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Le "baiseness" de l'amour
l
20 janvier 2011 15:38
C'était un des sujets du magazine Enquête exclusive hier soir. Ca se passait en Tunisie mais ça concerne aussi d'autres pays comme la République dominicaine, le Maroc. Il y a encore des femmes qui sont trop naives pour croire ces hommes.


" En cette fin d’après-midi, à Ouarzazate, ville du sud du Maroc très prisée des touristes, deux à trois douzaines d’hommes devisent dans le petit café qui jouxte l’Hôtel Royal. Parmi eux, un groupe se détache. Ils sont jeunes et beaux. Certains, à la manière touareg, portent une gandoura blanche et un chèche bleue, d’autres arborent vêtements branchés et lunettes de soleil griffées. Ils sont réunis là pour débattre de leurs stratégies de conquête. Et surtout pour repérer et jauger de nouvelles clientes dont ils parlent, confie un autochtone, comme de bétail.

En Afrique du Nord, l’activité de ces hommes est tout simplement appelée «bezness». Entre Djerba et Agadir, tout le monde sait ce que ce terme désigne: faire miroiter l’amour à des touristes, femmes ou homosexuels, afin d’en obtenir un soutien financier ou une invitation pour l’Europe. Sur place, les hommes qui font du «bezness» sont méprisés mais aussi, souvent, enviés, un peu comme les vendeurs de bazar, qui arrivent à gagner bien plus d’argent qu’un professeur

[www.femina.ch]
l
20 janvier 2011 15:52
Là où il y a de la demande, il y a de l'offre.

Dans des pays où m^me les soins ne sont pas accessible à tous, c'est presque "humain".
W
20 janvier 2011 15:55
Citation
louise a écrit:
C'était un des sujets du magazine Enquête exclusive hier soir. Ca se passait en Tunisie mais ça concerne aussi d'autres pays comme la République dominicaine, le Maroc. Il y a encore des femmes qui sont trop naives pour croire ces hommes.


" En cette fin d’après-midi, à Ouarzazate, ville du sud du Maroc très prisée des touristes, deux à trois douzaines d’hommes devisent dans le petit café qui jouxte l’Hôtel Royal. Parmi eux, un groupe se détache. Ils sont jeunes et beaux. Certains, à la manière touareg, portent une gandoura blanche et un chèche bleue, d’autres arborent vêtements branchés et lunettes de soleil griffées. Ils sont réunis là pour débattre de leurs stratégies de conquête. Et surtout pour repérer et jauger de nouvelles clientes dont ils parlent, confie un autochtone, comme de bétail.

En Afrique du Nord, l’activité de ces hommes est tout simplement appelée «bezness». Entre Djerba et Agadir, tout le monde sait ce que ce terme désigne: faire miroiter l’amour à des touristes, femmes ou homosexuels, afin d’en obtenir un soutien financier ou une invitation pour l’Europe. Sur place, les hommes qui font du «bezness» sont méprisés mais aussi, souvent, enviés, un peu comme les vendeurs de bazar, qui arrivent à gagner bien plus d’argent qu’un professeur

[www.femina.ch]


Les bezness de l Amour ont toujours existé , et un peu partout dans le monde , on peux les appeler ( les gigolos , les proxénètes, les vendeurs de charmes, ) en gros ce sont des gens sans cervelles et sans dignité , car ils font pas travailler leurs cervelles pour réussir mais ils cherchent la facilité .
l
20 janvier 2011 16:01
" Et si certaines cherchent un partenaire bien plus jeune, toutes ont «de grands besoins affectifs». Exactement l’inverse des «bezness», qui ont avant tout des besoins financiers. «Les femmes rêvent des Mille et Une Nuits, et cela a un prix. Dans la plupart des cas, le réveil est brutal.» Le juriste est le premier à le reconnaître: certains «bezness-boys» suivent des stratégies particulièrement raffinées. Une des raisons qui ont poussé les autorités marocaines à réagir avec vigueur au phénomène."


C'est 2 besoins qui se rencontrent et l'amour ne peut pas se construire sur des besoins.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/01/11 16:03 par louise.
L
20 janvier 2011 17:43
Citation
déesse Chou a écrit:
Là où il y a de la demande, il y a de l'offre.

Dans des pays où m^me les soins ne sont pas accessible à tous, c'est presque "humain".

Non.

Il y a des peuples ou presque personne n'a acces aux soins.

Par exemple, le peuple afghan. Mais les afghans sont des gens courageux, fiers, et dignes. Leurs luttes victorieuses contre les envahisseurs de leur terre montagneuse balayée par le vent sont entrées dans la légende.

Ca ne leur viendrait meme pas à l'idée, d'aller se prostituer pour un papier.
l
20 janvier 2011 18:05
Citation
LeVraiPersonne a écrit:
Citation
déesse Chou a écrit:
Là où il y a de la demande, il y a de l'offre.

Dans des pays où m^me les soins ne sont pas accessible à tous, c'est presque "humain".

Non.

Il y a des peuples ou presque personne n'a acces aux soins.

Par exemple, le peuple afghan. Mais les afghans sont des gens courageux, fiers, et dignes. Leurs luttes victorieuses contre les envahisseurs de leur terre montagneuse balayée par le vent sont entrées dans la légende.

Ca ne leur viendrait meme pas à l'idée, d'aller se prostituer pour un papier.



Ce n'est pas de la prostitution dans le sens ou la femme croit à l 'amour au départ et se fait piéger progressivement et aveuglément. C'est plutôt de l'abus affectif.
Dans le cas de la prostitution les 2 personnes savent à quoi s'en tenir. C'est un "marché" clair dès le départ.
W
20 janvier 2011 19:32
Citation
louise a écrit:
Citation
LeVraiPersonne a écrit:
Citation
déesse Chou a écrit:
Là où il y a de la demande, il y a de l'offre.

Dans des pays où m^me les soins ne sont pas accessible à tous, c'est presque "humain".

Non.

Il y a des peuples ou presque personne n'a acces aux soins.

Par exemple, le peuple afghan. Mais les afghans sont des gens courageux, fiers, et dignes. Leurs luttes victorieuses contre les envahisseurs de leur terre montagneuse balayée par le vent sont entrées dans la légende.

Ca ne leur viendrait meme pas à l'idée, d'aller se prostituer pour un papier.



Citation
louise a écrit:
Ce n'est pas de la prostitution dans le sens ou la femme croit à l 'amour au départ et se fait piéger progressivement et aveuglément. C'est plutôt de l'abus affectif.
Dans le cas de la prostitution les 2 personnes savent à quoi s'en tenir. C'est un "marché" clair dès le départ.

Dans le cas des mariages , qu ils assument ; ils sont adultes et maîtres de leurs actes .
Tant pis pour ceux qui s adonnent a la passion , la passion est un virus international .grinning smiley


D
A
20 janvier 2011 22:33
Citation
louise a écrit:
Citation
LeVraiPersonne a écrit:
Citation
déesse Chou a écrit:
Là où il y a de la demande, il y a de l'offre.

Dans des pays où m^me les soins ne sont pas accessible à tous, c'est presque "humain".

Non.

Il y a des peuples ou presque personne n'a acces aux soins.

Par exemple, le peuple afghan. Mais les afghans sont des gens courageux, fiers, et dignes. Leurs luttes victorieuses contre les envahisseurs de leur terre montagneuse balayée par le vent sont entrées dans la légende.

Ca ne leur viendrait meme pas à l'idée, d'aller se prostituer pour un papier.



Ce n'est pas de la prostitution dans le sens ou la femme croit à l 'amour au départ et se fait piéger progressivement et aveuglément. C'est plutôt de l'abus affectif.
Dans le cas de la prostitution les 2 personnes savent à quoi s'en tenir. C'est un "marché" clair dès le départ.

C'est un phénomène qui existe bien dans les pays méditerranéens du nord, côte d'Azur, Marseille, Marbella, Italie, Grèce, il n y a rien de nouveau sur ce phénomène qui existe depuis le moyen âge!
l
21 janvier 2011 10:53
Citation
LeVraiPersonne a écrit:
Citation
déesse Chou a écrit:
Là où il y a de la demande, il y a de l'offre.

Dans des pays où m^me les soins ne sont pas accessible à tous, c'est presque "humain".

Non.

Il y a des peuples ou presque personne n'a acces aux soins.

Par exemple, le peuple afghan. Mais les afghans sont des gens courageux, fiers, et dignes. Leurs luttes victorieuses contre les envahisseurs de leur terre montagneuse balayée par le vent sont entrées dans la légende.

Ca ne leur viendrait meme pas à l'idée, d'aller se prostituer pour un papier.


ptdr Les touristes courent pas les rues en Afghanistan. Les femmes se font lapidés en cas d'adultère .......
Je pense que ce qui passe par la tête des femmes c'est le suicide, l'éradication de leurs maris (à part Massoud bien sûr) et j'en passe.
l
21 janvier 2011 11:07
Citation
Sahara .M a écrit:

Dans le cas des mariages , qu ils assument ; ils sont adultes et maîtres de leurs actes .
Tant pis pour ceux qui s adonnent a la passion , la passion est un virus international D


Je dirais plutôt dommage pour ceux et celles qui se marient par intérêt financier et matériel ou par raison.
 
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