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Une autoroute...sans aire de repos ni stations service!!!!
a
11 mai 2013 19:19
Le pouvoir algérien vient de reussir l'exploit de faire des autoroutes sans aires de repos ni station service et d'enormes malfaçons.
Au lieu de faire une fixette sur le sahara marocain il devrait apprendre des marocains comment commanditer et assurer la maitrise d'ouvrages d'autoroutes :

TSA le 10/10/13 :

L'autoroute Est-Ouest ne sera pas livrée avant trois ans : Amar Ghoul se montre ferme pour masquer ses échecs

Lancée fin 2006 pour un délai de 40 mois, la réalisation de l’autoroute Est-Ouest s’éternise. Le groupement japonais Cojaal, en charge de la réalisation du lot est de cette autoroute, peine à terminer les travaux. Selon nos informations, ce tronçon ne sera pas prêt avant 36 mois.

« Les travaux vont durer encore trois ans au minimum. Les Japonais font face à des problèmes de payement, mais surtout n’arrivent pas à trouver des solutions aux problèmes techniques aux glissements de terrain sur le tronçon Constantine-Skikda. Les tunnels réalisés sur cette partie glissent », explique une source proche du projet.

Ces mêmes Japonais, qui avaient impressionné à leur arrivée en Algérie les cadres du ministère des Travaux publics, en leur promettant de réaliser leur tronçon avec des technologies modernes. « Les Japonais ont proposé de sous-traiter les travaux aux Chinois, mais ces derniers, par fierté nationale, ont refusé », ajoute notre source.

L’autoroute Est-Ouest est devenue le plus grand scandale dans le secteur des travaux publics depuis l’indépendance du pays. L’un des plus grands projets d’infrastructures de base au monde, déjà sali par le scandale de corruption qui a éclaté en 2010, tourne au cauchemar pour Amar Ghoul et ses équipes, en majorité issues du MSP, l’ex-parti du ministre des Travaux publics.

Les tronçons centre et ouest, réalisés par le groupement chinois Citic-CRCC, ont été livrés sans aires de repos ni stations-service, et avec des malfaçons dans la réalisation de la chaussée et des ouvrages d’art.

Après avoir gardé le silence sur le retard enregistré dans ce projet, M. Ghoul fait dans la diversion pour masquer ses échecs. Hier, il a affirmé que le consortium japonais est sommé d’accélérer le rythme des travaux au niveau du tronçon Constantine-Skikda et le livrer dans les délais impartis.

Cojaal, qui a été payé, est « sommé d’améliorer le rythme des travaux sur les tronçons restants pour l’achèvement du projet dans les plus brefs délais », a déclaré le ministre à la presse hier au terme de la visite de travail qui l’a conduit dans plusieurs projets dans la capitale.

M. Ghoul n’évoque aucune sanction à l’encontre de Cojaal, qui devait livrer le projet début 2010. Pourquoi le ministre des Travaux publics n’applique pas les pénalités de retard au groupement Cojaal ?

Concernant l’état d’avancement des travaux sur le tronçon qui passe par Constantine (65 km), M. Ghoul a précisé qu’il ne restait que le bitumage de 250 m et l’aménagement des trois tunnels sur ce tronçon. Ce dernier comprend 5 échangeurs et 9 viaducs. Le ministre élude les problèmes techniques qui entravent l’avancement des travaux sur ce tronçon.

D’un coût de près de 11 milliards de dollars, l’autoroute Est-Ouest, qui s’étend des frontières marocaines aux frontières tunisiennes sur 1200 km, couvre une vingtaine de wilayas et renferme plus de 3 000 infrastructures, dont 124 ponts, 12 tunnels et 600 viaducs.


Riyad Hamadi



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/13 19:20 par axis7.
11 mai 2013 19:44
Cojaal, qui a été payé,

Je pense que tout est dit même une néophyte comme moi sait qu'il ne faut pas verser au prestataire l'intégralité du montant des travaux avant livraison.
De quel levier de pression dispose-il désormais? Euh aucun.
Exiger des pénalités de retard ne ferait qu'attirer l'attention sur l'incompétence la plus totale du sieur en question : incompétent mais pas totalement débile,il essaie de sauver ce qui a sauvé,à savoir son petit cul.

Mouarf.
Pour qui a un jour entamé des travaux ne serait-ce qu'à petite échelle il y a toujours une marge d'erreur entre le délai de projection de départ et le délai de réalisation effective qui est inclus généralement dans la projection "temps" de l'oeuvre.
Mais 3 ans comme une envie de loler qui monte en moi,c'est un chantier playmobil,ils se sont parfaitement adaptés à la réalité maghrébine : ils ont inclus le temps de "sieste" ^_^
a
11 mai 2013 19:49
Citation
PlifPlafPlouf a écrit:
Cojaal, qui a été payé,

Je pense que tout est dit même une néophyte comme moi sait qu'il ne faut pas verser au prestataire l'intégralité du montant des travaux avant livraison.
De quel levier de pression dispose-il désormais? Euh aucun.
Exiger des pénalités de retard ne ferait qu'attirer l'attention sur l'incompétence la plus totale du sieur en question : incompétent mais pas totalement débile,il essaie de sauver ce qui a sauvé,à savoir son petit cul.

Mouarf.
Pour qui a un jour entamé des travaux ne serait-ce qu'à petite échelle il y a toujours une marge d'erreur entre le délai de projection de départ et le délai de réalisation effective qui est inclus généralement dans la projection "temps" de l'oeuvre.
Mais 3 ans comme une envie de loler qui monte en moi,c'est un chantier playmobil,ils se sont parfaitement adaptés à la réalité maghrébine : ils ont inclus le temps de "sieste" ^_^

Gestion maghrebine... je ne suis pas d'accord.
Le Maroc pilote dans les temps ses projets d'autoroutes.
Je m’étonne que le pouvoir algérien qui a disposé de la manne pétrolière des les années 70 attende 2013 pour s’équiper d'une autoroute.
11 mai 2013 20:13
Il s'agissait ici d'un trait d'humour...j'aurai tout aussi bien pu dire gestion mexicaine ou gestion espagnole très cher

Je ne pense pas qu'il soit pertinent de comparer la mise en oeuvre du maillage autoroutier de pays aussi différents que le Maroc et l'Algérie.
Chaque pays a sa propre dynamique de fonctionnement et des besoins différents à des instants différents.

Je pense que le Maroc a su faire preuve de plus de clairvoyance dans le choix de ses partenaires,elle a privilégié un partenariat chinois (et leur savoir-faire avéré dans ce secteur) alors que les algériens ont opté pour un partenaire japonais avec un encadrement gangréné par la corruption et se sont retrouvés embourbés de facto dans un bourbier financier qui n'a pas aidé à l'avancement effectif des travaux...
a
11 mai 2013 20:37
Citation
PlifPlafPlouf a écrit:
Il s'agissait ici d'un trait d'humour...j'aurai tout aussi bien pu dire gestion mexicaine ou gestion espagnole très cher

Je ne pense pas qu'il soit pertinent de comparer la mise en oeuvre du maillage autoroutier de pays aussi différents que le Maroc et l'Algérie.
Chaque pays a sa propre dynamique de fonctionnement et des besoins différents à des instants différents.

Je pense que le Maroc a su faire preuve de plus de clairvoyance dans le choix de ses partenaires,elle a privilégié un partenariat chinois (et leur savoir-faire avéré dans ce secteur) alors que les algériens ont opté pour un partenaire japonais avec un encadrement gangréné par la corruption et se sont retrouvés embourbés de facto dans un bourbier financier qui n'a pas aidé à l'avancement effectif des travaux...

Les marocains n' ont pas fait appel aux chinois. En revanche le pouvoir algérien l'a fait pour d'autres tronçons qui présentent de graves malfaçons ( glissement de terrains etc...)
11 mai 2013 20:45
Il me semblait avoir lu à l'époque que la banque d'investissement européen avait participé au financement des autoroutes et qu'un partenariat avec des entreprises chinoises avait été mis en place
Je me souviens même avoir eu une discussion avec mon frère à l'époque sur le sujet,il s'était rendu sur place et m'avait certifié que des chinois travaillaient à la construction.
Mais si tu me dis le contraire mea culpa,j'en parlais en toute bonne foi...
Cela étant je m'en vais vérifier de ce pas bien sûr grinning smiley
11 mai 2013 20:48
Je pense que ceci vient confirmer mon propos

La Banque européenne d’investissement (BEI) vient d’accorder à la société Autoroutes du Maroc (ADM) un prêt de 2,4 milliards de DH (220 millions d’euros). Une enveloppe destinée à financer l’autoroute reliant Berrechid à Beni Mellal, dont les travaux de construction ont démarré en avril dernier. Le projet s’étend sur 172 kilomètres et s’inscrit dans le programme autoroutier à réaliser à l’horizon 2015. Le coût de construction de l’autoroute Berrechid-Beni Mellal s’élève à plus de 6 milliards de DH/HT. Outre la BEI, il sera financé par le Fonds arabe pour le développement économique et social (Fades) à hauteur de 1,54 milliard de DH, dont la convention a été signée en mars dernier. Autre bailleur de fonds mis à contribution dans ce projet, le gouvernement chinois, via la banque China Eximbank, pour un montant de 2,03 milliards de DH.Pour faciliter les travaux de construction, l’autoroute Berrechid-Beni Mellal a été subdivisée en cinq tronçons, qui ont été attribués à un groupement d’entreprises marocaines et à des sociétés chinoises. Ainsi, le tronçon Berrechid-Ben Ahmed (38,5 km) a été attribué à l’entreprise chinoise China International Water & Electric Corporation (CWE). Un groupement d’entreprises marocaines (Sintram, LRN, Seprob et SNCE) s’est vu adjuger la construction de deux tronçons: Ben Ahmed-Khouribga (38,5 km) et Khouribga-Oued Zem (33 km). Quant à l’axe Oued Zem-Kasba Tadla (40 km), il a été adjugé à l’entreprise marocaine Houar. Autre entreprise chinoise ayant décroché le marché de l’autoroute Berrechid-Beni Mellal, en l’occurrence le tronçon Kasba Tadla (22 km), Covec.
a
11 mai 2013 22:52
Citation
PlifPlafPlouf a écrit:
Je pense que ceci vient confirmer mon propos

La Banque européenne d’investissement (BEI) vient d’accorder à la société Autoroutes du Maroc (ADM) un prêt de 2,4 milliards de DH (220 millions d’euros). Une enveloppe destinée à financer l’autoroute reliant Berrechid à Beni Mellal, dont les travaux de construction ont démarré en avril dernier. Le projet s’étend sur 172 kilomètres et s’inscrit dans le programme autoroutier à réaliser à l’horizon 2015. Le coût de construction de l’autoroute Berrechid-Beni Mellal s’élève à plus de 6 milliards de DH/HT. Outre la BEI, il sera financé par le Fonds arabe pour le développement économique et social (Fades) à hauteur de 1,54 milliard de DH, dont la convention a été signée en mars dernier. Autre bailleur de fonds mis à contribution dans ce projet, le gouvernement chinois, via la banque China Eximbank, pour un montant de 2,03 milliards de DH.Pour faciliter les travaux de construction, l’autoroute Berrechid-Beni Mellal a été subdivisée en cinq tronçons, qui ont été attribués à un groupement d’entreprises marocaines et à des sociétés chinoises. Ainsi, le tronçon Berrechid-Ben Ahmed (38,5 km) a été attribué à l’entreprise chinoise China International Water & Electric Corporation (CWE). Un groupement d’entreprises marocaines (Sintram, LRN, Seprob et SNCE) s’est vu adjuger la construction de deux tronçons: Ben Ahmed-Khouribga (38,5 km) et Khouribga-Oued Zem (33 km). Quant à l’axe Oued Zem-Kasba Tadla (40 km), il a été adjugé à l’entreprise marocaine Houar. Autre entreprise chinoise ayant décroché le marché de l’autoroute Berrechid-Beni Mellal, en l’occurrence le tronçon Kasba Tadla (22 km), Covec.


Autant pour moi.... On remarquera qu'il y a des entreprises marocaines qui font aussi nos autoroutes. C'est un bon moyen de créer une industrie et d'exporter le savoir faire acquis notamment en Afrique où le Maroc est dynamique.

Renseignement pris le consortium chinois choisi par le Maroc n'est pas celui qui a sévit chez le pouvoir algérien...Ouf.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/05/13 20:35 par axis7.
M
12 mai 2013 12:12
Citation
axis7 a écrit:
Citation
PlifPlafPlouf a écrit:
Il s'agissait ici d'un trait d'humour...j'aurai tout aussi bien pu dire gestion mexicaine ou gestion espagnole très cher

Je ne pense pas qu'il soit pertinent de comparer la mise en oeuvre du maillage autoroutier de pays aussi différents que le Maroc et l'Algérie.
Chaque pays a sa propre dynamique de fonctionnement et des besoins différents à des instants différents.

Je pense que le Maroc a su faire preuve de plus de clairvoyance dans le choix de ses partenaires,elle a privilégié un partenariat chinois (et leur savoir-faire avéré dans ce secteur) alors que les algériens ont opté pour un partenaire japonais avec un encadrement gangréné par la corruption et se sont retrouvés embourbés de facto dans un bourbier financier qui n'a pas aidé à l'avancement effectif des travaux...

Les marocains n' ont pas fait appel aux chinois. En revanche le pouvoir algérien l'a fait pour d'autres tronçons qui présentent de graves malfaçons ( glissement de terrains etc...)

M'enfin, t'es vraiment sur que LES CHINOIS NE CONSTRUISENT PAS AU MAROC ?
12 mai 2013 12:52
salam

j'en étais sur qu'il s'agissait encore et encore de l'algérie en voyant le pseudo en dessous du titre , qu'est ce tu veux les algériens sont des vrais ils ne reposent jamais

sur ce salam
a
12 mai 2013 20:31
Malversations, surévaluation des interventions, travaux mal finis, retards à la pelle, sous-traitants incompétents, le feuilleton de l'autoroute Est-Ouest n'est pas fini.
Retards et scandales auront émaillé cette autoroute est-ouest. Retards et scandales auront émaillé cette autoroute est-ouest.

L’argent réclamé par le consortium japonais chargé de la réalisation de la partie Est de l’autoroute Est-Ouest pour l’achèvement du tronçon Constantine-Skikda a été "versé, il y a près de deux mois, par le gouvernement algérien", a indiqué, mercredi, le directeur général de l’Agence nationale des autoroutes (ANA), M. Mohamed Ziani, joint par l’APS.

Décidément tout le monde se sera sucré sur cette autoroute dont les automobilistes algériens attendent la fin des travaux depuis dix ans. Outre les scandales financiers lors de la passation du marché, les détournements de toutes sortes, dans lesquels l’ancien ministre Amar Ghoul ainsi qu’une flopée d’importantes huiles de l’Etat, voilà qu’on nous annonce que Cojaal a reçu son argent sans avoir fini les travaux. Faut-il rappeler les surcoûts estimés à 7 milliards de dollars ? Des analystes observent que l’autoroute algérienne est la plus cher au monde avec malheureusement de nombreuses contrefaçons et des retards à la pelle.

Cojaal boude les travaux

Le coût total des travaux de base ou complémentaires devant être réalisés dans le cadre de ce chantier a été "versé le 12 mars 2013 au Fonds national de l’investissement (FNI) conformément aux directives du Premier ministre, Abdelmalek Sellal", a affirmé M. Ziani, précisant que ce sont les Japonais qui n’ont pas encaissé ces fonds pour "des raisons qui n’ont rien à voir avec la partie algérienne".

Le responsable a ajouté, dans ce contexte, que la partie japonaise n’a pas présenté, jusqu’ici, la prorogation du délai de caution, document indispensable et réglementaire à présenter dans la conclusion de ce genre de transactions. "Toutes les facilités multiformes accordées par le gouvernement algérien au consortium japonais Cojaal depuis la remise de l’ordre de service (ODS) en septembre 2006", confie le directeur général de l’ANA. Pour autant, les Japonais ne semblent pas pressés de finir les travaux.

Le gouvernement algérien a pourtant mis les bouchées doubles pour honorer les engagements du Premier ministre lors de sa visite de travail dans la wilaya de Constantine en février 2013 pour régler les problèmes des factures impayées et permettre ainsi au consortium japonais de livrer le chantier dans les délais impartis, a souligné le responsable, précisant que si erreur il y a, elle incombe à la seule partie japonaise.

Soulignant qu’une "régression dans le rythme des travaux a été observée sur le tronçon Constantine-Skikda", M. Ziani a affirmé que la partie algérienne veillera à ce que les "pendules soient remises à l’heure". Mais le problème serait ailleurs puisque certaines sources confient que le groupe japonais n’avait pas les reins solides pour un projet comme celui du tronçon qu’il est chargé de réaliser.

Long de 65 km, le segment de l’autoroute Est-Ouest traversant la wilaya de Constantine est constituée de trois tunnels, de cinq échangeurs et de neuf viaducs, a-t-il noté, rappelant qu’un linéaire de 35 km entre les localités d’Ain Smara et d’El Meridj, près d’El Khroub, a déjà été ouvert à la circulation.

Autoroute sans stations-service

Quand le projet a été lancé, ses initiateurs pour des raisons mystérieuses n’avaient pas inclus la construction de stations-service, segment pourtant indispensable pour ce genre de réalisation. A la fin de certains tronçons de plusieurs centaines de km, les automobilistes étaient obligés de faire des détours pour faire le plein de carburant ou se reposer.

On sait depuis les révélations d’El Watan que l'ancien ministre de l'Energie Chakib Khelil était prêt à céder la gestion des stations-service de l'autoroute est-ouest à ses amis qataris. Il était ainsi disposé à "torpiller Naftal", au bénéfice du groupe qatari Qatar Fuel Woqod, détenu par Abdullah Ben Hamad Al Attiyah, ministre de l'Energie et de l'Industrie qatari. Un marché de plusieurs milliards qui aurait permis au groupe qatari de mettre la main sur un des vecteurs de transport stratégiques du pays : la gestion des stations-services.

Bref, cette autoroute qualifiée par Bouteflika de projet du siècle vire au scandale du siècle. Car il n’a pas fini de révéler tous les scandales l’ayant émaillé. Ce n’est qu’en février dernier que l’entreprise Naftal a inauguré sa dixième station-service sur cette bande routière de plus de 1000 km. En clair les automobilistes algériens sont pour le moment obligés d’avoir des réservoirs pour rouler 1000 km. C’est dire que l’impéritie et l’incompétence des initiateurs de ce projet.

L'appel d'offres international limité pour le projet de l'autoroute Est-Ouest a été lancé le 23 juillet 2005. Plusieurs réponses furent enregistrées mais c'est finalement deux consortiums qui ont été sélectionnés : le Chinois CITIC-CRCC et le Japonais Cojaal. Les contrats de réalisation signés le 18 septembre 2006 pour un délai de 40 mois. Depuis les retards s’accumulent.

Yacine K./APS
 
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