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Azzou begag sur la 3
f
27 septembre 2005 19:15

Acceuillis par le journaliste de france 3, Mr le Ministre chargé de l'egalité des chances nous a t -il bien representé!!!
en réponse à la question posé 3 fois : avez vous des fonds?
mr Beggag, le ministre qui se dit sympathique ( ça ne fait même pas rire) a affirmé que l'argent que ce n'est aps important, il ne faut pas reclamé tt le temps, l'argent, l'argent, l'argent !!!! quel style mr le ministre!!!
ensuite il a citer les phrases suivantes :
- j'ai dis une connerie;
- Je dirai des conneries dans le futur;
- Je ne suis pas formé dans le domaine politique;
- J'adore mes parents.
- Je suis le ministre de tt les Français, et pas que des immigrés, regardez l'equipe national, il y'a bcp de noires, heusenet qu'il s'est fait stopper par le journaliste.
- Aider moi, je veux faire bcp de choses.

Mr Beggag parait bien dynamique, motivé mais il en faut plus pr etre ministre : la compétence et le poid.

Je voudrais bien savoir pourquoi on choisi bien certains pour nous representer, pourtant nous avons des gens à la hauteur.
Petite pluie abat grand vent
I
27 septembre 2005 19:20
Azouz begag n est pas fait pour la politique,il est trop qq et nian-nian,avec

lui il faudra s attendre à beaucoup de bourdes oh!la!la!

la premiére chose qu a demandé ce ministre pour l égalité des chances a concerné

l entrée dans les discothéques!

arrétte azouz tu est trés amical,mais ne te fout pas de nous!
f
27 septembre 2005 20:51
La nominatin de ce genre de personne ( sidi dalil boubakar et moulay azzouz...), serai elle uen maniére de dire : voçi des echantillons de maghrebins en France??
regardez leurs niveaux, pour juger de vous même, que si ils souffrent de descrimination, c'eta à cause de leurs BAS niveau?

Donc los amigos, nous sommes au point de vue de ce "Français consommateur" de la tv, soit des incompétents ou alors des terroristes.

c'est trés dommage, pour nous sad smiley
Petite pluie abat grand vent
I
27 septembre 2005 20:55
C est clair que c est domage!

Begag je le verrais à la place de drucker,tout sourire et ne heurtant personne.

Mais surement pas face une grosse téte politique qui le démolirai commme des

confettis!
f
27 septembre 2005 20:57

Le plus beau c'est qu'au tt début de la présentation,il a dit : je suis un ministre sypathique.
je penses qu'il passe à côté de sa mission.
Je me delmande bien comment est ce qu'on pourrait le rencontrer???
Petite pluie abat grand vent
I
27 septembre 2005 21:00
On ne lui demande pas d étre sympathique mais efficace.

On ne lui demande pas de faire le ministre-rebeu de service mais une vraie

representation de notre communauté avec les poingts sur la table!

pas la main moite dans la vestegrinning smiley
f
27 septembre 2005 21:03
Iron-man a écrit:
-------------------------------------------------------
> On ne lui demande pas d étre sympathique mais
> efficace.
> On ne lui demande pas de faire le ministre-rebeu
> de service mais une vraie
> representation de notre communauté avec les
> poingts sur la table!
> pas la main moite dans la veste

mdr grinning smiley
yallah dis moi, comnet est ce qu'on peut le rencontrer??
au moins en lui dira coment il faut s'y prendre smiling smiley


Petite pluie abat grand vent
s
27 septembre 2005 21:28
salam,
est ce un petit règlement de compte avec azzouz? un ministre lucide et c'est lui qui dit qu'il est l'arabe qui cache la forêt, il y a des forumistes qui ont une très haute idée de tous les français de souche européenne, et pourtant
a
27 septembre 2005 21:39

C'est pas lui l'écrivain de Pain nu grinning smiley

Une histoire émouvante d'un rifi pendant l'année de la misère .

Lisez ce livre un peu osé , car il dresse le tableau de l'époque , l'alcool , la prostitution et la pauvreté qui pousse a tuer ses propres enfants !
f
27 septembre 2005 21:47
abdell a écrit:
-------------------------------------------------------
> > C'est pas lui l'écrivain de Pain nu
>
> Une histoire émouvante d'un rifi pendant l'année
> de la misère .
>
> Lisez ce livre un peu osé , car il dresse le
> tableau de l'époque , l'alcool , la prostitution
> et la pauvreté qui pousse a tuer ses propres
> enfants !


Dakhlna 3lik bellah, de quoi tu parles khouya? smiling smiley
Petite pluie abat grand vent
t
27 septembre 2005 21:48
abdell a écrit:
-------------------------------------------------------
> > C'est pas lui l'écrivain de Pain nu
>
> Une histoire émouvante d'un rifi pendant l'année
> de la misère .
>
> Lisez ce livre un peu osé , car il dresse le
> tableau de l'époque , l'alcool , la prostitution
> et la pauvreté qui pousse a tuer ses propres
> enfants !


salam abdell

heu non c'est Choukri qu'a écrit ce livre

(merci a Yassy au passage=> le quizz est tres enrichissant dis donc grinning smiley )

salam
I
27 septembre 2005 21:49
lbachir a écrit:
-------------------------------------------------------
> salam,
> est ce un petit règlement de compte avec azzouz?




pas du tout!!

N a t on pas le droit de critiquer?
f
27 septembre 2005 22:03
Iron-man a écrit:
-------------------------------------------------------
> lbachir a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
> > salam,
> > est ce un petit règlement de compte avec
> azzouz?

> pas du tout!!
>
> N a t on pas le droit de critiquer?


c'est ême pas des critiques, mais ce sont des faits malhereusement sad smiley
nous aurions ete les preier à applaudir, si la situation le meritait, ce qui n'est aps le cas.
iwa arretons de cahcehr le soleil avec 3ain al ghourbal.
Petite pluie abat grand vent
I
27 septembre 2005 22:11
Qu il ai écrit son livre le "gone du chaaba" c est un fait mais qu il nous

écrive pas "le clown du sénat"!grinning smiley

je suis en forme ce soirsmiling smiley

C est l huile d olive de ce matinwinking smiley
m
27 septembre 2005 22:33
moi ce qui me surpprend c'est que ce monsieur se prend pour celui qui écrit le premier livre sur les beurs


Eh


Driss chraibi " Les Boucs" c'était avant la naissance d'Azouz ou de Bagag sonpère.
f
27 septembre 2005 23:26
mourabett a écrit:
-------------------------------------------------------
> moi ce qui me surpprend c'est que ce monsieur se
> prend pour celui qui écrit le premier livre sur
> les beurs
> > Eh> Driss chraibi " Les Boucs" c'était avant la
> naissance d'Azouz ou de Bagag sonpère.


A bon menteur elui ui vient de loin.
sauf que lui, il ne vient pas de si loin smiling smiley
Mr devrait revoir son statut, sa mission et surtt penser aux gens qu'il représente.
Petite pluie abat grand vent
m
28 septembre 2005 12:44
J'ai lu son livre le "gone du chaaba" et vu en film je viens de finir "le marteau pique-coeur" et j'aime son style en tant qu'ecrivain. Maintenant si il est fait pr la politique c'est un long debat !
Mok Ya Mok !
i
28 septembre 2005 13:26
azzouz est avant tout un haut fonctionnaire de l'etat français ,à partir de là il ne faut pas s'attendre à des miracles de sa part !
f
28 septembre 2005 15:30
idfixe a écrit:
-------------------------------------------------------
> azzouz est avant tout un haut fonctionnaire de
> l'etat français ,à partir de là il ne faut pas
> s'attendre à des miracles de sa part !

?????????
no understand !!! est ce ironique?
Explique toi mon ami.
Petite pluie abat grand vent
a
28 septembre 2005 16:45
quoi sert Azouz BEGAG ?
Par Bustani de BARI
jeudi 22 septembre 2005





Voilà près de 100 jours qu’Azouz BEGAG est dans le Gouvernement de VILLEPIN au rang de ministre délégué à la promotion de l’égalité des chances, ce qui avait alors suscité un véritable phénomène médiatique[1] dithyrambique autour de « sa vie, son œuvre ».


Depuis Emile DURKHEIM, tout apprenti sociologue sait que « les phénomènes sociaux sont des choses et doivent être traités comme des choses [2] ».


Sébastien BOUSSOIS, « doctorant en sciences politiques et journaliste » semble s’être affranchi de cette règle de travail en dressant un portrait du nouveau ministre très politiquement correct, plus laudateur que persifleur si ce n’est dans le titre de son article[3].


Il s’en dégage même l’impression qu’Azouz BEGAG serait, se sachant débauché de la société civile par le Pouvoir qui s’en sert aussi longtemps qu’Azouz BEGAG le sert.


La réalité est tout autre. Si son passé est peut-être celui d’un Poulbot, son présent est certainement celui d’un Rastignac.


L’irrésistible ascension politique d’Azouz BEGAG découlait d’un scénario écrit d’avance, dont le suivant est déjà planifié.


Azouz BEGAG, un beurgeois en quête de toujours plus de notabilité


Il n’est pas une biographie expresse du ministre qui insiste sur l’opposition entre l’extraction basse de ses parents et sa nouvelle position de CSP+[4] ; le citoyen Français fils d’étranger, le diplômé fils d’analphabète, le parvenu fils de prolétaire[5].


Et notre thuriféraire de rappeler toujours et encore l’état d’illettré du père Begag et la vie de famille en banlieue lyonnaise, comme si illettrisme devait rimer avec inculture, comme si la banlieue des cités radieuses des années 60 était celle des barres HLM des années 80 et suivantes.


Le cocon familial imprègne si bien l’enfant Azouz des vertus du travail scolaire, qu’il va courir tel Forrest Gump après les diplômes jusqu’à l’obtention de l’ultime titre universitaire qui lui permet finalement d’accéder à la fonction publique.


A l’instar de toute société méritocratique, l’ascension d’Azouz BEGAG témoigne que la France n’est pas une société de castes qui maintiendrait la reproduction des situations socio-professionnelles au fil des générations ; ingénieur de père en fils, manœuvre de père en fils.


Le parcours d’Azouz BEGAG ne ser ait donc pas extraordinaire à l’aune de la société française si elle n’était gangrenée par une xénophobie chez certaines élites comme parmi les couches populaires, en particulier un racisme anti-arabe qui plonge ses racines immédiates dans le colonialisme[6] et exacerbé depuis la guerre d’Algérie[7].


Dès lors, son cheminement personnel traduit une absence de racisme à son endroit qui aurait pu entraver son cursus scolaire et professionnel.


Fonctionnaire, Azouz BEGAG prend conscience de son sort privilégié par rapport à certains de ses congénères et va s’atteler à relater leurs mésaventures dans un livre pour enfants.


D’un autre côté, la France des années 80 découvre ses minorités ethniques devenues visibles et audibles, surtout depuis la Marche des Beurs de 1983, et accepte de consacrer Azouz BEGAG chantre de l’écriture beur[8].


Dans l’un de ses romans-miroirs, Azouz BEGAG parle de/à Azouz BEGAG par personnage interposé comme une auto-analyse : « Pour qui tu te prends ? ECRIVAIN ! tu racontes des CONNERIES SUR LES PAUVRES et tu gagnes de l’argent avec ça ![9] »


Les succès médiatiques s’enchaînent pour Azouz BEGAG qui décide d’élargir son besoin d’estime de soi à travers l’onction du peuple ; devenir un représentant de la Nation, plus exactement d’une fraction de la Nation, représentant des siens à l’Assemblée Nationale[10].


Mais passer des bancs de la cité aux bancs du Palais Bourbon demande plus de persuasion auprès de l’électorat que de séduction auprès du lectorat juvénile.


Economiste de formation, il étudie le marché électoral pour comprendre d’abord que toute chance d’accès à la fonction publique élective passe par le soutien d’un parti politique et ensuite que ses votants seraient a priori à gauche du spectre politique.


La dissolution de l’Assemblée Nationale en 1997 lui offre l’opportunité de se présenter à la députation et de déclarer mezzo vocce qu’il est prêt à être candidat socialiste.


Son appel du pied restera sans réponse de la part des socialistes, certainement en raison de son curriculum vitae vide de toute action militante que ce soit dans le domaine associatif, syndical ou entrepreneurial[11].


Quand Stéphane BOUSSOIS affuble Azouz BEGAG d’un passé de contestataire, Vincent GEISSER, dans sa thèse fouillée sur les acteurs sociaux d’origine maghrébine et en particulier ceux de l’agglomération lyonnaise, ne lui recense pas le moindre fait militant, au point de ne même pas figurer dans l’index des noms cités[12].


Méprisant les lois élémentaires de l’économie politique, Azouz BEGAG ira quand même se présenter dans la deuxième circonscription de Lyon, sous sa propre bannière « Un arabe à l’Assemblée » étiqueté « Divers Gauche ».


Au soir des résultats du premier tour des législatives de 1997 à Lyon II, Azouz BEGAG obtient un score humiliant de 0%.


Il en gardera une rancune tenace contre les hiérarques socialistes et ne manquera jamais une occasion pour fustiger « les socialistes [qui] ont contribué à l’entreprise d’exclusion systématique. Les beurs ont eu envie de se venger de l’escroquerie socialiste, et la droite avec son pragmatisme a raflé la mise[13]. »


Il n’est pas besoin d’être un expert en cryptologie pour décoder que les « les beurs » sont Azouz BEGAG et qu’il est « la mise » qu’il fallait convoiter, posséder et enrichir.


Au lendemain de son échec aux législatives de 1997, Azouz BEGAG n’hésite plus et se tourne vers la Droite sans complexe, qui justement cherchait à déculpabiliser « la nouvelle France » de ne pas être captif de la Gauche.


L’effet d’aubaine est donc réciproque, avec un retour sur investissement d’autant plus profitable que les Azouz et consorts étaient encore peu nombreux à franchir le Rubicon.


Via ses nouvelles « bonnes fréquentations[14] », Azouz BEGAG va connaître promotion sur promotion, décoration sur décoration, sur la base exclusive de son militantisme politique et non pas comme le suggère notre politologue en herbe, sur une quelconque compétence professionnelle, sauf ci celui qui « connaît bien » le ministre poursuit un autre dessein que l’exhaustivité.


Grâce au Gouvernement Juppé, Azouz BEGAG est fait chevalier de l’Ordre national du mérite[15] et devient également membre du Conseil supérieur des bibliothèques[16].


Il sera encore nommé membre du Conseil d’administration de l’école d’architecture de Lyon[17].


Sous le Gouvernement Jospin, cohabitation oblige, il ne bénéficiera que d’une seule promotion, compensée par la qualité de l’affectation puisqu’il est nommé membre du Conseil national des villes et du développement social urbain, à côté des actuels ministres Gilles de Robien, Nelly OLIN et François BAROIN[18].


Avec le Gouvernement Raffarin, l’ascenseur social reprend du service pour Azouz BEGAG, qui devient chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur[19] et nouveau membre du Conseil économique et social[20], jusqu’à son entrée au gouvernement.


Si l’encenseur n’avait pas omis cette partie du CV du nouveau ministre, il l’aurait mis sur le compte du spoil system à la française qui veut que les prébendes de la République soient partagées entre amis politiques, de droite ou de gauche.


Tel un administrateur de sociétés qui touche ses jetons de présence, chaque nomination génère des rémunérations pour son détenteur, si grasses qu’elles sont qualifiées de « fromages de la République », d’où la course au cumul des fonctions.


Parfaitement intégré dans le sérail politique, Azouz BEGAG sait faire fructifier son entregent, qui n’est que la démonstration de l’assimilation réussie du mot d’ordre du conservateur Guizot « Enrichissez-vous ».


Devenu affranchi des contingences bassement matérielles et financières, mais loin d’être repu, Azouz BEGAG veut toujours plus et mieux : Etre député[21].


A cet égard, il est surprenant que Sébastien BOUSSOIS se hasarde à pronostiquer un retour à la vie civile de l’« homme du pouvoir » qui dévoilait dès 1997 son plan de carrière.


Pour assouvir son ambition politique, Azouz BEGAG va donc élaborer une stratégie aux fins de préparer sa candidature aux législatives qui vont suivre l’élection présidentielle de 2007 en s’appuyant sur l’homme de confiance du Président CHIRAC, Dominique de VILLEPIN.


Azouz BEGAG, un politicien en quête de légitimité


Sociologue autodidacte, Azouz BEGAG devine que si la République des copains lui a conféré les marques de respectabilité qui sied à tout prétendant aux charges publiques dans une ville à la prospérité aussi feutrée que Lyon, elle l’a aussi définitivement coupé de son milieu d’origine avec son nouveau train de vie de beurgeois.


Pire, il se sent atteint du syndrome du lofteur, cette vedette de la télé-réalité, qui se sait connu de la foule anonyme sans être reconnu par sa propre communauté.


Chargé de recherche au CNRS rattaché à l’Université de Lyon 2 et affecté au Laboratoire d’économie des transports, Azouz BEGAG n’a jamais eu la reconnaissance professionnelle de ses pairs.


Il est vrai que jusqu’à ce jour, le chargé de recherche ne peut revendiquer aucun travail scientifique personnel de référence.


C’est bien pourquoi, Azouz BEGAG ne s’est jamais vu attribuer l’une ou l’autre médaille scientifique du CNRS, pas même le titre de directeur de recherches malgré plus de 23 ans d’ancienneté.


Un tel constat n’était pas un obstacle pour trouver une caution scientifique au modèle de l’auteur du panégyrique qui va le gratifier tantôt de « sociologue qui arpente les banlieues françaises depuis une vingtaine d’année », tantôt de « professeur », sans préciser s’il s’agit de professeur des écoles primaires qu’il fréquente assidûment ou d’agrégé des Universités ce qu’il n’est pas.


Alors que « l’immigration, la pauvreté, le chômage, le racisme et la mobilité » seraient selon Sébastien BOUSSOIS les « sujets de recherche » d’Azouz BEGAG, aucun lecteur averti ou curieux n’a en mémoire qu’il ait pratiqué d’enquêtes de terrain révélatrices telles que celles menées par exemple par Catherine WITHOL de WENDEN[22], Philippe BATAILLE[23], Stéphane BEAUD[24], David LEPOUTRE[25], Didier LAPEYRONNIE[26] ou Farhad KHOSROKHAVAR[27].


Tout au plus, s’est-il limité à rédiger des synthèses théoriques sur l’idée de l’intégration.


In petto, Azouz BEGAG sait bien qu’il n’est ni essayiste, ni sociologue encore moins le découvreur de « la discrimination positive » pour la France comme l’affirme de façon aussi péremptoire qu’erronée notre « doctorant en sciences politiques et journaliste ».


Dans un ouvrage consacré à la discrimination positive et déjà devenu un classique, l’universitaire Gwénaèle CALVEZ[28] expose la genèse de la discrimination positive en France pour dater son apparition publique en 1981, soit à une période où Azouz BEGAG était encore occupé à réviser les cours d’économie politique de Raymond Barre.


Cet état des faits est corroboré par un autre ouvrage également centré sur la problématique de la discrimination positive à la française et réalisé par des auteurs proches idéologiquement du « découvreur », les frères Yazid et Yacine SABEG[29].


C’est pourquoi, Azouz BEGAG se garde bien de revendiquer ces qualificatifs qui seraient comme une usurpation de qualité, mais tel un prestidigitateur, il signe en tant que « chercheur au CNRS » laissant croire au lecteur qu’il est expert dans la problématique de l’interculturalité alors qu’il cherche depuis 23 ans dans un « laboratoire de l’économie du transport », ce qui peut paraître déroutant pour l’opinion publique.


A décharge de l’opinion, la confusion est entretenue par Azouz BEGAG lui-même qui s’assure, sans se lasser et avec sa faconde habituelle, pour que son interlocuteur, lui, le désigne auprès des tiers comme« le spécialiste de la cité ».


Il est vrai que sa bibliographie contient une majorité d’ouvrages pour la jeunesse et qu’à ce titre, il a l’art de raconter des histoires aux grands enfants.


Azouz BEGAG, qui rêve toujours d’être député, cultive les accointances avec le Président CHIRAC, qui le recommande à son homme de confiance, Dominique GALONZEAU de VILLEPIN, alors ministre de l’Intérieur sous le Gouvernement Raffarin III.


Ce dernier appartient à la « noblesse d’Etat » qui est véritablement au service du public dans la lignée des grands commis qui naissent avec la cartographie des arcanes du Pouvoir.


De VILLEPIN lui indique alors le chemin pour décrocher un mandat parlementaire sans emprunter les détours harassants et périlleux du militant de base tout en lui préservant une image d’ « apolitique » grâce à une politique de la communication qui va l’imposer comme une « personnalité » ou un membre de la « société civile », assez présentable pour l’électorat qui donne la majorité ; celui du centre, de la gauche de la droite et de la droite de la gauche.


Le schéma sera donc le suivant : « technicien-ministre-parlementaire[30] ».


Le 29 juin 2004, le ministre de l’Intérieur recrute pour son cabinet ministériel six « personnalités » dont Azouz BEGAG en vue d’apporter « leur regard différent » sur « les nouvelles menaces et les évolutions qui affectent directement notre pacte Républicain. »


Plus de cinq mois plus tard, le chargé ministériel conclut son rapport de moins de 60 pages intitulé « La République à ciel ouvert » pour le remettre à son commanditaire, le 14 décembre 2004.


Selon Sébastien Boussois, le rapport est « très apprécié » sans préciser par qui et pourquoi.


En tous les cas, le point de vue est diamétralement opposé pour toute la presse quant à l’appréciation du commanditaire sur le rapport.


Pour le Figaro, « Dominique de VILLEPIN n’a pas retenu ces idées[31]. »


Pour Libération, « le Ministre de l’Intérieur ne retiendra qu’une part infime des propositions[32]. »


Pour L’Humanité : « Raté. Le rapport n’a pas convaincu Dominique de VILLEPIN[33] ».


Si finalement, le commanditaire a très peu apprécié le rapport en raison des propositions avancées à rebrousse-poil de l’esprit républicain français, peut-être que le lecteur y trouvera des idées originales, voire iconoclastes. En vain.


Dans son rapport « La République à ciel ouvert », Azouz BEGAG a bien raison de ne toujours pas revendiquer la qualité de « sociologue », « professeur », etc. Mais comme il ambitionne de lui conférer une caution scientifique et littéraire, il signe en tant que « chercheur au CNRS, écrivain », appellation plus ou moins contrôlée.


Dès l’introduction du rapport destiné à « Monsieur le Ministre de l’Intérieur, de la sécurité et des libertés locales », on est amusé du langage écrit-parlé de type lofteur avec des expressions comme « la France n’a pas assuré ».


La progression de la lecture devient moins ludique quant au contenu et on est sidéré par tant de méconnaissance du rapporteur Azouz BEGAG sur les sources philosophiques et historiques de la Déclaration de1789, sans compter les lacunes dans sa culture citoyenne, politique et juridique de base. Un véritable un jeu des 7 erreurs.


Avec un socle de connaissances aussi fragile, le diagnostic du rapporteur était d’emblée fragilisé et ses propositions forcément intenables.


Prenons l’extrait suivant, pages 4 et 5 du rapport :


« Depuis la révolution de 1789, il existe donc un ’esprit français’ qui considère tous les citoyens selon un ferme principe d’égalité, sans distinction de race, de classe, de sexe, de religion, sur les seuls critères de la vertu et du mérite personnel. Ce principe est gravé dans la mémoire collective de notre pays. Fermement, philosophiquement et aveuglément. A tel point que ce n’est que récemment que les institutions sont parvenues à ouvrir les yeux sur la réalité des inégalités et des discriminations. »


L’une des sources d’inspiration de la Déclaration de 1789 est Jean-Jacques ROUSSEAU qui constatait que « L’hommes est né libre, et partout il est dans les fers [34] ». Dans le but de l’affranchir, au moins formellement, tout en étant conscient du hiatus avec l’égalité concrète, la Déclaration de 1789 proclame, « sous les auspices de l’Etre suprême », que « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits[35]. »


Or le rapporteur devrait savoir que toute proclamation d’égalité formelle est nécessaire mais insuffisante, car pas garante de l’égalité réelle.


Comment suivre l’auteur du rapport quand il énonce que ce n’est que récemment que les Institutions ont ouvert les yeux sur les discriminations alors que, d’une part ce sont les mêmes Institutions qui ont généré un racisme d’Etat avant, pendant et après 1789, que ce soit par exemple avec la promulgation du Code Noir (1685-1848), du Code de l’Indigénat (1887-1946) ou encore le Statut des juifs (1940-1944).


D’autre part, que la lutte contre les inégalités est aussi ancienne que la conscience de l’alter ego[36].


Azouz BEGAG ne craint non plus pas la contradiction lorsque d’un côté il manifeste son indéfectible attachement au « ferme principe d’égalité » qui permet l’accès aux emplois publics à tous les candidats sans autre distinction que « leurs vertus et leurs talents [37] » et de l’autre côté propose de supprimer « les enquêtes de moralité » lors de l’entrée dans les métiers de la police nationale (page 46 du rapport).


Au lieu de pourfendre les pratiques discriminatoires de l’Administration des concours, il préfère sacrifier le principe de vertu, pourtant magnifié par un autre inspirateur de la Déclaration de 1789, MONTESQUIEU.


La lecture du rapport n’est plus du tout ludique quant au fil des pages, le lecteur s’aperçoit que le « chercheur au CNRS » ne respecte pas les usages académiques dans le choix des références bibliographiques ou des citations. En effet, Azouz BEGAG se limite principalement à se citer lui-même et le think tank[38] du MEDEF, l’Institut Montaigne, comme si le sujet était vierge de toute réflexion et ne pouvait souffrir l’apport d’autres chercheurs, notamment Catherine de WITHOL de WENDEN et Sophie BODY-GENDROT.


Mais l’essentiel de la mission n’était pas de s’attendre à un rapport qui ferait date, sauf pour celui qui l’estime « très apprécié », c’était de préparer le passage d’Azouz BEGAG du cabinet ministériel à un ministère en soi, sous le label de ministre-technicien.


Le moment opportun viendra à la suite du résultat négatif du référendum sur le projet de ratification du « traité établissant une constitution pour l’Europe » qui provoquera un remaniement ministériel, où l’homme de confiance du Président CHIRAC devient son nouvel homme fort avec sa nomination de Premier Ministre.


Contrairement à ce que susurre « le doctorant en sciences politiques et journaliste », ce n’est pas de VILLEPIN qui a cherché par « opportunisme ou surprise » Azouz BEGAG, mais c’est ce dernier qui était prêt à tout pour être nommé au sein du nouveau Gouvernement.


L’hebdomadaire Le Point[39] a relaté la scène qui a suivi la remise du rapport « La République à ciel ouvert » le 12 décembre 2004 dans les termes suivants :


« Monsieur le Ministre, j’aimerais un jour travailler avec vous ».


Finalement, le sacre a lieu le 2 juin 2005, sous les applaudissements et les huées des spectateurs selon leur stricte obédience politique, sauf rare exception dans la communauté franco-maghrébine[40].


Sans surprise, Malek BOUTIH, un des mentors du parti socialiste, tire à boulet rouge en déclarant que « le coup du beur dans le gouvernement, on nous l’a déjà fait. »


Sans surprise, car « Malek BOUTIH, c’est un peu le Rachid KACI de la Gauche. Un beur contre les beurs [41] ».


Deux demies-surprises avec d’abord un satisfecit du bout des lèvres de Fadela AMARA et un satisfecit jovial du non moins jovial, Son Excellence le Recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil BOUBAKEUR.


L’inimitié entre Fadela AMARA et Azouz BEGAG est un secret de Polichinelle, mais parrain commun oblige en la personne du Président CHIRAC qui avait proposé au Président de l’Assemblée Nationale de la nommer à l’un de ces « fromages de la République », la HALDE, il était hors de question pour elle de risquer de perdre son revenu en parlant vrai contre lui.


Aussitôt connu le choix du nouveau ministre délégué à la promotion de l’égalité des chances, Dalil BOUBAKEUR s’est empressé de propager sa joie communicative à l’AFP en déclarant qu’Azouz BEGAG « représente la nouvelle élite de la jeunesse musulmane. »


Certes, le couple BOUBAKEUR-BEGAG doit tout au Président CHIRAC mais ce dernier ne demande pas une application absolue de la théorie des-amis-de-mes-amis-sont-mes-amis qui connaît des limites.


Confirmer Azouz BEGAG dans les hautes sphères de l’élite, c’est le dernier service à lui rendre, lui qui échafaude une politique de communication pour déconstruire son image de pur beurgeois[42] et pour bâtir l’image d’une personne issue des banlieues ou pour parler comme le « doctorant en science politique et journaliste » de « l’idéal-typique du Français issu de l’immigration qui a réussi[43] », en somme l’image d’un gars dont on peut être fier.


Le succès ou l’échec d’Azouz BEGAG aux législatives de 2008 dira si cette politique de la communication a touché l’affect des électeurs.


Légitimer Azouz BEGAG d’une identité musulmane est aussi novateur que l’intéressé lui-même ne la revendique pas du tout, puisqu’il se déclare tout au plus « agnostique » et qu’il prêche à tout le moins pour l’invisibilité des pratiques religieuses.


Apôtre de l’identité plurielle, il est fort douteux que celui qui se compare à un « crabe » se métamorphose en « caméléon » dans la posture du musulman born again, juste pour capter des votes.


Quant à la jeunesse du nouveau ministre, assurément il est coquet voire égotiste, mais il n’est plus tout à fait jeune à 48 ans, même si dans le milieu politique être, bientôt, un quinquagénaire vous fait partie des « cadets de la République ».


Paradoxalement pour un ministère en charge de la promotion de tous à l’égalité des chances, c’est le jeunisme qui va être au centre des préoccupations d’Azouz BEGAG, pour qui il s’agirait même d’une « urgence ».


Quelles sont ces mesures urgentes aux yeux d’un ministre « fort de ses expériences dans les banlieues » ?


La ségrégation sociale dans l’habitat ? La division éthnique du travail ? Non.


Selon l’organe de presse officiel, La lettre du Gouvernement[44], le plan d’action du ministère de la promotion de l’égalité vise d’abord à contrer les refus d’accès des jeunes aux discothèques, ensuite à assurer un stage en entreprise pour tous les écoliers et enfin à promouvoir une charte de la diversité dans l’entreprise.


Ces différentes mesures illustrent bien que le ministre a parfaitement assimilé les règles de « l’homme du pouvoir » pour qui la seule ambition est avant tout d’assurer la pérennité de ses fonctions jusqu’au terme de la mandature, sachant que l’immobilisme est moins risqué que le bougisme tout en faisant croire qu’il est un homme d’action qui cultive la proximité avec des déplacements prévus dans toute la France des inégalités, pour l’instant plus le Havre que la Corse, plus Lyon que Mulhouse.


L’inaccessibilité de certaines discothèques, à certains moments et dans certaines circonstances n’engendre qu’une frustration temporaire pour « le jeune » qui ne dure que le temps d’une joute verbale nocturne alors que l’humiliation est permanente pour l’adulte diplômé en butte à un « mur de verre » qui bouche l’accès au travail, autant source de revenu pour la famille que motif de reconnaissance sociale[45].


L’absence de stage en entreprise n’est pas si stigmatisante pour le jeune au point de mettre un terme prématuré à sa scolarité, alors que la carrière d’un étudiant diplômé peut prendre fin avant même d’avoir commencé sa vie professionnelle si son installation est conditionnée par l’exécution d’un stage préalable comme l’exigent par exemple de nombreuses professions libérales, à l’instar de la profession d’expert-comptable.


Comment croire que le ministre délégué à la promotion de l’égalité des chances ira bouleverser l’état des choses en sensibilisant la corporation des experts-comptables à la « diversité » sans qu’il s’attire des cris d’orfraie des gardiens du monopole de la profession des chiffres ? Des ministres sont tombés pour moins que cela et qu’il n’est pas question de sacrifier son avenir politique sur l’autel de quelque minorité.


Sinon pourquoi Azouz BEGAG préparerait les élections qui vont suivre la Présidentielle de 2007 en compagnie de Dominique de PERBEN, l’ancien ministre de la Justice, l’ancien supérieur hiérarchique du procureur de Nancy qui s’était élevé contre l’exercice pré-professionnelle d’une élève-avocate en raison du port de son foulard[46] ?


Pour réussir dans cette entreprise de conservation du pouvoir tout en donnant l’image de faire bouger les choses, il a suffi à Azouz BEGAG de cibler des programmes d’action dont l’intérêt médiatique est inversement proportionnel à l’intérêt pratique.


Désormais Azouz BEGAG personnifie le précepte machiavélien : « Ne jamais dire ce que l’on fait, ne jamais faire ce que l’on dit[47] »









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[1] Par exemple, Le Parisien du 03/06/2005, Azouz Begag, le spécialiste des cités






[2] Les règles de la méthode sociologique (1895), éd. PUF 1987, p. 27






[3] Azouz Begag, Nouveau colporteur de la France de la Diversité ? in Oumma.com du 21/07/2005






[4] CSP pour Catégorie Socio-Professionnelle et + pour supérieure






[5] Et même du « sous-prolétariat » pour Emmanuel TODD, in La nouvelle France, éd. Seuil, 1988 p.223, certainement parce que « Les émigrés Algériens... proviennent des strates socioculturelles inférieures de leur société... », in Le destin des immigrés. Assimilation et ségrégation dans les démocraties occidentales, éd. Seuil (1994) 1997, p. 339.


Ouvrages stimulants, même si pas toujours convaincants.






[6] Olivier LE COUR GRANDMAISON, Coloniser. Exterminer. Sur la guerre et l’Etat colonial, éd. Fayard 2005. Sans complaisance, parfois sans nuance.






[7] Bernard STORA, De l’Algérie Française au racisme anti-arabe, éd. La Découverte 1999. Très bien subjectivement objectif.






[8] Mustapha HARZOUNE, Littérature : Les chausse-trapes de l’intégration par in Hommes et Migrations, 2001, n°1231, p.15






[9] Quand on est mort, c’est pour toute la vie, éd. Gallimard, 1994, p. 80






[10] Libération du 03/06/2005 : « Je veux être le premier représentant des banlieues à l’Assemblée ».






[11] Absent de la galerie de portraits tirés par Nora BARSALI, François-Xavier FRELAND, Anne-Marie VINCENT, in Générations Beurs. Français à part entière, éd. Autrement 2003,


En cas d’hypothétique seconde édition, nul doute qu’Azouz BEGAG figurera dans cette lignée digne d’un casting pour The Gosby Show.






[12] Vincent GEISSER, Ethnicité républicaine. Les élites d’origine maghrébine dans le système politique français, éd. Presses de Sciences Po, 1997.






[13] Interview donnée au journal Le Monde du 10/05/2005






[14] Sophie COIGNARD et Marie Thérèse GUICHARD, Les bonnes fréquentations. Histoire secrète des réseaux d’influence, éd. Grasset 1997






[15] Décret du 13/05/1996






[16] Arrêté du 6/01/1997






[17] Arrêté du 14//11/1997






[18] Arrêté du 16/06/1998






[19] Décret du 9/04/2004






[20] Décret du 3/09/2004






[21] Dans son histoire de la France parlementaire, Bruno FULIGNI expose avec plein de compassion la biographie du premier député musulman qui faisait ses ablutions dans la Seine, Philippe GRENIER, du premier député indigène de la France Africaine, Blaise DIAGNE, d’un véritable prolétaire député, Christophe THIVRIER etc, in La Chambre ardente. Aventuriers, utopistes, excentriques du Palais-Bourbon, éd. de Paris 2001. Parmi les députés d’origine algérienne, Nafissa Sid-Cara, également secrétaire d’Etat en 1959, cf Vincent GEISSER.






[22] Bibliographie aussi riche que sa vision des choses est pleine de finesse et son écriture pleine d’élégance. Par exemple, avec Sophie BODY-GENDROT, Police et discriminations raciales : Le tabou français, éd. de l’Atelier, 2003






[23] Le racisme au travail, éd. La Découverte, 1997






[24] 80% au bac...et après ? Les enfants de la démocratisation scolaire, éd. La Découverte, 2003






[25] Cœur de banlieue. Codes, rites et langages (1997), éd. Odile Jacob, 2001






[26] Avec François DUBET, Les quartiers d’exils, éd. Seuil, 1992






[27] L’islam dans les prisons. Voix et regards, éd. Balland, 2004. Très pertinent.






[28] La discrimination positive, éd. PUF Que sais-je ? n°3712, p. 68






[29] Discrimination positive. Pourquoi la France ne peut y échapper, éd. Calmann-Lévy, 2004, p. 137, avec strictement aucune référence à Azouz BEGAG « le découvreur ».






[30] Sung Nak-in, Les ministres de la 5è République française, 1989, éd. LGDJ p.18






[31] Le Figaro du 15/12/2004






[32] Libération du 15/12/2004






[33] L’Humanité du 18/12/2004






[34] Du contrat social ou principes du droit politique, Livre premier Chapitre premier, (1762) éd. Garnier-Flammarion,1966.






[35] Article premier de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen du 26 août 1789






[36] Sylvie MESURE et Alain RENAUT, Alter Ego. Les paradoxes de l’identité démocratique, éd. Aubier, 1999.






[37] article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du Citoyen du 26 août 1789






[38] Communauté d’idéologues au sens de Destutt de Tracy qui propose un argumentaire attendu par leur financeur.






[39] Le Point du 09/06/2005






[40] Le Figaro du 07/06/2005






[41] Karim BOURTEL, Grandes manœuvres politiques autour des franco-maghrébins, in Le Monde Diplomatique, octobre 2003






[42] Sans s’interroger sur le rejet du qualificatif de beur par les intéréssés, Philippe BERNARD inclut parmi la nouvelle beurgeoisie Azouz BEGAG qui avait acquis la nationalité française pour fuir les obligations militaires algériennes, in La crème des beurs, éd. Seuil, 2004, p.55.






[43] Même si le portraitiste est bien intentionné, la réalité de son expression est fausse puisque son sujet est né en France et l’utilisation du vocable « immigration » a toujours une consonance alors qu’il s’agit spécifiquement de maghrébins et en particulier des Algériens. Quid de la nature de la réussite ? Conjugale, matérielle, scientifique ? Pour des exemples de réussites exceptionnelles d’immigrés arabes dans les domaines scientifiques, industriels, artistiques ou politiques cf Histoire des orientaux de France. Du Ier au XXè siècle, par Abdallalh NAAMAN, éd . Ellipses 2004






[44] Consultable sur le site du Premier Ministre






[45] Paul RICOEUR, Parcours de la reconnaissance. Trois études, éd. Stock, 2004






[46] Le Figaro du 19/03/2003






[47] Frédéric BON et Michel-Antoine BURNIER Que le meilleur perde. Eloge de la défaite en politique, éd. Balland 1986, p.121.





Bustani de BARI
Du même auteur, à lire en ligne sur Oumma.com :

A quoi sert Azouz BEGAG ?


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