La préparation d’un couscous, de pâtisseries de fête, et d’autres plats pendant le Ramadan sont l’occasion pour Samira, Zaïa, Nadia et Myriam, femmes kabyles, de parler cuisine et savoir-faire bien sûr, mais au delà, de leur condition de femmes et de la culture qu'on leur a (qu'elles ont) transmise.
Une discussion enflammée s’engage entre mères et filles qui ne considèrent pas la vie de couple et les obligations familiales de la même manière.
Les mères pensent que leurs filles ne consacrent plus assez, voire plus du tout, de temps à la préparation des repas, mais se contentent de plats tout faits. Mêmes différences dans leurs rapports aux hommes et à l'éducation.
Un grand moment de socialisation croisée, inter et intragénérationnelle. Zaïa est l'archétype de la femme soumise aux traditions et aux hommes tandis que les autres femmes cherchent à s'en émanciper avec plus ou moins de bonheur....
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