Les «Mourides» de la zaouïa Boutchichie, au Maroc et ailleurs, pleurent leur Cheikh Hamza. Le religieux a marqué l’histoire de la confrérie. En 1972, il avait hérité d'une zaouïa aux nombre de disciples limité, dotée de faibles moyens. Quarante-quatre ans plus tard, il laisse à son fils Jamaleddine des centaines de milliers de fidèles, voire plus, et une renommée à l’international. Madagh est