Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Aîd al-adha (féte du sacrifice)
a
22 novembre 2008 17:02
Aîd al-adha (féte du sacrifice)
L'Aïd Al-Adha ou la fête du sacrifice est la deuxième fête annuelle du calendrier hégirien après celle de l'Aïd Al-Fitr. Le sacrifice d'une bête le jour de l'Aïd est « sunna ». C'est à dire que c'est un acte recommandé par Allah à toute les familles musulmanes qui en ont les moyens. Allah a dit dans le Coran: « Prie ton seigneur et sacrifie. » Sourate 108, verset 2.
Mais sais-tu pourquoi les musulmans sacrifient une bête
le jour de l'Aïd Al-Adha?
On posa la même question au Prophète Mohammad (pbDsl) qui répondit:
« C'est la tradition de votre père Abraham ». C'est à dire que les musulmans héritent de cette tradition du Prophète Ibrahim (pbDsl) (Clique ici pour lire l'histoire du prophète Ibrahim). Allah a dit dans le Saint Coran: « Certes les hommes les plus dignes de se réclamer d'Abraham, sont ceux qui l'ont suivi, ainsi que ce prophète-ci, et ceux qui ont la foi. Et Allah est l'allié des croyants. » Sourate 3, verset 68.
« Et quel en est l'intérêt » demanda-t-on encore au Prophète Mohammad (pbDsl)?
« Il vous sera compté pour chaque poil [de la bête] une bonne action. »
Etonnés les compagnons demandèrent encore: « Et la laine? »
« Et aussi pour chaque brin de laine ».




Le jour du sacrifice commence par une prière en groupe et en plein air ou sinon à la mosquée. Lorsque le soleil s'élève à une certaine hauteur dans le ciel, l'imam préside à la prière sans appel. Il fait deux rak'as en répétant au début de la première 7 fois : Allahou Akbar et tous les musulmans répètent derrière lui. Après l'imam récite à haute voix la Fatiha et une sourate. Il commence la deuxième raka'a en disant 6 fois Allahou Akbar, puis récite la Fatiha et la sourate. La prière terminée, il se lève pour prononcer le sermon où il recommande aux musulmans d'être bons, pieux, généreux, de remercier Allah et de donner l'aumône.
Après la prière, on sacrifie un mouton ou un autre animal si on en a les moyens. On partage la viande avec les pauvres et avec les invités. On rend visite aux gens pour leur souhaiter bonne fête.
voilà l'histoire d'abraham et son fils ismaïl ( sur eux la paix)


Allah décida d'éprouver Ibrahim. Il lui ordonna par un rêve de sacrifier son unique fils. Ibrahim devint triste, mais il savait que c'était un ordre d'Allah et qu'il devait obéir. Il en parla à Ismaïl qui lui répondit:



« O mon père, fais ce qui t'est ordonné, tu me trouveras si Dieu le veut de ceux qui font preuve de patience. » (Sourate as-Saffât, les Rangs, verset 102).

Malgré sa tristesse Ibrahim se prépara à sacrifier son fils. Mais avant qu'il le fasse, Dieu l'en empêcha en lui disant:
« Tu as confirmé la vision. C'est ainsi que nous récompensons les gens de bien. »
(Sourate as-Saffât, les Rangs, verset 105).


Ibrahim et Ismaïl remercièrent Allah et sacrifièrent un mouton qu'Allah fit apparaître à la place.
Plus tard, Ibrahim et son fils Ismaïl bâtirent la Ka'ba, la première mosquée pour adorer Allah. Ils firent une invocation:


« Notre Seigneur, accepte ceci de notre part : Tu es, en vérité, Celui qui entend et qui sait. Notre Seigneur, fais que nous Te soyons soumis et fais descendre de nous une communauté qui Te sera soumise, montre-nous nos rites et accepte notre repentir... »

(Sourate al-Baqara, la Vache, v. 127-128).

Allah entendit cette prière et bénit la Ka'ba et la Mecque. Jusqu'à ce jour, les musulmans à travers le monde se tournent vers la Ka'ba pour prier et y viennent de partout pour faire le pèlerinage.

Telle est, les enfants, l'histoire du prophète Ibrahim et de son fils Ismaïl qui étaient bons et pieux. Ismaïl a obéi à son père et tous deux ont obéi à Allah. Et comme eux, tous les musulmans du monde obéissent à Allah en sacrifiant un mouton pour l'Aïd al-Adha (Aïd al-Kébir)
K
22 novembre 2008 19:31
Merci amzalino!
s
24 novembre 2008 17:30
Personnellement je n'aime pas beaucoup cette fête et je l'ai toujours fêtée à contre coeur ! Un jour sur Radio Mediterranée, il y avait un inetrvenant marocain qui proposait de remplacer l'égorgement de la bête par la plantation d'un arbre, et il a commencé un énumérer tout ce que geste porte de conséquences utiles et fructeuses pour les humains, c'est extraordinaire et c'est beau et plus divin comme geste, comme il disait lui même. Alors j'ai eu cette réflexion :!
Imaginons que dans l'islam effectivement le sacrifice est symbolisé par la plantation d'un arbre qui donne la vie car c'est bien de cela qu'il s'agit., On voulait tuer un enfant, et dieu content de la soumission d'Abnraham, a substitué le mouton à l'enfant. Allons plus loin et substituons l'arbre au mouton. Et puis on imaégione que si telle était vraiment la traditionn de l'Aïd et que quelqu'un viendrait nous dire " nOn ce serait mieux d'égorger un mouton, le geste est plus fort car plus spectaculaire "
Alors là je suis sûr je peux voir des millions de voix s'élever pour cier au blasphème car on tâcherait de sang un geste noble et généreux de dieu quio pense à court et à long terme à sa créature. sachant que les arbres étaient sacrés à Quoraïch ! Qui'en pensez-vous. L'arbre et ses qualités ou le sang comme symbole d'uen religion ?
a
24 novembre 2008 18:52
Une épreuve est un événement pénible, qui éprouve le courage et qui fait apparaître les qualités morales. Le musulman peut la considérer comme « un examen » qui s'il le réussit recevra une grande récompense de la part d'Allah. Pour réussir ce genre « d'examen », le musulman doit apprendre à se contrôler : il doit rester calme, il ne doit pas s'énerver ou se mettre à désespérer.
Le Prophète (paix et salut de Dieu sur lui) a dit : " Tous les maux qui affligent le musulman, qu'il s'agisse de fatigue, de maladie, de soucis, de tristesse, de préjudice, d'affliction, jusqu'à l'épine qui le blesse, sont autant de motifs accordés par Allah pour absoudre ses péchés." (Rapporté par al-Boukhâri).
Al-hamdoullillah ! La vie est toujours belle pour le musulman qui souhaite rencontrer Allah avec le moins de péchés possible ! Ce n'est pas pour nous punir qu'Allah nous envoie des épreuves mais au contraire parce qu'Il nous aime et veut nous purifier de nos péchés.
l
24 novembre 2008 21:34
Citation
salimsali a écrit:
Personnellement je n'aime pas beaucoup cette fête et je l'ai toujours fêtée à contre coeur ! Un jour sur Radio Mediterranée, il y avait un inetrvenant marocain qui proposait de remplacer l'égorgement de la bête par la plantation d'un arbre, et il a commencé un énumérer tout ce que geste porte de conséquences utiles et fructeuses pour les humains, c'est extraordinaire et c'est beau et plus divin comme geste, comme il disait lui même. Alors j'ai eu cette réflexion :!
Imaginons que dans l'islam effectivement le sacrifice est symbolisé par la plantation d'un arbre qui donne la vie car c'est bien de cela qu'il s'agit., On voulait tuer un enfant, et dieu content de la soumission d'Abnraham, a substitué le mouton à l'enfant. Allons plus loin et substituons l'arbre au mouton. Et puis on imaégione que si telle était vraiment la traditionn de l'Aïd et que quelqu'un viendrait nous dire " nOn ce serait mieux d'égorger un mouton, le geste est plus fort car plus spectaculaire "
Alors là je suis sûr je peux voir des millions de voix s'élever pour cier au blasphème car on tâcherait de sang un geste noble et généreux de dieu quio pense à court et à long terme à sa créature. sachant que les arbres étaient sacrés à Quoraïch ! Qui'en pensez-vous. L'arbre et ses qualités ou le sang comme symbole d'uen religion ?


voila un nouveau prophete avec pour mission de changer le monde vas y qu est ce que tu attends professe si tu arrives a remplacer les moutons par des arbres meme les pommiers ! si c est le cas sache que c est un fruit defendu tu n y a pas pensé a celle la !!!
a
25 novembre 2008 12:57
salam
notre ami salimsali n a pas le courage d un homme pour egorger un mouton , laiss le planter c qu il veu si il a le pouvoir de le fair.!!!
26 novembre 2008 05:03
Citation
amzalino a écrit:
salam
notre ami salimsali n a pas le courage d un homme pour egorger un mouton , laiss le planter c qu il veu si il a le pouvoir de le fair.!!!

salam

je préfère un homme qui n'a pas le courage d'égorger un mouton comme tu le dis, qu'un homme qui a le courage (ou prétend l'avoir) et qui égorge de façon improvisée, avec un couteau mal aiguisé et fait souffrir un animal inutilement. Rappelons que nous devons éviter au maximum les souffrances de l'animal et que ce n'est pas n'importe qui qui a capacité de le faire.

Sachant que le mouton égorgé devra par la suite être distribué aux pauvres, on peut très bien faire aumone dans le même sens sans égorger une bête.
f
26 novembre 2008 10:27
Salam
Doit il s agir imperativement d u mouton? Ne peut on pas sacrifier un boeuf par exemple?

Citation
oum_sarah a écrit:
Citation
amzalino a écrit:
salam
notre ami salimsali n a pas le courage d un homme pour egorger un mouton , laiss le planter c qu il veu si il a le pouvoir de le fair.!!!

salam

je préfère un homme qui n'a pas le courage d'égorger un mouton comme tu le dis, qu'un homme qui a le courage (ou prétend l'avoir) et qui égorge de façon improvisée, avec un couteau mal aiguisé et fait souffrir un animal inutilement. Rappelons que nous devons éviter au maximum les souffrances de l'animal et que ce n'est pas n'importe qui qui a capacité de le faire.

Sachant que le mouton égorgé devra par la suite être distribué aux pauvres, on peut très bien faire aumone dans le même sens sans égorger une bête.
BB Iliyés est arrivé le 23/04/2009 BB Kamil est arrivé le 08/03/2011 Merci aux mamans du forums qui ont partagé leur aventure.Longues vies a vos bb!
s
26 novembre 2008 10:35
Salam
Allez c tous les ans pareil!

On s'indigne du fait qu'on doit égorger une bete! mais qd c dans nos plats ds divers resto la on s'en fou c normal!

Ceux qui sont pas content c leur pb! qu'on vienne pas nous bassiner ac leur théorie a 2 balles comme planter des arbes ou je ne sais quoi comme autre idiotie!

Bref moi je le dis haut et fort : OUI AU SACRIFICE DU MOUTON !!!!!!!
[center][b] B)- It's Going To Be Legen....(Wait For It).... Dary B)- [/b][/center]
a
26 novembre 2008 12:56
ca fait 14 siecles q on sacrifi les moutons on va pa changer l histoir pour fair plaisir brigette bardot
26 novembre 2008 18:15
Lors d'une conférence tenue au Caire en 1966, sous les auspices de l'Académie de Recherche Islamique, un certain nombre d'érudits musulmans se sont exprimés sur le sujet du sacrifice animal dans l'Islam ; Masri cite une de leurs conclusions : " Le Coran formule clairement que le Créateur ne désire pas le sacrifice en tant que tel, mais en tant que symbole de la dévotion à Dieu du sacrificiant, selon ce qu'il ressort du verset suivant : 'Sachez que ni leur chair ni leur sang n'atteignent Dieu ; seule votre rectitude l'atteint' (Coran, 22:37). Ce verset indique expressément que le sacrifice n'est pas censé être en lui-même une composante essentielle de la religion, mais un acte de charité destiné aux pauvres ".

Cette expression du sacrifice en tant que but social est primordiale pour la compréhension du sens profond de cet acte ; elle permet de lier sa perpétuation à une nécessité d'ordre humanitaire, à la nécessaire compassion envers les frères humains dans le besoin, en tant que témoignage de la compassion que Dieu accorde à l'homme.

Il apparaît ainsi à celui qui veut bien se donner la peine de réfléchir à l'esprit des textes que le but premier pour lequel les sacrifices d'animaux ont été autorisés dans l'Islam est tout simplement un but de charité sociale.

La question que le végétariste à alors envie de poser aux croyants musulmans est double : les sacrifices de l'Aïd sont-ils toujours bien du domaine de la charité, et si tel est le cas, quelle est l'utilité actuelle d'une telle forme de charité ? On peut comprendre que dans des circonstances historiques données, le don de nourriture carnée ait constitué une nécessité pour subvenir à certains besoins alimentaires mal assurés par une agriculture trop fragile ou trop peu diversifiée ; le cas a pu se présenter sur des périodes de temps assez longues et sur des territoires étendus, admettons-le ; on peut certainement trouver des justifications à la perpétuation des sacrifices dans les zones d'influence musulmane en arguant du souci humanitaire que l'Islam professe à l'égard des défavorisés ; mais à l'heure actuelle, où tant d'aliments sont disponibles qui ne génèrent aucune souffrance animale, qu'est devenue la compassion pour les animaux qui apparaît aussi être un souci majeur de l'Islam, selon ce qu'en disait Masri dans le premier texte cité ? Les pauvres sont-ils toujours au centre du rituel du sacrifice, et n'y a-t-il rien de mieux à leur offrir que de la viande issue d'un égorgement dans la souffrance ?

Ces interrogations, qui peuvent paraître dures, ne sont pas la critique simpliste d'un non-musulman borné ; face à des comportements traditionnels qui se perpétuent en aveugle, Masri met lui-même en garde, et sans concession, ses frères en croyance : " Quatorze siècles sont une période de temps suffisamment longue pour arriver à comprendre que le chemin du développement spirituel ne passe pas par l'observance ritualiste de la Loi coranique, ni par le fait de lui couper les cheveux en quatre. Sûrement, le temps est venu de nous libérer des caractéristiques pré-islamiques de nos cultures respectives (…) Pendant les premiers temps de l'Islam, la tradition d'offrir des animaux avait un sens. La viande était alors un ingrédient essentiel de l'alimentation humaine, et aucune miette n'en était perdue. De nos jours, tuer [des animaux] est devenu un rituel vide, et le sens profond [de l'acte] a été oublié ".

Si le sacrifice ne se justifiait qu'en tant que nécessité sociale, liée à certains contextes géo-historiques, et s'il a donc perdu actuellement sa nécessité, la dernière question qu'il reste à poser est de savoir par quoi le remplacer. Je crois qu'il devrait être clair, au vu de ce qui précède, qu'il pourrait être remplacé par tout autre don à visée humanitaire, en nature ou en argent, offert en tout endroit du monde où le besoin s'en fait sentir ; on aura compris que ce qui compte en effet n'est évidemment pas d'égorger un mouton, mais d'accomplir un acte symbolique de dévotion qui ne prend tout son sens que dans la perspective de la sollicitude coranique envers les nécessiteux. En voici une preuve supplémentaire, si besoin était ; dans un communiqué de l'agence France-Presse du 16 avril 1997, Soheib Bencheikh, Grand Mufti de Marseille, estimait que l'immolation d'un mouton à l'occasion de l'Aïd el-Kebir, " n'est ni un pilier de l'Islam, ni une obligation majeure comparable à la prière ou au jeûne du Ramadan "

[www.vegetarisme.fr]
a
26 novembre 2008 18:38
A partir du moment où il est choisi pour être destiné au sacrifice, le bélier devient presque sacré, on lui fait boire différents breuvages selon les régions, le matin de l’Aïd. C’est après la prière que le mouton peut être égorgé, généralement c’est autour de 8h30. Le sacrifice doit être accompli par un homme pieux qui tranche la carotide de la bête dont la tête est dirigée vers La Mecque.

Dès que le sang jaillit tout devient important dans l’animal.«Jadis les femmes, raconte Oumi Zeineb, recueillaient le sang pour l’utiliser à des fins curatives, la peau de la tête est considérée comme le meilleur tapis de prière et la vésicule biliaire a des vertus extraordinaires».

Le premier jour, seuls les abats et les côtelettes sont consommés.


Après et selon les régions et les us et coutumes, le mouton n’est pas entamé n’importe comment. Les uns consomment d’abord la tête avec du couscous ou à la vapeur, nous dit Oumi Zeineb, et de poursuivre : «D’autres commencent par l’épaule qui désossée permet d’y lire l’avenir : la bonne récolte, un bonheur quelconque, les jeunes filles peuvent distinguer les silhouettes d’éventuels prétendants…».

Autrefois, renchérit Oumi Zeineb, le soir de l’Aïd, les gens se livraient à des festivités et à des rituels tels que le «Boujloud», le lien aux sept peaux de mouton. Les festivités pouvaient durer sept jours.


Le jour de l’Aïd donne à la vie sociale une coloration particulière. Tôt le matin, les psalmodies du Coran fusent des mosquées où les hommes se retrouvent pour la prière de l’Aïd et l’odeur de l’encens remplit les foyers. Après quoi, c’est toute une activité débordante qui s’installe. Activité où la gastronomie a une part essentielle. Le repas se compose traditionnellement d’un plat unique les «qlaya» et de la salade méchouia. Les andouillettes au goût relevé, préparés à partir des abats sont réservées pour le deuxième jour de l’Aïd : «J’ai allumé le canoun et mis l’encens, le vent va faire rougir les braises pour faire le ‘‘méchoui’’, nous dit Assia, mère au foyer. Et de poursuivre : «Le mouton égorgé, il me faudra deux heures pour parvenir à bout de toutes les tâches du jour».


A table on s’attarde sans souci du temps qui passe. Les maîtresses de maison veillent aussi à offrir aux visiteurs les mets du jour. Et aucun repas ne saurait se terminer sans le fameux verre de thé.

Après le déjeuner, les maîtresses de maison commencent une longue série de corvées domestiques qui durent jusqu’au soir : préparer les andouillettes, épicer le «kadid», la viande salée, la peau du mouton...
3idkom mobarak d avance
m
26 octobre 2012 13:23
Le prophète Mohamed, que le salut et la bénédiction d'Allah soient sur lui, qui était l'une des meilleures créatures que la Terre n'ai jamais connu, sacrifier un mouton pour Aïd et recommander à la communauté de faire de même, Hadith à l'appuie..
De ce fait que quiconque se donne la prétention de vouloir changer ces recommandations, alors libre à lui de le faire, nous ne somme pas en mesure de le juger.. Mais sachez que changer ou modifier une pratique du Saint Prophète s'avère être une innovation, et l'innovation est haram en islam...
n
7 octobre 2014 21:56
Le mode d' emploie est donné que par son créateur, pas par l' acheteur.
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook