non c dur j'ai connu ça : bcp de communication vois le et parle lui entre 4 yeux de tout ce qui te gene, mais surtt laisse le parler et ne el braque ps !
il a 14 ans et il a toujour ete calme et obeissant mais depuis un certain temps il commence a etre influencé par ses potes et la cette semaine il a ete trop con car il sortai san dire a ma mere ou il allait alors elle s inkiété jlui ai fai la morale mais il a recommence et encore et encore la il vien de rentrer et je l ai incendier mai g l impression que ca sert a rien jsui perdue j ai pas envi kil tourne mal car on a assez de bléme chez moi
Salam kaotar j'ai deux ados à la maison et je sais de quoi tu parle j'en ai une qui voit encore un psy, et moi aussi j'ai prie des leçons d'éducations sur l’ado
Si ton frére a de mauvaises fréquentations et fait de travers c’est un appel détourné. Il est trop tenu, votre contrôle tes parents et toi est trop strict, votre éducation trop autoritaire ! Il a envie d’évasion, de fantaisie, d’ouverture d’esprit et de débrouillardise.
L’adolescence est sans doute la période la plus conflictuelle. Et la plus difficile, autant pour l’enfant que pour ses parents. " Quelle mère, quel père n’a pas connu, devant son enfant qui commence à marcher, la peur ? Peur qu’il ne chute ou se blesse. L’enfant qui refuse l’appui de l’adulte et risque seul ses premiers pas dérange. Tout comme il dérangera plus tard quand, refusant l’aide des mains maternelles, il déclarera tout à coup : “Non ! Tout seul !” L’enfant dérange un ordre qui s’était établi… Aucun parent ne peut vivre sans appréhension ces moments où l’enfant, pour avancer, a besoin d’échapper à son contrôle, de refuser sa protection. Aucun ne peut éviter la tentation d’interdire, d’entraver cette liberté naissante : “Attention ! Ne touche pas ! Ne bouge pas ! Reste là !” Tout au plus peut-il essayer ne pas y céder… Des années plus tard, face à l’adolescent qui déclare : “Je fais ce que je veux !”, les parents retrouvent la même angoisse. Avec les mêmes enjeux : autoriser la prise de risques tout en essayant d’éviter les dangers majeurs. Mais avec plus de difficultés car un adolescent qui essaie de se mettre au monde, ça fait plus de bruit qu’un nouveau-né ! " Comment, dans la tourmente de cet âge dit ingrat, exercer votre autorité ? Trois suggestions.- Il n’en fait qu’à sa tête" A l’adolescence, tout bouge dans la tête et dans le corps. On a donc plus que jamais besoin que, à l’extérieur, tout soit solide et stable. En premier lieu, l’autorité des parents. Même si l’adolescent la conteste systématiquement. Ce n’est pas pour lui un jeu. C’est une nécessité. Il la conteste parce qu’il essaie de devenir son propre maître. Il se construit “contre” l’autorité dans les deux sens du mot : en luttant contre elle mais en prenant, en même temps, appui sur elle. Il faut donc qu’elle existe et résiste : on ne peut pas s’appuyer sur du vide. Alors, tenez bon, acceptez d’être voués aux gémonies et supportez les conflits, inévitables et salutaires. "- " Avoir de l’autorité ne veut pas dire “faire de l’autoritarisme”. Les adolescents font très bien la différence entre les interdits qui ont vraiment un sens – “Traverser seul la Chine à pied, je conçois que ça te tente mais c’est vraiment trop dangereux !” – et ceux que l’adulte ne pose que pour affirmer (ou tenter de récupérer) son pouvoir – “Tu ne sors pas ce soir. Pourquoi ? Parce que !” Bien des relations parents-adolescents meurent ainsi, pour cause d’arbitraire. Les ados n’ont pas besoin non plus d’une “institution légiférante” : “Mon petit garçon, je suis ton père et donc je te déclare que…” Ils ont besoin d’adultes qui “parlent vrai”, qui expliquent les règles de vie, leur responsabilité sociale de parents et aussi, sincèrement, leurs propres limites. “C’est vrai que les parents de X le laissent rentrer après minuit en boster mais moi, je ne suis pas d’accord avec ça et, en plus, je serais trop inquiet.” Tous les parents ont des limites et ont le droit d’en avoir. "
INTERDITS : Les “bons” et les “mauvais” InterditsLes " bons " interdits sont ceux qui donnent à l’enfant le " cadre " sans lequel il ne peut vivre. Les " mauvais " sont ceux qui " cassent " sa personnalité parce qu’ils ne respectent ni ses rythmes ni son désir. Ceux qui tendent à faire de lui un objet docile, soumis à l’arbitraire des adultes. Quelques exemples tirés de la vie quotidienne.- Dormir On n’a pas à exiger d’un enfant qu’il dorme s’il n’a pas sommeil… Mais on peut lui imposer d’aller à telle heure dans sa chambre. S’il n’a pas sommeil, il peut jouer et il dormira ensuite mais, une fois dans sa chambre, il n’en sort plus !- Manger On n’a pas à exiger d’un enfant qu’il mange s’il n’a pas faim ou qu’il ingère un aliment qu’il déteste. Il est seul juge de son appétit et de ses goûts… Mais on n’a pas à lui faire chaque jour des repas " à la carte ". S’il n’aime pas un plat, il mange la suite.- S’habiller Un enfant peut très bien choisir la forme et la couleur du vêtement qu’on va lui acheter. Mais l’adulte a le droit de décider qu’on ne dépasse pas tel prix, et d’expliquer pourquoi.- Travailler A partir du cours préparatoire, l’enfant peut apprendre à s’organiser. Il peut choisir à quel moment il commence son travail et par quel devoir il commence… Mais l’adulte a le droit d’exiger que, à telle heure, les devoirs soient terminés pour qu’on puisse prendre son bain et manger. Etc. TRANSGRESSION : “ Si tu continues, ça ira mal”Toute transgression mérite sanction, c’est elle qui donnera du poids aux mots. Si vous vous contentez de menaces, vous perdez toute crédibilité. L’enfant lui-même est soulagé quand la punition tombe, dans “Parents, osez dire non !” car elle lui permet de réparer sa " faute " et le libère de sa culpabilité. Bien entendu, mieux vaut punir le plus intelligemment possible. Copier cent fois " Je ne mentirai plus " ne sert à rien. En revanche, nettoyer ce qu’il a sali, rembourser ce qu’il a dérobé, faire une tâche d’intérêt familial, etc., voilà qui est formateur. , un enfant doit être clairement prévenu des conséquences de ses actes. S’il transgresse, c’est en toute connaissance. Si, à titre exceptionnel, la sanction prévue est levée, des explications s’imposent.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 29/12/04 23:12 par aicha.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
Aïcha, le cas des garçons est plus préocupant. En général, ils communiquent pas avec leurs parents, contrairement aux filles et le rapport avec leurs mères.
Ils s'isolent dans leurs tours et évitent les confrontations familliales et c'est là le début de l'évasion.
Pour te dire que la crise d'adolescence n'est pas pareilles pour les deux sexes.
Et puis des filles qui sortent tard à cet âge là, ça court pas les rues.
Je ne doute pas de ton savoir, tu es éducateur et tu as sans doutes raison pour les filles Moro, mais le mal être des ados et le même pour les deux sex. et l'éducation doit être la même non?
Modifié 1 fois. Dernière modification le 29/12/04 23:42 par aicha.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
Il y a peu je rencontrais les mêmes soucis que toi avec mon ptit frère, une vraie tête de mule et encore le qualificatif est maigre!
Ce que j'ai pu tirer comme leçon de mon expérience, c'est qu'il ne faut jamais tenter de vouloir jouer le rôle de la maman, une soeur doit rester à sa place! Et ensuite il faut bien garder à l'esprit que les jeunes sont de fabuleux acteurs qui vous embobine en vous prenant par les sentiments...
Avec mon petit frère j'ai essayer tous les stratagèmes, la manière douce comme la forte! Ca allait de la communication, à de la boxade manière hard!Et le délire c'est que j'ai eu beau tout essayer il trouvait toujours une parade!
Le seul moyen que j'ai trouver pour le "calmer", c'est que j'ai été mettre la pression à ses copains...
Autre choses mefie toi aussi du sport, car je sais que souvent on se dit que c'est un bon moyen pour les canaliser, au moins là on sait où il sont et ce qu'ils font, mais attention parce que parfois ils peuvent prétexter du sport pour organiser des soirées entres amis!
Pour finir, sache que en période de tensions familliales ou il se retrouve seul contre tous, il faut que tu sois son allié dans ces moments là, car si au sein de sa famille il ne trouve personne à qui se confier il ira se confier à ses amis qui souvent ne sont vraiment pas de bons conseils et qui leur mettents des idées chelou tel que la fugue, le suicide (enfin du chantage par rapport à ca, za3ma tfaçon un jour jvais me suicider ou jvais fuguer)...
Dernière petite chose, ne jamais revenir sur une decision si on dit tu rentres à 20h c'est 20h, parce que concrêtement y'a rien de correct à faire au delà et même plus généralement il se retrouvera avec des jeunes qui ont 5 ans de plus, et il va vouloir jouer ses grands et par conséquent c'est pas bon!
je crois t'avoir tout dit! Ah oui ne jamais ceder à ses caprices, car une fois qu'il a compris ton point faible c'est fini c'est le début de la fin de ton influence sur lui! Ne lui montre jamais que tu as peur, parce que des fois za3ma ils jouent leur nerveux en mettant leur poings dans la porte ou en s'enervant tout seul.. Et le pire surtout c'est ceder quand tes à bout, c'est le pire des comportements à avoir, pendant une période je ceder pour eviter tout conflits familliaux et il a souvent jouer sur ça. Constat: vaut mieu de petites altercations de temps à autres que des parents qui sont tristes, se remettent en questions et ont le sentiment d'avoir rater qualque chose dans eur education!
Sur ce ma belle bon courage car c'est pas une épreuve facil, mais malheureusement un cap à passer.cependant garde bien en tête que si parfois il te fais de la peine, c'est pour son bienque tu fais ça!
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