Dans le quotidien Le Monde (9 février), M. Ali Belhadj, l’ancien numéro 2 du Front islamique du salut (FIS) a donné un entretien à Florence Beaugé, « Il faut trouver, d’urgence, une solution politique en Algérie » (1).
Cet important entretien appelle quelques commentaires.
1. Le moment choisi pour sa publication est important, marqué par la marche vers un troisième mandat (ce qui nécessite une révision de la Constitution) du président Abdelaziz Bouteflika et la relance du terrorisme.
2. M. Ali Belhadj ne condamne ni les attentats, ni les kamikazes. Mais il se démarque d’Al-Qaida dont il dit qu’elle est née en 1998 alors que le FIS a été créé en 1989. Il critique les talibans et l’Arabie saoudite…
3. Il réfute la thèse du pouvoir (discours présidentiel de Batna en septembre 2007) selon laquelle le terrorisme est le fait de l’étranger (Al-Qaida). Il serait donc algérien…
Ils auraient du y penser avant de faire la paix avec ces barbares assasins de femmes et de bebes, sans aucune consideration pour les victimes et leurs familles.
Qui seme le vent....
There is no sincerer love than the love of food. George Bernard Shaw
il faut jeter les ordures et les bruler car si on les laisse au soleil elle pourrissent l'atmosphère il faut supprimer tout ce qui a trait de près ou de loin avec les dirigeants Algèriens actuels de tout les bords qui viennent du passé il faut un re-nouveau total il faut des idées neuves donc il faut comprendre qu'on ne fait pas du neuf avec du vieux à bon entendeur salut nous connaissons la solution
DU renouveau là où rien de nouveau n'est sorti depuis l'indépendance... C'est pas pour demain. Peut être dans 20 ans, une fois que les anciens seront mort de vieillesse puisque rien d'autre ne les délogera du pouvoir, l'Algérie pourra se sortir de la morosité dans laquelle elle est entrée depuis 62. Le seule ancien valable, ils l'ont tué...