ‘‘Pourquoi pas moi’’, et non ‘‘ce n’est pas pour moi’’.



[www.elwatan.com]
s
28 octobre 2006 00:09
Citation
LEILA170175 a écrit:
c'est ca ce qu je voulais dire, lol c'est tardsleeping



PAS EN BRULANT DES AUTOBUS, certes c'est triste et dommageable la situation en banlieue mais ce qu'ils font ne sert pas leur interet bien au contraire
la revolte passe aussi par l'instruction et le respect!


lol,
p
28 octobre 2006 09:46
Et aussi : « Je veux que cette égalité des chances soit une exigence personnelle. La nouvelle mentalité que nous sommes en train d’installer depuis 8 mois, c’est que chaque personne qui a le sentiment d’être dans une inégalité se dise : ‘‘Pourquoi pas moi’’, et non ‘‘ce n’est pas pour moi’’.



[www.elwatan.com][/color][/b][/quote]


c'est ce que je me suis demandee en choisissant mon metier et maintenant tout ce passe super bien !!
s
28 octobre 2006 10:48
Citation
a écrit:
LEILA170175:

c'est ce que je me suis demandee en choisissant mon metier et maintenant tout ce passe super bien !!




C’est à ton honneur et quelle fierté de te compter parmi les « non assistés » qui se réveillent tôt.
p
28 octobre 2006 11:27
ce que j ai compris et vu en faisant ce metier particulier, c'est que des "assistes intellectuels,pecuniers..." yen a partout . c'est plus dur de penser par soi meme et de se debrouiller seul !l'humanite va plus facilement vers ce qui est plus facile
D
28 octobre 2006 13:05
Si les banlieues françaises explosent, ce sera pire que les émeutes américaines des années 60 et 90 !


Jusqu'ici tout va bien !
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ... Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
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