Le ridicule ne tue pas. Si ce dicton français n'a pas son équivalent en espagnol, il serait à inventer. Car ces jours-ci, de nombreux médias ibériques tombent au mieux dans la faute professionnelle, au pire dans la manipulation. Il y a eu les affaires des enfants palestiniens «victimes» des forces de l’ordre à Laâyoune (sic), puis les victimes d’un meurtre à Casablanca qui deviennent sahraouis liquidés