Les autorités marocaines ne réagissent pas toujours de la même façon aux mouvements de solidarité avec les sinistrés des récentes inondations. Parfois, elles autorisent des caravanes et des campagnes de collectes d’aides en faveur des victimes. Mais dans d’autres cas, elles brandissent l’interdiction et la matraque. C’est ce qui s’est passé, le 28 décembre, à Casablanca.
Une nouvelle affaire oppose Royal Air Maroc (RAM) à une association. La compagnie aérienne nationale a refusé de transporter, depuis Paris pour Marrakech, une aide humanitaire destinée aux enfants des régions touchées par les intempéries. L’association s’indigne, RAM s'explique. Détails.
Un malheur n'arrive jamais seul. Pour les habitants de la région de Sidi Ifni, en plus d'avoir perdu leurs maisons, ils doivent également acheter les produits de première nécessité qui auraient dû leur parvenir sous forme d'aide.
La twittoma a été touchée par les dégâts causés par les intempéries qu'a connues le Maroc ces dernières semaines. Elle s’est mobilisée à travers une opération dénommée #100DHpouraider afin de collecter des fonds pour les victimes. L’opération a reçu un écho très favorable puisqu’en moins de 24 heures seulement le cap des 100 000 DH a été
Les intempéries n’ont pas chamboulé que les infrastructures mais également la relation entre le ministère de l’Intérieur et certains élus locaux. L'un d’eux à Sidi Ifni a osé rompre le cordon ombilical qui le lie à la tutelle, en présentant sa démission à Mohamed Hassad.