C’est au milieu des quartiers les plus populaires de New York que Rivka, une juive native d’Essaouira, a fondé avec son frère le Café Mogador. Le lieu se veut une maison loin de chez eux où ils ont su recréer les authentiques recettes marocaines de leur mère. Success story.
Encore une affaire d’expulsion de personne âgées à Casablanca. Après 52 ans d’habitation dans l’appartement loué par ses parents à un propriétaire français, Cohen Messoty lutte pour éviter son expulsion. Ayant perdu de vue le propriétaire, elle dénonce une fraude.
Ils sont près de 800 000 juifs d’origine marocaine à vivre en Israël, dénombre le ministre de l’Intérieur Mohamed Hassad. La plupart d’entre eux sont encore attachés à leurs origines et à la culture marocaine, comme l’artiste israélienne Neta Elkayam. Originaire de Tinghir, la chanteuse est restée fidèle à son patrimoine et veille à présenter des chansons inspirées du
Mimouna est une fête familiale célébrée principalement par les Juifs marocains. En Israël c’est aussi un événement exceptionnel qui attire les hommes politiques, ce qui favorisa son officialisation comme journée partiellement chômée.
Alors qu'André Azoulay délivrait hier à Toronto un discours dans le cadre de la commémoration des «2000 ans de vie juive au Maroc», Yabiladi a voulu profiter de cette occasion pour interroger la politicienne juive Maguy Kakon sur la situation de la communauté juive dans le royaume. Entre revendications de pleine citoyenneté et implications de la jeunesse juive dans l'économie du pays, éclairage sur une communauté
La troisième édition de Mediterranean Delight Festival fait l'objet d'une vive polémique médiatique. En cause, la participation d’une ou de plusieurs danseuses israéliennes, à l'instar de l'édition qui l'a précédée.
2556 euros. C’est la somme d’argent que pourrait recevoir individuellement les juifs marocains par des organisations juives pour avoir été discriminés au Maroc sous le Protectorat Français lors de la Seconde Guerre Mondiale. Pour trois historiens spécialistes de l’histoire de la communauté juive au Maroc, dont Bin-Nun Yigal, le montant de cette indemnité proposée est humiliante et est loin des réalités des