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adil77 a écrit:
Ca fait sourire tellement c'est minable. On dirait que Boutef n'a d'autres sujet de discussions internationels que le Sahara. Au lieu de mettre à profit ses entretiens diplomatiques pour discuter des choses qui comptent vraiment pour les algeriens, il ne fait que denigrer le Maroc.
Et oui Zaki, les dirigenats algeriens ont un complexe par rapport à l'histoire du Maghreb. Ils n'ont pas d'Histoire. Leur histoire a commencé en 1962 alors tu imagine. Ils croient que les petrodollars vont leurs donner la légitimité historique, qui leur manque, pour être leader du Maghreb.
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sofiane71 a écrit:Citation
adil77 a écrit:
Ca fait sourire tellement c'est minable. On dirait que Boutef n'a d'autres sujet de discussions internationels que le Sahara. Au lieu de mettre à profit ses entretiens diplomatiques pour discuter des choses qui comptent vraiment pour les algeriens, il ne fait que denigrer le Maroc.
Et oui Zaki, les dirigenats algeriens ont un complexe par rapport à l'histoire du Maghreb. Ils n'ont pas d'Histoire. Leur histoire a commencé en 1962 alors tu imagine. Ils croient que les petrodollars vont leurs donner la légitimité historique, qui leur manque, pour être leader du Maghreb.
Mettre en avant le double langage de Bouteflika est un fait et je n'ai nullement l'envie de défendre sa prise de position la dessus. Voilà qui est dit! en revanche, dire que l'histoire de l'Algérie commence après 62, c'est faire preuve d'un amateurisme et d'une meconnaissance de L'algérie et de son Histoire millénaire.
Donne-toi la peine de te documenter en premier sur le sujet avant de débiter tes aneries sur le forum!
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andi espoir a écrit:
J'ai trouvé ça dans Wikipédia, sur Bouteflika
La Cour des Comptes
Le 22 décembre 1981, Bouteflika est poursuivi pour « gestion occulte de devises au niveau du ministère des Affaires étrangères» (entre 1965 et 1978) par la Cour des comptes.
Dans son arrêt définitif du 8 août 1983, la Cour des comptes donnait son verdict : « M. Abdelaziz Bouteflika a pratiqué à des fins frauduleuses une opération non conforme aux dispositions légales et réglementaires, commettant de ce fait des infractions prévues et punies par l’ordonnance n° 66-10 du 21 juin 1966 et les articles 424 et 425 du Code pénal. » (El Moudjahid du 9 août 1983.)
La Cour des comptes évaluait à « plus de 6 milliards de centimes » (l'équivalent de 100 milliards de centimes actuels) le montant dont Bouteflika restait redevable auprès du Trésor.
«Agissant alors en qualité de ministre des Affaires étrangères, M. Abdelaziz Bouteflika avait successivement ordonné aux chefs de missions diplomatiques et consulaires, par instructions n° 20 du 14 février 1966, n° 33 du 1er décembre 1966, n° 36 du 1er mai 1967, n° 68 du 1er octobre 1969 :
en 1966, de conserver au niveau des postes les soldes disponibles qui devront faire l’objet d’instructions ultérieures particulières ;
en 1967, d’ouvrir des comptes particuliers devant abriter ces disponibilités ;
en 1969, enfin, de procéder au transfert des reliquats disponibles vers deux comptes bancaires ouverts auprès de la Société des banques suisses, les reliquats des exercices ultérieurs devant désormais avoir la même destination. » (El Moudjahid du 9 août 1983.)
La Cour observait que « le gel de cette importante trésorerie, qui a notamment profité à un établissement bancaire étranger, n’a donc obéi à aucun texte législatif ou réglementaire et sa gestion échappait totalement au contrôle du Trésor ».
Pour sa défense, Bouteflika invoquera aux magistrats de la Cour des comptes la construction d’un nouveau siège du ministère des Affaires étrangères pour laquelle il destinerait la trésorerie amassée sur les comptes suisses. la réponse de la cour : « Ce motif fallacieux ne peut être pris en considération sachant qu’une opération d’investissement obéit à des règles bien précises qu’aucun ordonnateur ne peut ignorer et que l’éventuelle construction d’un nouveau siège du ministère des Affaires étrangères doit être financée par des crédits normalement inscrits au budget de l’État.» (El Moudjahid du 9 août 1983.)
Bouteflika ne remboursera jamais ses dettes, il sera même acquitté, par contre ses collaborateur Senouci et Boudjakdji seront emprisonnés.
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zaki7 a écrit:
C'est un message qui merite une reponse d'amour diplomatique aussi mielleuse en retour et surtout aussi hypocrite. Aucun doute que M6 saura faire dans ce registre
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qayss a écrit:Citation
sofiane71 a écrit:Citation
adil77 a écrit:
Ca fait sourire tellement c'est minable. On dirait que Boutef n'a d'autres sujet de discussions internationels que le Sahara. Au lieu de mettre à profit ses entretiens diplomatiques pour discuter des choses qui comptent vraiment pour les algeriens, il ne fait que denigrer le Maroc.
Et oui Zaki, les dirigenats algeriens ont un complexe par rapport à l'histoire du Maghreb. Ils n'ont pas d'Histoire. Leur histoire a commencé en 1962 alors tu imagine. Ils croient que les petrodollars vont leurs donner la légitimité historique, qui leur manque, pour être leader du Maghreb.
Mettre en avant le double langage de Bouteflika est un fait et je n'ai nullement l'envie de défendre sa prise de position la dessus. Voilà qui est dit! en revanche, dire que l'histoire de l'Algérie commence après 62, c'est faire preuve d'un amateurisme et d'une meconnaissance de L'algérie et de son Histoire millénaire.
Donne-toi la peine de te documenter en premier sur le sujet avant de débiter tes aneries sur le forum!
l'Algérie en tant qu'état souverain n'a jamais existé (avant 62) n'en déplaise a certains
contrairement au Maroc et dans une moindre mesure la Tunisie
ca te fait peut etre pas plaisir mais c un fait
maintenant si tu as de la documentation come tu dis je demande a voir ...
Citation
sofiane71 a écrit:Citation
qayss a écrit:Citation
sofiane71 a écrit:Citation
adil77 a écrit:
Ca fait sourire tellement c'est minable. On dirait que Boutef n'a d'autres sujet de discussions internationels que le Sahara. Au lieu de mettre à profit ses entretiens diplomatiques pour discuter des choses qui comptent vraiment pour les algeriens, il ne fait que denigrer le Maroc.
Et oui Zaki, les dirigenats algeriens ont un complexe par rapport à l'histoire du Maghreb. Ils n'ont pas d'Histoire. Leur histoire a commencé en 1962 alors tu imagine. Ils croient que les petrodollars vont leurs donner la légitimité historique, qui leur manque, pour être leader du Maghreb.
Mettre en avant le double langage de Bouteflika est un fait et je n'ai nullement l'envie de défendre sa prise de position la dessus. Voilà qui est dit! en revanche, dire que l'histoire de l'Algérie commence après 62, c'est faire preuve d'un amateurisme et d'une meconnaissance de L'algérie et de son Histoire millénaire.
Donne-toi la peine de te documenter en premier sur le sujet avant de débiter tes aneries sur le forum!
l'Algérie en tant qu'état souverain n'a jamais existé (avant 62) n'en déplaise a certains
contrairement au Maroc et dans une moindre mesure la Tunisie
ca te fait peut etre pas plaisir mais c un fait
maintenant si tu as de la documentation come tu dis je demande a voir ...
Je ne parle pas de l'Algérie en tant qu'Etat-nation tel que définit par les territoires qui la délimitent actuellement mais à travers l'histoire où elle a eu plusieurs appellation:numidie, Maurétanie, berberie, d'ailleurs, à l'époque romaine,le roi Massinissa qui a eu 52 ans de règne s'est même permis d'unifier toute l'Arique du nord de Tanger jusqu'au territoire Tunisien actuel excepté Carthage.
Par ailleurs, il y'a plusieurs villes d'Algérie qui ont plus d'un millenaire d'existence telles que Alger, Constantine, Cherchel et j'en passe et des meilleurs.
Quant au Maroc, je m'en réjouis( contrairement à toi en ce qui concerne l'Algérie ) de son histoire et de sa civilisation tout simplement parce qu'à une certaine époque, nous ne formions qu'un seul et même peuple!
J'espère que c'est clair pour toi.
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adil77 a écrit:
Je suis tout a fait conscient que nous étions un seul et même peuple car jusqu'a la colonisation, la ville de Tlemcen était la 2éme ville scientifique et culuturelle du royaume aprés Fes.
Le problème qui se pose en fait c'est que les dirigeants algeriens essayent de donner a l'Algerie un poids historique sur la scène international qu'elle n'a pas.