Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Anselm Tormeeda, prêtre et érudit chrétien
i
26 août 2011 09:45
Il dit : « Mon fils, lorsque tu es arrivé ici, en provenance de ton pays, je t’ai demandé si tu avais vécu près des musulmans, s’ils avaient organisé des attaques contre vous et vous contre eux. Je t’ai posé ces questions pour connaître ton degré de haine envers l’islam. Sache, mon fils, que le Paraclet est en fait leur prophète, Mohammed, à qui a été révélé le quatrième livre, tel que mentionné par Daniel. Sa voie est la voie droite et claire mentionnée dans l’Évangile. » Je dis : « Dans ce cas, monsieur, que dites-vous de la religion des chrétiens? »

Il dit : « Mon fils, si ces chrétiens suivaient toujours la religion transmise à l’origine par Jésus, alors ils suivraient la religion de Dieu; car la religion de Jésus et de tous les autres prophètes est la véritable religion de Dieu. Mais ils l’ont modifiée et sont devenus mécréants. » Je lui demandai : « Mais alors, monsieur, comment s’en sortir? » Il me dit : « Ô mon fils, embrasse l’islam! ». Je lui demandai : « Celui qui embrasse l’islam sera-t-il sauvé? » Il dit : « Oui : en ce monde et dans l’au-delà. » Je dis : « La personne avisée fait les bons choix pour elle-même; si vous connaissez, monsieur, les bienfaits de l’islam, alors qu’est-ce qui vous empêche de l’adopter? »

Il répondit : « Mon fils, Dieu Tout-Puissant ne m’a fait connaître la vérité sur l’islam et le prophète Mohammed qu’au moment où j’étais déjà vieux et que mon corps s’était déjà affaibli. Oui, nous n’avons aucune excuse, nous chrétiens; au contraire, la preuve de Dieu a été établie contre nous. Si Dieu m’avait fait connaître cette vérité quand j’avais ton âge, j’aurais tout laissé tomber et j’aurais embrassé la religion de vérité.

....

C’est alors que le sultan me fit entrer dans la pièce, devant eux. Je prononçai l’attestation de foi, i.e. que nul ne mérite d’être adoré à part Dieu et que Mohammed est Son messager. Lorsque les chrétiens m’entendirent prononcer ces paroles, ils se signèrent et dirent : « Rien ne l’a poussé à faire cela si ce n’est son désir de se marier, car dans notre religion, les prêtres ne se marient pas. » Et ils quittèrent, en état de choc.

Le sultan me fixa une somme d’un quart de dinar par jour et me fit épouser la fille d’al-Hajj Mohammad al-Saffar. Lorsque vint le moment de consommer le mariage, il me donna cent dinars d’or et une magnifique garde-robe. Je consommai mon mariage et Dieu, de par Sa grâce, me donna un fils que je nommai Mohammed, en hommage au Prophète. »

[www.islamreligion.com]
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook