Dans les années 1930, la presse française était particulièrement encline à parler islam et ramadan, notamment en Algérie, alors département français, dans les pays placés sous protectorat ainsi que dans les autres Etats du monde musulman.
Plusieurs personnalités musulmanes ont dénoncé le manifeste contre le «nouvel antisémitisme», certaines allant même jusqu’à considérer le texte comme «nauséabond et funeste».