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Salam,

Citation
a écrit:
mardi 19 septembre 2006, 12h16
Borloo prédit une "baisse sensible" de l'immobilier en France d'ici 2-3 ans


PARIS (AFP) - Le ministre du Logement et de la Cohésion sociale Jean-Louis Borloo a affirmé mardi qu'il y aurait une "baisse sensible" des prix de l'immobilier en France d'ici deux ou trois ans, due notamment à l'augmentation de l'offre de logement.
"Il y aura une baisse sensible des prix", a dit le ministre en marge d'une audition à l'Assemblée nationale, affirmant que l'on allait "revenir à un marché normal".

"Nous sommes en train de desserrer l'étau" grâce aux constructions de logement, a déclaré le ministre, ajoutant que les baisses bénéficieraient à "tout le monde", à l'exception de quelques "micro-marchés".

Selon un document du ministère, "la relance de la construction (410.000 logements mis en chantier en 2005, près de 430.000 sur les 12 derniers mois contre 310.000 en 2002) porte ses fruits".

"Les prix à la vente sont désormais à la baisse et la hausse des loyers constatée en 2006 est la plus faible enregistrée depuis 1999", ajoute le document.

Concernant les loyers, le ministère décèle un "ralentissement de la hausse" avec des baisses dans certaines régions.

"Il y a une idée fausse dans ce pays, c'est +le foncier, le foncier, le foncier+, nous sommes le pays le moins dense d'Europe, c'était des prétextes" pour ne pas construire, s'est enflammé le ministre.

"Nous ne sommes pas la Hollande ou Hong Kong, nous pouvons décider demain matin de faire tout le foncier que l'on veut, tout le monde était ravi que personne ne bouge et tout allait bien", a-t-il ajouté.

"Nous allons revenir à des prix normaux, des prix belges, des prix allemands", a-t-il prédit. "Il y aura toujours des micro-marchés, comme Megève", selon lui.

Les prix à Paris, emblématiques des difficultés de certains Français à se loger, sont "très liés à l'Ile-de-France", selon le ministre.

"Nous avons émis 18.500 permis de construire sur l'Ile-de-France, nous étions avant à 11.000, et 7.000 d'écart pendant cinq ans, ça fait une grosse différence", a-t-il ajouté.

sé siper !!

mais d'un autre coté , le taux d'un crédit va grimpa, il est au alentour de 4 % ojourd'hui

il sera de 6,7,8 voir 10% dans kelke temps

donc au final , sé le serpend ki se miammm miamm la queue

Salam,


Ca veut dire qu'au final il vaut mieux economiser, des maintenant voire depuis avant maintenant (tm)

C'est pour ça que mon proprio est pressé de vendre l'appart que j'occupe, c'est ce que m'a dit mon agence.

et pour ceux qui on deja achetée vendez vendez et si Jean-Louis sait tremper pendez-vous pendez-vous

Salam,


Y a plusieur variable qui laissent penser que les prix vont baisser, tout d'abord la hausse des taux d'interets, le fait que beaucoups de personne mettent en vente leurs bien à vendre, et comme l'a souligné le minsitre, l'offre immobiliere, je sais pas pour vous, mais ici y a des chantier à la pelle.

Donc forcement la bulle immo va se degonfler, jusqu'ou, on verra ca. Certains prevoient ça pour fin 2006 debut 2007.

Peut tu me donner le lien de l'article stp

Cidessous, un article tiré de explorimmo.com sur la baisse à venir des prix du logement (date du 5/10/06). Mais le probléme restera les taux d'intérêt qui vont grimper, hélas !!

Prix de l'ancien : atterrissage en vue pour 2007
Un recul des prix de 4% l’an prochain, tel est le scénario le plus probable d’après les expert du Bipe -cabinet d’étude économique, et du courtier Empruntis.
Ces spécialistes considèrent, en effet, que la fin du cycle de hausse des prix de l’immobilier est arrivé. «Si les prix ne bougent plus d’ici décembre 2006, la hausse serait de l’ordre de 6% pour 2006 », calculent-ils.
Leur prévisions pour 2007 : une érosion de la cote du mètre carré dû à un recul de la demande. «Les taux sont un peu plus élevés qu’il y a un an, les apports personnels remontent pour les populations considérées comme à risque et l’on assiste dans l’ensemble des établissement à une sélectivité croissance des dossiers », observe Geoffroy Bragadir, directeur général d’Empruntis. Outre le durcissement des conditions d’emprunt des acheteurs, et l’érosion du pouvoir d’achat des Français, ils s’appuient sur des données démographiques. Le boom des séniors entre 2005 et 2010 pourrait entraîner de fortes vente en Ile-de-France, ces derniers optant pour la province pour leur retraite.

Antoine Forest © explorimmo.com 02/10/2006

Enfin, il était temps!!
meme si la baisse ne sera pas flagrante dans les 1ers temps, au moins les prix cesseront-ils d'augmenter

C'est impossible de se loger sur Paris, c'est affolant,
à moins d'etre en CDI ou fonctionnaire et de gagner beeeeeaucoup d'argent (ce qui est rarement compatible avc la fonction publique, lol!)

Ca fait des mois que je fais le PAP tous les jeudi, ça fait deux ans que j'aimerais changer d'appart, et malgré mes belles fiches de paie, ma tchache et mon LocaPass, ça ne marche pas
Voilà un exemple d'annonce:

75) PARIS 5e 1 pièces
De Particulier à Particulier (annonce nouvelle du 05 octobre)

Métro Cardinal Lemoine. Proche Jussieu, Louis Le Grand et Henri IV. Au 6e, ascenseur, gardienne. Studette 12 m2, refaite à neuf, douche + wc, lit-bureau, rangements. Caution demandée. 500 € (3.279,79 F)/mois + 35 € (229,58 F) provision charges. 06.21.XXXXXX


+ de 3000 francs par mois pour une chambre de 12m², ils se touchent!!!!

Une autre:

(75) PARIS 11e 1 pièces
De Particulier à Particulier (annonce nouvelle du 05 octobre)

Bastille. Studio 18,5 m2. Dans résidence privée. Immeuble récent 1998. Près rue de la Roquette et Faubourg St-Antoine. Studio au rez-de-chaussée, cuisinette équipée, salle de bains. 600 € (3.935,74 F)/mois provision charges comprise. 06.XXXXX

600€ pour ce quartier, c'est vraiment ABUSER (zahma bastille, en vrai rue de la Roquette ---> le quartier où je bosse, et je puis dire que ça craint)

une dernière:

75) PARIS 6e 1 pièces
De Particulier à Particulier (annonce nouvelle du 05 octobre)

Proche Jardin du Luxembourg. Métros Odéon ou Mabillon. Chambre meublée 11 m2, au 5e ascenseur sur jardin, coin-cuisine, douche, wc palier. Chauffage individuel électrique. Porte blindée. Libre. 600 € (3.935,74 F)/mois charges comprises. 01.43.XXXde 17 h à 18 h.

Celle là, elle est wa3la: le pire, c'est qu'il y a forcément une personne déespérée qui va la prendre. 600€ pour 11 m² et les TOILETTES SUR LE PALIER !!

allez faire un tour sur le PAP , y'en a des tonnes

Salam aalikoum



soyons logique


une baisse serait quasi impossible

pour une raison simple, la demande


ya trop de demande et pas assez d'offre donc forcemment les prix ne baisseront pas


à la rigueur il vont baisser, mais les taux augmenteront

les taux agissent comme des tampons

Salam,


Une baisse est illogique surtout en matiere d'immobilier, mais ca peut tres bien arriver, d'ailleurs ca commence aux USA, etant donnée un taux d'endettement elevé ainsi qu'une longue periode de remboursement (30 ans en moyenne), les familles de classe moyenne ultra-endetté, doutent, et vendent leur bien parfois à perte, puisque l'offre à grimpé, mais la demande ne repond plus, à cause de ce doute persistant.

En France c'est ce qui risque d'arriver, avec des taux d'interets qui grimpent, 30 ans de credits, ce sont des facteurs qui vont ralentir cette demande.

salam alikoum

je pense que c' du pipo, l'immo ne peut pas baisser en revanche il peut stagner

sinon ça voudrait dire que les personnes qui ont acheté l'année dernière et qui veulent revendre vont vendre à perte!!!!

Citation
danadana a écrit:
salam alikoum

je pense que c' du pipo, l'immo ne peut pas baisser en revanche il peut stagner

sinon ça voudrait dire que les personnes qui ont acheté l'année dernière et qui veulent revendre vont vendre à perte!!!!

Salam,

ca serait le cas, et c'est deja le cas dans certaine ville aux USA. la bulle immobiliere se degonfle.

Citation
Donatello a écrit:

Citation
danadana a écrit:
salam alikoum

je pense que c' du pipo, l'immo ne peut pas baisser en revanche il peut stagner

sinon ça voudrait dire que les personnes qui ont acheté l'année dernière et qui veulent revendre vont vendre à perte!!!!

Salam,

ca serait le cas, et c'est deja le cas dans certaine ville aux USA. la bulle immobiliere se degonfle.

vraiment de l'arnaque, il devrait baisser les impôts locaux pour commencer, une baisse de 30% serait le bien venu pour commencer

Citation
danadana a écrit:
vraiment de l'arnaque, il devrait baisser les impôts locaux pour commencer, une baisse de 30% serait le bien venu pour commencer

Salam,

le probleme c'est qu'il y a des risque financier, imagine que des promoteurs immo, ont cclaqué par millions pour des projets immo, histoire de profiter de l'embellie, et qui à cause de la remontée des taux, de la baisse de la demande, ils se retrouve à la rue, avec à la clé des chomeurs.

Pour les impots locaux, faudra faire jouer cette variable lors des prochaine election municipale en 2008 inchallah.

Citation
Donatello a écrit:
Donc forcement la bulle immo va se degonfler, jusqu'ou, on verra ca. Certains prevoient ça pour fin 2006 debut 2007.

qui t'as dis qu'il y'a une bulle?


mon memoire de licence ( qui date de 2005) concerné l'etude de " la bulle immoblière"..., et voila une parcelle de ma conclusion...


Nous avons etudié la spécificité d'une bulle à travers une etudes analytique afin d'expliquer sa caracteritique, nous avons egalement exposé les differents tests permettant d'identifier l'hypotheses de bulle. Il faut toutefois insister sur le terme "d'hypothese", car l'identification d'une bulle de rèvèle etre complexe lorsque l'on soupçone qu'elle est en train se se former;
En effet, le propre d'une bulle est generalement d'etre décelé une fois qu'ell a éclatée. Celle ci peut se degongler soit lentement soit par un krach.
En France, la hausse des pris ininterrompue depuis 1998 dans le marché de l'immo fait resurgir l'interrogation sur une éventuelle formation de la bulle immo.
A travers des etudes de l'INSEE nous avons pu constater cette hausses des prix et les determinants responsables de son existence.
D'apres les dernieres nouvelles il semblerai qu'on pourrait rejeter l'hypo de la formation d'une bulle immoblière sur le marché actuel, comme nous l'avons vu dans la derniere note de conjoncture de l'INSEE qui specifie neanmoins que leurs conclusions ne préjugent en rien l'evo future des prix des prix immobiliers. L'autres analyse que nous avons prise en consideration est celle de la FNAIM, qui a montré que la croissance des prix ralentit, et donc un atterissage en douceur.

l'existence de la bulle n'est pas garantit, il pourrait s'agir d'une situation où les prix sont volatils. Du moins, si la poussée des prix en cours de la derniere decennis a été impressionante, elle n'as toujours pas entrainé l'apparition d'une bulle.


source: Moi



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/10/06 18:06 par joliedounia.

Salam,

merci pour lton cours Dounia, mais l'on peut tres bien parler de mouvement speculatif, ainsi qu'une accentuation de la demande, qui cree ce mouvement "inflationiste" dans l'immobilier. Ceci sans parler de smouvement speculatif.

Voici une analyse de Eric Boucher ,journaliste economiste au Monde:
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La fête immobilière est finie, par Eric Le Boucher
LE MONDE | 07.10.06
Eteignez les lampions. Aux Etats-Unis, les ventes de maisons neuves ont chuté de 17 % par rapport à la même période de 2005 et celles de maisons anciennes de 12 %. Le stock des propriétés à vendre est en hausse de 60 %. Selon l'Association nationale des promoteurs, les prix sont en recul de 1,7 % sur un an. Et beaucoup redoutent le pire, comme l'économiste Nouriel Roubini, qui prévoit un ajustement de 20 % des prix de vente (www.rgemonitor.com). Quelques indices d'août sont un peu meilleurs, mais, pour Ben Bernanke, le président de la Federal Reserve, "la correction est sévère". Ailleurs dans le monde, on n'observe encore qu'un ralentissement des hausses. Le mètre carré a gagné 4,5 % sur un an en France, mais seulement 0,1 % au troisième trimestre. La fièvre était mondiale ; le retour au calme, sinon la baisse, sera mondial.
De 1950 à 1995, le prix des logements a évolué en moyenne au même rythme que les autres produits et services. Depuis cette date, le mètre carré a gagné 150 % hors inflation aux Etats-Unis. En Grande-Bretagne et en Espagne, les prix d'achat moyen des logements ont été multipliés par trois. En France, le mètre carré, à Paris comme en province, a plus que doublé.

Cette flambée avait alarmé certaines autorités. Alan Greenspan, alors président de la Federal Reserve, avait parlé au printemps 2005 de "mousse", euphémisme qui voulait dire bulle spéculative. La "mousse" a pourtant continué de s'épandre. Le prix moyen a gagné 13,6 % de 2004 à 2005 aux Etats-Unis dans leur ensemble, mais 52 % à Las Vegas, 20 % à Washington ! A Londres, un tassement était observé quelques mois, avant un rebond. En France, les acquéreurs devaient signer un chèque plus lourd de 10 %.

La hausse s'est nourrie de plusieurs facteurs cumulatifs. 1. La bonne tenue de l'économie. La croissance a été forte dans le monde, et dans le monde anglo-saxon en particulier (la faiblesse de la Vieille Europe a été une exception). 2. La démographie positive, soit du fait de l'immigration (Etats-Unis, Grande-Bretagne), soit du fait de la multiplication du nombre de ménages à cause des divorces. 3. L'argent pas cher. Les emprunts ont été facilités par des taux "historiquement bas" et par l'ingéniosité des banquiers, qui proposent l'allongements des durées de remboursement et des commodités de paiement. 4. La Bourse hésitante. Marquée par des chutes, comme en 2000, elle est regardée comme un investissement moins attractif que la pierre. 5. La demande étrangère, qui a renforcé les déséquilibres du marché. Les capitaux sont venus du Nord vers le soleil du Sud, d'Asie ou du golfe Persique, sous forme privée ou sous forme de fonds de placement, très actifs.

La fête est finie. La question est de mesurer les conséquences macroéconomique de la dissipation de la "mousse". La réponse partage radicalement les économistes. Goldman Sachs rappelle que l'immobilier a contribué pour 1 % par an à la croissance américaine de 2003 à 2005. Le recul pourrait donc, en retour, supprimer maintenant un point de PIB par an. Certains pensent que le prix à payer sera plus élevé. Pour les économistes de la banque HSBC, les Etats des deux côtes, est et ouest, et la capitale fédérale ont des prix surévalués de 35-40 %. La fonte de cette survaleur représenterait une déflation de 6 000 milliards de dollars ! Les conséquences pourraient être brutales. Mais d'autres économistes soulignent que les banques ont pris des garanties, que le pétrole recule et que les salaires, en forte hausse, vont prendre le relais du "contre-effet richesse" de l'immobilier pour maintenir la consommation des ménages. Quant aux entreprises, elles ont assez de moyens pour s'immuniser dans une crise immobilière, hormis celles du BTP, directement concernées.

Bref, la croissance est devenue plus équilibrée en 2006. La récession pourrait être évitée, et cette expansion maintenue permettrait à son tour de lisser la correction immobilière. L'économie américaine, qui aura encore galopé au rythme de 3,6 % cette année, reviendrait à 1,9 % en 2007 selon la banque HSBC et à 2,5 % selon Ixis.

Et quid en Europe des prix immobiliers ? Outre-Manche, le fléchissement observé il y a un peu plus d'un an a été suivi d'un rebond. Une redescente est possible, mais, au total, le scénario qui se dessine est celui d'un atterrissage en douceur. En France, les spécialistes font le même pari. Pas de chute, sauf exceptions, sur certains biens, dans certains lieux. En Espagne, aucun signe de repli n'est en vue pour l'instant. L'investissement résidentiel reste très puissant et les prix sur un an ont gagné encore 10 %.

Mais, à moyen terme, on peut penser que quatre des cinq causes de la hausse susmentionnées vont s'inverser. L'argent devient plus cher, la Bourse repart. Surtout, le vieillissement va jouer négativement. Les baby-boomers qui se sont pressés hier pour acheter une maison au soleil pour leur retraite vont changer d'objectif et penser à leur santé, bref les revendre pour acquérir des logements en ville, voire médicalisés. Les acheteurs, les actifs sont, eux, en nombre qui va diminuant. Le marché immobilier pourrait s'installer sur une tendance baissière, comme au Japon ou dans les années 1970 lors du départ des baby-boomers de l'après-14-18.


Eric Le Boucher
Article paru dans l'édition du 08.10.06

Citation
danadana a écrit:
salam alikoum

je pense que c' du pipo, l'immo ne peut pas baisser en revanche il peut stagner

sinon ça voudrait dire que les personnes qui ont acheté l'année dernière et qui veulent revendre vont vendre à perte!!!!

je peux te dire que deja, dazns certaines villes du sud ouest, certains ont beaucoup de mal à revendre auxs prix d'achat. et vu le nombre de chantiers en cours du fait des lois favorisant les placements dans la constructions, ça va continuer. tant mieux. un truc quand meme, les maisons de campagne, cibles des anglais et hollandais continuent de monter.