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Pax algeriana
m
24 mars 2007 00:15
Actualité (Samedi 24 Mars 2007)


Sahara Occidental
Bedjaoui : “L’Algérie est contre la politique du j’y suis, j’y reste”


Par : Djamel Bouatta
Lu : (150 fois)


Face aux grandes manœuvres diplomatiques sur les dossiers chauds du monde, l’Algérie se devait de rappeler ses positions fondées sur les principes de sa politique et la légalité internationale.

“Nous sommes contre la politique du j’y suis, j’y reste que cherche à imposer le Maroc en prônant un prétendu plan d’autonomie”, a affirmé Mohamed Bedjaoui, faisant valoir qu’il revient au peuple sahraoui de se prononcer sur son avenir. L’Algérie, dans ce dossier, s’en tient au plan Baker. Interrogé sur la position de l’Algérie sur le dossier sahraoui, qui doit passer en avril prochain devant le Conseil de sécurité, le ministre répondra qu’il s’agit tout simplement d’un problème de décolonisation déjà pris en charge, dès 1974, par les instances internationales, dont l’ONU et la Cour internationale de justice, et qui a fait l’objet de négociations entre les deux belligérants que sont le Maroc et le Front Polisario, négociations sanctionnées par un programme de paix, des accords signés à Houston (USA), un plan de paix proposé par l’ancien secrétaire d’État américain, James Baker, et plusieurs autres résolutions pertinentes des Nations unies militant pour l’organisation d’un processus d’autodétermination. “Nous soutenons la légalité internationale. Nous rejetons toute décision unilatérale”, a tenu à affirmer le chef de la diplomatie algérienne.
Il faut savoir que le ministre d’État, ministre des Affaires étrangères est, depuis jeudi passé, à Washington où il devait être reçu hier par la secrétaire d’État américaine, Condoleezza Rice. Mohamed Bedjaoui devait expliciter les points de vue de l’Algérie sur les questions d’actualité régionale et internationale à ses interlocuteurs américains, mais également au secrétaire général de l’ONU, le Sud-Coréen Ban-Kimoon. Le chef de la diplomatie algérienne devait auparavant réaffirmer les grandes lignes de la politique étrangère algérienne dans une conférence au Centre pour les études internationales et de stratégie (CSIS), dans la capitale fédérale américaine, en présence d’un panel de diplomates, de hauts représentants d’institutions américaines et d’experts sur les questions du Moyen-Orient et de l’Afrique. Après avoir rappelé la politique engagée par l’Algérie pour le rétablissement total de la sécurité et de la stabilité dans le pays, après onze ans de lutte contre la menace terroriste et le train de réformes générales et multiformes, qui portent déjà leurs fruits aux niveaux économique, financier et social, Mohamed Bedjaoui devait établir le lien entre cette ouverture nationale et l’ouverture de l’Algérie sur le monde avec, toujours comme toile de fond, le soutien qu’elle apporte aux causes d’émancipation, d’indépendance et de lutte pour la souveraineté et les droits fondamentaux des peuples.

L’ambition des réformes engagées en Algérie, qui sont accompagnées par un vaste programme de développement économique, est, certes, d’assurer au pays un développement équilibré, stable et durable, mais également de lui redonner et de lui garantir sa place dans le concert des nations, a explicité Mohamed Bedjaoui, en affirmant que l’Algérie a “une place et un rôle, surtout sur le continent africain, au Moyen et Proche-Orient et dans les pays en développement”. Partant de ces considérations, le ministre d’État a réitéré que la préoccupation majeure des autorités algériennes est de “pouvoir contribuer à instaurer et renforcer la stabilité, la paix et la sécurité dans (notre) région et dans le reste du monde”.
Observant que le Maghreb, le bassin méditerranéen, l’Afrique et le monde arabe restent les centres d’intérêt prioritaires, avec la lutte contre le terrorisme et les fléaux sociaux, Mohamed Bedjaoui devait insister sur le fait que l’Algérie entend apporter sa part, en collaboration aussi bien avec les Nations unies, l’Union africaine, la Ligue arabe, l’OTAN qu’avec des pays comme les États-Unis, les États arabes, africains ou européens. Rappelant le savoir-faire diplomatique de l’Algérie et son crédit international en citant, notamment, ses récentes interventions dans le conflit entre l’Érythrée et l’Éthiopie ou dans la question targuie au Mali, le ministre a mis l’accent sur l’engagement des autorités algériennes à soutenir la cause de la paix, de la stabilité et du développement sur le continent africain et dans le monde arabe, notamment au Sahara occidental, en Somalie, au Darfour, en Palestine occupée et en Irak, faisant prévaloir la prédominance des principes et de la doctrine de la décolonisation, de la souveraineté des peuples et des États et du droit à l’autodétermination et à l’indépendance.
Les mises au point de Mohamed Bedjaoui sont intervenues la veille des périples de Condoleezza Rice et de Ban-Kimoon au Moyen-Orient et avant le passage, le mois prochain, du dossier sahraoui devant le Conseil de sécurité de l’ONU.

................................

Le rêve hégémonique algérien est toujours présent
a
24 mars 2007 10:28
Que de haine envers un peuple frère voisin !!!

Qu'avons nous fait aux responsables Algèriens pour qu'ils dépenser autant d'énérgie à nous mettre les batons dans les roues???



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/03/07 16:33 par azl95.
24 mars 2007 12:29
Mégalomanie d'un complexé sans histoire et sans aucune importance.
"Avec un H majuscule"
v
24 mars 2007 12:51
Citation
Hamid a écrit:
Mégalomanie d'un complexé sans histoire et sans aucune importance.

T'a tout resumé!
p
24 mars 2007 14:54
moi je dirai:

allah y naal li mayahcham o safi

(tm)
24 mars 2007 15:44
L'Algérie démontre qu'elle est un élément de blocage
L'affrontement qui oppose le Maroc à l'Algérie depuis plusieurs années, à propos des provinces du sud du Royaume, se déplace dans les bureaux des Nations unies à New York où Alger n'a pas lésiné sur les moyens en déployant sa machine diplomatique. Ce pays qui s'oppose au plan que propose Rabat pour une autonomie du Sahara, a chargé son ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, d'expliquer sa position.

Au lieu de dépenser l'argent de son pétrole dans des projets de développement humain et dans la lutte contre le terrorisme, ce pays voisin cautionne une «cause» perdue d'avance. Par son acharnement, l'Algérie démontre qu'elle est bel et bien une partie prenante dans le différend du Sahara, plus encore un élément de blocage.
Seulement, il se trouve que les personnes proches du dossier se sont retrouvées à Rabat.

D'abord, Julian Harson, le tout nouveau représentant spécial du secrétaire général de l'Onu pour le Sahara, a été reçu par le ministre de l'Intérieur, Chakib Benmoussa qui a mis en exergue la contribution de la MINURSO dans la stabilité de la région. Mise en place en avril 1991, la MINURSO, dont les effectifs se montaient à un total de 540 personnes dont 231 observateurs militaires, dispose d'un budget légèrement supérieur à 50 millions de dollars. Elle a essentiellement pour mandat de vérifier le cessez-le-feu.

Dans ce cadre, le représentant spécial s'est félicité de la qualité de la coopération qui préside aux relations entre la MINURSO et les autorités marocaines. Il a salué les efforts entrepris par le Maroc pour le déminage de la région, son appui apporté à la mise en œuvre des mesures de confiance et sa disposition à encourager et à renforcer les contacts entre les familles en vue d'alléger la souffrance des populations des camps de Tindouf.

Rappelons que Ban Ki-moon, secrétaire général de l'Onu, avait nommé Julian Harston comme son représentant spécial pour le Sahara et chef de la MINURSO, en remplacement de l'Italien Francesco Bastagli. Ensuite, c'était au tour de la présidente de l'Assemblée générale des Nations unies, Sheikha Haya Rashed Al-Khalifa, de se rendre dans la capitale marocaine et de tenir des réunions avec les responsables marocains.

Lors d'un point de presse, à l'issue de sa visite officielle de trois jours, Sheikha Haya Rashed Al-Khalifa a affirmé que le Maroc a fait un pas positif pour engager le dialogue autour de la question du Sahara, soulignant l'importance de trouver une solution à ce problème dans le cadre des Nations unies.

Le règlement de la question du Sahara doit tenir compte des données politiques, économiques et historiques de la région, a-t-elle indiqué, soulignant que la région a besoin de toutes ses ressources pour réaliser le développement au lieu de les dilapider en semant des divergences.

Aujourd'hui, il revient à l'Onu de tirer les conséquences d'un tel blocage du moment que son origine est parfaitement identifiée. Alger semble oublier que le mardi 31 octobre dernier, il y a eu un vote historique par le Conseil de sécurité qui préconise «une solution politique définitive» à la question du Sahara, tout en soutenant les efforts du secrétaire général des Nations unies et de son représentant personnel. Le Conseil de sécurité avait alors prorogé le mandat de la Mission onusienne pour une nouvelle période de six mois, soit jusqu'au 30 avril 2007.

La réaction des membres du Conseil de sécurité est intervenue quelques jours après la publication du rapport de l'ancien secrétaire général de l'Onu, Kofi Annan. Un rapport qui enterre définitivement le Plan de paix Baker II et écarte toute solution imposée.

Aussi bien devant la 4e commission de l'Onu à New York, qu'à l'assemblée générale, une écrasante majorité des pays membres des Nations unies se sont abstenus, en décembre dernier, de voter en faveur d'un texte algérien qui a tenté de réhabiliter le défunt plan de paix.

Pas moins de 122 pays se sont, soit abstenus, soit n'ont pas participé à ce vote sur un total de 192 pays membres de l'Onu.

Pour le Maroc, la résolution onusienne confirme la démarche préconisée par le Conseil de sécurité pour le traitement de la question du Sahara marocain. Cette démarche consacre ainsi la volonté de la communauté internationale d'insuffler une dynamique nouvelle, résolument orientée vers l'avenir, au processus de règlement de ce différend régional. Car, elle écarte toutes les propositions antérieures dont le caractère caduc est définitivement établi.

Pour progresser vers une solution politique consensuelle et définitive à ce conflit artificiel, le Maroc a exprimé sa disposition à présenter un projet d'autonomie qui permette aux habitants du Sahara de gérer leurs affaires dans le cadre de l'intégrité territoriale du Royaume. Le projet s'inspire de la nécessité de parvenir à un compromis politique en déléguant de larges compétences à la population concernée dans le respect des prérogatives de la souveraineté du Maroc.

Plusieurs délégations ministérielles ont été dépêchées dans différentes capitales mondiales pour informer les hauts responsables des pays visités des étapes franchies dans le processus d'élaboration de l'avant-projet de cette proposition qui reçoit déjà un soutien international.

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Et si Alger lève son blocus…
"Si l'Algérie veut, comme elle le prétend, aider ce qu'elle appelle les réfugiés sahraouis, il lui suffit de lever le blocus militaire et sécuritaire autour des camps, elle verra que cette population exercera son droit à l'autodétermination en marchant pour traverser la frontière algéro-marocaine et rentrer chez elle au Maroc", a affirmé l'ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations unies à Genève, Mohamed Loulichki.

"Le monde réalisera alors l'étendue de la supercherie entretenue depuis trente ans", a ajouté le diplomate marocain, qui s'exprimait jeudi devant le Conseil des droits de l'Homme, dans le cadre d'un droit de réponse au représentant de l'Algérie qui a réagi avec une rare agressivité à l'intervention de l'ONG Interfaith International "sur le calvaire des femmes séquestrées dans les camps de Tindouf".



Témoignage émouvant celui de Mme Malika Kriti, devant ce même Conseil des droits de l'Homme. La Marocaine de 35 ans de Laâyoune a raconté l'enlèvement de son père en 1975 par les séparatistes du polisario et dont elle n'a, à ce jour, aucune nouvelle. Depuis, elle ignore s'il était vivant ou décédé. Elle a expliqué avoir pris contact avec des organisations non gouvernementales nationales et internationales, avec les autorités de plusieurs pays, notamment d'Afrique du Nord, mais ses démarches n'ont malheureusement donné aucun résultat.

Mon espoir est que la voix de la personne tourmentée et brisée qui s'adresse à vous aujourd'hui, puisse atteindre, à travers vous, la conscience et la communauté internationale pour connaître enfin le sort de mon père, Souilem ould El Haj El Bachir, enlevé parce qu'il a tenu à défendre ses idéaux et ses convictions. Son seul tort est de croire dur comme fer que l'intégrité territoriale de son pays, le Maroc, englobe l'ensemble de ses provinces, rejetant toute partition et tout marchandage.


LE MATIN du Sahara et du Maghreb
23.03.2007
"Avec un H majuscule"
R
24 mars 2007 18:02
Mdr ! Comme si on n'a besoin de leurs permissions pour éxcuter le plan !
pathéthique, affligeant, pitoyable ....



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/03/07 18:28 par RoZzario.
a
24 mars 2007 19:20
Moi je pense que les américains doivent avoir l'impression de parler à...un débile. Un type qui vient parler des accords de Houston alors qu'on est en mars 2007!!!!
Pauvre algerie tu ne merites pas les charlots qui parlent en ton nom.
r
24 mars 2007 22:34
nous les liens politiques entre le maroc et l'algerie,ne nous regarde pas.Aujourd'hui le monde algero-marocain est resté innerte vis a vis de la frontière terrestre fermée qui fait beaucoup de mal aux gens ayants des liens de parentés entre ces deux peuples.je trouves mesquin par exemple qu'une marocaine d'oujda mariée à maghnia en algerie et qui doit prendre l'avion pour se rendre à 25km de chez elle.
Rachidou
O
26 mars 2007 12:38
Citation
masque86 a écrit:
Actualité (Samedi 24 Mars 2007)


Sahara Occidental
Bedjaoui : “L’Algérie est contre la politique du j’y suis, j’y reste”


Par : Djamel Bouatta
Lu : (150 fois)


Face aux grandes manœuvres diplomatiques sur les dossiers chauds du monde, l’Algérie se devait de rappeler ses positions fondées sur les principes de sa politique et la légalité internationale.

“Nous sommes contre la politique du j’y suis, j’y reste que cherche à imposer le Maroc en prônant un prétendu plan d’autonomie”, a affirmé Mohamed Bedjaoui, faisant valoir qu’il revient au peuple sahraoui de se prononcer sur son avenir. L’Algérie, dans ce dossier, s’en tient au plan Baker. Interrogé sur la position de l’Algérie sur le dossier sahraoui, qui doit passer en avril prochain devant le Conseil de sécurité, le ministre répondra qu’il s’agit tout simplement d’un problème de décolonisation déjà pris en charge, dès 1974, par les instances internationales, dont l’ONU et la Cour internationale de justice, et qui a fait l’objet de négociations entre les deux belligérants que sont le Maroc et le Front Polisario, négociations sanctionnées par un programme de paix, des accords signés à Houston (USA), un plan de paix proposé par l’ancien secrétaire d’État américain, James Baker, et plusieurs autres résolutions pertinentes des Nations unies militant pour l’organisation d’un processus d’autodétermination. “Nous soutenons la légalité internationale. Nous rejetons toute décision unilatérale”, a tenu à affirmer le chef de la diplomatie algérienne.
Il faut savoir que le ministre d’État, ministre des Affaires étrangères est, depuis jeudi passé, à Washington où il devait être reçu hier par la secrétaire d’État américaine, Condoleezza Rice. Mohamed Bedjaoui devait expliciter les points de vue de l’Algérie sur les questions d’actualité régionale et internationale à ses interlocuteurs américains, mais également au secrétaire général de l’ONU, le Sud-Coréen Ban-Kimoon. Le chef de la diplomatie algérienne devait auparavant réaffirmer les grandes lignes de la politique étrangère algérienne dans une conférence au Centre pour les études internationales et de stratégie (CSIS), dans la capitale fédérale américaine, en présence d’un panel de diplomates, de hauts représentants d’institutions américaines et d’experts sur les questions du Moyen-Orient et de l’Afrique. Après avoir rappelé la politique engagée par l’Algérie pour le rétablissement total de la sécurité et de la stabilité dans le pays, après onze ans de lutte contre la menace terroriste et le train de réformes générales et multiformes, qui portent déjà leurs fruits aux niveaux économique, financier et social, Mohamed Bedjaoui devait établir le lien entre cette ouverture nationale et l’ouverture de l’Algérie sur le monde avec, toujours comme toile de fond, le soutien qu’elle apporte aux causes d’émancipation, d’indépendance et de lutte pour la souveraineté et les droits fondamentaux des peuples.

L’ambition des réformes engagées en Algérie, qui sont accompagnées par un vaste programme de développement économique, est, certes, d’assurer au pays un développement équilibré, stable et durable, mais également de lui redonner et de lui garantir sa place dans le concert des nations, a explicité Mohamed Bedjaoui, en affirmant que l’Algérie a “une place et un rôle, surtout sur le continent africain, au Moyen et Proche-Orient et dans les pays en développement”. Partant de ces considérations, le ministre d’État a réitéré que la préoccupation majeure des autorités algériennes est de “pouvoir contribuer à instaurer et renforcer la stabilité, la paix et la sécurité dans (notre) région et dans le reste du monde”.
Observant que le Maghreb, le bassin méditerranéen, l’Afrique et le monde arabe restent les centres d’intérêt prioritaires, avec la lutte contre le terrorisme et les fléaux sociaux, Mohamed Bedjaoui devait insister sur le fait que l’Algérie entend apporter sa part, en collaboration aussi bien avec les Nations unies, l’Union africaine, la Ligue arabe, l’OTAN qu’avec des pays comme les États-Unis, les États arabes, africains ou européens. Rappelant le savoir-faire diplomatique de l’Algérie et son crédit international en citant, notamment, ses récentes interventions dans le conflit entre l’Érythrée et l’Éthiopie ou dans la question targuie au Mali, le ministre a mis l’accent sur l’engagement des autorités algériennes à soutenir la cause de la paix, de la stabilité et du développement sur le continent africain et dans le monde arabe, notamment au Sahara occidental, en Somalie, au Darfour, en Palestine occupée et en Irak, faisant prévaloir la prédominance des principes et de la doctrine de la décolonisation, de la souveraineté des peuples et des États et du droit à l’autodétermination et à l’indépendance.
Les mises au point de Mohamed Bedjaoui sont intervenues la veille des périples de Condoleezza Rice et de Ban-Kimoon au Moyen-Orient et avant le passage, le mois prochain, du dossier sahraoui devant le Conseil de sécurité de l’ONU.

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L'hypocrisie algerienne dans toute sa splendeur.

Le sieur Bedjaoui parle de l'autodetermination du "peuple sahraoui" alors que l'Algerie a mis la charrue avant les boeufs en creant une "republique" ( RASD) sans attendre le verdict des urnes.

Le polisario n'etant aucunement le seul representant des sahraouis.

Seule cette contradiction trahie les visées hegemoniques des galonnés d'Alger.
m
27 mars 2007 03:20
Citation
Ouldlablad a écrit:

L'hypocrisie algerienne dans toute sa splendeur.

Le sieur Bedjaoui parle de l'autodetermination du "peuple sahraoui" alors que l'Algerie a mis la charrue avant les boeufs en creant une "republique" ( RASD) sans attendre le verdict des urnes.

Le polisario n'etant aucunement le seul representant des sahraouis.

Seule cette contradiction trahie les visées hegemoniques des galonnés d'Alger.

oui le rêve hégémonique algérien est toujours présent

et cet arrogance algérienne suit la courbe du cours du pétrole, plus il augmete plus l'algérie veut écraser les autres

à croire que leur histoire ne leur a jamais appris l'humilité
J
27 mars 2007 08:02
L'Algerie defend la legalité internationale, qu'est ce qu'il y a mieux qu'encourager le droit à la determination! Je pense que tout sage soutiendrait qu'un peuple vote et decide de son sort

Ni plus ni moins

Je vous invite à lire sur Bedjaoui

[www.iris-france.org]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/03/07 08:22 par Jaziri.
27 mars 2007 09:12
Citation
Jaziri a écrit:
L'Algerie defend la legalité internationale, qu'est ce qu'il y a mieux qu'encourager le droit à la determination! Je pense que tout sage soutiendrait qu'un peuple vote et decide de son sort

Ni plus ni moins

Je vous invite à lire sur Bedjaoui

[www.iris-france.org]


Vous feriez mieux de défendre "el kasra" evil
"Avec un H majuscule"
a
27 mars 2007 14:51
Citation
Jaziri a écrit:
L'Algerie defend la legalité internationale, qu'est ce qu'il y a mieux qu'encourager le droit à la determination! Je pense que tout sage soutiendrait qu'un peuple vote et decide de son sort

Ni plus ni moins

Je vous invite à lire sur Bedjaoui

[www.iris-france.org]

Je t'invite à reclamer la libre autodetermination du peuple algèrien.
 
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