l'affaire barthez est entre les mains de la federaration francaise de foot depuis 2 semaines.
d apres le site de la fff on dit que : " Le Bureau a décidé de transmettre l'ensemble de ce dossier à la Commission Centrale de Discipline pour instruction".
combien faut il attendre pour voir ces instructions? quelles seront ces instructions a votre avis?
A mon avis ils vont tout faire pour etouffer l'affaire, tu penses bien que la FFF n'aurait aucun interet que ce balourd de Barthez soit privé de matchs et en consequence que l'equipe nationale soit privee de ses services surtout que dans quelques jours les eliminatoires de la coupe du monde auront lieu! C'est minable et j'espere qu'il va payer pour son geste tout aussi minable et indigne!
la fédération marocainne aurait du remettre le dossier barthez à la FIFA , mais comme d'habitude nos "élites" de tous genre a l'esprit de coloniés ne veulent pas faire de tort à leurs maitres français
bonjour, excusez moi je voulais savoir si ce dont vous parlez c'est de la fois où Barthez a craché sur les marocains lors d'un match amical entre marseille et le maroc?
Le gardien de but de l'olympique de Marseille (OM-Ligue 1) et de l'équipe de France, Fabien Barthez, risque six mois à un an de suspension pour avoir craché sur l'arbitre marocain Abdellah Achiri, lors d'une rencontre amicale le 12 février à Casablanca entre l'OM et le WAC, écrit mardi le journal "France Soir". Dans un article sous le titre "Barthez la fin?", le quotidien note que le keeper français qui a été convoqué pour le 7 avril devant la commission de discipline de la Fédération Française de Football (FFF), pourrait demander un report de 15 jours, ce qui aux yeux du journal retarderait l'échéance mais pas la sanction. Selon le directeur adjoint de la FFF, Jean Lapeyre, cité par le journal, "il n' y aura aucun passe-droit et le joueur sera jugé équitablement". "Barthez a des devoirs mais aussi des droits", a-t-il dit. Jean Lapeyre précise en outre que la sanction de Barthez devrait être étendue sur le plan international, signalant que la FIFA suit de très près le dossier et attend "une décision ferme mais juste". A la question de savoir s'il y a eu une quelconque pression de la FFF pour atténuer les faits, le président de la fédération française, Jean-Pierre Escalettes affirme : "il n'y a eu ni laxisme ni ingérence de notre part pour étouffer le dossier. Sinon, ça se retournerait contre nous". Le président de la FFF a souligné en conclusion que Barthez est considéré comme innocent jusqu'à preuve du contraire.
03/2005 Foot- Bleus : Barthez arrête en 2006 et se lâche
Fabien Barthez parle rarement aux médias. Mais quand il se décide, ça peut faire très mal. Le point-presse que le gardien des Bleus a tenu, jeudi à Clairefontaine, fut d'une rare richesse pour un homme que l'on a connu moins prolixe. Entre autres, il a déclaré qu'il avait programmé la fin de sa carrière pour 2006, aussi bien en équipe de France qu'en club. « Je serai en fin de contrat, j'aurai 35 ans. Ça suffit. Ce n'est pas une décision ferme et définitive, mais c'est quand même très bien avancé. » Il a aussi confié qu'il n'envisageait pas de poursuivre sa carrière dans le milieu du football. « Je l'aime de moins en moins. C'est de plus en plus pourri. Je n'ai pas d'exemple précis à donner. Parfois, il vaut mieux la fermer ».
Il assure par ailleurs que sa convocation le 7 avril, à la FFF, ne le perturbe pas, même s'il est soupçonné d'avoir craché sur un arbitre marocain le 12 février dernier lors d'un match amical contre Wydad Casabalanca. Pour lui, ce n'est «pas d'actualité». Une ligne de défense très "offensive" se profile pourtant sous ses quelques paroles. Refusant dans un premier temps de s'exprimer sur l'affaire, Barthez s'en est tiré avec un énigmatique « moi, je sais, donc à partir de là... ». Alors qu'un journaliste lui suggérait qu'il n'avait « pas suffisamment d'éléments pour se sentir coupable », il a répondu : « exactement ». Pour lui « ce n'est pas la première ni la dernière fois, ça fait partie d'une carrière, quand on ne peut pas nous descendre sur le terrain, on le fait en dehors ».
Sur les qualifications pour la Coupe du monde 2006, le portier marseillais a aussi indiqué qu'il n'était « pas du tout » confiant à l'idée d'aller disputer un match à Tel Aviv, contre Israël, le 30 mars. « Quand je vois ce qui se passe dans le monde, je me demande pourquoi on va jouer là-bas. Ça ne me plaît pas du tout, mais alors pas du tout. » Il avoue même avoir imaginé déclarer forfait pour cette rencontre, sans l'exclure totalement aujourd'hui. « On n'en est pas là. Jouons la Suisse d'abord. C'est l'homme et le père de famille qui parle, pas le joueur. »
Enfin, il a appuyé très fortement les propos récents de Patrick Vieira sur le faible intérêt d'une tournée en Chine au mois de juin. « Pour une fois qu'on pouvait faire un break total, en sachant qu'on aura encore une saison 2005-2006 avec un match tous les trois jours et tout le tralala, je ne vois pas ce qu'on va faire là-bas », a déclaré Barthez, qui n'avait disputé ni la Coupe des confédérations 2001, ni celle de 2003, à la même époque de l'année. « Il faut se rendre compte que pour les joueurs de haut niveau, le meilleur entraînement, ce n'est pas le terrain. C'est la récupération et l'hygiène de vie. C'est ça qui fait durer. »
LES VÉRITÉS DE BARTHEZ Par Cédric ROUQUETTE (à Clairefontaine)
Fabien Barthez craint le déplacement à Tel-Aviv, au point d'envisager de déclarer forfait. Il trouve le milieu du football «de plus en plus pourri». Il le quittera en 2006. La tournée en Chine ne lui semble d'aucun intérêt, et il semble avoir sa propre version dans l'affaire du crachat marocain. Barthez est rare, mais quand il parle...
« Il faut gagner, point final »
« Fabien Barthez, c'est presque une surprise de vous voir face à la presse après un long silence. Avez-vous un point de vue à faire valoir dans l'affaire du crachat sur l'arbitre Abdellah El Achiri au Maroc ? Non, non, pas du tout. Ce n'est pas d'actualité. Je suis convoqué (par la FFF) le 7 avril, on verra bien.
Vous risquez gros au regard de ce qui vous est reproché. On verra. Moi, je sais, donc à partir de là...
Vous voulez dire que vous n'avez pas suffisamment d'éléments pour vous sentir coupable ? Exactement. Ce n'est pas la première ni la dernière fois qu'il faut traverser un épisode de ce type, ça fait partie d'une carrière, quand on ne peut pas nous descendre sur le terrain, on le fait en dehors. Bon, c'est fini sur ce sujet.
Les rencontres de Coupe du monde contre la Suisse (samedi) et en Israël (mercredi) sont-elles décisives ? Tous les matches sont décisifs. Si tu veux te qualifier, il faut gagner. Point final. Il n'y a pas cinquante solutions. Il se s'agit pas de se dire qu'on va faire match nul là, pour ensuite gagner là-bas. Non. Il faut gagner. Et ne pas s'arrêter tant que tout reste mathématiquement possible.
Alexander Frei dit que la France fait partie des cinq meilleures équipes du monde. L'équipe de France s'est renouvelée, c'est maintenant à elle de faire ses preuves.
Elle reste cependant la favorite de son groupe, au vu de son statut, du classement FIFA. Le classement FIFA, c'est comme les notes dans les journaux. Ce sont des écrits. Ce n'est pas la réalité. La réalité, c'est le terrain, et la réalité, c'est qu'il n'y a plus de favori. Toutes les grandes équipes ont été accrochées par Israël, Chypre ou les Iles machin (sic), que ce soient le Brésil, les Pays-Bas ou l'Angleterre. De plus en plus de joueurs quittent leur championnat, ils acquièrent une expérience qu'on retrouve ensuite à sélection.
« Aller en Israël ? Il y a de quoi flipper. »
Comment envisagez-vous votre duel avec Frei ? Ce n'est plus la peine de le présenter à ceux qui jouent en L1. Pour les autres, qu'ils sachent que c'est un peu du Trezeguet. Quel que soit son placement, un ballon lui suffit. C'est un attaquant pur qui ne se pose pas de questions. J'en ai fait les frais (il avait encaissé un quadruplé de Frei la saison dernière, lors d'un Rennes - Marseille de L1, 4-3). On va dire que c'est un bon client.
Un tel souvenir peut-il laisser des traces ? Pas du tout. C'est oublié depuis le lendemain du match. C'est suffisamment compliqué comme ça pour qu'on n'en rajoute pas.
Le déplacement en Israël, la semaine prochaine, vous inquiète-t-il, au regard du contexte politique au Proche-Orient ? Si ça m'inquiète ? Oui, et même énormément. Quand je vois ce qui se passe dans le monde, je me demande pourquoi on va jouer là-bas. Ça ne me plaît pas du tout, mais alors pas du tout. C'est l'homme et le père de famille qui parlent, pas le joueur. J'en ai parlé avec un ou deux équipiers. Bon...
Vous avez envisagé de déclarer forfait pour cette raison ?Oui, j'y ai pensé. J'attends d'en parler tranquillement avec l'entraîneur. J'ai besoin de réconfort.
Est-il trop tard ? On n'en est pas là. Jouons la Suisse d'abord.
Vous ne pensez pas pouvoir faire abstraction de cette crainte pendant le match ? Attendez : je ne parle pas de ça. Qu'il y ait des supporters complètement tarés qui nous balancent des bouteilles de bière sur la tête, c'est une chose, ça fait partie de l'environnement du football. Je ne parle ni des tribunes ni de l'ambiance. Je parle des hôtels et des avions. Bon, je sais que Newcastle y est allé, j'ai des amis intimes qui habitent là-bas et qui me disent : "Fabien, ça ne craint absolument pas". Je me fais peut-être des films, mais je trouve qu'il y a de quoi flipper : ça pète même au Qatar.
« Le milieu du foot ? Aucune envie de rester »
Après tous ces matches nuls à domicile cette saison, avez-vous l'impression que le Stade de France intimide un peu l'équipe de France actuelle ?#brSi un joueur est intimidé par le Stade de France, il faut qu'il reste au vestiaire. C'est qu'il n'a rien à faire là, qu'il n'est pas au niveau.
Que répondre, alors, aux supporters qui trouvent le temps long. Que ça va venir ? On ne sait pas si ça va venir. On fait tout pour que ça vienne, et le plus vite possible. Mais le foot reste le foot. Ça tiendra à très peu de choses. Il faut toujours faire attention. Il faut de l'incertitude. C'est elle qui permet de se concentrer.
Votre rôle change-t-il derrière une défense plutôt jeune, notamment dans l'axe ? Je fonctionne par rapport à moi-même. Mon comportement est égal, quelles que soient les personnes qui jouent devant moi. Les jeunes ? Bien sûr, on peut toujours se dire des petits trucs avant, mais une fois sur le terrain... A ce niveau, vous savez, c'est l'élite. Il faut être prêt, c'est tout.
Qu'est-ce qui motive toujours dans votre métier ? J'adore ce que je fais, tout simplement. J'ai 33 ans, il ne me reste pas énormément de saisons devant moi. J'entends ce que disent les anciens. Ça va passer très vite. Il faut en profiter autant qu'on le peut. Tant que je suis là, je suis à 300%. Et quand je n'aurai plus envie, je m'effacerai. Ça viendra ! L'échéance, c'est 2006.
Pour stopper votre carrière internationale ? Pour tout. Je serai en fin de contrat, j'aurai 35 ans. Ça suffit. Je pense que je vais arrêter à ce moment-là. Ce n'est pas une décision ferme et définitive, mais c'est quand même très bien avancé.
Savez-vous ce que vous ferez ensuite ? Resterez-vous dans le milieu du foot ? Ah non, pas du tout. Je l'aime de moins en moins. C'est de plus en plus pourri. Il y a des choses qui me... Je n'ai pas d'exemple précis à donner. Parfois, il vaut mieux la fermer. Mais je ne resterai pas dans le milieu du foot. Nous, joueurs, nous faisons notre boulot sur le terrain. Nous sommes entiers. Mais quand je vois comment ça se passe autour, je n'ai aucune envie de rester.
C'est l'argent et le business qui vous inspirent cette réaction ? Non. Tant mieux si les clubs et les joueurs prennent de plus en plus de pognon, c'est bien pour tout le monde. Je parle plus de relations humaines.
Ce que font les supporters vous choque ? Enormément.
Les relations avec les jeunes joueurs ? Les joueurs de vingt qui font trois matches et qui se croient arrivés ? Auxquels on ne peut rien dire après ? Je vois. Il y a un peu de tout, en fait.
« Il faut vendre, il faut se montrer »
Que pensez-vous des déclarations récentes de Patrick Vieira sur le faible intérêt d'une tournée en Chine en juin ? Je suis plutôt d'accord avec Pat. Pour une fois qu'on pouvait faire un break total, en sachant qu'on aura encore une saison 2005-2006 avec un match tous les trois jours et tout le tralala, je ne vois pas ce qu'on va faire là-bas. Il faut se rendre compte que pour les joueurs de haut niveau, le meilleur entraînement, ce n'est pas le terrain. C'est la récupération et l'hygiène de vie. C'est ça qui fait durer. Il faudrait se préoccuper de la santé des joueurs plutôt que d'une multiplication des matches. Mais bon. Vous savez très bien pourquoi on fait ces matches. Il faut vendre, il faut se montrer.
L'avez-vous dit au sélectionneur ? Non. S'il veut m'en parler... Bon, ça devrait venir, maintenant (sourire).
Les autres joueurs sont de votre avis ? Je pense, oui. »
Fabien Barthez a assuré, jeudi, ne pas craindre une lourde suspension suite à l'affaire du crachat dont il est soupçonné sur l'arbitre marocain Abdellah El Achiri, le 12 février dernier à Casablanca. «Je ne me sens pas coupable» a-t-il déclaré, en marge du rassemblement de l'équipe de France à Clairefontaine.
Interrogé par la radio RFI, le gardien marseillais a précisé sa pensée. «Il n'y a pas que Casablanca dans la vie. Ce n'est pas du tout important, cela ne représente absolument rien. Même si je risque un an de suspension, c'est rien !», a-t-il insisté, sans paraître craindre une fin de carrière prématurée. «Si c'est la fin, on partira à la retraite qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Personne n'est malade, il n'y a pas de mort. On fait tout un "flan", je ne vois pas pourquoi. Non, je ne le regrette pas, on est des hommes, et, comme on dit, on en a entre les jambes...»
Plus tôt dans la journée, il avait déclaré : «Moi, je sais (sous-entendu : ce qui s'est passé), donc à partir de là...», laissant entendre que sa version des faits pourrait être différente de celle établie par les images télévisées, a piori sans appel. Mardi, son équipier marseillais Benoît Pedretti avait mis quelques interlocuteurs sur la voie de cette possibilité. «Vous avez vu le crachat partir de sa bouche ? Vous êtes sûr ?» a-t-il demandé à un journaliste qu'il trouvait trop affirmatif.
29/03/2005 Foot - L1 - OM : Troussier au secours de Barthez
L'entraîneur de Marseille Philippe Troussier a estimé mardi qu'une suspension pour la fin de la saison du gardien de but Fabien Barthez, vivement critiqué pour avoir craché sur un arbitre lors d'un match amical au Maroc, «fausserait la fin du championnat».
«Une suspension fausserait le championnat. C'est un joueur-clé de l'équipe, et une absence de Fabien Barthez constituerait une pénalité à la fois pour l'équipe de France et l'OM», a déclaré Troussier devant la presse à la Commanderie.
«Le club a déjà condamné et sanctionné cet acte. Il y a un procédure en cours (menée par la commission de discipline de la FFF devant laquelle Barthez est convoqué le 7 avril, ndlr) et il serait mal placé de commenter ce qui va se passer», a ajouté Troussier, interrogé sur les propos de Barthez, jeudi, indiquant ne pas craindre une éventuelle sanction.
«Je pense qu'il a le sentiment de payer pour tous les autres, d'avoir, seul, été "pilonné". Je ne me désolidarise pas de lui, je sais que l'homme est bon, qu'il se bat par exemple pour des oeuvres caritatives», a poursuivi Troussier Barthez est accusé d'avoir insulté et craché sur l'arbitre international Abdellah El Achiri à la fin du match amical Wydad-OM, arrêté à la 80e minute et qui n'a jamais repris, le 12 février à Casablanca.
FABIEN BARTHEZ, quel est ton sentiment sur l'affaire Casablanca ?
F.B. : Je ne suis pas venu devant la presse pour briser la glace quant à mon affaire avec l'arbitre marocain (Il est accusé d'avoir insulté et craché sur l'arbitre marocain du match amical entre Marseille et Wydad, le 12 février à Casablanca, ndlr). Ma présence ici n'a rien à voir. On m'a simplement demandé de venir mais on évoquera cette affaire après le 7 avril.
Tu doit tout de même être affecté par cet épisode ?
F.B. : Ça la première fois et ça n'est pas la dernière. Ça fait partie du métier. Quand on ne peut pas vous descendre sur le terrain, on le fait en dehors. Mais je ne suis pas affecté, pas du tout. Moi, je sais donc à partir de là... Je ne me sens pas du tout coupable. Je ne regrette rien. Je reste un homme comme les autres, et, comme on dit, on en a entre les jambes.
Pourtant, un an de suspension pourrait signifier la fin de votre carrière...
F.B. : Même si je risque un an de suspension, c'est rien ! Si c'est la fin, on partira à la retraite qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Personne n'est malade, il n'y a pas de mort. On fait tout un flan, je ne vois pas pourquoi. Il n'y a pas que Casablanca dans la vie. Ce n'est pas du tout important, cela ne représente absolument rien.
PFFFF
Barthez tu n’es qu’un sale abrouti, avec ta sale gueule tu devras partir à la retraite tout de suite, pourquoi attendre ???
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