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Assez de dérobades, il faut intervenir en Syrie !
c
24 octobre 2012 15:03
Assez de dérobades, il faut intervenir en Syrie !

LE MONDE | 22.10.2012 à 14h27 • Mis à jour le 22.10.2012 à 14h30
Le gang barbare des Assad et les extrémistes islamistes sont les ennemis de l'avenir démocratique de la Syrie. Ce sont les ennemis de la paix au Moyen-Orient. Ce sont nos ennemis. Lorsque la contestation a démarré à Deraa, en mars 2011, dans la foulée des "printemps arabes", nul n'aurait imaginé que, vingt mois plus tard, le régime baasiste en serait venu à massacrer près de 40 000 personnes, à en enlever, torturer ou faire disparaître des milliers d'autres, à faire donner les tanks et l'aviation contre son propre peuple.

Nul n'aurait imaginé non plus que la communauté internationale allait abandonner les populations syriennes aux mains de leurs bourreaux. Dès que la contestation s'est heurtée au feu des troupes de Bachar Al-Assad, les banderoles des manifestations, alors pacifiques, réclamèrent un soutien international. Lorsque l'armée et les miliciens chabbiha ont commencé à assassiner en masse, les opposants ont interpellé les consciences en demandant pourquoi l'on ne faisait pas pour la Syrie ce qui avait été fait pour la Libye.

Mais seul un terrible silence a répondu à cet appel. De sorte qu'au fil des mois, les révolutionnaires en sont venus à dénoncer d'abord l'indifférence, puis l'abandon, puis la trahison des nations et, finalement, ce qu'ils jugent comme une complicité, au moins passive, avec le régime. Pis, chez nombre de ceux qui risquent quotidiennement leur vie en affrontant la mafia au pouvoir à Damas, est en train de se répandre l'idée, vraie ou fausse peu importe, que les puissances occidentales préfèrent, tout compte fait, une Syrie livrée à la guerre civile et au chaos, et démembrée.

Ne nous étonnons pas que, dans ces conditions, dans la foulée de l'amertume engendrée par l'inqualifiable inertie des grands pays démocratiques, dans le climat de désespérance qui règne à Alep, Homs et Deraa, l'islamisme radical, sous toutes ses formes, et parfois les plus terribles, ne cesse de gagner du terrain. La Syrie était une nation pluriconfessionnelle où l'islam sunnite modéré majoritaire s'accommodait des minorités - chrétiennes, alaouite, druze, ismaélite, turkmène ou chiite.

Dès que son pouvoir a été contesté, Bachar Al-Assad a entrepris de persuader l'opinion syrienne, ainsi que la communauté internationale, qu'il était confronté à des bandes de criminels et de terroristes islamistes. Histoire d'être plus convaincant il a fait sortir de prison les fous de Dieu syriens qu'il avait arrêtés à leur retour de djihad en Irak. Et, chez les Occidentaux, cette propagande a reçu, hélas, un certain écho et fourni un alibi supplémentaire à l'immobilisme. Dix-neuf mois, et 40 000 morts, plus tard, la prophétie s'est en partie autoréalisée.

Oui, il y a de plus en plus d'extrémistes dans l'opposition syrienne. Oui, il y a des djihadistes étrangers qui viennent renforcer les rangs des combattants. Oui, ils sont de plus en plus nombreux chaque semaine. Oui, ces quelques milliers de fanatiques, nationaux ou venus de l'extérieur, commettent des attentats-suicides qu'il faut condamner. Et oui encore, les insurgés se tournent d'autant plus volontiers vers le fondamentalisme que seuls les pays sous régime islamiste leur fournissent une aide réelle - qu'elle soit humanitaire, financière ou militaire.

Mais non, mille fois non, nous ne pouvons pas en rester à ce constat navré. Non, mille fois non, nous ne devons pas, pour autant, nous laver les mains de la souffrance des civils syriens ni renoncer à soutenir les courants démocratiques qui luttent dans le pays.

Les gouvernements occidentaux refusent de livrer des armes à la révolution au prétexte qu'elles pourraient tomber entre de mauvaises mains ? Qu'ils prêtent plutôt l'oreille à ces chefs de katibas qui espèrent recevoir de l'équipement, non seulement pour combattre l'armée d'Assad, mais pour construire une force alternative aux fondamentalistes. Qu'ils écoutent le Conseil national syriaque, qui veut la chute des gangsters au pouvoir mais demande de l'armement pour protéger sa communauté du totalitarisme islamiste.

N'ont-ils pas non plus entendu le message des révolutionnaires kurdes qui redoutent l'islamo-nationalisme et récusent la menace hégémoniste que font planer le Parti des travailleurs du Kurdistan PKK et son relais syrien le PYD ? C'est à nous - Europe, Etats-Unis - que s'adressent tous ces ennemis de Bachar Al-Assad et des fanatiques islamistes...

Le Conseil de sécurité de l'ONU étant paralysé par les veto russe et chinois, n'importe quelle autre alliance est justifiée pour arrêter les rivières de sang qui coulent dans les villes syriennes. Vladimir Poutine, lui, n'a attendu aucun feu vert d'une quelconque instance pour fournir un appui en armes et munitions à son protégé syrien. Lequel reçoit aussi un soutien financier de l'Iran et de l'Irak, ainsi que le renfort en hommes du Hezbollah. La situation rappelle celle de l'Espagne de 1936, quand les démocraties se déshonoraient par leur neutralité, tandis que de leur côté Mussolini et Hitler apportaient une aide aux putschistes de Franco.

Ainsi toute instance de légitimité alternative est bonne à prendre dès lors qu'elle peut aider à sauver ce qui peut l'être des objectifs initiaux (chute de la dictature mafieuse, dignité, liberté...) de cette révolution qui se poursuit malgré les amoncellements de cadavres.

Au lieu de quoi l'OTAN, l'UE, la France, les Etats-Unis, s'évertuent à répéter qu'aucune intervention militaire n'est possible - sauf si... Oui, c'est peut-être le plus révoltant : aucune intervention n'est pensable, nous disent-ils, sauf si le régime touche à ses armes chimiques. C'est, en d'autres termes, accorder à celui-ci le droit de tuer par tous autres moyens. C'est tracer une ligne rouge qui consent à des milliers, peut-être des dizaines de milliers, de victimes supplémentaires.

C'est sous-entendre que la communauté internationale ne serait fondée à bouger que dans le cas où le massacre des Syriens tournerait au chaos régional. Mais c'est aussi, qu'on y prenne garde, convenir qu'une intervention est possible, techniquement, militairement, possible. Alors ? Alors, il y a urgence. Urgence à empêcher que le scénario du pire ne se réalise. Urgence à casser la mécanique infernale qui est en train de se mettre en place. Urgence à briser la double mâchoire du piège qui ne laissera, un jour, d'autre choix aux femmes et aux hommes de Syrie que celui entre deux dictatures.

Assez de dérobades ! Assez de pusillanimité ! L'avenir démocratique de la Syrie requiert une aide décisive. Que ce soit en neutralisant l'aviation qui bombarde villes et villages, en fournissant les armes idoines aux courants démocratiques parmi les combattants, en apportant renfort et espoir aux Alaouites, y compris dans les sphères du pouvoir, qui veulent se débarrasser des criminels à la tête de l'Etat. C'est précisément quand on estime, comme nous, que la dictature des Assad est à juste titre condamnée et que le fondamentalisme islamiste constitue un danger majeur pour l'avenir du pays, que s'impose le devoir de protéger ; et, associé à ce devoir de protéger, non moins impératif que lui, le devoir de veiller à la sécurité de toutes les composantes, toutes les minorités constitutives du peuple syrien. L'enjeu dépasse la Syrie.

Il dépasse même le Moyen-Orient. Il s'agit, aussi, de redonner aux nations démocratiques un autre visage que celui de la veulerie : un visage humain, solidaire, généreux. Et il s'agit de rompre, comme cela se fit en Libye, l'engrenage hideux et fatal du prétendu "choc des civilisations". Aider à la chute de la tyrannie en place sans encourager, pour autant, les aspirants tyrans de l'islamisme radical, c'est ce qu'attendent de nous les démocrates de Syrie et, au-delà de la Syrie, du monde.

Ne pas intervenir, tandis que s'accélère le massacre des innocents, c'est adresser, en revanche, le pire des messages et c'est renforcer, en particulier, le sentiment anti-occidental. L'honneur, l'humanité, mais aussi l'intérêt politique bien compris, commandent engagement et fermeté.

Jacques Bérès, chirurgien de guerre ; Mario Bettati, professeur émérite de droit international ; André Glucksmann, philosophe ; Bernard Kouchner, ancien ministre ; Bernard-Henri Lévy, philosophe, directeur de la revue "La Règle du jeu", membre du conseil de surveillance du "Monde"
[www.lemonde.fr]
B
24 octobre 2012 17:07
Quand j'ai vu Gluksman, Bernard Levy signer un tel article, une seule réactionptdrptdrptdr
U
24 octobre 2012 19:11
pfff Kouchner ...

Nos devons aider LES Syriens à trouver un accord entre eux: Ce sera nettement plus facile que d'envoyer des troupes se mêler d'une guerre de religion.

Allons, Messieurs du Monde: Quelle est votre contribution pour aider les Syriens à trouver une sortie du problème ?

Préférons-nous envoyer des soldats se faire tuer pour donner les clés de la Syrie aux Salafistes, afin qu'ils disposent d'une base arrière pour lancer des guerres contre plus ou moins tous les voisins de la Syrie (pas tout: LE seul pays qu'ils n’attaquerons pas, c'est Israël, car Israël fait partie du fond de commerce des Salafistes, tout comme la Shoa fait partie du fond de commerce de Sionistes sans scrupule).

Intervenir contre Bachar maintenant, c'est la guerre assurée pour les 20 prochaines années et la malheur de tous les Musulmans installés en Occident (à cause de l'escalade. Pour la France, ça donne: Français musulmans -> Musulman français -> Jihadiste -> Musulmans traitre envers la France -> Amalgame Islam=trahison -> Pogroms -> etc ). Le mécanisme sera le même dans tous les pays belligérants.

En n'intervenant pas contre Bachar, nous évitons des guerres que les nouveaux Munichois sont en train de concocter.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
B
24 octobre 2012 19:19
La carte est déjà redessiné. Les "occidentaux" ne peuvent pas se permettre 2 guerres; syrie et iran.


Obama attaquera l'Iran s'il est réélu, déclare Tzipi Livni
Par Georges Malbrunot le 15 septembre 2012 17h56 | 34 Commentaires
livni.jpg
Confidence de Tzipi Livni, ancienne ministre israélienne des Affaires étrangères : « Je rentre des Etats-Unis avec l’impression que si Barack Obama est réélu en novembre, il frappera les installations nucléaires de l’Iran, car il n’aura plus rien à perdre, ce sera son deuxième et dernier mandat. Tandis que si c’est Romney qui gagne, il ne pourra pas commencer son mandat de président des Etats-Unis par une guerre », a déclaré lors de son récent passage à Paris Mme Livni, qui a démissionné de la Knesset, le parlement israélien, en mai dernier.

Mme Livni a eu de nombreux entretiens aux Etats-Unis, et elle avoue revenir en Israël avec cette "impression paradoxale". En effet, jusqu'à maintenant le challenger républicain M. Romney paraissait sur une ligne plus dure contre les ambitions nucléaires de Téhéran que Barack Obama, qui avait tendu la main aux dirigeants iraniens. En vain, à son début de premier mandat.

Tout est question de calendrier électoral. Il n'y a que les idiots et les malhonnêtes pour ne pas y croire
o
24 octobre 2012 20:47
Coildman
que faut il faire ? je crois que Bengi a donné une bonne réponse il faut attendre l'election d'Obama il va taper la vipére sur la tete et sa double queue Assad Nasrallah tombera
be ezrat Hachem (incahaallah en hebreu)
s
24 octobre 2012 21:50
Salam,

Je ne lis presque plus tes articles de journaux loin d'être objectifs sur la Syrie, encore moins quand ces mêmes articles sont signés par des torchons de sionistes.

La vérité c'est que cette France qui souhaite tant la guerre n'a même pas les moyens d'attaquer la Syrie, c'est ridicule.
c
24 octobre 2012 23:37
tu n'as vu que la signature de bhl. moi, celle qui a retenu mon attention, c'est celle de jacques bérés, un des fondateurs de medecins. c'est un type connu pour sa probité. il est allé opérer et soigner partout ou ça canardait depuis des decennies, y compris quand tout le monde partait.
il y a quelques semaines, il opérait encore des gens à alep sous les bombes malgré son age assez avancé.
c'est pas un pantin. donc j'ecoute ce qu'il a à dire.
vous pouvez toujours le qualifier de sioniste et tutti quanti. j'ai l'habitude de ces "argumentaires" pour demeurés.
r
25 octobre 2012 01:16
La Syrie ferait mieux de placer son énergie dans la recherche d'une solution hors-arabe afin mettre un terme au chaos en syrie . Les roitelets qui se prétendent offensés par le déversement de sang en syrie, où étaient-ils lorsque des millions mourraient en Irak. PAS UNE SEULE DECLARATION ! Silence total - Et suis soudain, ils deviennent interlocuteurs ? Alors que les armées du Qatar, des Emirats-unis et de Jordanie ont participé ouvertement aux combats en Libye ? Alors que l'armée saoudienne a écrasé dans l'œuf les révoltes populaires du Yemen et du Bahrein (sans que l'occident ou les médias ne prononcent mot) ?
un syrien temoigne
[www.youtube.com]
a
25 octobre 2012 13:04
Salam,

La France veut "sauver du bou-gnou-le" du "bou-gnou-le". Si vous ne savez pas, la France nous apprend qu'elle considère deux types de bou-gnou-les : les bons et les mauvais ! A l'insulte, donc, il faudra ajouter une précision morale ! Sinon l'"autre" ne vous comprendra pas...

C'est une plaisanterie ?
25 octobre 2012 13:19
ben voyons coldman, encore toi !














prix nobel de la paix a obama, celui de la democratie et de l humanisme a israel..
"Préparez le chemin du Seigneur, Aplanissez ses sentiers."
c
25 octobre 2012 13:20
Citation
riad-al a écrit:
La Syrie ferait mieux de placer son énergie dans la recherche d'une solution hors-arabe afin mettre un terme au chaos en syrie . Les roitelets qui se prétendent offensés par le déversement de sang en syrie, où étaient-ils lorsque des millions mourraient en Irak. PAS UNE SEULE DECLARATION ! Silence total - Et suis soudain, ils deviennent interlocuteurs ? Alors que les armées du Qatar, des Emirats-unis et de Jordanie ont participé ouvertement aux combats en Libye ? Alors que l'armée saoudienne a écrasé dans l'œuf les révoltes populaires du Yemen et du Bahrein (sans que l'occident ou les médias ne prononcent mot) ?
un syrien temoigne
[www.youtube.com]


des millions? pourquoi pas des dizaines de millions?
oui, il y a eu pas mal de manifestations contre la guerre en iraq. et les types de méedecins du monde comme bérés n'ont jamais été pour seconder les aventures militaires us.
personne ici ne souteint la repression au barhein ou en coree du nord.
B
25 octobre 2012 13:23
Citation
Bengi a écrit:
La carte est déjà redessiné. Les "occidentaux" ne peuvent pas se permettre 2 guerres; syrie et iran.


Obama attaquera l'Iran s'il est réélu, déclare Tzipi Livni
Par Georges Malbrunot le 15 septembre 2012 17h56 | 34 Commentaires
livni.jpg
Confidence de Tzipi Livni, ancienne ministre israélienne des Affaires étrangères : « Je rentre des Etats-Unis avec l’impression que si Barack Obama est réélu en novembre, il frappera les installations nucléaires de l’Iran, car il n’aura plus rien à perdre, ce sera son deuxième et dernier mandat. Tandis que si c’est Romney qui gagne, il ne pourra pas commencer son mandat de président des Etats-Unis par une guerre », a déclaré lors de son récent passage à Paris Mme Livni, qui a démissionné de la Knesset, le parlement israélien, en mai dernier.

Mme Livni a eu de nombreux entretiens aux Etats-Unis, et elle avoue revenir en Israël avec cette "impression paradoxale". En effet, jusqu'à maintenant le challenger républicain M. Romney paraissait sur une ligne plus dure contre les ambitions nucléaires de Téhéran que Barack Obama, qui avait tendu la main aux dirigeants iraniens. En vain, à son début de premier mandat.

Tout est question de calendrier électoral. Il n'y a que les idiots et les malhonnêtes pour ne pas y croire
c
25 octobre 2012 13:39
Citation
Bengi a écrit:
Citation
Bengi a écrit:
La carte est déjà redessiné. Les "occidentaux" ne peuvent pas se permettre 2 guerres; syrie et iran.


Obama attaquera l'Iran s'il est réélu, déclare Tzipi Livni
Par Georges Malbrunot le 15 septembre 2012 17h56 | 34 Commentaires
livni.jpg
Confidence de Tzipi Livni, ancienne ministre israélienne des Affaires étrangères : « Je rentre des Etats-Unis avec l’impression que si Barack Obama est réélu en novembre, il frappera les installations nucléaires de l’Iran, car il n’aura plus rien à perdre, ce sera son deuxième et dernier mandat. Tandis que si c’est Romney qui gagne, il ne pourra pas commencer son mandat de président des Etats-Unis par une guerre », a déclaré lors de son récent passage à Paris Mme Livni, qui a démissionné de la Knesset, le parlement israélien, en mai dernier.

Mme Livni a eu de nombreux entretiens aux Etats-Unis, et elle avoue revenir en Israël avec cette "impression paradoxale". En effet, jusqu'à maintenant le challenger républicain M. Romney paraissait sur une ligne plus dure contre les ambitions nucléaires de Téhéran que Barack Obama, qui avait tendu la main aux dirigeants iraniens. En vain, à son début de premier mandat.

Tout est question de calendrier électoral. Il n'y a que les idiots et les malhonnêtes pour ne pas y croire


il n'y a que les idiots pour ne pas comprendre que cette déclaration intervenant en pleine campagne électorale us vise à apporter du soutien à Obama en faisant de lui un pro israélien.
il faut réfléchir un petit peu quand même...........
le pire, c'est que si obama est réélu et que l'apocalypse annoncée n'arrive pas, vous inveterez encore un argument bidon pour pas reconnaitre l'idiotie de vos raisonnements.
B
25 octobre 2012 15:04
Faut être malhonnête Goldman Benyamin, pour ne pas y croire

Obama n'exclut pas d'intervenir en Syrie

Les Etats-Unis ont évoqué une possible intervention militaire en Syrie en cas de déplacement ou d’utilisation d’armes chimiques dans ce pays, où les combats entre rebelles et forces du régime ne connaissaient aucun répit, notamment à Alep.
c
25 octobre 2012 16:27
à mon avis, mais je peux me tromper; tout ce que peut dire obama et les politiques qui le soutiennent en ce moment va en direction des futurs électeurs. grinning smiley
et je ne suis pas bien sur non plus qu'on vienne te prévenir sur france 2 le jour ou ils décideront d'un raid aérien sur les installations nucléaires iraniens.
maiz peut etre as tu raison et l'on vient carrément de nous annoncer la fin de l'iran eye popping smiley ............. si obama est élu. SOS
25 octobre 2012 16:35
Absolument. Il faut déployer des tanks Russes de dernier cri et des millions de soldats chinois...

Il faut les défoncer ces barbus... Et il faut défoncer ces sales turques qui laissent des terroristes débarquer dans les pays comme ca...
c
25 octobre 2012 19:18
qui veut parier avec moi qu'obama élu ne fera pas plus que ce qu'il n'a fait avant?
B
25 octobre 2012 19:29
Tu dois être bien informé par tel aviv, alorsptdr
T
25 octobre 2012 20:57
Citation
coldman a écrit:
Assez de dérobades, il faut intervenir en Syrie !

LE MONDE | 22.10.2012 à 14h27 • Mis à jour le 22.10.2012 à 14h30
Le gang barbare des Assad et les extrémistes islamistes sont les ennemis de l'avenir démocratique de la Syrie. Ce sont les ennemis de la paix au Moyen-Orient. Ce sont nos ennemis. l

Juste le début de l'article tue de rire (Enfin,on en rogolerait si le contexte n'etait pas aussi dramatique...)

Ca cogne la Propagande

Et dire qu'il existe encore des attardés mentaux pour croire a ça

La France,l'OTAN......Nos sauveurs!!!

grinning smiley
Nech zie Al hoceima.........Tamassint*
 
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