Au village, en vacances, on jouer à se jetait des cailloux, on avait des pistolets à billes, on fessait des équipes et l'on se tirer dessus.
Des vrais sauvages, européens, pourtant.
dans les mariages, on se batait souvent,contre d'autres riverains, un soir, un gars m'avait choper par derrière et avait mon cou en otage.
Mon cousin m'avait vu, mais avait fait demie tour. Erreur de jeunesse
Honnêtement, je n'aimait pas forcément me battre, mais on était gamins.
Bref, Je m'était démerder tout seul, pour sortir de cette histoire , en lui mettant un coup de pied en arrière.
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Avec la gente féminine, j'étais doux, enfin, je pouvait baisser ma garde,à coter d'elles je pouvais enfin montrer mon côté mignon.
J'aimait bien, être accompagné de filles, même si j'étais timide, J'aimait bien les avoir à mes côtés, sans forcément penser au pire...
Puis quand sa m'attaprait pour me faire de gros bisou, j'étais au ciel.
En faite, j'était un timide, qui aimait bien être, aimer, je ne me fessait pas forcément remarquer, c'est les gens qui me remarquer, et sa, sa me plaisait énormément.
J'avais pas très confiance en moi,mais celles qui arrivait difficilement à me mettre à l'aise, était surprise par la suite
Pour certains, le fait de vouloir être aimer , peut être vue comme une maladie, après tout, chacun ses faiblesses...
Dans les mariages, J'aimait trop surveiller les tables, et observer attentivement.
J'aimait souvent, venir à la table de ma mère, pour lui demander des choses inutiles, juste histoire de me montrer.
J'étais un timide, qui savait, être au bon endroit, au bon moment.
Disons que j'ai eu la chance d'avoir l'amour de filles extérieures, pourtant ma mère m'aime, et à toujours été la pour moi, El hamdullillah,
Mais je sais pas, j'ai toujours eu un sentiment de vide, avec mes parents, je n'étais jamais le vrai moi, je n'arrivait pas à m'ouvrir complètement à eux, un père macho. Pas facile.
Pourtant mon vrai moi, était très appréciable.
Avec ses filles la, j'y arrivais...
Ceux qui leurs plaisait, et me plaisait.
Tt lmonde était gagnant.
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Les matins, je courait pieds nus, et fugait du jardin, mes parents devait courir derrière moi, pour m'attraper. Si ils avaient la chance de me voir partir.
J'étais un gamin, vif, et naïf.
Un sourire pour moi, me redonner de l'espoir. Me redonner, un brin de confiance.
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De nature gâtée, j'avais un coffre remplis de jouets, trains, voitures...
J'étais trop intéresser par les armes, par contre, chose qui fessait peur à ma maman.
Ceux qui ne dérangeait pas mon père. Et me donner ses paquets de clopes, pour que je tire dessus
Ici, vous avez constaté , que c'est important de ( bien) choisir sa moitié. ---
Un autre vice que j'avais,
J'étais trop attirer par les cigarettes, un jour mon père en avait eu marre, et avait agit, de manière très. ...
On était en voiture, à l'avant évidemment, sans ceinture. Ni lui, ni moi.
Il m'a proposer une clope avec un petit sourire au coin, " Tien, une cigarette, on va fumer ensemble",
croyer moi que c'est grâce à sa, que je ne fume pas. En réalité, il a bien agit. " L'interdit attire, l'interdit"
J'ai goûter, et vu, que c'était de la merde. Et à ainsi comprit, que c'était mauvais.
Bref, il avait une éducation assez spéciale, et difficile à suivre
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