A défaut d’installer un camp à Lagouira pour les déplacés du «camp Dakhla», comme l’exige l’Algérie, le Polisario opte pour les environs de Guerguerate. Les préparatifs sont déjà lancés.
Le régime algérien et le Polisario font l’impossible pour empêcher des ralliements de combattants du Polisario aux antennes régionales d’Al Qaida au Mali. Ils viennent d’encercler les camps de Tindouf, devenus une prison à ciel ouvert.
A quelques jours de la réunion de la haute commission mixte maroco-espagnole du 3 octobre à Rabat, Alger a dépêché son ministre aux Affaire étrangères à Madrid pour la préparation du sommet Rajoy-Bouteflika, un rendez-vous prévu en décembre. Le déplacement de Medelci n’a pas pour autant réussi à convaincre les Espagnols d’autoriser le retour de leurs coopérants dans les camps de
Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI) a revendiqué hier le rapt des deux Français le 24 novembre ainsi que les européens enlevés le 25 novembre. Dans un communiqué non-authentifié rédigé en arabe et reçu par l’AFP Maroc, AQMI informe que ses revendications seront bientôt communiquées à la France et au Mali. Cette revendication ne dissipe pas les doutes sur les complicités entre Aqmi et le Polisario,
L'Organisation marocaine des droits humains (OMDH) s’est mise d’accord avec d’autres organisations non gouvernementales, pour étudier et analyser les événements survenus dernièrement au camp Agdaym Izik et dans la ville Laâyoune. En attendant les conclusions de cette démarche conjointe, l’OMDH qui a tenté de faire le point sur ces événements tragiques, a rendu public une synthèse d’un rapport,
Le calme est revenu à Laâyoune après les événements du 8 novembre au camp Agdaym Izik. Hormis les bilans contradictoires des affrontements entre les agents de l’ordre et émeutiers, force est de constater que les affrontements de Laâyoune ont donné lieu à une désinformation, et ce, dès le départ. Les médias européens, particulièrement espagnols n’ont pas pris la peine de confronter