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Attaque du FLN contre Toufik Médiene chef de l'Algérie
a
3 février 2014 12:01
saadani est le patron du FLN : lire son interview sur le rôle de Toufik ou general Mediene le chef de la DRS service secret algériens qui sont une police politique qui a mis en coupe reglée et sous terreur l'Algérie et sa presse.


Amar Saadani : « Toufik aurait dû démissionner… »
Propos recueillis par Katia Mehdi


3 fevrier 2014



Vous venez de mettre fin à la fonction de plusieurs Mouhafedhs, alors que l’ex-coordinateur du FLN Abderrahmane Belayat dit avoir atteint le quorum qui lui permet de convoquer un Comité central extraordinaire. Quelle est la situation réelle au sein de votre parti ?

Le FLN est un parti stable. Ses instances, y compris le bureau politique, les Kasmas et les Mouhafadhas fonctionnent normalement. Mais un groupe, à sa tête, Abderrahmane Belayat, tente de le déstabiliser en vain. Ce groupe est connu pour son rôle dans les différents coups d’État scientifiques contre les chefs du FLN depuis Abdelhamid Mehri jusqu’à cette tentative de putsh qui vise ma personne.

Vous accusez vos détracteurs d’être des chargés de mission. Si c’est le cas, ils le font au profit de qui?

Belayat dit à son entourage qu’il est mandaté par « Si Ali » qui est le général Toufik. Belayat travaille sous les ordres de Si Toufik. Ce dernier est impliqué dans cette tentative de déstabilisation qui vise le parti et son secrétaire général.

Personnellement, lorsque j’ai évoqué l’opportunité de séparer le DRS du politique, j’ai visé principalement le département de la sécurité intérieure et j’ai épargné les deux autres départements du DRS qui sont, la sécurité militaire et la sécurité extérieure.

Il faut savoir que c’est le département de la sécurité intérieure qui a gardé toujours un lien et une proximité avec la classe politique, la presse et la justice. J’ai dit et je le répète, ce département a interféré dans le travail de la justice, des médias et des partis politiques. Pour le FLN, des colonels ont approché des membres du Comité central pour me destituer. La sécurité intérieure ne peut pas nier qu’elle agit sous les ordres du général Toufik. Ce département outrepasse ses prérogatives.

Pour quel intérêt ?

La présence de la sécurité intérieure dans toutes les institutions laisse une impression que le pouvoir en Algérie n’est pas civil. Les agents de ce département sont partout : dans les APC, la présidence, au sein des partis politiques. Cela ne peut pas contribuer à l’édification d’un État civil.

Plusieurs partis ont été victimes des interférences de la sécurité intérieure. C’est le cas du FLN, le parti de M. Djaballah, le FFS. Cela se fait toujours sous les ordres de Toufik. C’est une réalité.

Or, si nous évaluons les missions de la sécurité intérieure dans certaines affaires importantes, on constatera que ce service a multiplié les échecs. Malheureusement, au lieu de s’occuper de la sécurité du pays, ce département s’est occupé des affaires des partis politiques, de la justice et de la presse.

Dans quels domaines ce département a-t-il échoué ?

Les exemples sont multiples. Ce département avait failli dans la protection et la sécurité du président Mohamed Boudiaf. Il n’a pas su protéger Abdelkader Benhamouda , ni les moines de Tibehirine, ni les bases de pétrole dans le sud, ni les employés des Nations unies en Algérie , ni le Palais du gouvernement. Cette direction n’a pas su bien protéger le président Bouteflika à Batna où il avait été la cible d’une tentative d’assassinat. A mon avis ,Toufik aurait dû démissionner après ces échecs.

Je répète, en ma qualité du patron du FLN, je refuse l’interférence de la sécurité intérieure dans les affaires du parti. Nous l’invitons à s’occuper des questions sécuritaires.

La place des militaires est dans la caserne. Que fait un colonel au Sénat? De quel droit assiste-il aux réunions du Comité central d’un parti?

La présence de la sécurité intérieure dans les institutions n’est pas justifiée. Dans mon pays, le wali, les chefs d’entreprises sont contrôlés par des colonels. Je ne comprends pas pourquoi les téléphones des responsables sont mis sur écoute, alors que seul le juge est en droit d’ordonner ça. Je ferai l’impasse sur les enquêtes d’habilitation, qui empêchent des cadres d’exercer s’ils n’ont pas l’avis favorable du colonel.

Qui est visé par « le plan de déstabilisation du FLN », Amar Saadani ou Abdelaziz Bouteflika ?

Nous, au FLN, on veut que le général Toufik cesse de s’immiscer dans les affaires du parti. En fait, lui n’est pas en position de dire oui ou non à la candidature du président Bouteflika à la prochaine présidentielle.

Vous soutenez la candidature de Bouteflika. Pensez-vous qu’il est en mesure de relever les défis imposés aussi bien par la conjoncture à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays?

Il y a des tentatives visant à déstabiliser le pays surtout dans le sud et sur la bande frontalière. Des mains étrangères et algériennes sont impliquées. Une raison pour laquelle nous disons que le président Bouteflika représente une garantie pour la stabilité et la sécurité du pays

L’influence du frère d’Abdelaziz Bouteflika, Said, dans la gestion des affaires du pays est relevée par nombre d’observateurs...

C’est une rumeur et un mensonge. On ne cesse d’inventer des histoires sur le cercle proche du président. Je vous fais remarquer que tous les cadres d’État ciblés par ces campagnes de dénigrement sont proches du président. C’est le cas du SG du FLN ou de Chakib khelil, l’ex-ministre de l’Énergie et des Mines

Qui est l’origine de ces rumeurs ?

C’est le DRS. On a fait éclaté, soit-disant, le scandale de Sonatrach pour cibler Chakib khelil qui est l’un des cadres les plus intègres et le plus compétent de l’Algérie. C’est à son époque que Sonatrach a doublé sa production. Et que le pays a épuré sa dette.

Vous défendez Khelil alors que la justice algérienne l’a incriminé?

La justice algérienne a agi en dehors du cadre fixé par la loi. En fait, on l’a poussée à le faire. En Algérie, à chaque fois qu’on souhaite liquider un président on lui invente un scandale. En 97, c’était le Général Betchine et la cible fut Liamine Zeroual. En 2004, c’est l’affaire khalifa et la cible fut Bouteflika. En 2014, la cible est la même mais le scandale est différent, il s’agit de Sonatrach, sans omettre l’extradition de Khalifa Abdelmoumen.

Je suis en droit de poser les questions suivantes. Les colonels étaient bel et bien présents dans les sociétés qui avaient injecté leur argent dans la banque Khalifa. Quel a été leur rôle? Pourquoi ils avaient laissé l’argent sortir de la société vers la banque? Et qu’en est-il pour l’argent transféré à l’étranger par Abdelmoumen Khalifa ? Cet argent fut transféré soit par l’aéroport soit par le port. Deux infrastructures qui connaissent une forte présence des colonels du DRS. Où est l’argent de Khalifa ?

C’est clair, cette affaire comme celle de Sonatrach ont pour but d’empêcher le président Bouteflika à briguer un nouveau mandat.

Vous vous attaquez frontalement au Général Toufik. Pourquoi ?

Je milite pour la séparation des pouvoirs. Pour un État civil. Je dis par contre que si un mal m’arrive, ce sera l’œuvre de Toufik.

Quel est votre rapport avec Abdelmalek Sellal?

J’ai de bons rapports avec M. Sellal, c’est un homme de réconciliation.

Du nouveau sur la révision de la Constitution?

Ça sera fait après la présidentielle.





lundi, 03 février 2014 11:16



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/02/14 12:02 par axis7.
a
3 février 2014 15:27
Et voilà la reponse de Mohamed Chicou Journaliste emprisonné par Bouteflika pour avoir été traité d'imposteur :




lundi, 03 février 2014 15:00
La chronique de Benchicou Le marchand de salades Saadani
Mohamed Benchicou



La propulsion d’Amar Saadani à la tête du FLN, accusé à tort ou à raison, de s’être livré à des actes de prédation, augurait déjà d’un triomphe du paradoxe algérien. Sa dernière interview à TSA (ce jour 3 février) où il se livre à une attaque frontale contre le patron des services, Toufik, achève de nous rassurer : le clan présidentiel nous prend bien pour des gogos !

Le sieur Saadani, parachuté à la tête du parti à la faveur d'un gravissime mépris envers Conseil d'Etat, trouve toutefois l'aplomb nécessaire pour s'indigner contre les "méthodes anti-démocratiques" qui ont cours dans ce pays ! Mesurons la chance de pouvoir disposer de si désopilants dirigeants politiques capables de surpasser, en drôlerie, les grands comiques du siècle. C’est toujours dans les moments de grande impasse politique que se révèlent les talents drolatiques des politiciens, notamment chez ceux parmi les moins dotés d’intelligence et les plus enclins au cynisme.

Saadani, en perdant si grossièrement son sang-froid, confirme deux choses : une lutte au sommet (avec implication probables de forces extérieures) rend moins certaine la reconduction du président Bouteflika pour un quatrième mandat ; l'affolement gagne le clan présidentiel, impliqué dans de graves malversations durant ces 15 dernières années, et qui entrevoit, avec le probable départ de l'actuel chef de l'État, la fin d'une période d'impunité de 15 ans ! Et pour qu'il n'y ait pas de doute là-dessus, le secrétaire général de l'ex-parti unique s'abandonne, dans cette même interview, à absoudre d'autorité l'ancien ministre de l'Energie, sous le coup d'un mandat d'arrêt international : « On a fait éclater le soi-disant scandale de Sonatrach pour cibler Chakib khelil qui est l’un des cadres les plus intègres et le plus compétent de l’Algérie. C’est à son époque que Sonatrach a doublé sa production. Et que le pays a épuré sa dette. »

Inutile de préciser qu'Amar Saadani est arrivé à cette conclusion sans aucune contre-enquête ! Le clan présidentiel, à ses yeux, c'est la confrérie des anges : le fait d'y appartenir, vous exonère de tout soupçon. L'ancien président de l'Assemblée nationale ne nous dit pas si l'innocentement de Chakib Khelil s'applique aussi pour le wali Bouricha, et pour ceux qui, parmi l'entourage direct de Bouteflika, ont profité de la manne Khalifa, comme le frère du président ou son directeur du protocole.

Saadani, dont on ne soupçonnait ni la virginité politique ni les états de service de démocrate, s'émeut que le DRS s'ingère dans la politique ! « Nous, au FLN, on veut que le général Toufik cesse de s’immiscer dans les affaires du parti. En fait, lui n’est pas en position de dire oui ou non à la candidature du président Bouteflika à la prochaine présidentielle. » Il est facile de traduire cette mauvaise humeur par : « Nous, clan présidentiel, on veut bien que le général Toufik s’immisce dans les affaires politiques, mais pour notre seul profit ! »

Car, enfin, qui croirait que le clan présidentiel milite pour l'abolition de l'Etat-DRS ? Ne sommes-nous pas en train de vivre une usurpation de prérogatives présidentielles par un groupe non identifié qui décide à la place d'un président malade. Cette coterie, qui fait signer le président ou qui signe à sa place, qui l'a élue ? Nous assistons à un transfert de souveraineté à des groupes mafieux qui profitaient déjà du pouvoir irresponsable de Bouteflika mais qui, depuis la maladie de ce dernier, se sont emparés des dernières manettes qui leur manquaient. Qui entendrait parler d'Amar Saadani sans l'immixtion du DRS dans la politique ? Sur quelles autres listes que celles concoctées dans les cabinets du DRS étaient élus les députés de la chambre dont le sieur Saadani était le vénérable président ? Dans cette Algérie livrée aux illégitimités, chaque force illégitime revendique de profiter elle seule des fruits de l'illégitimité !

Bouteflika lui-même aurait-il vu le jour en qualité de président sans le DRS ? Le chef de l'Etat est l'enfant naturel de l'Etat-DRS ! Il s'en revendique même. Relisons ce qu'il affirmait à la journaliste Elisabeth Shemla en 1999 : « « Je voulais être en effet le candidat de l’Armée. Uniquement de
l’Armée. Je ne voulais avoir de fil à la patte ni avec la société civile ni avec la mouvance islamiste. En tant que candidat de l’Armée, je me présentais en réconciliateur. » (Elisabeth Shemla, Mon journal d’Algérie, novembre 1999 - janvier 2000, Flammarion).

Bouteflika ne s’oppose pas à l’Etat-DRS, il s’oppose à l’Etat-DRS qui n’est pas le sien. Il a toutefois toujours su jouer de l’obsession anti-DRS comme d’un épouvantail. Il a suscité des élucubrations salutaires chez les singes savants. Il a fait maître de folles illusions chez les bonnes pommes. Surtout ne jamais démentir ceux qui, parmi les esprits benêts, vous prêtent la grandeur d’âme de vouloir « en finir avec l’Etat-DRS ». Surtout ne pas contrarier cette opposition amnésique qui vous invente un si beau martyre, le martyre de la « marionnette entre les mains des généraux ». Il en rajoute à l’occasion, prend la posture un pantin désarticulé. «Si tu savais changer de nature quand changent les circonstances, ta fortune ne changerait point », a dit Nicolas Machiavel.

La morale de toute cette histoire ? L'Algérie est fatiguée de l'État-DRS de Bouteflika comme de l'État-DRS de Toufik. Elle est fatiguée par un demi-siècle de viol des libertés. Elle revendique l'autodétermination. C'est l'Etat-DRS de Toufik qui a créé les Saadani et autres Chakib Khelil, par le fait même que le supposé "transfert au pouvoir civil", effectué dans des opacités anti-démocratiques" s'est transformé en "transfert aux groupes mafieux". Il est temps d'organiser un véritable transfert du pouvoir au peuple !

Cette armée qui prétend à la similitude avec l’armée turque, va-t-elle enfin cesser de tourner le dos à l'histoire ? À ses obligations historiques. Mustafa Kemal était un général et, comme en Algérie, ce sont les militaires qui gagnèrent la guerre d'indépendance. Mais en Turquie, ils fondèrent le nouvel Etat-Nation et l’armée est depuis la fin de l'Empire ottoman, un facteur de modernisation et cette vocation modernisatrice n’a pu se confirmer qu’après la fondation du nouvel Etat, de la République par Mustafa Kemal. Aujourd’hui l’armée turque protège un socle démocratique pérenne bâti sur trois principes le laïcisme, le républicanisme et le nationalisme, considérés par l'armée comme le fondement du kémalisme. Que protègent donc les chefs de l’armée algérienne ? Leur humeur sans doute.

En 1962, les chefs militaires, au tempérament plutôt maussade, avaient entrepris de confisquer l'indépendance, de renvoyer le gouvernement provisoire et de s'installer sur le trône, avec un civil comme paravent. En 1965, remontés contre le dit civil, ils ont choisi de l'écarter et de se passer de paravent. En 1979, dans une disposition arrogante, ils ont reconduit un général à la tête du pays avant de le faire démettre, 13 ans plus tard, pour cause de victoire des islamistes aux législatives. En 1995, renouant avec le flegme, ils font élire massivement un autre général, Liamine Zéroual, avant d'être rattrapés par leur humeur anxieuse, et de décréter, sous le coup du malaise d'une Armée qui "ne voulait plus être au centre du système politique" : le militaire Zéroual est poussé vers la porte de sortie et le pouvoir est transféré aux civils, en l'occurrence au « civil » Abdelaziz Bouteflika.

Et le peuple, dans tout ça ? Eh bien, le peuple, il ne compte pas, comme dirait l'autre. L'humeur des généraux l'emporte toujours sur le choix populaire. Cela n'est pas une République, mon général ! Ou, tout au plus, celle d'Amar Saadani
3 février 2014 19:30
on a toujours dit que l'algérie est une république " militaire " , gérée par des " caporaux ", et que le civil boutefrika est un jouet et une marionnette .
Pauvres algériens !
pauvres zélés de ce forum qui défendent leurs bourreaux !
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
3 février 2014 20:25
Une république bananière plutôt. La junte militaire au pouvoir n'a pas changé depuis 50 ans. On se souvient du défunt président Boudiaf assassiné lâchement devant les télé du monde en live. Leurs expert on dis que c'est un cas isolé! Tu m'étonne avec un taoufik medienne génocidaire du peuple algérien. Il a fait 350 milles morts et 50 milles disparut et il est même pas inquiété! Ou est le nif? Ariel Sharon est agneau à côté.
3 février 2014 21:12
@axis7
Te casse pas le ku
K ils s'entrebouffent ou k ils s'embrassent on en a rien à cirer de ces infos



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/02/14 19:23 par momo8002.
a
4 février 2014 11:59
Et une preuve de plus que la DRS controle les journaux algériens :

TSA:
Mardi, 04 février 2014 09:44

La majorité des journaux accable Saâdani et défend le général Toufik



La plupart des titres de la presse nationale ont repris et commenté, ce mardi 4 février, les accusations formulées par le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani contre le DRS et particulièrement le général Mediène dit Toufik dans son entretien publié hier par TSA. La majorité des journaux ont accablé Saâdani, soulignant que ce dernier n’a pas agi seul, et ont épargné le général Toufik. Les titres ont ignoré le principal débat que posent les propos de Saadani : le rôle du DRS dans la vie politique du pays.

Plusieurs journaux comme El Watan, Le Soir d’Algérie ou encore le Jeune Indépendant soulignent que c’est le clan Bouteflika qui est derrière la sortie de Saâdani et l’accuse de vouloir affaiblir le DRS. « Pourquoi le clan présidentiel cible Toufik », titre en une El Watan. Avant d’analyser : « Visiblement sonnés de voir s’éloigner l’option du 4e mandat pour Bouteflika, Amar Saâdani, et ceux comme lui, qui y travaillent depuis des mois semblent ainsi perdre leur sang-froid ». El Watan rappelle que Bouteflika a mis fin aux fonctions de plusieurs généraux au sein du DRS dès son retour du Val-de-Grâce.

Pour Le Soir d’Algérie, la sortie de Saâdani est « plus significative encore en ce qu’elle enchaîne avec le doux mais profond lifting entrepris depuis septembre 2013 par Bouteflika dans les structures des services de renseignements. De ce fait d’ailleurs, la sortie d’hier, d’Amar Saâdani ne peut pas relever de l’impudence qu’aurait commise un apprenti politique grisé par l’ambition ».

D’autres journaux comme Liberté, Algérie News, Le Quotidien d’Oran ou El Khabar mettent l’accent sur le début d’« un conflit ouvert » au sommet du régime.
La majorité des journaux accable Saâdani et défend le général Toufik



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/02/14 14:58 par axis7.
s
4 février 2014 12:15
Je suis algerien et je me fait pas autant de soucis que toi tu doit en passer des nuits blanches .
Pour ce saidani , cet artiste a l'habitude de faire du spectacle. Vous remarquez qu'il parle en son nom et non pas de celui de son parti. Pour ce qui est des elections:
1/Si le président voulait d'un 4ème mandat, il n' a pas besoin de qui que ce soit pour l'annoncer, encore moins de Saidani!!
Tous spéculent, manipulent et mentent.
2/ Pourquoi lui "refuser", à l'avance, de se présenter sans que lui-même ne le déclare?
3/ Polémiquer ainsi sur une crainte qu'il ne se porte candidat suppose:
- Qu'ils ne croient pas au vote, mais à la fraude ( dans le cas de Bouteflika qui frauderait en sa faveur? l'Administration?, l'armée?, les deux? Dans ce cas, il doit être encore très fort!! Qu'il est le consensus.
- Que vous croyez à la transparence du vote et donc vous craignez qu'il sorte vainqueur. Vous voulez donc empecher le peuple de choisir celui dont vous êtes sur qu'il l'emportera.
[color=#FF0033][i]C[color=#00CC66]e n'est pas parce que l'homme a soif d'amour qu'il doit se jeter sur la premiere gourde!
4 février 2014 15:30
Et voilà encore un capôral qui défend le " militarisme " et la " dictature du régime " ! pauvres algériens !

Le général Yala apporte son soutien au chef du DRS
Il accuse Saâdani d’agir contre la sécurité du pays!
Lilia Oufella

Le général Yala accuse Amar Saâdani d’agir « contre la sécurité du pays » et qualifie de « graves accusations publiques » les déclarations de Saâdani sur le général Toufik. « Le secrétaire général du FLN vient une nouvelle fois de porter de graves accusations publiques contre nos services de sécurité, sans les étayer. Ce sinistre personnage, dont tout le monde sait qu’il n’aurait jamais dû accéder à ce niveau de responsabilité, agit ouvertement contre la sécurité du pays », indique le général dans un communiqué rendu public ce mardi 4 février.

Mohand Tahar Yala, candidat à la présidentielle du 17 avril prochain, juge les propos de Saâdani d’ « agissements inacceptables ». « Nous refusons toute atteinte aux organes qui sont chargés d’assurer la sécurité du pays, car ils constituent le système immunitaire qui protège la nation contre toutes les agressions, d’où qu’elles viennent ».

Le général Yala appelle les autorités de l’État à agir pour éviter « l’éclatement du pays ». « Nous exigeons des autorités de l’État qu’elles y mettent fin immédiatement. A défaut, le pouvoir en place ouvre une brèche pour toutes les dérives dont le résultat recherché est connu : créer le chaos pour aboutir à l’éclatement du pays au profit des puissances qui le convoitent », précise-t-il dans le même communiqué.

Il accuse certaines parties de vouloir « imploser le pays de l’intérieur ». « Au moment où ces puissances ont fini leur opération d’encerclement du pays par des conflits qui nous menacent sur toutes nos frontières, certains ont choisi de s’inscrire dans le prolongement de leur stratégie pour imploser le pays de l’intérieur, au même titre que ceux qui ont choisi, il y a près de 60 ans, de pactiser avec le colonialisme pendant que nos valeureux martyrs consentaient le sacrifice suprême pour libérer le pays de l’asservissement », a-t-il ajouté.

Le général appelle aussi « les Algériens et Algériennes à une prise de conscience collective pour faire échec à ce complot ».

[www.tsa-algerie.com]
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
a
4 février 2014 15:55
Citation
demha a écrit:
Et voilà encore un capôral qui défend le " militarisme " et la " dictature du régime " ! pauvres algériens !

Le général Yala apporte son soutien au chef du DRS
Il accuse Saâdani d’agir contre la sécurité du pays!
Lilia Oufella

Le général Yala accuse Amar Saâdani d’agir « contre la sécurité du pays » et qualifie de « graves accusations publiques » les déclarations de Saâdani sur le général Toufik. « Le secrétaire général du FLN vient une nouvelle fois de porter de graves accusations publiques contre nos services de sécurité, sans les étayer. Ce sinistre personnage, dont tout le monde sait qu’il n’aurait jamais dû accéder à ce niveau de responsabilité, agit ouvertement contre la sécurité du pays », indique le général dans un communiqué rendu public ce mardi 4 février.

Mohand Tahar Yala, candidat à la présidentielle du 17 avril prochain, juge les propos de Saâdani d’ « agissements inacceptables ». « Nous refusons toute atteinte aux organes qui sont chargés d’assurer la sécurité du pays, car ils constituent le système immunitaire qui protège la nation contre toutes les agressions, d’où qu’elles viennent ».

Le général Yala appelle les autorités de l’État à agir pour éviter « l’éclatement du pays ». « Nous exigeons des autorités de l’État qu’elles y mettent fin immédiatement. A défaut, le pouvoir en place ouvre une brèche pour toutes les dérives dont le résultat recherché est connu : créer le chaos pour aboutir à l’éclatement du pays au profit des puissances qui le convoitent », précise-t-il dans le même communiqué.

Il accuse certaines parties de vouloir « imploser le pays de l’intérieur ». « Au moment où ces puissances ont fini leur opération d’encerclement du pays par des conflits qui nous menacent sur toutes nos frontières, certains ont choisi de s’inscrire dans le prolongement de leur stratégie pour imploser le pays de l’intérieur, au même titre que ceux qui ont choisi, il y a près de 60 ans, de pactiser avec le colonialisme pendant que nos valeureux martyrs consentaient le sacrifice suprême pour libérer le pays de l’asservissement », a-t-il ajouté.

Le général appelle aussi « les Algériens et Algériennes à une prise de conscience collective pour faire échec à ce complot ».

[www.tsa-algerie.com]


La sortie de ce general yala illustre jusqu'à la caricature l'archaisme des apparatchiks du pouvoir algérien. Dès qu'on attaque le pré carré ils ressortent la main des etrangers ( Maroc, France, Israël et CIA qui au passage a des bases en Algérie accordées par ce même pouvoir) et les HArkis bien sur....

A mourir sinon à pleurer... de rire
5 février 2014 15:50
Merci au " copier-coller " !


Algérie : les services de renseignements déposent plainte contre le SG du FLN
05/02/2014 - 13:05

ALGER (SIWEL) — Le département de renseignements et de sécurité, DRS, a déposé une plainte contre le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, suite aux attaques et accusations de ce dernier contre le chef des services spéciaux. Du jamais vu au sein de la même famille politique qui dénote une véritable déliquescence du système algérien qui jusqu'à Bouteflika a fonctionné plus ou moins en harmonie en fonction des intérêts suprême des clans qui composent le pouvoir occulte algérien

C’est une première dans les annales politiques algériennes. Le DRS, ce mythique détenteur du pouvoir en Algérie, vient de déposer une plainte contre le SG du FLN, un parti au pouvoir. Les accusations, gravissimes du Sg du FLN contre ce corps relevant de l’ANP a fait, d’abord réagir les supplétifs du général Toufik, dans la presse, avant que celui-ci passe à l’action et intente une action en justice contre son détracteur.

Les accusations portées contre le général Toufik ne sont pas des moindres. Saâdani l’a en effet, accusé d’inaction lors de l’assassinat de Boudiaf à Annaba le 29 juin 1992, l’attaque à la bombe contre Bouteflika à Batna en 2009, et l’enlèvement puis l’assassinat des Moines de Tibhirine. Il l’a accusé aussi de corruption et d’ingérence dans les affaires des partis et mouvements politiques, notamment de l'opposition. Un secret de Polichinelle que vient d'avancer Saâdani, mais lorsque ces déclarations viennent d’un aussi haut responsable au sein du régime, l’enjeu est de taille et l'objectif est aussi important.

aai
SIWEL 05 1305 FEV 14

[www.siwel.info]

----------- Sans commentaires !!
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
L
5 février 2014 16:02
on s'en tape
5 février 2014 18:01
Citation
LE ЯOI a écrit:
on s'en tape

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